[ProA J26] Roanne bat SLUC Nancy 81 (40) à 74 (35)

Je reviens du match...


Bon match a regarder

le sluc a vite mené 18/8 avant d'encaisser un 15/0 dans 1 ambiance de folie !!

avant le match nous avons eu la remise du fanion champion de france en titre par la ligue a mr choulet

monschau a bien eu sa chanson dans les 30 dernières secondes du match reprise par toute la salle

et pour couronner le tout socre final 81/74 comme le 2 juin dernier a bercy

JC a écrit:

bacou a écrit:

Ou alors le sluc revient en Lorraine pour déposer Jeff et repartir dans la foulée avec une équipe pour affronter l'ASVL

D'ailleurs, prépare ton sac, c'est toi qui joue mardi !

Rhooo , ca y est le sluc nous prend dans leurs bagages, je prépare la caméra parce que pour jouer c'est pas possible

Ce qu'il faut retenir.

Après la défaite au Mans, à l'asvel, au Havre, à Hyeres, à Strasbourg, défaite à Roanne.

Bref on ne sait pas gagner les matchs importants à l'extérieur contre des rivaux directs aux playoffs.

La marge de manoeuvre est TRES TRES étroite. Pour moi s'il n'y a pas l'une des 2 premières places , c'est fini pour bercy.

leroannais42 a écrit:

Je reviens du match...


Bon match a regarder

le sluc a vite mené 18/8 avant d'encaisser un 15/0 dans 1 ambiance de folie !!

avant le match nous avons eu la remise du fanion champion de france en titre par la ligue a mr choulet

monschau a bien eu sa chanson dans les 30 dernières secondes du match reprise par toute la salle

et pour couronner le tout socre final 81/74 comme le 2 juin dernier a bercy

Woui et alors, le scénario n'était pas le même , la salle non plus... Nous gardons tout de même le goal avérage (orthographe?) hein , il faut aller de l'avant

Malheureusement il y a des chiffres qui ne trompent pas.
46 Rebonds à 25.
105 d'évaluation à 74.

Ensuite il faut que Monschau arrête de pleurer contre le calendrier démentiel car Zaki est à 0 minutes tj parker, 1 mn et harrisson 7 min.

Alors soit c'est de la paresse cet écart, soit c'est de la fatigue. Dans ce cas là expliquez moi pourquoi on a refusé de jouer mardi en coupe et d'avoir un jour de récup supplémentaire avant Roanne.

Ah mais c'est vrai on en avait pas besoin car on est trop fort et on a un banc trop garni (mais qui ne joue pas)
Alors Ricardo et son frère 40 minutes mardi et mercredi en coupe et inexistant ensuite à gentilly contre l'asvel. Scénario possible.

bacou a écrit:

JC a écrit:

bacou a écrit:

Ou alors le sluc revient en Lorraine pour déposer Jeff et repartir dans la foulée avec une équipe pour affronter l'ASVL

D'ailleurs, prépare ton sac, c'est toi qui joue mardi !

Rhooo , ca y est le sluc nous prend dans leurs bagages, je prépare la caméra parce que pour jouer c'est pas possible

Le sluc regagne Limoges sans retourner à Nancy, afn d'éviter les déplacements.

bacou a écrit:

leroannais42 a écrit:

Je reviens du match...


Bon match a regarder

le sluc a vite mené 18/8 avant d'encaisser un 15/0 dans 1 ambiance de folie !!

avant le match nous avons eu la remise du fanion champion de france en titre par la ligue a mr choulet

monschau a bien eu sa chanson dans les 30 dernières secondes du match reprise par toute la salle

et pour couronner le tout socre final 81/74 comme le 2 juin dernier a bercy

Woui et alors, le scénario n'était pas le même , la salle non plus... Nous gardons tout de même le goal avérage (orthographe?) hein , il faut aller de l'avant

c'était juste pour les anecdotes croustillantes du match

MERLU a écrit:

Ce qu'il faut retenir.

Après la défaite au Mans, à l'asvel, au Havre, à Hyeres, à Strasbourg, défaite à Roanne.

Bref on ne sait pas gagner les matchs importants à l'extérieur contre des rivaux directs aux playoffs.

La marge de manoeuvre est TRES TRES étroite. Pour moi s'il n'y a pas l'une des 2 premières places , c'est fini pour bercy.

ah ça y est M je critique tout est de retour, on commençait presque a t'oublier...

faut relativiser perdre de 7 points dans cette forteresse imprenable avec un banc très limité, on s'en sort très bien. Alors certes c'est dommage, quelques lancers de plus, quelques rebonds en plus et on tuait roanne pour l'avant poste. Maintenant on a le panier average sur eux, faut récupérer celui face a vileurbanne et on aura quelques atouts en cas d'égalité. Place a la CDF maintenant...

Faudra qu'on m explique le coup du TJ Parker, qu'est ce qu il peut prouver en 1mn?

Ou bien il est rentré suite au saignement d'un coéquipier comme le dis le règlement , ou alors il a fait une grosse boulette et hop sanction

Tj Parker c'est tout simplement le joueur qui passe complétement à coté de ca saison,il se troue complétement alors qu'il restait sur 2 saisons honnéte à Paris 6,7 et 6,1 d'éval en un peu moins de 20 min.
On aurait vraiment besoin qu'il apporte plus en sortie de banc car pour le moment sont apport est quasi nul et pourtant Jlm à longtemps compté sur lui.

MERLU, une chanson. Ah bah mince, c'est déjà fait

Toutes les personnes qui ont un minimum de recul auront compris que le match capital se situe vendredi soir. Là, la victoire sera impérative en vue du Top 2, et on pourrait même dire de Top 4. Car si l'on venait à perdre contre l'ASVEL, il faudrait commencer à s'inquiéter sérieusement pour l'avantage du terrain au 1er tour. Le Havre n'est qu'à une victoire, avec le panier-average favorable ( ) et se rend à Chalon qui est au plus mal.
Bref, c'est vendredi qu'il faudra tout donner.

A-Sir a écrit:

MERLU, une chanson. Ah bah mince, c'est déjà fait

Toutes les personnes qui ont un minimum de recul auront compris que le match capital se situe vendredi soir. Là, la victoire sera impérative en vue du Top 2, et on pourrait même dire de Top 4. Car si l'on venait à perdre contre l'ASVEL, il faudrait commencer à s'inquiéter sérieusement pour l'avantage du terrain au 1er tour. Le Havre n'est qu'à une victoire, avec le panier-average favorable ( ) et se rend à Chalon qui est au plus mal.
Bref, c'est vendredi qu'il faudra tout donner.

Vendredi, c'est match à 4 pts !!! Il faudra vaincre Villeurbanne et récupérer le panier average, pour retrouver la seconde place. Vendredi, match vraiment capital de chez capital. Va pas falloir se trouer. Vous la sentez, l'odeur de souffre ? En plus, début de la rencontre à 20h30, on dépassera largement les 5000 spectateurs du Mans.

lolo a écrit:

Faudra qu'on m explique le coup du TJ Parker, qu'est ce qu il peut prouver en 1mn?

Ou bien il est rentré suite au saignement d'un coéquipier comme le dis le règlement , ou alors il a fait une grosse boulette et hop sanction

Je crois qu'il est entré suite au choc qu'à subi (non sanctionné) Ricardo Greer lors de la première mi-temps.

Quand les gens auront compris qu'on est la pour partager et pour debattre et non pas pour avoir raison.

Ca pollue le forum, de voir des gens donneur de leçons. Surtout après les matchs !!!

J'aimerai bien poster plus souvent, mais si c'est pour me faire remballer, ou me faire traiter de pseudo supporter, c'est même pas la peine.

On peut être pro ou anti JLM, on peut apprecier le Sluc quand il se bat, on peut le critiquer quand on trouve que son jeu est stéréotyper, mais juste le fait de venir sur ce forum ou de poster résume bien le fait que l'on supporte cette équipe !!!

La vrai question à se poser, c'est de savoir ce que l'on veut ? On veut être champion, alors faut se comporter comme un champion. On veut jouer les premiers rôles, alors jouons les premiers rôles.

C'est quoi les prétentions du Sluc ? J'aimerai bien le savoir ? C'est sur que pous nous supporter, on aimerai retourner à Bercy , et revenir sur Nancy sans la boule au ventre en se disant qu'on est pas passé à coté !
Le président, il en pense quoi ? A mon avis, il est ravi des années passées, pour preuve il a prolongé JLM et lui fait entièrement confiance.

Perso, je sais pas quelles sont les prétentions de nos cougars ! Mais on peut pas dire en début de saison que le recrutement est impressionnant, qu'il est un des meilleurs de proA ( voir le meilleur pour la plupart d'entre nous ), et se dire que c'est normal de perdre à Roanne, ou que l'on doit être déja content des résultats que nous avons.

Me faire bâcher par les mêmes qui critiquaient Roanne et de leur recrutement en début d'année, en sachant qu' aujourd'hui la chorale fait jeu égal devant nous me fait doucement rire !

Alors on peut chercher des excuses ! On peut critiquer JLM, on peut critiquer notre banc, on peut également dire que l'équipe en face c'est Roanne et qu'à domicile c'est costaud ! Mais faut savoir ce que l'on veut !

Alors c'est sur que je préfère me battre pour le titre que pour la descente ! Et je sais qu'on est capable d'aller encore très loin en play off ! Ca sera pas une surprise ! Mais bon. Un zest d'humilité ne ferait pas de mal.

Pour résumer 3 questions se posent :

Quelles sont nos prétentions ?

Notre effectif fait-il partis des meilleurs de ProA ?

Doit on se réjouir ? se contenter ? ou ne pas se satisfaire des résultats actuelles ?

Les 3 questions sont liées forcement ! Si on veut se poser ses problèmes de riches faudrait il encore que l'on se comporte comme des riches !!!

Sur ce ! Bonne nuit !!!

Ben... Réussir une saison comme celle là alors qu'on a quasi tout repris à 0, qu'on a quand même un Julian sur une jambe, c'est en soi une perf, indépendament de tout ce qui arrivera.

JLM a recréé une identité à cette équipe. Il a réussit à assurer une certaine base sur le moyen terme, encore une fois.

Je pense que pas mal de clubs seraient envieux.

Après tout se ressert tellement que gagner à l'extérieur EST une sinécure. Surtout chez Roanne quie surtout... NE DEVAIT PAS PERDRE.

Un handicap trop lourd


Mené durant une bonne partie du match, le SLUC est revenu à la force du poignet au point de jouer la gagne dans les dernières minutes. Mais pour rafler la mise, il aurait fallu que le rebond soit moins déficient.






De notre envoyé spécial Anthony GUILLE ROANNE. _ Surtout, ne pas laisser la Chorale prendre feu... Toutes les équipes qui viennent à la Halle André-Vacheresse se répètent inlassablement ce principe de base comme une condition élémentaire pour espérer ne pas repartir battu de cette salle... Le SLUC était au parfum. Et pourtant, cela ne l'a pas empêché de voir lui aussi passer une drôle de tornade en fin de premier quart-temps, un peu comme celle qui l'emporta la saison dernière dans cette même salle... Alors qu'il avait bien débuté les débats, pris le match par le bon bout dans le sillage de Mike Bauer, bien décidé à se rappeler au bon souvenir de son ancienne équipe, Victor Samnick ou encore Jeff Greer et sa mitraillette à 3 pts, alors qu'il avait pris jusqu'à dix points d'avance et fait taire la Chorale (18-8, 9'), le SLUC reçut une véritable volée de bois vert en une petite minute. En perdant trois balles au milieu du terrain, Nancy envoya trois fois Roanne au panier et relança la machine Chorale. « Sept points complètement gratuits et qui inversent la tendance » soupirera après coup Jean-Luc Monschau. Car s'il suffisait d'une étincelle, Roanne l'avait trouvé. En une toute petite minute, l'équipe de Jean-Denys Choulet mettra 10 points. Oui, 10 points. Euh, éviter que Roanne prenne feu ? C'était raté. Et après avoir été dans le chloroforme pendant quelques minutes à l'image d'un Marc-Antoine Pellin pas dans le coup pour un sou (-3 d'évaluation après 3 quart-temps), l'équipe locale prit les commandes des opérations (25-20, 12') et ne les lâcha plus. Pourtant, le SLUC Nancy rentra aux vestiaires avec 5 pts de retard seulement (35-40). Mais on avait déjà pointé une faiblesse fâcheuse dans les rangs locaux, le rebond. 17 à 24 à la pause.
La faute sévère d'Amagou

Et autant l'avouer, cela n'allait pas s'arranger en deuxième période. Car si Roanne ne pouvait pas cette fois compter sur le scoring d'un Brion Rush étonnamment éteint (0 pts, 0/5 aux shoots ! ), sa présence au rebond, son omniprésence même lui permettait de gratter des secondes chances à la pelle. Et à ce petit jeu-là, tout le monde participait gaiement au festin. Marc Salyers of course, qui faisait évidemment feu de tout bois (il terminera d'ailleurs meilleur marqueur, rebondeur et premier à l'évaluation avec 25), mais aussi ses compatriotes Derrick Byars et Adam Hess qui sortaient de l'ombre avec plein d'à-propos, Pape Badiane, aussi sobre qu'efficace, Pierric Poupet, qu'on avait rarement vu aussi inspiré cette saison... Alors, malgré les efforts de cap'tain courage Ricardo Greer qui prit les choses en mains dans le troisième quart-temps, la Chorale s'envola après la pause jusqu'à prendre 17 pts d'avance (58-41, 28'). Côté nancéien, on commençait à se mettre dans un coin de la tête le panier-average de l'aller (+27) et on se retrouvait devant une équation difficilement soluble. Comment exister réellement quand on est à ce point dominé au rebond ? Avec 47 prises contre 30 pour le SLUC, Roanne s'est régalé hier. Et les 22 rebonds offensifs du club local sonnent comme un aveu d'impuissance pour les Lorrains. Même si au fil des minutes, l'écart se stabilisa grâce notamment aux coups de patte de Mike Bauer, excellent pour ses retrouvailles avec la Halle André-Vacheresse, l'issue de la partie ne faisait plus aucun doute à trois minutes du gong. A +15 (77-62, 37'), le public de la chaude salle roannaise commençait à chanter. Mais un match n'est jamais fini avant... On connaît la musique. Et cette mélodie que les Roannais avaient si bien chantée la saison dernière, c'était cette fois au tour du SLUC de l'entonner. Un panier, deux paniers, quelques pertes de balles roannaises, et le SLUC grignotait, grignotait, pour revenir à -5 à 1'22 du gong. Et si ?... Mais alors que la pression était du coup montée d'un cran, Pape-Philippe Amagou écopa d'une faute offensive sévère en remontant la balle. C'était fini. Dans la foulée, la Chorale maîtrisait les derniers instants pour cueillir un succès précieux. Le SLUC est rejoint au classement par son adversaire du jour. Mais pour réussir l'exploit, il aurait fallu être bien plus présent au rebond...
Est republicain

Décision mardi matin









• COUPE DE FRANCE. Jouera, jouera pas ? Hier, le SLUC Nancy n'avait toujours pas décidé s'il irait à Limoges mardi disputer son quart de finale de coupe de France face à l'ASVEL. Ulcéré par le fait que le lieu où se dérouleront les deux plateaux n'ait pas été tiré au sort mais simplement choisi par un représentant de la fédération française présent sur place, le club nancéien se laisse encore le temps de la réflexion. « Mardi matin, on aura une réunion exceptionnelle du directoire » expliquait remonté Christian Fra avant le match, « c'est à ce moment qu'on prendra une décision... »
• ESPOIRS. Les Espoirs nancéiens sont passés par un trou de souris chez leurs homologues roannais (79-75). Après avoir été au coude à coude avec les jeunes Choraliens emmenés par un Wilson épatant (37 pts et 9/12 à 3 pts pour 42 d'évaluation), les Lorrains comptaient en effet sept longueurs de retard à un peu moins de trois minutes du gong (66-73) avant que El Khir et ses copains ne renversent la vapeur en toute fin de partie. Ouf ! Les marqueurs nancéiens : El Khir (26), N'Joya (15), Michel (11), Emanuely (9), Rabah (9), Jacques (7), Dussart (2).
• RETOUR. Mike Bauer a toujours une cote d'enfer à Roanne. Joueur de la Chorale durant la saison 2005/2006, l'intérieur américain a pu se rendre compte en arrivant à la salle que le public ne l'avait pas oublié. Bauer a serré des mains à la louche, et a discuté avec de nombreux fans roannais...
• SERIE. A l'époque où il jouait à Roanne, Mike Bauer avait réussi une action hors du commun, une séquence de... 8 lancers-francs successifs ! C'était lors d'un Roanne - Paris. L'intérieur avait bénéficié d'une faute technique, mais dans la foulée, le coach parisien qui n'était autre que Gordon Herbert (qu'il retrouva la saison suivante à Pau... ) écopa d'une autre technique, puis d'une disqualifiante. Bauer se retrouva donc sur la ligne pour 8 lancers-francs. Pour la petite histoire, il les avait tous convertis, et Roanne s'était imposé...
• PRESIDENTS. Christian Fra et Emmanuel Brochot se sont retrouvés vendredi midi autour d'une bonne table roannaise. L'occasion pour le président nancéien et son collègue roannais d'évoquer le choc d'hier soir et... la qualité de la gastronomie locale !
• ORIFLAMME. L'oriflamme commémorant le titre de champion 2007 est désormais suspendu sous les sunlights de la Halle André-Vacheresse. La Chorale l'attendait depuis des mois, il a été remis officiellement hier par un représentant de la fédé. Celui-ci en a également profité pour remettre à Jean-Denys Choulet son diplôme d'entraîneur de la saison 2006/2007. A quelques semaines du début des play-offs 2008, il était temps...
• FAMILLE. La famille Badiane est une sacrée famille de basketteurs. On connaissait Pape, le pivot roannais, on connaît aussi Moussa, l'ancien nancéien aujourd'hui à Chalon. Mais la petite soeur est aussi basketteuse de haut niveau. Layna joue en effet à Challes-lès-Eaux en Ligue Féminine. Bon sang...
• ZIANVENI. Pas de finale de coupe FIBA pour Maxime Zianveni. Hôte du Final Four de l'épreuve européenne, son club de l'AEL Limassol a calé en demi-finales face aux Belges de Mons-Hainaut (55-70). Max s'est démené (10 pts, 10 rebonds) mais a péché par maladresse (2/9). Demi-finaliste du championnat, l'ancien ailier fort nancéien termine donc sa saison chypriote sur une grimace. Mais il ne serait pas étonnant qu'il rebondisse dans un autre championnat pour la fin de saison.
• COUCOU. Le Roannais Pierric Poupet était à Vichy mercredi pour le match de coupe de France du SLUC. Moins pour superviser l'équipe nancéienne que voir son pote TJ Parker. Le meneur orléanais est un grand ami de la famille Parker. Après la rencontre de mercredi, les deux arrières ont papoté un long moment.

A. G. (Anthony GUILLE)


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« On a été laminés au rebond »









• Jean-Luc Monschau : « Roanne nous a dominés dans un secteur essentiel, le rebond. ils ont plus de rebonds offensifs que nous défensifs (NDLR : 22 à 20). Or, le critère numéro un pour espérer gagner ici, c'est d'être solide dans ce domaine et nous, on a été laminés, bouffés. Roanne a également eu 20 pts sur secondes chances et nous seulement 6. Cela exprime une différence pas seulement physique mais en terme d'engagement et d'agressivité. Roanne était meilleur que nous sur ce point. Alors, qu'on soit derrière à courir après le score, c'est logique compte tenu des circonstances ».
• Mike Bauer : « On avait bien débuté en étant bien en place défensivement, mais Roanne est revenu et a haussé le rythme. C'est difficile de gagner quand vous laissez autant de rebonds offensifs à l'adversaire. Sur le plan personnel, cela m'a fait plaisir de revenir ici, de revoir tous ces gens, des amis. Mais il manque la victoire ».
• Pape-Philippe Amagou : « C'est nous qui nous sommes rendu les choses difficiles. On leur donne 16 rebonds offensifs (NDLR : en fait, 22) ? Cela leur fait autant de secondes chances. Après, même si vous avez un meilleur pourcentage, l'adversaire a un avantage certain en attaque. Ma faute ? C'est sifflé, c'est le basket. Mais si on ne perd pas la balle sur cette action, et qu'on marque, cela peut faire la différence. On peut avoir des regrets ».
• Jean-Denys Choulet (Entraîneur de Roanne) : « C'est une belle victoire collective. Des joueurs qui sont habituellement nos fers de lance sont passés au travers mais on a pu voir l'importance d'avoir un effectif étoffé. On n'a pas affiché un jeu en paillettes mais on a été sérieux en défense durant trois quart-temps. Il fallait un vainqueur, mais on n'oublie pas qu'on a été passés à la moulinette au match aller ».
• Pierric Poupet (Roanne) : « On a bien joué durant pratiquement quarante minutes. Ce ne sont pas forcément ceux qui étaient en forme ces derniers temps qui se sont illustrés. On essaie de mettre cette folie, c'est ce qui fait notre force, mais à la fin, il y avait peut-être trop de folie. L'objectif, c'est de rester dans le Top 4 ».
Est repûblicain

SLUC, mauvais rebond

Largement dominé sous les panneaux, Nancy n'a pu lutter à Roanne malgré un beau rush final.

OAS_AD('Position2'); Après avoir reçu l'oriflamme de son titre, la Chorale retrouvait sa victime de Bercy. Si Jean-Denys Choulet avait remis Pellin dans le cinq, il avait réservé une surprise avec la présence de Cazalon. Cela n'allait pas perturber le SLUC, auteur d'un début de rencontre tonitruant. Bauer se rappelait aux bons souvenirs de la Halle avec six points dans les cinq premières minutes et Roanne était agressé par la belle pression de Nancy (6-13, 4e). Heureusement que la vaillance était présente côté Chorale pour limiter la casse, avec huit rebonds offensifs dans le premier quart, d'autant qu'avec 1/8 à trois points en dix minutes, Roanne aurait bien pu voir le SLUC s'envoler plus encore (8-18, 7e). Voyant le bateau tanguer, où seul Badiane trouvait la faille à mi-distance, Jean-Denys Choulet lançait Hess, Poupet et Byars en lieu et place de Cazalon, Pellin et Rush. Le résultat était immédiat. La folie sur courte séquence dont est capable cette Chorale allait surgir. En moins de cinq minutes, les trois arrivants dynamitaient la rencontre en passant un terrible 17-2 (de 8-18, 7e à 25-20, 11e). Salyers y était allé d'un dunk majestueux pour enflammer cette affiche. Julian venait bien à la rescousse, Dowdell trouvait bien la brèche mais Poupet et Hess s'invitaient sans complexe à la table du scoring. Le premier allait même avoir une montée de fièvre avec huit points de rang (36-30, 16e). Le SLUC peinait à bloquer sa raquette et surtout piochait sur la zone proposée par Roanne. Il fallait tout l'abattage de Ricardo Greer pour éviter une nouvelle saignée face à des Choraliens sur leur lancée, rigoureux sur leurs systèmes, agressifs à souhait à l'image de Byars. Samnick peinait dessous face à un Badiane aérien, Salyers prenait le dessus face Bauer et la Chorale prenait de l'air (45-35, 22e). Nancy perdait en lucidité (1/6 aux lancers dans ce quart) et subissait la réussite roannaise de plein fouet. Byars, Hess empilaient les perles pendant que Ricardo Greer, irréprochable, était l'un des rares Nancéiens à surnager (52-38, 25e). Avec la défense de Soliman et l'euphorie maîtrisée de Roanne et Poupet, l'écart allait monter jusqu'à quinze longueurs en début de dernier quart-temps (69-54, 32e) avec déjà... 16 rebonds offensifs côté roannais. Mais Nancy ne capitulait pas à l'image de Jeff Greer, Bauer et Dowdell, qui ramenait l'addition à de plus justes proportions. Mais cela n'allait pas s'arrêter là. Bauer, Amagou et Julian provoquaient un 2-10 qui lançait un frisson dans la Halle Vacheresse (79-74, 39e). Mais les Choraliens allaient conserver une marge dans les ultimes secondes. Grâce, notamment, à 22 rebonds offensifs !

Republicain lorrain

A Roanne (Halle André Vacheresse). Quart-temps : 23-20, 17-15, 24-15, 17-24. Arbitres : MM. Jeanneau, Gasperin et Mortz.
• ROANNE : 34 paniers (dont 7 sur 28 à trois points) sur 76 tirs ; 6 lancers francs sur 6 tentés ; 47 rebonds ; 16 passes décisives ; 12 balles perdues ; 15 fautes personnelles. Marqueurs : Byars (13), Poupet (12), Hess (14), Badiane (16), Salyers (22), Soliman (2), Cazalon (2).
• SLUC NANCY : 30 paniers (dont 5 sur 19 à trois points) sur 60 tirs ; 9 lancers francs sur 17 tentés ; 30 rebonds ; 14 passes décisives ; 13 balles perdues ; 18 fautes personnelles. Marqueurs : Amagou (3), Julian (8), J. Greer (13), Samnick (9), R. Greer (12), Dowdell (7), Harrison (2), Bauer (20).

Republicain lorrain

La Chorale sort le grand jeu Dominatrice dessous, agressive à souhait, la Chorale a collectivement dominé Nancy.

Il fallait le faire. Ils l’on fait. Les Choraliens ont rejoint au classement leurs vaincus du soir et ainsi pris une belle option sur la quatrième place tout en conservant une chance de s’élever encore au classement. En restant dans ses standards collectifs, la Chorale a tissé sa victoire sur les panneaux avec pas moins de vingt-deux rebonds offensifs! Après avoir reçu l’oriflamme de son titre, la Chorale retrouvait sa victime de Bercy. Si Jean-Denys Choulet avait remis Pellin dans le cinq, il avait réservé une surprise avec la présence de Cazalon. Cela n’allait pas perturber le SLUC, auteur d’un début de rencontre tonitruant. Bauer se rappelait aux bons souvenirs de la Halle avec six points dans les cinq premières minutes et Roanne était agressé par la belle pression de Nancy (6-13, 4e). Heureusement que la vaillance était présente côté Chorale pour limiter la casse avec huit rebonds offensifs dans le premier quart, d’autant qu’avec 1/8 à trois points en dix minutes, elle aurait bien pu voir le Sluc s’envoler plus encore (8-18, 7e). Voyant le bateau tanguer, où seul Badiane trouvait la faille à mi-distance, Jean-Denys Choulet lançait Hess, Poupet et Byars en lieu et place de Cazalon, Pellin et Rush. Le résultat fut immédiat. La folie sur courte séquence dont est capable cette Chorale allait surgir. En moins de cinq minutes, les trois arrivants vont dynamiter la rencontre en passant un terrible 17-2 (de 8-18, 7e à 25-20, 11e). Salyers y était allé d’un dunk majestueux pour enflammer cette affiche. Julian venait bien à la rescousse, Dowdell trouvait bien la brèche mais Poupet et Hess s’invitaient sans complexe à la table du scoring. Le premier allait même avoir une montée de fièvre avec huit points de rang (36-30, 16e). Le Sluc peinait à bloquer sa raquette et surtout piochait sur la zone proposée par Roanne un moment. Il fallait tout l’abattage de Ricardo Greer pour éviter une nouvelle saignée face à des Choraliens sur leur lancée, rigoureux sur leurs systèmes, agressifs à souhait à l’image de Byars. Samnick peinait dessous face à un Badiane aérien, Salyers prenait le dessus face Bauer et la Chorale prenait de l’air (45-35, 22e). Nancy perdait en lucidité (1/6 aux lancers dans ce quart) et subissait la réussite roannaise de plein fouet, tout azimut. Byars, Hess empilaient les perles pendant que Ricardo Greer, irréprochable, était l’un des rares nancéiens à surnager (52-38, 25e). Avec la défense de Soliman et l’euphorie tout en maîtrise de Roanne et Poupet, l’écart allait monter jusqu’à quinze longueurs en début de dernier quart-temps (69-54, 32e) avec déjà... Seize rebonds offensifs côté roannais. Mais Nancy ne capitulait pas à l’image de Jeff Grerr, Bauer et Dowdell qui ramenaient l’addition à de plus justes proportions. Mais cela n’allait pas s’arrêter là. Bauer, Amagou et Julian provoquaient un 2-10 qui lançait un frisson dans la Halle Vacheresse (79-74, 39e). Mais les Choraliens allaient conserver une marge dans les ultimes secondes. Pour une victoire ô combien importante. Eric Pejoux

Le progrès

Pierric a été à l’heure Le Poupet Time s’est soldé par 8 points de rang.

Parfait métronome de l’équipe lors de l’absence de Pellin, Pierric Poupet a une nouvelle fois prouvé qu’il était un parfait complément au lutin roannais. Certes en deça à Vichy, il a marqué de sa griffe la première mi-temps face aux couguars. Son équipe bouillait quelque peu avant sa rentrée et celle des deux US, Hess et Byars, dans les ailes. Ces changements, prolifiques, ont lancé définitivement les Choraliens dans le bain. Donnant plus de rythme, de percussion, Pierric a lâché ses cheveaux à merveille. Une interception qui lui permit d’ouvrir son compteur de points et Salyers, comme à l’accoutumée termine le travail en donnant l’avantage aux siens à la fin du premier quart (23-20 10è). Jean-Denys Choulet laisse son meneur «bis» sur le terrain. Choix judicieux. Une première gagade -qui lui vaudra les yeux revolvers de son coach- sera vite oubliée avec le «Poupet time». Et un premier trois points tête de raquette. Son vis-à-vis Dowdell pas effrayé lui laisse même sur l’action suivante une deuxième chance. Bingo. Précis comme un horloger, il conclut son heure par une nouvelle balle volée qu’il s’en va déposer délicatement dans le cercle. Bilan de cette minute made in Poupet 8 points pour porter l’avance de la Chorale à 36-30 (157). Sur son nuage, l’ancien Orléanais n’hésite plus. Comme dit le proverbe jamais deux sans trois. Cette fois son shoot, pris sans rythme, ne touche rien. L’essentiel du boulot a été fait, coach JDC le rappelle sur le banc. Premier à retourner sur le terrain, pour s’échauffer, après la mi-temps. Jean-Denys reçoit le message 5/5, il le relance dans le cinq. Face à Amagou, il continue sur sa lancée. Alley-Opp pour Badiane. Le maître Salyers applaudit. Quand la confiance est là tout va. Le natif de Rouen s’offre le luxe de prendre un tir distance NBA. Gamelle. Mais le culot est là. Dernière seconde du troisième, Pierric se faufile dans la raquette Nancéienne. Au buzzer le ballon choisit son camp. Dedans, il peut serrer le point ragueur (64-50 30è). Pellin aura sa chance dans le dernier quart, mais Poupet a relancé la concurrence. Une bonne nouvelle à l’aube d’une fin de saison où tous les matches vaudront de plus en plus cher. Ludivine Lattat

Le progrès

Belle victoire collective» Le clan choralien soulignait le gros match collectif effectué et celui de Nancy.

Jean-Denys Choulet.- «C’est une belle victoire collective. Les joueurs qui sont nos fers de lance d’habitude sont passés à travers pour certains et on a vu l’importance d’avoir un banc étoffé. Ce soir, on a vu moins de paillettes mais une belle défense notamment dans les deuxième et troisième quart-temps. On n’oublie pas pour autant que l’on a été passé à la moulinette à l’aller, Nancy est vraiment une grosse équipe. Je tiens à souligner le match sérieux de Poupet et Badiane. Je suis malheureux pour Rush ce soir mais heureux pour Hess, très présent en défense, pour Byars aussi. On a aussi vu un Salyers dans la lignée que l’on connaît. Par contre, certains feraient mieux de se remettre en question de suite plutôt que de penser à leur avenir ailleurs (Pellin? Ndlr)». Pierric Poupet.- «Tout le monde a apporté dans l’équipe ce soir. Adam Hess a fait un gros match, Pape Badiane aussi.Nous sommes allés la chercher cette victoire. A la fin, on ne s’est pas fait peur et on débute, on a eu une mise en route difficile. Mais les rentrées de Byars et Hess ont fait du bien. Moi aussi? Oui, sûrement un peu. Nous avons effectivement retrouvé notre folie mais on en a fait un peu trop à la fin avec du hourra basket. Ce qui est bien, c’est que lorsque l’on baisse, d’autres joueurs sortent du banc pour apporter autant. Mais courir est notre jeu, tout le monde s’est fait plaisir. Maintenant que l’on a gagné, l’objectif est de remporter nos quatre derniers matches, si on le peut, tant mieux. Il vaut mieux regarder devant». Jean-Luc Monschau.- «Je n’ai pas grand-chose à dire si ce n’est de reconnaître la supériorité de Roanne. La Chorale nous a dominés aux rebonds pourtant c’est le critère numéro un pour espérer gagner ici, maitriser les rebonds offensifs de Roanne. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, cela se joue sous les paniers ce soir. Ils prennent seize tirs de plus que nous! Il y a eu une différence d’agressivité et d’engagement». Mike Bauer.- «Ce n’est pas un bon soir mais ce n’est pas la fin du monde. Après un bon début, on a perdu des ballons et donné sept points de rang. Ensuite Roanne a élevé son niveau de jeu et a été supérieur aux rebonds. Mardi sera un autre jour faceà l’Asvel. Ce n’est pas dans notre caractère de refaire les défaites entre nous». Salyers.- «Nancy est une bonne équipe et c’était un beau match. Je suis content que l’on ait gagné. Sur la fin, on se relâche car l’on a beaucoup moins de shoots faciles. Nancy était décomplexé. Je ne me souci pas de la première ou de la quatrième place, l’essentiel est de gagner».

Le progrès

bacou a écrit:

• ORIFLAMME. L'oriflamme commémorant le titre de champion 2007 est désormais suspendu sous les sunlights de la Halle André-Vacheresse. La Chorale l'attendait depuis des mois, il a été remis officiellement hier par un représentant de la fédé. Celui-ci en a également profité pour remettre à Jean-Denys Choulet son diplôme d'entraîneur de la saison 2006/2007. A quelques semaines du début des play-offs 2008, il était temps...

oui c'était avant le match avant la présentation d'équipe avec la salle qui chante " on est les champions " !!

bacou a écrit:

Décision mardi matin
[• COUPE DE FRANCE. Jouera, jouera pas ? Hier, le SLUC Nancy n'avait toujours pas décidé s'il irait à Limoges mardi disputer son quart de finale de coupe de France face à l'ASVEL. Ulcéré par le fait que le lieu où se dérouleront les deux plateaux n'ait pas été tiré au sort mais simplement choisi par un représentant de la fédération française présent sur place, le club nancéien se laisse encore le temps de la réflexion. « Mardi matin, on aura une réunion exceptionnelle du directoire » expliquait remonté Christian Fra avant le match, « c'est à ce moment qu'on prendra une décision... »


Est republicain

Décision prise mardi matin ? autant dire que le Sluc ne jouera pas ce match , enfin si mais avec les espoirs pour éviter toute sanction, et pis vu l'importance du match de Vendredi suite au résultat à Roanne je crois que ça serait la bonne décision .
Enfin on verra , dans tous les cas de figures, il faut que Gentilly explose vendredi soir et retrouve ce doux parfum de PO !! :cheers: