[PROA J24] STB Le Havre bat SLUC Nancy 101 (46) à 85 (45)

JDC est un personnage entier. Avec ses côtés très positifs, et très négatifs. Il vit pour son équipe, pour le basket. Il a ce côté "ultra" que peu de coach ont et qui parfois, c'est vrai, le conduit à des comportements qui ne sont pas dignes de ceux qu'un coach pro devrait avoir.

EN même temps, c'est un formidable vecteur publicitaire ce type, en plus d'être un vrai pro dans son job. On a longtemps sous estimé son travail pour des raisons qui n'en sont pas et aujourd'hui il apparait comme si cen'est un formidable technicien, du moins un vrai Manager d'homme.

Corpus Christi a écrit:

EN même temps, c'est un formidable vecteur publicitaire ce type, en plus d'être un vrai pro dans son job. On a longtemps sous estimé son travail pour des raisons qui n'en sont pas et aujourd'hui il apparait comme si cen'est un formidable technicien, du moins un vrai Manager d'homme.

merci

Avant Le Havre - SLUC, samedi 20 h

T.J. Thompson le meneur du mois


Avec les Français Batum et De Colo, le lutin du Havre est nominé pour mars. Danger.






NANCY._ Curti parti à Orléans, Cissé retiré en préretraite à Fos en Nationale 1, il a bien fallu que Christian Monschau trouve un meneur. Après les épisodes Jeanneau, Pluvy, le club a donc opté pour un meneur américain : TJ Thompson, pas plus haut que trois pommes (1,78 m), trop petit pour la... NBA, ancien joueur de CBA (Albany Patroons) et qui a fini la dernière saison à Hyères-Toulon saison dernière. Le HTV a longtemps été menacé, TJ n'était pas très fier malgré quelques cartons (22 pts à Paris, 23 pts à Pau) mais l'équipe s'en est sortie : « Il était libre, il était sur le marché. Comme beaucoup d'autres joueurs, il nous a été proposés », raconte Jean-Luc Monsschau qui l'a finalement laissé au petit frère Christian.
En passant de Toulon au Havre Ronald Perry Thompson Jr avoue l'avoir trouvé dur : « Je suis passé d'une région où il faisait toujours soleil, à une autre où il pleut tout le temps. Mais, je me sens bien ici. Il manque juste un peu de soleil ».
TJ Thompson a en tout cas trouvé sa place dans l'équipe de Christian Monschau. Il y multiplie actuellement les remarquables performances, signant notamment 35 points contre l'ASVEL. Et si Le Havre est l'équipe surprise du championnat, celle qui rivalise avec les meilleurs malgré des moyens très limités, c'est aussi parce que Thompson a réussi un mois de mars de toute beauté. Vous aurez compris pourquoi, il est d'ailleurs nominé par la Ligue joueur du mois avec les deux grands espoirs français Nicolas Batum et Nando De Colo.Attention, TJ Thompson n'est pas arrivé de nulle part sur les plages de la Méditerranée en février 2007.

Poulain de Richardson


Le lutin de Manassas a été chaudement recommandé par un certain Michaël Ray Richardson, joueur prodigieux, coach de l'équipe d'Albany Patroons et légende vivante sur la Côte d'Azur depuis son panier miracle en 1995 avec Antibes contre Pau lors de la finale. Avant de marquer au buzzer ou presque, Richardson affichait ce jour-là un... 2/17. Parlez-en à Jacques Monclar à l'époque coach d'Antibes : « C'est sympa de jouer pour Richardson. Il est fou, c'était un gamin à 40 ans lorsqu'il était à Antibes, c'est toujours un gamin à 50 ans. L'histoire de son incroyable panier en finale, je l'ai entendue une centaine de fois... »
Si TJ Thompson est aussi fort cette saison (16 pts en 32' de moyenne), il le doit à Christian Monschau : « Le coach m'aime bien, le jeu est fait pour moi, on joue avec du rythme », dit-il avant que Jean-Luc Monschau ajoute : « Mon frère Christian a su lui développer son jeu. C'était un spécialiste à trois points (7 tirs de moyenne par match), aujourd'hui, il fait des passes (6 de moyenne), attaque le cercle. C'est un petit gabarit, très vif ».
Qui va défendre sur le meneur havrais ? « Plutôt Pape que Zabian », explique Jean-Luc Monschau. Question de morphologie. Reste que c'est une des clés du match.

Gilles GAIHIER


Est republicain

Vestiaires

Julian : on saura vendredi









•CADETS. Les cadets du SLUC disputeront leur huitième de finale de coupe de France, le 9 avril prochain, à domicile contre Chalon. A noter que six des huit quart-de-finalistes sont d'ores et déjà connus : Nantes, Hyères-Toulon, ASVEL, Le Havre, Rouen et Dijon. La rencontre entre Limoges et Pau se disputait hier soir.
•JULIAN. Jouera, jouera pas ? Blessé au doigt depuis la semaine dernière (luxation de l'index) et absent face à Orléans, Cyril Julian est arrêté jusqu'à demain inclue. Cependant une incertitude plane encore sur sa participation au match de samedi, au Havre. Une chose est sûre, Julian sera du voyage. En civil ou en tenue ? Réponse demain.
•ANCIENS. Des nouvelles des anciens. En Allemagne tout d'abord, où Dan McClintock tente de refaire surface après sa longue absence pour cause de blessure. Le week-end dernier, le pivot d'Oldenburg a eu droit à 13 minutes sur le parquet (pour 5 points et 2 rebonds). En Russie, Tariq Kirksay est évidemment beaucoup plus à l'aise. L'ex-capitaine nancéien a inscrit 19 points (dont 2 sur 3 à trois points) dans la victoire de Kazan contre Krasnoyarsk.
Est republicain

Merci Bacou...
TJ Thompson...c'est pas nouveau c'est l'un des meilleurs actuellement...attention gros danger...

dommage que JLM l'ai laissé a son frère...

En Russie, Tariq Kirksay est évidemment beaucoup plus à l'aise. L'ex-capitaine nancéien a inscrit 19 points (dont 2 sur 3 à trois points) dans la victoire de Kazan contre Krasnoyarsk.

ça roule pour notre ami Tariq...

Encore un fantastique boulot de journaliste de GG qui s'est contenté de reprendre des citations extraites de l'article de BN sur TJ Thompson, sorti il y a quelques semaines je crois, et de faire comme si ça venait de lui. ^^

on apelle ça maitriser son sujet, au moins si ça vient de BN ça peut être que sérieux

Quel est le rapport avec maîtriser son sujet? ^^

ben pour qu'on pense qu'il maitrise le monde du basket il pond des articles tout cuit piochés a droite ou a gauche comme ça on est obligé de se dire, ouah il maitrise le basket, il touche sa bille le gaillard... manque de pot quand on a le BN on voit qu'il pique tout

Ah d'accord, j'avais mal compris, oui c'est tout à fait ça et bien sûr il ne cite absolument pas sa source...

plus 1 Rasheed, merci BN !

En plus il s'emmèle les pinceaux dans la citation

mais bon il tente de parler basket au moins notre GG ( ps : ça fait longtemps qu'il a pas donné une info piqué sur le forum )

aircraft a écrit:

mais bon il tente de parler basket au moins notre GG ( ps : ça fait longtemps qu'il a pas donné une info piqué sur le forum )

Ben y'a aussi des gens qui ne lisent pas BN hein. Et qui sont bien contents d'apprendre des choses. Moi je peux aussi dire qu'après n'avoir jamais autant parlé d'Ilian Evtimov cette année, BN s'est bien fait plaisir pour pondre un article sur lui (comment ça ça marche pas dans le sens là >_<)

Bref, on va pas revenir sur ce que doit être le journalisme... C'est un mélange de plein de genres, et après, tant que tu ne cite pas à la lettre près un article,tu ne peux pas être "accusé" de plagiat. Si BN veut pas être repris de quelque manière que ce soit, il se plante de secteur professionnel .

Et pour finir, Gahier pour le citer, ne s'occupe pas exclusivement du basket. Donc y'a aussi des jours ou ça doit bien le faire chier de d'voir torcher un truc sur le SLUC parce que l'Est est sponsor. Perso ça me choque pas plus que ça...

Soyez content que notre PQR parle autant du SLUC... le jour où on aura que de l'exclu, on aura ou disparu de l'Elite, ou devenu tellement puissant qu'on aura un Reporter plein temps pour parler du SLUC:)

Un reporter plein temps, que Dieu t'entend cela serait bon signe...

«Jean-Luc nous a ouvert sa cave»


Jean-Aimé Toupane a côtoyé les frères Monschau à Mulhouse, à la fin des années 80. Témoignage d'un ami de la famille, élevé aux bancs d'Alsace.






NANCY._ A eux deux, Jean-Luc et Christian Monschau cumulent quarante-quatre ans de coaching. Et pourtant, citer des joueurs pros qui ont été dirigés par les deux frères revient à chercher une aiguille sur les pavés de la place Stan. Après quelques minutes de réflexion, l'entraîneur du SLUC est parvenu à en dénicher un : Geoff Lear. Pas sûr que la liste comporte d'autres noms.
Alors pour trouver la trace d'un homme ayant croisé les deux frangins, il faut remonter un peu plus loin dans l'album-souvenirs, à l'endroit où les photos sont un peu jaunies. Il faut s'arrêter à la page ''fin des années 80'', lorsque Jean-Luc et Christian portaient les couleurs de leur club de cœur et de leur ville natale : Mulhouse BC. L'un sur le parquet, l'autre sur le banc, les deux hommes se sont côtoyés pendant six ans (85-91), sous l'œil de papa, dirigeant et cheville ouvrière du club alsacien. C'est d'ailleurs sous l'ère Monschau que Mulhouse a connu ses plus belles années. La victoire au tournoi des As en avril 89, la coupe Korac...
Le shoot à la dernière seconde de l'Américain Ron Davis est resté dans l'histoire. Jean-Aimé Toupane, aujourd'hui entraîneur à Clermont, était de ce voyage au paradis. Même si, pour une sombre affaire d'agent, il n'avait pas eu le droit de jouer cette saison-là et avait vécu la fameuse finale des As dans les tribunes. Ce qui n'a en rien dissipé les souvenirs : « J'ai passé d'excellents moments à Mulhouse (Ndlr : de 88 à 91). L'équipe, c'était une bande de copains : il y avait Kiki (Christian Monschau), Sza-Sza (Philippe Szanyiel), Jamel Benabid, Ron Davis, Kitchen Curtis, Pat Burtey... Le groupe était vraiment basé sur les relations humaines et je pense que Jean-Luc Monschau y était pour beaucoup ».
Les périples en bus et les petites soirées entre amis ont tissé des liens qui ne se sont jamais dissous par la suite. « La famille Monschau, c'est une famille de passionnés. J'ai le même âge que Christian. On était coéquipiers et amis. Quant à Jean-Luc, même s'il occupait la fonction d'entraîneur, on était très proche de lui. Sa porte était toujours ouverte. D'ailleurs, il nous arrivait de faire des fêtes chez lui. Il nous a ouvert sa cave... Humainement, les deux peuvent paraître un peu réservés lorsqu'on ne les connaît pas. En réalité, ils sont très ouverts et conviviaux. Lorsque j'ai passé une saison sans jouer, la première en arrivant à Mulhouse, ils m'ont tous deux beaucoup soutenu. Je ne l'ai jamais oublié. Et puis ce sont des garçons intelligents. Ils ne sont pas ingénieurs de formation par hasard. D'ailleurs, ils ont pris des risques énormes en faisant du basket leur métier ».

La même approche du basket


Vous l'aurez compris, il faudrait payer très cher pour que Jean-Aimé Toupane trouve un reproche à adresser aux deux frères. Il faut dire que les frangins et en particulier Jean-Luc Monschau, ont compté dans la carrière de l'ancien assistant de Claude Bergeaud sur le banc des Bleus. Il poursuit : « Jean-Luc m'avait fait venir de Monaco. Et c'est un peu grâce à lui que ma carrière a véritablement décollé. Il m'a fait prendre confiance. Combien de fois il m'a répété : prends les tirs quand tu es ouvert ! Jean-Luc a toujours été un bon scout. Il arrive à construire des équipes très complémentaires et il se trompe rarement. C'est également le cas de Christian, d'ailleurs. Il suffit de regarder ce qu'il fait avec les moyens qui sont les siens ».
Son orgueil dut-il en souffrir, Jean-Luc Monschau n'a jamais contesté la supériorité de son jeune frère balle en mains. Mais depuis que les deux hommes ont embrassé la carrière de coach, les profils se sont sensiblement rapprochés. « Ils ont la même approche du basket », témoigne Jean-Aimé Toupane, « Ce sont deux entraîneurs qui aiment la stratégie, qui savent parfaitement s'adapter aux systèmes adverses. Après, il y a toujours des petites spécificités. Jean-Luc a toujours aimé le jeu rapide, la contre-attaque. Christian, c'était une fine gâchette. Je pense qu'il sait aujourd'hui mettre ses joueurs en confiance au niveau du tir ».
Mais au fait, ces deux frères qui semblent entretenir des rapports fusionnels (par téléphones interposés) et qui se ressemblent tant, n'ont-ils jamais trouvé de point de désaccord ? « A Mulhouse, il m'est arrivé d'assister à des... discussions », répond Jean-Aimé Toupane, « L'un voulant absolument persuader l'autre, ça pouvait durer des heures. Mais ils finissaient toujours par tomber d'accord ». Autour d'un Gewurtz vendanges tardives, sans doute...

Thomas SIMON


Est republicain

Wouiiii un Gewurtz VT Hummmmmm, rien de tel pour se reconcilier avec les strasbourgeois!!!

Christian Monschau : « Ne pas se prendre au sérieux »

Avec six professionnels, quelques jeunes et la plus petite masse salariale du championnat, Le Havre (5e) joue les épouvantails. Christian Monschau est vraiment un magicien. Le SLUC de son frère Jean-Luc a tout à craindre de son voyage normand.

OAS_AD('Position2'); Comment fait-on quand on n'a pas le sou ? « On recrute des joueurs qui acceptent des salaires moins élevés, on prend plus de risques en engageant des jeunes, et on donne leur chance à des gars que l'on a formés. Nous travaillons sur des potentiels car il est impossible de s'appuyer sur des éléments sûrs. » • On devrait vous décerner la médaille du mérite ! « Le travail s'avère un peu plus difficile mais chacun s'adapte à ses moyens. Nous n'en tirons pas de gloire particulière. Si nous pouvions avoir dix ou onze pros, on ne s'en priverait pas. On fait avec six... » • Le Havre, port de l'angoisse ? « Deux difficultés majeures : terminer les saisons car nous ne pouvons pas modifier notre effectif en cours de route comme d'autres clubs à l'image de Pau, Dijon ou Gravelines. Donc, notre souci principal est de tenir avec les mêmes, sachant que nos blessés ne sont pas remplacés. C'est un vrai problème. L'autre difficulté est de repartir de zéro la saison suivante... » • Paris qui brûle avec dix fois plus d'argent doit vous paraître un gâchis scandaleux. « On préfère rester dans l'humilité par rapport aux autres et bosser sérieusement sans se prendre au sérieux. » • Quelle est la recette gagnante ? « Une bonne collaboration entre tous les différents staffs, le travail dans la continuité, un investissement commun allant dans le même sens, la culture du relationnel. » • Votre joli parcours vous incite-t-il à davantage d'ambition ? « Quoi qu'il en soit, l'ambition est toujours présente. La nôtre est de tout mettre en œuvre pour préparer le prochain match. Tout autre ambition ne tient pas compte de la réalité. » • Mais vous êtes en course pour les play-off ! « Préparer la rencontre suivante est déjà tellement difficile. Evidemment, chacun rêve, en début de compétition, de la plus haute marche. Seulement sans ce ressort qu'est la ferme volonté de gagner le prochain match, il est vain de penser à un autre objectif dans un championnat très, très relevé. » • On n'entend pas toujours ce refrain... « Si, le basket français est d'une grande richesse, il est l'un des meilleures d'Europe, le deuxième sans doute après l'Espagne. Notre championnat est incroyablement dense, homogène, la qualité des coaches, des joueurs et du jeu est impressionnante. » • Votre réussite, avec si peu de moyens, ne titille-t-elle pas votre ambition personnelle ? « Je m'occupe déjà de la montée en puissance dans mon club, on travaille dur pour changer de braquet, le déficit d'avant est en train d'être résorbé. L'ambition personnelle, on y pense à l'intersaison. » • A votre avis, le SLUC, formation de votre frère, a-t-il une chance de devenir champion de France ? « Depuis trois saisons, son parcours en tout cas est remarquable. La baisse de régime sur les six dernières semaines est due à des pépins physiques. Ils semblent terminés ! Quand on voit ce qu'Orléans, adversaire de qualité, vient de prendre... Alors, sans ennuis de santé, le SLUC sera redoutable. » • Demain, ce sera un duel compliqué pour tout le monde, non ? « Etre bien, contre Nancy, ne suffit pas. Il faudra être plus que bien pour contrer son énorme force collective. Franchement, ce championnat est passionnant entre les meilleurs au classement et ces potentiels capables de faire beaucoup de dégâts sur un match. Personne n'est en sécurité. »

Alain THIÉBAUT.

Republicain lorrain

Merci Bacou; et pour le gewurtz + 1

Corpus Christi a écrit:

aircraft a écrit:

mais bon il tente de parler basket au moins notre GG ( ps : ça fait longtemps qu'il a pas donné une info piqué sur le forum )

Ben y'a aussi des gens qui ne lisent pas BN hein. Et qui sont bien contents d'apprendre des choses. Moi je peux aussi dire qu'après n'avoir jamais autant parlé d'Ilian Evtimov cette année, BN s'est bien fait plaisir pour pondre un article sur lui (comment ça ça marche pas dans le sens là >_<)

Bref, on va pas revenir sur ce que doit être le journalisme... C'est un mélange de plein de genres, et après, tant que tu ne cite pas à la lettre près un article,tu ne peux pas être "accusé" de plagiat. Si BN veut pas être repris de quelque manière que ce soit, il se plante de secteur professionnel .

Et pour finir, Gahier pour le citer, ne s'occupe pas exclusivement du basket. Donc y'a aussi des jours ou ça doit bien le faire chier de d'voir torcher un truc sur le SLUC parce que l'Est est sponsor. Perso ça me choque pas plus que ça...

Soyez content que notre PQR parle autant du SLUC... le jour où on aura que de l'exclu, on aura ou disparu de l'Elite, ou devenu tellement puissant qu'on aura un Reporter plein temps pour parler du SLUC:)

Ouais enfin, pondre des citations comme si c'était lui qui avait appellé les protagonistes alors qu'il a pompé ça à la lettre près sur un autre papier, sans même le citer, c'est limite. Un petit "comme TJ Thompson le déclarait à nos confrères de BasketNews :" n'aurait pas été de trop.

bacou a écrit:

Wouiiii un Gewurtz VT Hummmmmm, rien de tel pour se reconcilier avec les strasbourgeois!!!

bande d'alcolos

en tout cas tout ceux qui ont des souvenirs des frères monshau c'est pour la bonne chair ou la cave a vin

Tu m'as pris de vitesse Aircraft, dès qu'on parle de gonzesses ou de biture, tout le monde rapplique hein

Woui, vous allez pas faire 3 pages sur "ma parenthèse" hein, [hs on] : et pi "alcolos" s'écrit alcoolos Tu me dois une bouteille de Gewurtz VT Aircraft pour alcoolémie au clavier [hs off]

bacou a écrit:

Woui, vous allez pas faire 3 pages sur "ma parenthèse" hein, [hs on] : et pi "alcolos" s'écrit alcoolos Tu me dois une bouteille de Gewurtz VT Aircraft pour alcoolémie au clavier [hs off]

oops désolé mademoiselle la prof... pour me faire pardonner j'ai juste une bouteille d'edelswicker mais promis j'ai pas bu avant d'écrire

[hs on] Euhhhh tu es pardonné , pour la bouteille cuisine avec [hs off]