[Play-Offs - 1/2 #2] SLUC Nancy 53 (28) - (32) 69 ASVEL

tifaine a écrit:

Moi je sais, Moi je sais !! mais je garderais le secret comme fabask !

Nan, serieux, y' a un truc ????? moi qui avait balancé ça comme ça !!!!

Ju a écrit:

Le club pourrait encore ne rien faire demain soir... et prévoir un barbecue cet été à la place

nan c'est bon, on a donné

L'entrée des joueurs dans le noir ? Le retour des écrans géants ? Une merguez sur chaque siège ???

Des tee shirts Cora pour tous, avec des feuilles A3 NANCY ????

Tant que ce n'est pas une défaite du Sluc...

bacou a écrit:

Des tee shirts Cora pour tous, avec des feuilles A3 NANCY ????

Justement, je me disais encore ce matin qu'il me manquait qq chose pour sortir les poubelles

T'es vache là, c'est pas mal Gentilly debout en blanc avec les A3 bras tendus Ba après le sponsor ... faut faire avec marketing oblige

Quelque que soit le t-shirt, je le mettrai, t'inquiète ! Et tout le monde le portera ce maillot. Pour l'effet visuel et pour montrer qu'on appartient tous à la même grande famille :cheers:

Nancy en position de force


L’ex-Villeurbannais Lamayn Wilson expédiera-t -il son ancien club en vacances ce soir ?

En quête d’une cinquième finale d’affilée, le SLUC doit d’abord se débarrasser de Villeurbanne dans une ambiance électrique. Nancy a l’avantage du terrain mais l’ASVEL a la rage.
Coup de massue » (Aymeric Jeanneau), «coup de poignard » (Vincent Collet)… Villeurbanne a semble-t-il subi tous les outrages vendredi soir contre le SLUC Nancy (69-70). L’ASVEL n’a pas seulement perdu l’avantage du terrain et hypothéqué ses chances de renouer avec le titre de champion de France, elle s’estime aussi victime d’une injustice depuis qu’un arbitre a sifflé une faute à Chevon Troutman, en fin de rencontre, et offert à John Cox le luxe de placer Nancy dans une situation idéale. Ce soir, en cas de victoire, le SLUC précipiterait, en effet, les vacances du premier de la saison régulière. C’est inattendu mais pas totalement immérité au regard de son redressement spectaculaire ces derniers mois. Naturellement, les Lorrains se gardaient bien de fanfaronner, hier. Ils savent combien il est difficile de maîtriser Villeurbanne. «Nous avons réussi un exploit là-bas, explique Jean-Luc Monschau. C’est tellement difficile de gagner contre eux.» Dans ce contexte, Nancy veut plier l’affaire le plus rapidement possible dans une salle où il n’a plus perdu depuis 2005 en play-offs. Il espère surtout faire l’économie d’une belle et d’un nouveau déplacement dans le Rhône où ses espoirs de revoir Bercy seraient plus qu’incertains. Le soir ou jamais pour résumer. Les protagonistes de cette deuxième demi-finale devront par ailleurs s’accomoder d’un climat électrique, nourri par les nombreux points de rivalité entre les deux adversaires. Les négociations européennes de Nancy à Barcelone, l’attribution d’une wild-card à Villeurbanne pour l’Euroligue, l’arrivée de Tony Parker à la vice-présidence de l’ASVEL et le jeu des petites phrases autour de l’arbitrage ont épicé une affiche qui a connu des sommets d’intensité avec le scénario du match aller. «Je n’ai aucun commentaire à faire » sur la tension ambiante, s’est contenté d’expliquer Monschau, hier, «pour ne pas ajouter à la sauce ». L’entraîneur prévoit toutefois un «match engagé » comme il peut anticiper une ambiance incandescente dans les travées de Gentilly. Villeurbanne, semble-t-il, s’y est aussi préparé : «On sait que le contexte sera délicat et hostile, a déclaré Laurent Foirest au Progrès. On sait qu’on part là-bas avec dix points de retard, et bien, on gagnera de quinze. On sera les premiers à faire tomber Gentilly en play-offs.» Chiche ?

Christian JOUGLEUX.

Republicain lorrain

C'est le grand soir
Il faudra un SLUC encore plus fort qu'en 2007 et 2008 pour empêcher l'ASVEL d'aller en finale à Bercy. Plus que jamais, Nancy devra défendre et courir devant son peuple, qui a décrété la mobilisation générale. Chaud, chaud, chaud !
NANCY._ « Dédé », l'irremplaçable gardien du temple de Gentilly, nous en parlait depuis longtemps de cette demi-finale qui mettrait le feu à « son » parquet. Bien avant que John Cox ne garde la tête froide aux lancers francs pour réussir, vendredi dernier, le casse de l'année. « Vous verrez. Ils seront là », annonçait-il depuis que le SLUC avait emprunté les remonte-pentes de La Bresse pour retrouver les sommets de la Pro A, après ses victoires devant Le Mans, Orléans ou encore à Gravelines et à Chalon en saison régulière.
« Dédé », qui bichonne ses « Couguars » comme une mamie ses chats, savait depuis longtemps que ce 10 juin ferait chavirer les foules et fermer ses guichets. Pour en être à sa cinquième demi-finale de play-offs en cinq ans, il savait aussi que ses copains, les supporters du SLUC, relanceraient la mode du rouge et blanc. 6.000 tee-shirts seront distribués au public ce soir, ce sixième homme considéré comme le meilleur de France, dont on ne mesure jamais assez l'importance dans des matches aussi tendus, aussi intenses, aussi impitoyables qu'une demi-finale de play-offs. Une demi-finale pas comme les autres, puisqu'elle offrirait cette année au vainqueur, selon le Président Le Goff, une place en Euroligue, au minimum pour le tour préliminaire.
Mais restons au conditionnel, surtout depuis que la toute puissante ACB (ligue professionnelle espagnole) a décidé de qualifier deux de ses clubs à l'Euroligue 2009-2010 suivant le ranking (lire encadré), n'en déplaise à l'Espagnol Jordi Bertomeu. Voilà qui apportera de l'eau au moulin du SLUC. Mais c'est loin d'être le sujet du jour. Fermons vite la parenthèse.

Le SLUC doit courir

On l'a vu au match aller, on l'a revu à Orléans vingt-quatre heures plus tard, à ce niveau des play-offs, tout se joue dans un mouchoir. Un ballon qui rebondit sur le cercle, un panier venu d'ailleurs, un coup de sifflet ou une faute peuvent faire basculer la rencontre d'un côté ou de l'autre.
C'est la magie du basket, la magie des play-offs. Et ce petit point de plus arraché à l'Astroballe, qui vaut son pesant d'or, doit être bonifié ce soir. Le tout-Nancy en rêve. Car une « belle » à Villeurbanne, dans le contexte actuel, aurait des allures de chemin de croix pour Ricardo et ses frères. Pas sûr qu'un miracle se reproduise de sitôt à l'Astroballe...
Pour s'imposer et freiner l'ASVEL de Tony Parker dans son programme d'expansion (on parle de plus de 7 millions d'euros de budget la saison prochaine), il va falloir un SLUC à son meilleur niveau. Une équipe qui défend comme en seconde période au match aller, qui domine le rebond, qui provoque des pertes de balles et peut donner libre cours à son jeu rapide : « Pour espérer un exploit à Nancy, il faut contrôler le match, contrôler le rythme », insistait vendredi dernier Vincent Collet, qui espère que son équipe s'inspirera de son excellente première mi-temps, vendredi à l'Astroballe.
Autre élément clé de la rencontre : le jeu intérieur, bien sûr. Akin Akingbala et Cyril Julian (mais pas Samnick) retrouveront Traoré et Troutmann, comme Wilson, Ricardo Greer et Brun vont croiser Campbell, Amara Sy et Foirest. A Villeurbanne, le Nigérian du SLUC a été décisif.
Enfin, et c'est évidemment le facteur X d'une rencontre de basket de haut niveau, qui remportera le match de l'adresse extérieure ? Il y a du monde sur le pas de tir, entre Morandais, Jeff Greer, John Cox et Tchicamboud d'un côté, Foirest, Bogavac, Dewar, Reynolds et Jeanneau de l'autre. Du beau monde, rien que du beau monde dans ce match branché sur 100.000 volts et qui fera, espérons-le, honneur au basket français.
Même s'il est invaincu depuis douze matches en play-offs à Gentilly, le SLUC sait qu'il n'a aucune garantie. Capitaine Ricardo, son commando d'élite et une armée de 6.000 fantassins lorrains, le poing sur le cœur, sont prêts et déterminés à repartir au front.
Gilles GAIHIER
Est republicain

« On n'a rien gagné... »






- Ricardo Greer, à quel genre de match vous attendez-vous ce soir ?
- Un match difficile, comme celui auquel nous avons eu droit à Villeurbanne, vendredi dernier. L'ASVEL doit - et veut - gagner pour rester en course. Rien ne sera facile. C'est vraiment excitant de jouer un match comme celui-ci.
- La victoire au match aller ressemble à un petit miracle.
- Oui, mais en même temps, nous avons toujours été dans le match. A moins dix, nous avons trouvé les ressources pour revenir et le match a basculé sur deux gros shoots. Encore fallait-il rester dans le match pour avoir l'opportunité de la gagner à la fin.
- L'ASVEL risque d'être d'autant plus motivée qu'elle s'estime lésée par la décision arbitrale, sur la dernière action.
- On peut comprendre la réaction des Villeurbannais. C'est difficile de perdre comme ça, à domicile. C'est sûr qu'ils vont être remontés. Ça va être sympa...
- Quelles peuvent êtres les clés de cette rencontre ?
- La défense, encore une fois. On l'a vu lors du match aller. En deuxième période, Villeurbanne inscrit vingt-six points... C'est ce qui nous a permis de revenir et de gagner le match.
- Gentilly n'était pas plein en quart de finale. Ce soir, vous aurez besoin du public...
- Si c'était plein, ce serait génial. Je me souviens de l'ambiance, la saison dernière en demi-finale. C'était incroyable ! J'espère qu'il y aura une salle pleine derrière nous. Mais au final, ce sont toujours les joueurs qui sont sur le terrain. C'est d'abord à nous de gagner le match...

« Il faut terminer le travail »


- Après la victoire à Villeurbanne, et contrairement à certains de vos coéquipiers, vous n'avez pas laissé éclater votre joie. Pourquoi cette réserve ?
- Mais parce que pour l'instant, nous n'avons encore rien gagné... Cela ne servait à rien de sauter dans tous les sens après avoir remporté le premier match. Il faut terminer le travail. Nous aurons tout le temps de faire la fête après.

Propos recueillis par Thomas SIMON


Est republicain

Un record dans le viseur



NANCY._ Si le SLUC s'impose ce soir, il inscrira son nom dans le livre des records de la ligue nationale. En effet, en dominant Villeurbanne, il remporterait sa treizième victoire consécutive à domicile en play-offs (depuis 2005).
Il passerait ainsi devant deux monuments du basket français, Pau-Orthez (12 victoires consécutives entre 1998 et 2000) et Limoges (12 victoires consécutives entre 1993 et 95). Voilà qui mérite bien un petit effort...
• AMBIANCE. Devant l'engouement suscité par cette demi-finale retour, le SLUC a manifestement décidé de faire de l'événement une grande fête. Ce soir, 6.000 maillots rouge et blanc seront disposés sur chacun des sièges du palais des sports.
Des klaxons et des tape-tape seront disponibles dans la salle et un tifo accueillera les joueurs avant la rencontre. Chaud !
• PRÉCISION. Dans l'article intitulé « Stop ou encore ? », paru dans nos colonnes hier et dans lequel nous faisions le point sur la situation contractuelle des joueurs nancéiens, un problème technique a fait disparaître le chapitre concernant Michel Morandais. Précisons donc que l'arrière, qui découvrait le championnat de France cette saison, est en fin de contrat.
• ZAKI OU N'JOYA ? Pour Roger Zaki, le Reebok Eurocamp de Trévise s'est achevé lundi sur une note un peu plus positive. Lors de son troisième match, l'intérieur nigérien a cumulé 8 points (à 2 sur 7), 4 rebonds, 6 fautes provoquées et 2 contres en 21 minutes. Roger Zaki était censé rentrer en Lorraine hier soir. Mais à la fin de l'entraînement matinal, Jean-Luc Monschau confiait qu'il ne savait pas encore s'il allait inscrire l'intérieur ou Seidou N'Joya sur la feuille de match, ce soir.


T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Un doute pour Foirest







NANCY._ C'est par la voie des airs que Villeurbanne a rejoint Nancy, hier, dans l'après-midi. Et hier encore, le cas de Laurent Foirest semblait inquiéter Vincent Collet.
Victime d'un coup au mollet gauche ayant provoqué un hématome, vendredi dernier lors du match aller, le shooteur villeurbannais se ressentait encore de sa blessure hier matin, lors de la séance d'entraînement. Un doute subsiste donc quant à sa participation à la rencontre de ce soir.
En revanche, la présence sur le parquet d'Ali Traoré (coup à l'épaule) ne fait aucun doute. Enfin, le jeune intérieur français Bangaly Fofana (2,11m), vainqueur du Trophée du Futur avec l'ASVEL le week-end dernier, fera partie du groupe.
Pour l'anecdote, Vincent Collet est le dernier entraîneur à s'être imposé à Gentilly en play-offs. C'était le 26 mai 2005, en quart de finale aller et Le Mans était venu l'emporter 62-61 à Nancy.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Le Progrès du jour....


Ils ont décollé hier après-midi, dans un avion privé, de Bron. Où ils rêvent de se poser, la nuit prochaine, après avoir décalé leurs vacances. Ces congés, la France entière les attend quand arrive le mois de juin. Mais les Villeurbannais, eux, n'ont absolument pas envie d'avoir les pieds en éventail. Depuis vendredi dernier et le coup de sifflet, incompris (1), d'Annibal Castano, ils tentent d'évacuer l'immense frustration qui les a envahis quand Nancy a quitté, en courant (les champions de France auraient-ils pris la salle villeurbannaise pour Abdi Ikpeçi, antre bouillante d'EP Istanbul ?), le parquet de l'Astroballe. Hors de lui dans les heures qui ont suivi cette première manche, Vincent Collet a ruminé sa colère durant de longues heures avant de digérer cet épilogue en forme de coup de poignard.

« J'ai mis deux jours à m'en remettre mais, maintenant, je ne pense qu'à une chose : gagner à « Gentilly » pour offrir une « Belle » à notre public. Celle-là, je veux la vivre. Il n'y a pas une seule minute où je ne pense pas à ce match de demain soir (ce soir). Depuis vendredi soir, je suis rentré dans les ordres » commentait le coach de l'Asvel, hier à la mi-journée, à l'issue d'un entraînement basé sur la concentration.

« Il en faudra énormément pour réussir le match parfait qui sera nécessaire pour égaliser. » Mission impossible, quand on sait que Nancy reste sur douze victoires consécutives dans sa salle en play-offs, sur huit succès devant une Asvel qui ne s'est plus imposée en Lorraine depuis le...1er novembre 2003 (1-10 lors de ses onze dernières sorties à Nancy) et a remporté 86,6 % de ses matches à domicile depuis cinq ans (84/97) ?

« Non » répond Collet, gonflé à bloc au moment d'affronter un climat hostile et la ferveur d'un public (6000 spectateurs) qui est sans doute le plus « chaud » de France. « Bien sûr, nous savons que ce sera très dur et que les statistiques sont très largement en notre défaveur. Mais toutes les séries sont faites pour être interrompues et, un jour, celle de Nancy se terminera. J'espère que ce sera demain » ajoute le coach de l'Asvel qui reste le dernier, à s'être imposé à « Gentilly » en play-offs (61-62 le 26 mai 2005 avec Le Mans...éliminé trois jours plus tard à « Antarès » dans une série en matches « aller-retour »). « Ils ne sont pas imbattables » assure le Normand, qui avait récidivé, le 10 février 2007, avec le MSB, en demi-finale de la Semaine des As. Vingt-huit mois plus tard, il attendra de ses hommes qu'ils soient plus solidaires, concentrés et rigoureux que jamais dans une salle où le visiteur n'a pas le droit à l'erreur, est souvent rudoyé et ne doit compter que sur lui-même (16,4 fautes sifflées, en moyenne, contre Nancy à domicile lors des quatorze derniers matches du Sluc à domicile en play-offs, 21,3 contre ses adversaires, 20,8 lancers-francs accordés aux Nancéiens, 15,1 à leurs rivaux...). Et où l'Asvel, qui n'égalisera pas sans un J.R Reynolds plus influent, un Dewar plus performant et un Troutman plus intimidant, devra parler au plus-que-parfait pour créer l'exploit.

Luc Paganon

(1) : Selon Goran Radonjic, ancien arbitre international, MM. Bissang et Viator auraient reconnu qu'ils n'auraient, eux, pas sifflé faute contre Troutman...

Citation :

Enfin, à propos de série, on ne peut encore une fois que regretter que la LNB n’ait pas saisi l’opportunité d’une fin de saison lancinante pour proposer à tous les fans de basket des séries de demi-finales en cinq manches. Voilà au moins un sujet qui aurait fait l’unanimité !

Source : site off’ de l’asvel

Au risque de passer pour de gros radoteurs mais… bordellos, c’est quoi cette propension à vouloir changer les règles en cours de saison ???
Après le coup de la wild card qui apparait en février puis de la première place qualificative en EL qui surgit en mai, voilà que ces petits messieurs de l’ASVEL - bien fébriles - voudraient changer la formule des PO en juin ?
Toujours aussi gonflés et gonflants les gugusses de l’ASVEL, que la LNB emboîte le pas de l’ACB en maintenant le ranking, ça leur fera les pieds !

Jiffi a écrit:

Le Progrès du jour....

(1) : Selon Goran Radonjic, ancien arbitre international, MM. Bissang et Viator auraient reconnu qu'ils n'auraient, eux, pas sifflé faute contre Troutman...

Comme de par hasard on l'entend jamais et là, ooooooooh miracle!! il dit que trucmuche lui aurait dit que....c'est d'un ridicule quand même...ca va chercher loin!!!!

Ambiance de feu ce soir ... humm ... plus dernier match de Cyril ... quelque soit le résultat, ça va être quelque chose.

J'en frissonne d'avance !!!

Les clefs du match: la défense et le COEUR ( on n'en manque pas à Nancy )

Bon en tout cas j'espère que Foirest jouera car je serais à Gentilly ce soir et je serais sans pitié contre ce joueur qui est trés talentueux mais qui est une danseuse de première comme pouvait l'être Bonato

J'ai hâte de me retrouver dans le chaudron ce soir!

Ce soir il faut qu'il ait la meme ambiance que l'année dernière, je dirais meme si ca pouvait etre la meme ambiance que pour la coupe Korac....j'en ai des frissons d'avance....

Pas de soucis pour l'ambiance
Perso avé les copaings on est à bloc

Et si en plus on a un 100% coton rouge sur le dos que Rasheed Wallace il pourra mettre pour le jour de son mariage on va être encore plus à bloc

The Warrior a écrit:

Jiffi a écrit:

Le Progrès du jour....

(1) : Selon Goran Radonjic, ancien arbitre international, MM. Bissang et Viator auraient reconnu qu'ils n'auraient, eux, pas sifflé faute contre Troutman...

Comme de par hasard on l'entend jamais et là, ooooooooh miracle!! il dit que trucmuche lui aurait dit que....c'est d'un ridicule quand même...ca va chercher loin!!!!

Le progrès est vraiment extraordianire...!

Après la défaite de l'asvel il disait "Où le Sluc a donc repris l'avantage du terrain avant de retrouver Gentilly là où il est invaincu en douze matches de play-off depuis 2005. La décision du trio arbitral - à ce sujet on a souvent vu depuis quelques années MM. Viator et Bissang sur les matches importants du Sluc - a peut-être déjà décidé du sort de cette série. "
Un bon gros sous entendu pour dire que le sluc était souvent aidé par l'arbitrage dans ses match importants... et notement par Bissang et Viator...

Mais entre temps ces monsieur du progrès se sont apperçu que la faute avait été sifflée par Castano... Donc maintenant Viator et Bissang deviennent des personnes très respectable qui elles n'auraient pas siflée cette vilaine faute!!! si si c'est radonjic qui l'a dit!!!
Et castano devient le vilain petit canard... ça change vite en une semaine... Vraiment très drole le progrès!

6027 trompettes, une salle toute rouge, il faut qu'on nous entende sur tout le Grand Nancy.

Et surtout une fête à l'image de l'enjeu !!! Et pour que Victor aille aussi à Bercy ...

Y a aucun doute a avoir sur l'ambiance ce soir, elle sera au moins aussi explosive qu' en 1/2 face a la SIG il y a 2 ans, faut les pourrir du debut a la fin !!!!

Ca va être chaud bouillant ce soir, j'en ai des frissons d'avance... Digne de l'ambiance de la demie en Korac, voir plus...!! :cheers:

Les joueurs aiment ça. Rappellez-vous lorsque Amagou avait signé au Sluc, il me semble qu'il avait dit que l'ambiance de Gentilly avait également fait pencher son choix pour le Sluc...