[Les ex du SLUC]

10pts, 11 passes, 5rebonds pour le retour de Vargas au macabi

quels joueurs autour de lui aussi...

http://www.basketballcl.com/16-17/0301/ASVEL-PAOK-BC#tab=boxscore_statistics

Premier match de Mc Fadden, défait contre l'asvel

tony parker a écrit:

10pts, 11 passes, 5rebonds pour le retour de Vargas au macabi

dans le même championnat, Tucker qui est buzzer beater ce week end, avec 20 pts (5/15 au tirs, 7/8 aux LF et 7 rebonds) - il ne se cache plus enfin ! - et surtout Bell qui cartonne presque pareil chaque semaine mais avec une bien meilleure adresse (là, 21 pts, 7/12 au tir, 5/5 aux LF, 27 d'éval en 33 minutes)

Akingbala en Espagne :
http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/akin-akingbala-rebondit-en-deuxieme-division-espagnole.html

Mc Fadden, 31 pts en 29 minutes avec le PAOK ce soir (5/7 à 2 pts, 5/8 à 3 pts, 6/8 aux LF, 3 INTet 1 BP seulement)

ONDAFACE a écrit:

Mc Fadden, 31 pts en 29 minutes avec le PAOK ce soir (5/7 à 2 pts, 5/8 à 3 pts, 6/8 aux LF, 3 INTet 1 BP seulement)

Au Sluc IL jouait toujours hors système c'est bien qu'il soit parti.
Par contre IL risque de faire des dégâts avec PAOK

ONDAFACE a écrit:

tony parker a écrit:

10pts, 11 passes, 5rebonds pour le retour de Vargas au macabi

dans le même championnat, Tucker qui est buzzer beater ce week end, avec 20 pts (5/15 au tirs, 7/8 aux LF et 7 rebonds) - il ne se cache plus enfin ! - et surtout Bell qui cartonne presque pareil chaque semaine mais avec une bien meilleure adresse (là, 21 pts, 7/12 au tir, 5/5 aux LF, 27 d'éval en 33 minutes)

Bell je sentais qu'il pouvait faire un truc avec nous la saison dernière MAIS IL était barré par Pietrus, Tucker (au début) et Séné quand il jouait poste 2

Sportando : Sutton à Trente officiellement

souvenir, souvenir :

http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/01/25/derrick-lewis-ancien-joueur-du-sluc-nancy

http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/randal-falker-file-en-roumanie.html

Pas la fête pour Falker...

Sinon j'ai eu la chance de croiser Tariq Kirksay à Paris il y a 15 jours au Mama shelter, il venait voir ses potes de Rueil son premier club en France, j'ai passé le message "Nancy loves you, you promised you would come back", il m'a rétorqué avec son éternel sourire nouveau président, nouveau staff et position de relégable.

James a écrit:

http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/randal-falker-file-en-roumanie.html

Pas la fête pour Falker...

Sinon j'ai eu la chance de croiser Tariq Kirksay à Paris il y a 15 jours au Mama shelter, il venait voir ses potes de Rueil son premier club en France, j'ai passé le message "Nancy loves you, you promised you would come back", il m'a rétorqué avec son éternel sourire nouveau président, nouveau staff et position de relégable.

Il vient de signer à Tenerife notre ami Tariq:
http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/a-37-ans--tariq-kirksay-rejoint-la-surprise-espagnole-tenerife.html

Qu’est-ce que tu deviens ? John Linehan, ex-meneur du SLUC Nancy

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Le 01/03/2017 à 05:07
mis à jour à 22:59
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« Je suis assistant-coach dans une université américaine »

Pour le public nancéien, il restera à jamais celui qui a offert le titre de champion au SLUC en 2011, sur un lay-up d’école à une poignée de secondes du gong… John Linehan est entré dans la légende du club nancéien lors de ses cinq saisons passées en Lorraine. Non conservé par le SLUC en décembre 2013, celui que l’on appelle « Le virus » est resté plus d’un an à Nancy, attendant un contrat avant de repartir aux « States ». « J’ai eu quelques touches, mais au fond de moi, j’avais envie de commencer une nouvelle vie dans le coaching. »  Alors, à 38 ans, l’Américain a connu sa première expérience sur un banc au sein de l’université de Temple, avant d’être embauché comme assistant-coach en août dernier par l’Université de Brown. « Une belle expérience », reprend John Linehan. « J’essaie de transmettre mon vécu, ma combativité. » Pas si simple, puisque l’université occupe la dernière place de l’Ivy League en NCAA. « C’est une Ligue difficile », souligne John Linehan. « On a eu des problèmes de blessures et on a perdu des matches en début de saison qui ont affecté notre confiance. Mais le championnat n’est pas fini ! »

Sous contrat jusqu’à la fin de saison, John Linehan ne sait pas encore ce qu’il fera ensuite. Mais il rêve de revenir en France. À… Nancy ! « Ce serait incroyable. J’avais postulé pour être assistant, il y a environ deux ans, mais ça ne s’est pas fait. J’adorerais revenir pour rendre au club un peu de ce qu’il m’a donné. J’y ai mes meilleurs souvenirs. Je suis toujours le SLUC de près. Après toutes ces années à occuper les premières places, c’est décevant de les voir en dernière position. J’espère qu’ils vont rebondir… »
Repères

John Linehan a évolué au SLUC Nancy en 2006/2007 puis entre 2010 et décembre 2013. Le meneur américain a été sacré champion de France avec le club nancéien en 2011, un an après avoir obtenu le titre avec Cholet. Il a également été élu meilleur défenseur du championnat à plusieurs reprises.

A.G.
http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/03/01/john-linehan-ex-meneur-du-sluc-nancy

Ahhhh on aurait bien besoin de la mentalité de John pour secouer le cocotier lorrain en ce moment.

quand on repense à l'effectif qu'on avait cette belle saison 2006/2007, çà fait pleurer quand on voit ce qu'on a maintenant

rien que les lignes arrière par exemple: Linehan, Mili et même Green pendant les playoffs, çà envoyait du gros

Basket-ball - Minimes France Monschau et « ses » gamins à Gentilly
L’ancien coach du SLUC était de retour à Nancy, ce dimanche pour y coacher les U15 de Pfastatt.

Vu 833 fois
Le 06/03/2017 à 05:08
mis à jour à 00:06

En plus de l’équipe première de Pfastatt (N2), Jean-Luc Monschau coache désormais aussi les U15 du club alsacien. Photo Maxime SCHLÉRET
Photo HD

Certes, il n’a eu cette fois que les honneurs de la salle annexe. Il n’empêche, Jean-Luc Monschau a bien coaché à Gentilly, hier après-midi. Presque quatre ans après la dernière fois qu’il s’était assis sur un banc du palais des sports Jean-Weille. C’était un 30 avril 2013, face au Mans…

Le côté original de la scène, c’est que cette fois, c’est avec une dizaine de gamins, les minimes France de Pfastatt, qu’il a débarqué dans l’enceinte chargée de souvenirs. Forcément, il y a claqué quelques bises et serré quelques mains en passant le pas de la porte, vers 12 h 15.

« La personne qui s’occupe des U15 a un empêchement pour terminer la saison. Comme il faut un entraîneur diplômé et que je ne veux pas juste être un prête-nom, je m’occupe d’entraîner les jeunes et de les coacher », explique l’entraîneur alsacien, qui avait évidemment dirigé l’équipe première de Pfastatt (actuellement troisième en N2), la veille face à Besançon. Lorsqu’on a la passion chevillée au corps…

À 65 ans, celui qui a dirigé tant de matches de Pro A et de coupes d’Europe pourrait aspirer à d’autres activités, le dimanche après-midi. « J’ai une femme compréhensive », sourit-il. « On ne peut pas faire un métier ‘’passion’’ sans le soutien de son épouse. Et dès lors qu’on a pris sa retraite professionnelle, si on est encore au bord des parquets le week-end, c’est qu’on prend du plaisir… »

« Je vois le SLUC à la vidéo »

Inutile de préciser que l’ancien « boss » des Couguars ne perd pas une miette de leur parcours actuel : « Il m’arrive de venir aux matches, même si je joue souvent le samedi soir avec Pfastatt. Je vois aussi le SLUC à la vidéo, le plus souvent possible. Je suis très déçu et peiné de la situation actuelle. Mais la saison n’est pas terminée… J’ai vu le match contre Strasbourg, ce matin (hier). Si Nancy joue comme dans le dernier quart-temps contre ses trois prochains adversaires, ça peut le faire… Ce n’est pas foutu ! »

Ha ! Si le retour de l’optimiste Jean-Luc Monschau à Gentilly pouvait annoncer celui du printemps pour le SLUC…

T.S.

Petit article pour ceux qui ne voulaient absolument pas voir Papy Kirksay revenir au Sluc ...
http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/tariq-kirksay-brille-encore--tenerife-cartonne---l-asvel-est-prevenue.html

Demain match face à Tenerife pour l'Asvel, même si je suis en supérieur, même si je suis habitant lyonnais, le Sluc est et restera mon club de coeur ! je vais descendre près du parquet ou limite venir plus tot pour (re)voir Tariq avec un ancien maillot du Sluc sur les épaules! bonne soirée

Pour les Vieux!! Des nouvelles d'un grand joueur du Sluc. Article de l'est de ce matin.

Frédéric Domon, ancien joueur du SLUC


« Directeur sportif à Amiens »

Les fidèles de longue date de Gentilly n'ont pas oublié sa grande silhouette... Normal, Frédéric Domon a porté les couleurs du SLUC Nancy de 1980 à 1991. Aujourd'hui agé de 54 ans, l'ancien intérieur nancéien baigne toujours dans le milieu de la balle orange puisqu'il occupe « un poste de directeur sportif dans le club d'Amiens », qui évolue en N3. « Je suis arrivé en 2005 » explique-t-il, « j'avais vécu un chemin de croix les années précédentes à la fin de ma carrière, mais j'ai eu la chance de rencontrer Olivier Morel, le président du club, qui m'a fait confiance. A l'époque, l'équipe une était en départemental, et on l'a hissée en Nationale ».

Pourtant, c'est à Nancy qu'il s'était imaginer revenir à la fin de sa carrière. « J'ai quitté Nancy en 1991 pour aller à Pau parce que c'était Pau » raconte-t-il, « à l'époque, j'avais un poste de moniteur de sport au sein de la municipalité de Nancy, mais je me suis mis en disponibilité. Je voulais jouer six ans ailleurs, puis revenir à Nancy... Mais finalement, cela ne s'est pas passé comme je le souhaitais ».
Après avoir rejoint Antibes en 1993, Frédéric Domon a en effet vu l'aventure azuréenne finir en eau de boudin en 1997 compte tenu de la situation financière précaire du club et ses projets de retour en Lorraine tomber à l'eau. Mais si Frédéric Domon vit aujourd'hui en Picardie, Nancy reste à jamais gravé dans son cœur. « C'est une des villes que je préfère et c'est le club qui m'a fait » reprend-t-il, « le président Jean-Jacques Eisenbach était un passionné et je le considérais comme un père. Je suis d'ailleurs resté en contact avec ses fils et je reviens dès que je le peux pour voir jouer l'équipe. Je n'ai pas encore pu cette saison mais j'espère que le SLUC se maintiendra ».

A.G. Repères
Frédéric Domon a joué au SLUC de 1980 à 1991 et a disputé 182 matches de Nationale 1 avec le club. Il a ensuite joué à Pau-Orthez (1991-1993), Antibes (1993-1997), Tourcoing en N1 (1997/1998) avant de finir sa carrière de joueur à Esquennoy-Breteuil (N3) en 2000/2001.


A.G.

Quand on voit ce qu'a fait Mipoka avec Rouen et maintenant avec Pau...Il faut savoir donner un peu plus de chance à certains français plutôt que de faire du bricolage.
Mipoka a l'époque où il était chez nous c'etait pas plus cher que Emory.

vince a écrit:

Quand on voit ce qu'a fait Mipoka avec Rouen et maintenant avec Pau...Il faut savoir donner un peu plus de chance à certains français plutôt que de faire du bricolage.
Mipoka a l'époque où il était chez nous c'etait pas plus cher que Emory.

il se "cachait" pas, Mipoka, quand AW le faisait rentrer ses 2 minutes (deuxième partie de saison) ?

Appel du pied de Tariq Kirksay:

Spoiler:

Il l'avait fait aussi en fin de saison dernière pour Nancy.
Dommage, alors qu'en plus il est JLF.
Quasi tout le monde ici le trouvait trop vieux. La preuve que non.

http://www.bebasket.fr/championnat-a-l-etranger/a-39-ans--andy-panko-devient-champion-du-mexique-et-retrouve-un-club.html

À L'ÉTRANGER
À 39 ANS, ANDY PANKO DEVIENT CHAMPION DU MEXIQUE ET RETROUVE UN CLUB
Crédit photo : LNBP
Début de semaine agité, mais productif, pour l'ancien intérieur du SLUC Nancy.

Il semblerait que le poids des années n'ait pas la même emprise sur tout le monde. Toujours performant la saison dernière en Pro A avec Nancy (16 points à 45%, 5,8 rebonds et 2,7 passes décisives), Andy Panko (2,03 m, 40 ans le 29 novembre prochain) a reproduit, peu ou prou, les mêmes standards statistiques au Mexique cette année (16,6 points, 4,6 rebonds et 2,8 passes décisives).

À la simple exception près qu'il a été sacré la nuit dernière champion national avec le Fuerza Regia Monterrey, le tout premier trophée de l'histoire de son club. Et le premier titre collectif pour Andy Panko depuis... 2003, soit 14 ans après le triomphe des Dakota Wizards en CBA. Nul doute que le MVP de la Liga Endesa 2012 ne doit pas regretter de ne pas être revenu à Nancy, actuellement bon dernier de Pro A, alors même qu'il le souhaitait en novembre dernier.

Futur coéquipier de Nate Robinson

Et ce n'est pas tout ! Moins de 24h après avoir remporté la finale aux dépens de Soles (4-2), Andy Panko a officialisé sa signature au Venezuela, chez le club champion en titre, Guaros, auteur d'un début de saison médiocre (déjà six défaites après onze rencontres).

Dans ce qui sera le neuvième pays de sa carrière, le natif d'Harrisburg, en Pennsylvanie, fera équipe avec Russell Carter, champion de NM1 en 2013 avec Orchies et bien connu à Gravelines-Dunkerque, et surtout avec Nate Robinson, l'une des figures les plus emblématiques du monde de la balle orange, lui aussi tout juste recruté par Guaros. Non vraiment, Andy Panko n'a pas passé la pire journée qui soit..