[Play-Offs - 1/2 #3] ASVEL 62 (31) - (32) 56 SLUC Nancy

Allez hop hop hop on tourne la page sur le dernier match
Et on se dit que demain à 21h15 on a cellé la saison sur une excellente ou une mauvaise note.

Bon ci-dessous une source pas commune via le site de l'"excellent"* (*Coluche dans le texte) journal de propagande Le Figaro qui dresse une situation alarmante du SLUC.
Il faut donc faire mentir ce journal du nain...



Dernière station avant Bercy

ASVEL-Nancy
Habitée par le sentiment d'injustice né du match aller (69-70), l'ASVEL a remis les pendules à l'heure mercredi (53-69). Et de quelle façon ! En limitant la meilleure attaque de Pro A à 53 points chez elle, Villeurbanne a littéralement fait exploser Nancy, notamment lors d'un dernier quart-temps fait de barbelés (5 points concédés dont un trois points au buzzer). «Cette saison, nous avons joué tantôt avec la tête, tantôt avec le cœur. Là, les deux y étaient et il faut rendre hommage à Vincent (Collet), qui a su placer les joueurs dans la colère tout en les mettant en confiance», appréciait Pierre Grall, le directeur sportif. Comment le SLUC se relèvera-t-il de ce coup de massue ? La question est brûlante. Le champion a tout à perdre : son titre d'abord, une cinquième finale consécutive à Bercy, son ticket en Euroligue, et la perspective de voir ses meilleurs éléments s'en aller en cas de non-qualification. C'est dire si Nancy aura la pression, celle qu'il n'a pu supporter malgré la ferveur de 6000 supporters. Cela pourrait être aussi le dernier match de Cyril Julian. Rien que pour lui, les shooteurs nancéiens ont besoin de retrouver cette adresse que l'ASVEL réussit tellement bien à faire capoter (63,8 points de moyenne en cinq matches).

Expatried SlucFan a écrit:

Dernière station avant Bercy

ASVEL-Nancy
Habitée par le sentiment d'injustice né du match aller (69-70), l'ASVEL a remis les pendules à l'heure mercredi (53-69). Et de quelle façon ! En limitant la meilleure attaque de Pro A à 53 points chez elle, Villeurbanne a littéralement fait exploser Nancy, notamment lors d'un dernier quart-temps fait de barbelés (5 points concédés dont un trois points au buzzer). «Cette saison, nous avons joué tantôt avec la tête, tantôt avec le cœur. Là, les deux y étaient et il faut rendre hommage à Vincent (Collet), qui a su placer les joueurs dans la colère tout en les mettant en confiance», appréciait Pierre Grall, le directeur sportif. Comment le SLUC se relèvera-t-il de ce coup de massue ? La question est brûlante. Le champion a tout à perdre : son titre d'abord, une cinquième finale consécutive à Bercy, son ticket en Euroligue, et la perspective de voir ses meilleurs éléments s'en aller en cas de non-qualification. C'est dire si Nancy aura la pression, celle qu'il n'a pu supporter malgré la ferveur de 6000 supporters. Cela pourrait être aussi le dernier match de Cyril Julian. Rien que pour lui, les shooteurs nancéiens ont besoin de retrouver cette adresse que l'ASVEL réussit tellement bien à faire capoter (63,8 points de moyenne en cinq matches).

c'est évident que lorsque l'on à rien, il est difficile de perdre quelque chose !
et puis c'est pas une 5em mais 6em finale consécutive pour Bercy >8<

A défaut du voyage en bus (impossible), je me rabattrais sur le Magic Bowling, où nous étions déjà plusieurs lors du 1er match (n'est ce pas Etienne). Je compte sur beaucoup d'autres

Excellent l'article , entre autre le "cette adresse que l'ASVEL réussit tellement bien à faire capoter " trop fort

C'est peut-être la dernière sortie des Couguars cette saison. Alors qu'ils se bougent l'arrière-train comme jamais. Pression défensive jusqu'au bout ! Puisqu'en attaque, ce n'est pas toujours ça. C'est d'ailleurs là dessus qu'ils avaient fait "capoter" l'adresse villeurbannaise vendredi dernier en deuxième mi-temps (26 points encaissés en 20').

Pour le moment, dans l'historique des confrontations entre les deux formations cette saison, c'est :

2 victoires pour Nancy > match aller ProA (76-73) + match aller 1/2 PO (69-70),
3 victoires pour Lyon-Villeurbanne > 1/4 SDA (62-55) + match retour ProA (76-65) + match retour 1/2 PO (53-69).

63,8 points pour Nancy (à 110/293 soit 37,5%)
69,8 points pour Lyon-Villeurbanne (134/296 soit 45,2%)

Cela va être compliqué, mais il faut égaliser à trois victoires partout ! On ne peut pas perdre comme on l'a fait de la sorte à Gentilly sans révolte dans leur salle.

On a n'a pas su gagner notre treizième victoire de rang à domicile en PO. On gagnera le treize à l'Astroballe.

Un paramètre egalement à prendre en compte peut être, même si pour nous ça peut paraitre incroyable , la volonté des ricains de tout donner quitte à retarder le retour au pays .

Le président de Roanne avait menacé ses ricains de "retention de billets retour" s'il ne se bougeaient pas un peu plus contre nous , et comme certains doivent se dire qu'ils ne seront plus la l'an prochain ...

Pro A - Demi-finale des play-offs (match d'appui) : ASVEL - SLUC, ce soir (19 h 30)

Il faudra être grand !


Sonné mercredi dans sa salle, le SLUC est condamné à gagner, comme la semaine dernière, à l'Astroballe. Le défi et l'enjeu sont énormes. Pour forcer les portes de Bercy, Nancy devra sortir un très gros match.





NANCY._ A l'aube de sa deuxième saison en tant que coach du SLUC, Jean-Luc Monschau avait sorti une formule pour situer la difficulté qu'aurait son équipe à faire au moins aussi bien que sa devancière, qui avait atteint la finale et gagné la Semaine des As. A l'époque, le coach nancéien avait parlé de « rééditer l'exceptionnel ». Deux mots qui ne vont pas vraiment de pair puisque, par définition, on ne reproduit que très rarement ce qui est exceptionnel, mais que les Nancéiens devront marier pour revoir Bercy.
Après avoir réussi un casse mémorable la semaine dernière dans une Astroballe médusée, les Nancéiens devront donc regagner dans cette salle villeurbannaise, puisque l'ASVEL, vexée et remontée comme une pendule, a gâché la fête espérée par le peuple nancéien en allant s'imposer à Gentilly, mercredi. Parti sans laisser d'adresse (33% de réussite aux shoots), littéralement puni par la défense de fer de la bande à Collet qui l'a limité à 53 misérables points - du jamais vu à domicile depuis plus de dix ans ! -, le SLUC a passé une soirée de cauchemar. Peut-être la pire depuis le début de la saison.
Mais les Nancéiens puiseront volontiers dans cette soirée de détresse quelques raisons d'espérer que demain sera forcément un autre jour. Un jour meilleur.
« C'est plus facile d'y croire quand on fait l'analyse technique du précédent match », note Jean-Luc Monschau. « On n'a rien mis du tout dans le dernier quart-temps et pas grand-chose non plus dans les trois premiers. Et pourtant, même dans un jour où tout se passe mal, on était au coude à coude avec l'ASVEL. »
Traduction ? En retrouvant un jeu plus conforme à ses standards de la saison, le SLUC est convaincu que l'exploit est à portée de mains. Après tout, le duo de meneurs Cox-Tchicamboud (-3 d'évaluation à eux deux) peut difficilement être plus à la peine que mercredi, Lamayn Wilson et Michel Morandais peuvent difficilement se montrer plus maladroits (2/14 à eux deux) et le collectif nancéien peut difficilement être plus brouillon que lors de ce dernier quart-temps aux allures d'interminable chemin de croix.
Alors oui, pour tout cela, Nancy peut y croire.

L'exemple de 2001


Mais pour trouver la clé de cette défense sur laquelle il s'est cassé les dents mercredi, pour escalader la montagne villeurbannaise et planter le drapeau « SLUC » à son sommet, Nancy devra être grand. C'est à cette condition seulement que le SLUC peut aller une sixième fois en cinq ans à Bercy (championnat et Coupe compris) et valider sans aucune contestation son ticket Euroligue - même si la récente fronde des clubs espagnols laisse à penser que le ranking, que le club nancéien a remporté, ne sera peut-être pas expédié au caniveau facilement...
Car dans une salle de l'Astroballe qui n'a pas digéré le scénario du match aller, l'ambiance devrait être électrique et la tension vive, tant les relations entre les deux clubs se sont sérieusement refroidies depuis quelques mois. Et elle sera d'autant plus chaude que si la semaine dernière, Nancy avait décroché le jackpot ici même, c'était la première manche, pas une belle à quitte ou double.
Pour situer un peu plus précisément le défi d'envergure auquel se trouve confronté le SLUC, on ajoutera que se qualifier dans une série au meilleur des trois matches sans gagner à domicile est rarissime dans l'histoire de la Ligue. Ce n'est arrivé que six fois depuis 1987, et aucune fois depuis huit ans.
Mais le dernier exemple en date pourra donner quelques idées aux Nancéiens. Lors de la finale 2001 qui se jouait alors au meilleur des trois manches, Pau-Orthez était allé gagner deux fois à l'extérieur. Son adversaire en finale était... l'ASVEL. Du côté du SLUC, on ne demande qu'à y voir un signe du destin.

Anthony GUILLE


Est republicain

L'invité : Lamayn Wilson

« Une meilleure équipe qu'eux »




- Lamayn Wilson, quel est votre état d'esprit avant cette belle ?
- Le même qu'avant le match aller. On doit rester concentré et se préparer à jouer dur. Sur ce match, ils auront davantage de pression que nous. Cette pression, c'est nous qui l'avions avant le match retour et c'est une des raisons pour lesquelles on n'a pas mis nos shoots. Cela a été une soirée terrible sur ce point, la pire depuis le début de saison. Et quand vous ne rentrez pas vos shoots, vous perdez la confiance. On sait qu'on devra faire bien mieux.
- Gagner une fois à l'Astroballe n'est jamais facile, mais rééditer cette performance paraît encore plus dur. Qu'en pensez-vous ?
- C'est toujours difficile, mais si on arrive à développer notre jeu, on peut gagner. On s'est bien imposé l'un chez l'autre, alors... Je le répète, la pression sera un peu plus sur leurs épaules.
- Reste que l'enjeu sera énorme côté nancéien, puisqu'en plus de la finale, c'est un ticket Euroligue qui devrait se jouer si Jordi Bertomeu, le patron de l'épreuve, reste sur ses positions de ne pas tenir compte du ranking. Est-ce que c'est un élément que vous évoquez ?
- On en a parlé. On savait qu'il fallait battre Roanne pour finir premier au ranking, mais ils ont changé les règles. Ce n'est pas facile. Mais on ne laissera pas les gens décider de ce qu'on a à faire (pour aller en Euroligue). On doit rester concentré pour essayer de gagner ce match. Si on y arrive, il n'y aura aucune question à se poser.

« Ne pas aller en finale serait un déchirement »


- Vous êtes effacé depuis le début de cette série, avec un petit 6 d'évaluation sur l'ensemble des deux matches. Mais on se souvient que l'année dernière, quand vous jouiez à l'ASVEL, vous étiez passé au travers face à Nancy au match aller, avant de cartonner au retour. Alors, un Lamayn Wilson qui flambe, c'est pour samedi ?
- (Sourire) Je l'espère. C'est vrai que j'ai raté des shoots (il tourne à 3/15 sur les deux premiers matches), mais je garde confiance. Tout le monde devra apporter sa contribution, mais si je peux mettre mes shoots samedi et réussir un gros match...
- A chaque fois que vous avez affronté l'ASVEL cette saison, le match s'est joué en défense. Est-ce que vous pensez que la clé d'un succès à Villeurbanne se situe dans ce domaine ?
- Je pense que si on court davantage, qu'on joue plus vite, on peut battre cette équipe. L'ASVEL aime ralentir le rythme du match et si elle y parvient, c'est plus difficile pour l'adversaire. On a bien vu ce qui s'est passé mercredi, dans notre salle. Il faudra jouer vite et être à 100 %.
- Quelles sont les raisons pour lesquelles vous croyez à l'exploit ?
- Tout simplement parce que je pense qu'on a une meilleure équipe. Ne pas aller en finale serait un déchirement, car on avait une grosse opportunité en arrachant sur le fil le succès à Villeurbanne. Mais on a encore une chance et mon esprit est tout entier tourné vers cet objectif. On devra jouer extrêmement dur et tout donner. Mais j'y crois.

Recueilli par A.G.


Est republicain

L'ASVEL veut terminer le travail





NANCY._ C'est au complet et avec un moral au beau fixe que l'ASVEL a planché sur le dossier SLUC Nancy, à partir de jeudi. Le club rhodanien a mis l'accent sur la récupération, afin d'avoir la fraîcheur nécessaire pour tisser une toile aussi compacte en défense que mercredi soir à Gentilly (53 pts concédés seulement). « On est en position de force, à nous de terminer le travail », glisse l'entraîneur Vincent Collet, conscient de l'attente qui entoure ce match du côté de l'Astroballe.
Villeurbanne ne veut pas rater l'occasion de se hisser en finale du championnat pour la première fois depuis six ans et de... pousser vers la sortie une équipe nancéienne qui l'a privée d'une qualification pour Bercy ces deux dernières années.
Vestiaires

Jeff Greer menagé






NANCY._ Alors qu'il est toujours privé de Victor Samnick (entorse à la cheville), le SLUC Nancy s'est entraîné sans Jeff Greer, hier. Souffrant du tendon d'Achille, le shooteur dominicain est resté sur le banc en tenue sportswear. Mais il tiendra bien sa place ce soir.






13/06/09


Est républicain

Quelle place pour le rêve ?




Vainqueur de justesse à l’aller puis laminé au retour, le SLUC devra renouveler son exploit à Villeurbanne, ce soir, s’il entend aller en finale. Aura-t-il les ressources ?


Jean-Luc Monschau allait à peine quitter Gentilly, mercredi soir, quand il s’est tourné vers les rares journalistes encore présents pour leur poser cette question : «Vous savez à quelle heure on joue vendredi ? » L’interprétation est facile mais force est d’admettre que l’entraîneur nancéien n’avait pas spécialement prévu un nouveau détour par Villeurbanne avant Bercy. Plus qu’un détour, c’est peut-être même une impasse qui se dessine pour un SLUC écœuré, essoré, manipulé comme une marionnette par les mains vertes de l’ASVEL. Des mains expertes en l’occurrence.

GRAND ANGLE

Si le match aller s’était joué sur un coup de sifflet (69-70), le retour n’a lui souffert d’aucune équivoque (53-69). Jamais la deuxième attaque de Pro A n’avait été tant contrôlée cette saison, pas même en Euroligue. Vincent Collet avait un plan sur son ardoise, il a fonctionné à merveille. Car la pratique a rejoint la théorie. «On voulait limiter leurs rebonds offensifs, on a réussi. On voulait limiter les drives, nous y sommes parvenus. Et, sur leur jeu rapide, nous avons eu un courage exemplaire dans le repli, expliquait le coach rhodanien. Ces trois aspects étaient essentiels pour battre Nancy. »
Merveilleux d’abnégation, Villeurbanne n’a rien concédé à son hôte. Il a parfaitement réussi à isoler les forces adverses et parfois donné l’impression de jouer en avantage numérique puisque chaque Nancéien devait se farcir deux défenseurs avant de prendre un shoot. Etouffé par l’envie de l’ASVEL, le SLUC a aussi et surtout raté le tournant du match lorsqu’il a repris furtivement la main dans le troisième quart-temps, se fourvoyant dans des initiatives désorganisées et des tirs lointains sans pertinence. Ce virage était l’entrée d’autoroute vers Bercy. Nancy l’a mal négocié.

Signes de tension

Villeurbanne n’a donc pas seulement récupéré l’avantage du terrain, il sera aussi en position de force psychologiquement pour la belle à domicile. L’inversion de la tendance est d’autant plus inquiétante que des signes de tension sont apparus au sein de l’effectif lorrain mercredi. Il y eut d’abord cette altercation entre les frères Greer et Aymeric Jeanneau (un ami pourtant), puis le dossier Morandais. Fâché de son utilisation, le shooteur a refusé tout geste envers son entraîneur en regagnant le banc puis il a foncé dans le vestiaire sitôt le coup de sifflet final, boycottant la cérémonie en l’honneur de Cyril Julian et ignorant les sommations de Monschau qui lui hurlait de revenir. Le coach a également remonté Steed Tchicamboud, hors sujet d’un bout à l’autre de ce match retour. C’est inquiétant car l’électricité de cette demi-finale s’était jusqu’ici cantonnée aux staffs des deux équipes.
Sur un match sec, Nancy pourrait donc tout perdre ce soir : le rêve d’un doublé et la possibilité d’aller en Euroligue puisque les modalités de qualification ne sont toujours pas clarifiées. Or, si le SLUC a perdu son invincibilité à domicile en play-offs, il peut encore se raccrocher à une statistique : il n’a jamais perdu un match d’appui en demi-finale. Reste donc ce petit espoir, qui suppose de l’orgueil, de l’organisation collective et une bonne dose de sang-froid. Bref, un caractère de champion. Esprit, es-tu là ? Ou las…
Christian JOUGLEUX
Républicain lorrain

Merci bacou

Merci BACOU. Pas de "canard" dans ma boite aux lettres ce matin.

deplacement prevu ou pas!!!!avec le cds

Oui départ à midi !

heureusement que BACOU est là, car pas de journal aujourd'hui
merci BACOU

http://www.leprogres.fr/fr/sports/basket/article/1687773,257/On-n-est-pas-resignes.html
> Interview de Stephen Brun

Je pense que les Nancéiens seront bien moins tendus que mercredi soir.

alors bonne route a tous et ont compte sur vous,faites du bruit et une victoire au bout!!!!

Il y eut d’abord cette altercation entre les frères Greer et Aymeric Jeanneau (un ami pourtant), puis le dossier Morandais. Fâché de son utilisation, le shooteur a refusé tout geste envers son entraîneur en regagnant le banc puis il a foncé dans le vestiaire sitôt le coup de sifflet final, boycottant la cérémonie en l’honneur de Cyril Julian et ignorant les sommations de Monschau qui lui hurlait de revenir. Le coach a également remonté Steed Tchicamboud, hors sujet d’un bout à l’autre de ce match retour. C’est inquiétant car l’électricité de cette demi-finale s’était jusqu’ici cantonnée aux staffs des deux équipes.

Morandais a le genre de réaction qu'il ne faudrait jamais avoir dans ces périodes où il convient de se serrer les coudes...

lucas a écrit:

alors bonne route a tous et ont compte sur vous,faites du bruit et une victoire au bout!!!!

Combien de supporters de Nancy seront en fait ce soir à l'Astroballe?

Espérons plus nombreux que les Roannais !

on sera 52! plus 2 roannaises! ca fera donc 50de plus qu'au match aller!

Les joueurs nous doivent une revenche. ALLEZ LE SLUC

Y a t il un tchatche de prevus...........??

J'y crois pas trop pour ce soir comme pas mal de monde à mon avis. Mais en général c'est quand je n'y crois plus que les couguars nous sortent le match que personne n'attendait.

4 ème "finale" jouée cette année (match pour le top 16, dernier match à l'asvel pour l'euroligue, finale coupe de france), peut être que ça nous portera chance comme à bercy et que la 4ème sera la bonne...

allez ... go sluc.