[PROA J3] SLUC Nancy bat ELAN Chalon/Saône 88 (55) à 81 (40)

si demain c'est nous qui crucifions chalons au buzzer, on sera la seule équipe invaincue, même si c'est que la 3ème journée je trouve que c'est pas mal vu comme le championnat va être reserré cette année.

Pro A (3e journée) : Chalon - Nancy ce soir (19 h)

Premier test au Colisée


Demi-finaliste du championnat, troisième de la saison régulière 2006-2007, Chalon est un redoutable client pour le SLUC. Surtout dans sa salle où la température monte rapidement.






NANCY. - évidemment, on est encore très, très loin des cases à remplir pour les play-offs, là où tout se joue, là où tout s'écrit. Nancy est trop bien placé pour le savoir. Finir premier de la saison régulière, ça rapporte juste un kilo de cacahouètes. Le gros lot, c'est uniquement à Bercy qu'il faut le tirer.
C'est pourquoi une défaite ce soir, à Chalon, n'aurait aucune incidence comptable dramatique pour la suite du championnat, si ce n'est que Chalon comme le SLUC ont besoin d'accumuler de la confiance et peut-être des victoires pour s'assurer une présence logique à la Semaine des As, début février à Toulon. Rappelons que les sept premiers de la phase aller du championnat (quinze matchs) et le club organisateur (Hyères-Toulon) sont qualifiés pour une épreuve qui n'a qu'une petite place en coupe ULEB à donner, mais pas de point pour le ranking de l'Euroligue. Encore une bizarrerie de la Ligue...
Le SLUC, qui reste sur deux victoires probantes mais surtout précieuses face à deux adversaires coriaces (Clermont et Paris), a en fait tout à gagner ce soir à Chalon, dans une salle où il est très difficile de s'imposer. Si le SLUC rentre victorieux de la Bourgogne, il aura chipé le deuxième bonus du championnat depuis son départ, le premier étant celui de l'ASVEL chapardé au Rhénus à Strasbourg : « Nous, on doit s'imposer à domicile, c'est clair », insistait jeudi soir au téléphone Grégor Beugnot. « Nancy, lui, en gagnant chez nous, enfilerait un joker dans sa manche. »
Les deux coachs se connaissent depuis des décennies. Ils s'apprécient, se chahutent, se « chambrent », jouent de l'intox. C'est de bonne guerre. Et ça donne souvent au Colisée, où la température monte en flèche, des matchs de grande qualité, sous haute tension et qui, deux fois sur trois, se terminent par un shoot au buzzer qui fait tilt (Braud la saison dernière) ou par un lancer franc : « A Chalon, on n'a jamais un match normal », disait en souriant Jean-Luc Monschau avant de monter dans le bus pour l'hôtel Mercure de Chalon, où les Nancéiens ont passé la nuit à faire de beaux rêves, comme par exemple s'imposer au Colisée : « C'est notre premier grand test à l'extérieur. On va avoir une idée plus précise sur les qualités et les limites de mon équipe dans un contexte difficile », dit Jean-Luc Monschau, qui ajoute : « Rien à redire sur l'état d'esprit des gars. On s'est encore bien entraîné cette semaine. »


« Attention au repli défensif »


Le jeu sans annonce de Greg Beugnot a fait le tour des parquets de France et de Navarre. Mais plus encore que l'année dernière, l'équipe court et dégaine : « A Cholet, ils ont shooté 26 fois à trois points. Guice et Barrett viennent régulièrement shooter en position 4, Braud et Corosine peuvent être très dangereux en position 1. ça va très vite et ça arme à 300 à l'heure. Inutile de vous dire que le repli défensif sera la clé de la rencontre. Si on l'oublie, on peut vite prendre un éclat », insiste Jean-Luc Monschau, qui sait que Chalon possède également des arguments à l'intérieur avec le retour de Koné, suspendu depuis le début de la saison pour avoir fumé du cannabis.
Sans oublier l'ex-Bisontin Ford, intérieur aux longs segments, pas forcément très adroit mais dont les mouvements tiennent de la place dans la raquette.
Au SLUC, qui a une certaine expérience de ce genre de matchs, de ne pas commettre la même erreur que samedi dernier devant Paris, lorsque l'équipe s'est laissée bercer par les Parisiens pour prendre 13 points de retard. A Gentilly, ça se remonte ; au Colisée face à Chalon, c'est niet !
Voilà les Nancéiens prévenus. Mais Ricardo et Jeff Grerr, Cyril Julian, Victor Samnick, Pape Amagou ou encore Mike Bauer ou TJ Parker, ne sont pas tombés de la dernière pluie. Ils ont déjà « rencardé » les petits copains Dowdell, Harrison ou Zaki sur ce qui les attend ce soir...


Gilles GAIHIER


est republicain

La Pro A en bref












Hyères-Toulon - VILLERBANNE : 83-76


Quarts-temps : 16-22, 17-25, 22-13, 28-16
Hyères-Toulon : Colson (23), Perincic (7), Masingue (4), Nichols (19), Williams (21), Mills (9).
Lyon-Villeurbanne : Nsonwu-Amadi (6), Wilson (14), Jeanneau (7), Conley (11), Sangare (10), Foirest (15), Troutman (10), Varem (3).



Paris-Levallois - Clermont 71-55


Quarts-temps : 18-12, 17-19, 14-6, 22-18)
Paris-Levallois : Mouillard (3), Torbert (15), Foster (26), Akpomedah (6), Gray (12), Golemac (7), Milisavljevic (2)
Clermont : Walker (4), Bengaber (6), Mendy (4), Skinn (16), Dixon (6), Blondet (5), Haynes (2), Joseph (2), Radinovic (10).



Pau-Orthez - Le Havre : 79-83


Quarts-temps : 22-16, 16-17, 20-25, 25-21)
Pau-Orthez : Fein (7), Ferchaud (6), Young (14), Dials (21), Withers (16), D'almeida (2), Stanic (9), Rupert (4).
Le Havre : Edwards (9), Mukubu (20), Thompson (12), Sommerville (17), Cox (12), Causeur (5), Traore (8).



Orléans - Roanne : 75-85


Quarts-temps : 21-17, 20-21, 22-20, 22-17)
Orléans : Fellah (5), Adjiwanou (18), Heath (21), Cope (8), Dewar (11), Salisbery (7), Curti (3), Smith (2).
Roanne : Hess (19), Rush (19), Pellin (7), Badiane (6), Salyers (29), Poupet (2), Soliman (2), Nolan (1).



Gravelines - Le Mans : 62-56


Quarts-temps : 16-21, 14-8, 18-16, 14-11)
Gravelines : Ostojic (11), Essart (12), Stanley (5), Brun (10), Grier (8), Bunn (13), Schmitt (3).
Le Mans : Bogavac (3), Batum (16), Diot (4), Bogdanovic (9), Clancy (14), Koffi (2), Bokolo (6), Ricci (2).
est republicain

Retour de Koné









NANCY. _ Suspendu depuis le début de la saison pour avoir fumé du cannabis, Mohamed Koné (25 ans, 2,11 m) fera son grand retour ce soir dans l'équipe chalonnaise, qui jouera son second match à domicile en trois rencontres avant de se déplacer sept fois encore lors des matchs aller : « Ce qui pourrait compliquer notre qualification à la Semaine des As, si jamais nous ne faisons pas le plein à domicile » dit Gregor Beugnot, l'entraîneur de l'Elan qui alignera donc son groupe au complet dans une salle où trois écrans géants seront installés pour suivre France-Angleterre dès la fin de la rencontre Chalon-Sluc. Bonjour l'ambiance
est republicain

Les équipes









CHALON : 4. Bracey ; 5. Braud ; 6. Hoyaux, 7. Ekanga ; 8. Barrett ; 9. Corosine ; 10. Badiane ; 11. Guice ; 12. Rogers ; 13. Eleka ; 14. Ford ; 15. Kone
NANCY : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 7. Julian ; 8. Jeff Greer ; 9. TJ Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 12. Michel ; 13. Samnick ; 14. Ricardo Greer ; 15. Bauer
Arbitres : MM. Mateus, Machabert, Bardera.
Espoirs : à 16 h 20.


est republicain

Moussa Badiane : « Chalon et le SLUC se ressemblent »

Déjà un choc. Entre prétendants au podium. Moussa Badiane, l'ancien Nancéien, maintenant tour de garde chalonnaise, ne sera pas le moins motivé face au SLUC, ce favori à abattre...
La Lorraine avant Clermont puis Chalon. Une raison à ce transfert ? « Ma saison ne s'est pas très bien passée, en fait... Mon temps de jeu n'est pas celui que j'aurais pu avoir et mes objectifs n'ont pas été atteints. Ma relation avec le coach n'était pas au beau fixe. Ça arrive, non ? Il faut que je rebondisse cette année ! »
• Pourquoi Chalon ? « Ce club est quand même d'un autre niveau que Clermont ! L'Elan joue le haut de tableau depuis plusieurs saisons, est qualifié pour une Coupe d'Europe, m'a proposé un contrat plus stable (deux ans) et Greg Beugnot est un grand coach. »
• Le bon choix, donc ? « Je le pense sincèrement. De plus, le style de l'équipe me convient. Comme à Nancy, on court beaucoup et on joue en première intention. Ce style me correspond. »
• Avez-vous la confiance de Greg Beugnot ? « Oui, il m'a certifié qu'il ne me faisait pas venir pour être au bout du banc. J'ai deux missions : apporter quelque chose tout de suite et travailler pour encore progresser. Pour l'instant, il n'y a aucune difficulté entre lui et moi. Au contraire. On se parle beaucoup à l'entraînement. Ce dialogue, je ne l'avais pas à Clermont. »
• Apparemment, les deux premiers matches ont bien marché... « J'ai des statistiques assez complètes mais on vient de faire une contre performance à Cholet. Nous avons été à l'encontre ce que l'on peut montrer ! On a tellement mal joué que l'on ne peut que se reprendre face à Nancy. Quand on évolue à notre rythme, on est difficile à arrêter. »
• Chalon - SLUC, duel au sommet ? « Deux formations qui aiment le jeu offensif et qui savent être efficaces en jouant l'attaque. Lors du précédent exercice, Roanne, Nancy et Chalon ont fini dans le dernier carré. Pour nous, après avoir chuté à Cholet, ce match à domicile est important. Nous sommes même obligés de gagner sinon nous aurons deux revers en trois journées. L'opposition entre ces clubs est toujours spéciale, elle a une petite histoire... »
• Le SLUC, pour vous, signifie quoi maintenant ? « Cyril Julian est l'un des rares à être resté mais je connais bien Pape (Amagou) avec qui j'ai été en sélection France A', Mike Bauer qui a joué avec mon frère à Roanne et... Jean-Luc Monschau, l'entraîneur. Nous n'étions pas les meilleurs amis du monde. Cependant, je ne suis pas parti en claquant la porte et je le respecte beaucoup. »
• Votre frère Pape (à l'Euro avec les Bleus), justement ? « J'ai été le voir la semaine dernière contre Strasbourg. Une heure de route seulement nous sépare. Roanne sera encore fort. Comme Villeurbanne, Chalon et Nancy ! »




Alain THIÉBAUT.
republicain lorrain

Une belle affiche

- Chalon - SLUC ou la rencontre entre le demi-finaliste 2007 (éliminé par Roanne) et le finaliste nancéien.
- L'Elan en est à une victoire et une défaite : le week-end précédent à Cholet (mais les Chalonnais menaient de six points avant le money-time)...
- Ce duel opposera deux formations grandement renouvelées : 50 % pour les Bourguignons (- Diarra et Everett, + Barrett, Rogers, Badiane...), 80 pour les Lorrains.
- Ce match mettra aux prises le doyen des coachs (Jean-Luc Monschau) à l'un des plus anciens (Beugnot).
- Chalon récupère, pour ce match, les 2,11 m de Koné. Ce dernier était suspendu pour usage de cannabis...
- L'équipe de Beugnot est celle de tous les âges : le trio de réels espoirs Hoyaux, Braud, Eleka a 20 ans en moyenne. Les leaders Barrett et Guice (35 ans) ont un peu plus...
- Retrouvailles : celles des Parisiens Samnick et Parker (SLUC) avec Corosine (Chalon).




Paru le : 13-10-2007
republicain lorrain

Merci pour les articles.
Vivement ce soir car ce match s'annonce chaud chaud chaud...

Jean-Luc Monschau : « déjà un vrai test ! »










Quand le numéro un de la saison régulière écoulée se présente chez le troisième, il y a forcément du froissement de tôle dans l'air. « Pour nous, cela va être un vrai test, c'est évident » confirme Jean-Luc Monschau, dont l'équipe débarque au Colisée auréolée de deux probants succès à Clermont (66-80) et sur le nouveau Paris-Levallois (88-76).
« A tout prendre, poursuit le coach nancéien, ce n'était peut-être pas plus mal de débuter à Clermont puis par Paris, deux équipes qui ont, comme nous, complètement renouvelé leur effectif. Maintenant, on sait que ce n'est jamais facile de venir jouer à Chalon. Il ont une équipe très forte et très bien construite et avec le retour de Koné, ils vont être au complet. Pour notre jeune équipe, cela va être un vrai bon test ».
Le public du Colisée aura en effet bien dû mal à reconnaitre une équipe lorraine renouvelée presque de fond en comble après son nouvel échec - le troisième consécutif - en finale à Bercy la saison dernière. A l'exception de l'inusable Cyril Julian, de Victor Samnick et du jeune pivot nigérian Roger Aboubakar-Zaki, tous les autres joueurs ont rejoint la formation drivée par Jean-Luc Monschau à l'inter-saison.
Le gros coup, la formation lorraine l'a sans aucun doute réussi en réussissant à reconstituer le tandem des frères Jeff et Ricardo Greer, dont l'association a déjà fait ses preuves à Strasbourg en 2005. Capables l'un et l'autre de noircir toutes les colonnes statistiques (17 points, 7 rebonds et 4 passes de moyenne pour Ricardo, 11.5 points, 5 rebonds et 4 passes pour Jeff), les deux Dominicains s'affirment avec Cyril Julian comme les leaders et les hommes à tout faire d'une équipe nancéienne qui débarque au Colisée bien décidée à vender sa défaite (86-84) de la saison dernière où elle s'était inclinée au buzzer sur un panier à trois points du jeune Philippe Braud.
« C'est vrai, convient Jean-Luc Monschau, que Jeff et Ricardo ont eu un impact important lors de nos deux premiers matches ; mais c'est vrai aussi qu'on les a beaucoup utilisés ». Au point de reléguer au rôle de simple back-up DJ Harrison, un des trois Américains du club avec le jeune meneur Zabian Dowdell (20 pts, 4 passes c. Paris) et l'ex-Roannais Michael Bauer, que l'Elan aurait bien aimé attirer dans ses filets à l'inter-saison.
« Il ne faut pas se leurrer, observe Gregor Beugnot ; pour gagner il va falloir qu'on sorte un gros match ». Pas l'indigeste brouet servi par son équipe en fin de match à Cholet (74-68). « On doit utiliser notre match à Cholet comme la référence de ce qu'on ne doit pas faire, confirme le coach chalonnais qui a fêté cette semaine son 50e anniversaire. On peut accepter de perdre des matches, mais pas en jouant comme on l'a fait là-bas. Si on veut être conquérant, on doit avoir la volonté d'imposer notre rythme et notre jeu à l'adversaire ». Jermaine et Guice et ses coéquipiers, qui enregistrent le retour de Mohamed Kone, lequel en a terminé avec sa suspension de deux matches, ont-ils reçu le message ? Réponse ce soir à partir de 19 heures.
Pierre Desbois
o Il reste des places pour le match Elan Chalon - Nancy (19 h au Colisée). La location se poursuit ce matin de 10 h à 12 h au siège du club. Billetterie : 03.85.41.16.16.
Ouverture des guichets à 16 h. Match espoirs à 16 h 15. Rappelons qu'à l'issue de la rencontre, les spectateurs pourront assister à la retransmission du match de rugby France - Angleterre sur les quatre écrans (3m x 2m) du Colisée

Lle journal de saône et loire

Merci BACOU

Thanks Bacou. Très complet!

Je viens de lire l'interview de Moussa ...

S'il fait une grande carriere, il le devra a son talent mais pas a ses qualités humaines : sur deux coachs de pro a avec qui il a passé une année entière il ne s'est pas du tout entendu avec l'un et "n'était pas meilleur ami du monde" avec l'autre ...

Enfin si signer le lendemain de la finale ce n'est pas claquer la porte ...


Merci Bacou pour les articles !

Mouais, ça n'a pas trop de fondements ce que tu dis là. Badiane a eu la malchance de tomber sur deux coachs avec lesquels il ne s'entendait pas bien, ça peut arriver. Je ne connais pas bien Toupane mais JLM par contre, on sait tous que ce n'est pas l'entraîneur le plus facile à vivre de la Pro A. Et Badiane n'est qu'un joueur parmi tant d'autres avec lequel ça ne se passe pas trop bien.

babast a écrit:

S'il fait une grande carriere, il le devra a son talent mais pas a ses qualités humaines : sur deux coachs de pro a avec qui il a passé une année entière il ne s'est pas du tout entendu avec l'un et "n'était pas meilleur ami du monde" avec l'autre ...

Enfin si signer le lendemain de la finale ce n'est pas claquer la porte ...

Je ne crois pas que l'on puisse juger des qualités humaines d'une personne par ses relations avec ses entraîneurs. Peu de joueurs s'entendent bien avec leurs coachs. Et puis, c'est d'autant plus normal de ne pas trop aimer son coach quand on ne joue pas beaucoup.

Sinon, signer au lendemain d'une finale perdue, je ne pense pas que l'on puisse appeler ça "claquer la porte". J'appelerais plutôt ça "saisir une opportunité". Il ne faut pas oublier que les joueurs sont quand même avant tout professionels et c'est leur gagne-pain. Donc il n'y a rien de choquant à signer quelque part où l'on pense pouvoir mieux s'exprimer qu'à Nancy. Même après la déception d'une finale perdue.

Zianveni a écrit:

Je ne crois pas que l'on puisse juger des qualités humaines d'une personne par ses relations avec ses entraîneurs. Peu de joueurs s'entendent bien avec leurs coachs. Et puis, c'est d'autant plus normal de ne pas trop aimer son coach quand on ne joue pas beaucoup.

Autant au Sluc il était pas mal mais était derriere Dmac et Julian donc il peut comprendre,autant a Clermont il m'a déçu (car bien entendu j'apprécie le joueur).
De plus quand on débute en pro a on fait en sorte que cela se passe bien avec un coach comme JLM (j'aprécie moins Toupane)

Zianveni a écrit:

Sinon, signer au lendemain d'une finale perdue, je ne pense pas que l'on puisse appeler ça "claquer la porte". J'appelerais plutôt ça "saisir une opportunité". Il ne faut pas oublier que les joueurs sont quand même avant tout professionels et c'est leur gagne-pain. Donc il n'y a rien de choquant à signer quelque part où l'on pense pouvoir mieux s'exprimer qu'à Nancy. Même après la déception d'une finale perdue.

Belle opportunité ... ,ça méritait de foncer !!!

Sur le papier, c'était l'opportunité d'avoir du temps de jeu. Et comme c'est ce qu'il recherchait, le choix n'était pas idiot.

Et puis quand tu dis "faire en sorte que cela se passe bien avec JLM pour sa première année pro", tu m'excuseras mais je peux comprendre qu'il en ait eu marre de n'avoir que très peu de temps de jeu.

babast a écrit:

Zianveni a écrit:

Sinon, signer au lendemain d'une finale perdue, je ne pense pas que l'on puisse appeler ça "claquer la porte". J'appelerais plutôt ça "saisir une opportunité". Il ne faut pas oublier que les joueurs sont quand même avant tout professionels et c'est leur gagne-pain. Donc il n'y a rien de choquant à signer quelque part où l'on pense pouvoir mieux s'exprimer qu'à Nancy. Même après la déception d'une finale perdue.

Belle opportunité ... ,ça méritait de foncer !!!

A l'époque, c'était l'occasion d'avoir des responsabilités et un gros temps de jeu en ProA. C'est pas mal comme opportunité pour un jeune joueur en manque de temps de jeu quand même.

Ca ne s'est pas confirmé dans les faits, mais c'était la situation à l'époque, quand il sortait d'une saison frustrante pour lui.

Mouais ...
Apres avoir regardé ses stats a Clermont c'est vrai que ca peut etre frustrant aussi mais ce que je voulais dire c'est qu'il a signé un peu vite quand même ...
Enfin que se passerait il pour lui si ça se passait mal avec Beugnot (ce que je ne souhaite pas) ?

Je ne sais pas si vous pensez comme moi...Ok le championnat est long, on n'en n'est qu'à la 3ème journée, certes...

Néanmoins, avec tous les résultats d'hier soir, je pense que notre rencontre de ce soir revet déjà une grande importance, car en cas de succès des Couguars ce soir à Chalon, nous marquerions bien notre force pour la phase régulière du championat.
Nous serions la seule équipe avec 3 victoires, tout juste avant de recevoir nos amis de la SIG vendredi...

c'est parti

Très symptomatique de la proA : sur le terrain, il y a 9 Américains et 1 Français. C'est quand même très peu.

Strasbourg a du mal contre Cholet

50% aux LF

TJ Parker y va de son traditionnel 3pts à peine rentré...

+10 après 10', c'est un meilleur début que face à Paris