[TA Euroleague] 11-12 :: Le Couguar mange du Basque !

Et si on perd demain de - de 10 points, on sera toujours 4ème

Il n'y a que le panier average global qui ne compte pour l'instant. Le PA particulier, ce sera pour faire les comptes, à la toute fin.

JC a écrit:

L'info du jour : Sylla sera là. Bien.

oui et s'il joue il sera le 1er seychellois à disputer l'Euroleague :cheers:
source
http://www.catch-and-shoot.com/sylla-sera-aligne-face-au-caja-laboral-8741.html
Sylla sera aligné face au Caja Laboral

Publié le 10/11/2011 à 00:18 par Jean-Christophe Moal

Turkish Airlines Euroleague - Avant SLUC Nancy vs. CAJA Laboral Vitoria (Esp.)

Écarté des parquets depuis la toute fin de la préparation estivale avec le SLUC Nancy (6,1 points en 12 matches de préparation) suite à une petite fracture de la main gauche, le jeune intérieur Abdel Kader Sylla (21 ans - 2,05 mètres), qui avait repris le chemin de l'entraînement il y a peu, devrait être aligné dès demain soir face au CAJA Laboral Vitoria (Espagne) selon L'Est Républicain du jour.


Excellent avec les Espoirs la saison passée (15,2 points à 53,8% aux tirs, 10,8 rebonds, 2,3 contres, 1,2 interceptions et 2,3 passes en 33,7'), A.K. Sylla s'était également montré avec l'équipe professionnelle (3 matches joués pour 2,7 points, 2,7 rebonds et 1 contre en 9'), notamment à Toulon lors de la 27e journée de saison régulière du Championnat de France, alors que Akin Akingbala n'était pas apte à jouer. Il avait cumulé 8 points à 50% aux tirs, 5 rebonds, 2 contres, 1 interception et 1 passe en 20'.

À noter que le médaillé d'or (et MVP de la finale remportée 68 à 63 face à Mayotte) des derniers Jeux des îles de l'Océan Indien avec les Seychelles, s'il est aligné face aux Espagnols, deviendrait le tout premier seychellois à disputer l'Euroleague !

Face à Teletovic ou Seraphin je crains que ça ne soit pas pour ce soir pour Sylla

Une victoire sera un pas important pour la qualification

Bonne chance

Le SLUC en rêve tout haut

Nancy. Depuis l’exploit de Bilbao, depuis cette seconde mi-temps à Istanbul face à l’opulent Fenerbahçe où le hold-up à la turque se dessinait sur le Bosphore, depuis que le SLUC a renvoyé dimanche Tony Parker à son business entre Paris et Villeurbanne, on se prend à y croire.

Une seule question a d’ailleurs peuplé les dernières nuits des amoureux du SLUC. Nicolas Batum et ses copains peuvent-il battre Vitoria, poids lourd du Vieux Continent, quart de finaliste de l’Euroligue depuis sept ans, présent au Final Four en 2008, 2009 et 2010 et dont le budget, l’effectif, les infrastructures laissent rêveur les dirigeants nancéiens ?

Quand on pense que le Conseil de Surveillance du SLUC veut utiliser les retombées financières du titre, de la qualification en Euroligue et de l’engagement de Batum (télévision, recettes publicitaires, recettes guichets) pour… recapitaliser le club plutôt que de recruter. On est loin effectivement des priorités du Caja Laboral de Vitoria.

Il y a encore un mois, on aurait dit impossible. Mais depuis ce premier match référence face à Bilbao, depuis que les joueurs de Jean-Luc Monschau sont montés en régime, depuis que Pape-Philippe Amagou et Victor Samnick ont retrouvé leur meilleur niveau, on se dit que le coup est jouable, que Vitoria invaincu certes (trois matches, trois victoires) et considéré comme le club phare de la poule, n’a pas le calibre, l’envergure des géants comme Barcelone, Panathinaïkos ou même Sienne venus, il y a trois ans à Gentilly, écraser le petit SLUC : « La mission proposée à l’époque, était impossible face à ces trois équipes. Maintenant pour battre Vitoria, il faudra être au taquet, être à 100 %. Nous n’avons pas le choix. A fond dans l’agressivité. Une agressivité porteuse, capable de nous libérer comme de nous transcender sans oublier, comme on l’a bien fait à Villeurbanne, de donner plus de variations dans l’exécution de notre jeu d’attaque. Ce sera notre défi. Il ne faudra surtout pas laisser les Basques mettre leur jeu en place car leur effectif sur le papier est impressionnant. Et le talent ne manque pas dans cette équipe », prévient Jean-Luc Monschau qui récite déjà par cœur, les points forts et les points… moins forts de Vitoria comme s’il parlait de son équipe.

« Teletovic est monstrueux »

Un joueur revient inlassablement dans la discussion : Mirza Teletovic (21,7 points de moyenne), intérieur bosnien, meilleur marqueur actuel de l’Euroligue devant Nicolas Batum.

Longtemps réputé pour son shoot à trois points malgré ses 2,06 m, Teletovic a sérieusement bonifié son registre : « Merveilleux shooteur, il était un peu… soft. Aujourd’hui, il est devenu beaucoup plus agressif, n’a pas hésité à dunker sur la tête à Shermadini, le pivot de Cantu qui fait tout de même 2,16 m. Il est tout simplement monstrueux », insiste le coach du SLUC qui a ciblé le gaillard à l’encre rouge en séance vidéo.

Mais Vitoria, c’est aussi un collectif doublé à tous les postes avec les Américains Brad Oleson, Reggie Williams, Richard Dorsey, les internationaux Séraphin (France), Milko Bjelica (Serbie), le champion olympique argentin à Athènes Pablo Prigioni, San Emeterio (Espagne), considéré comme l’âme du club, lui qui donna le titre espagnol à Vitoria devant Barcelone en… 2010 d’une série de shoots historiques.

Un club basque qui bat en finale de la prestigieuse ACB, le Barça de la Catalogne, bonjour le coup d’état !
Mettre le feu…

Une victoire placerait le SLUC en position favorable pour espérer se qualifier pour le Top 16 dans un groupe d’une homogénéité exceptionnelle.

Un groupe dans lequel le moindre revers à domicile, peut vite devenir problématique. Vitoria qui est pour l’heure, la seule équipe au chaud, dans ce groupe avec son succès à Istanbul et ses deux victoires à domicile, n’a pas, à l’inverse, l’obligation de s’imposer même si un succès à Nancy, lui déroulerait le tapis rouge.

Ancien coach de Limoges (99-2000), Dusko Ivanovic connaît le championnat de France, situe aussi la valeur du SLUC même si dans une récente interview, il en rajoutait un peu, ça fait partie du jeu : « Nancy a non seulement une belle équipe, mais il peut ambitionner très raisonnablement le Top 16. Il n’y a pas que Batum dans cette équipe. »

Et comment ! Même si Nicolas sera le fer de lance d’une équipe nancéienne qui s’est entraînée au complet (c’est rare) avec le retour d’Amagou, Akingbala, Shuler (petites entorses), Grant (dos) et celui qu’on n’attendait plus : Abdel Sylla qui n’a pas encore joué un match officiel cette saison : « Dès demain, il peut nous rendre service. J’aurais aimé l’utiliser déjà à Istanbul avec la blessure d’Akin (Akingbala) », ajoute coach Monschau qui gardera le mot de la fin : « C’est merveilleux pour le club de jouer des matches de ce niveau. »

Gentilly qui sera plein à craquer, devra être le sixième homme. Car il faudra bien être 6 contre 5 pour gagner. Aux heureux supporters nancéiens, si gâtés de vivre cette sublime aventure européenne de transformer Gentilly en volcan. Nicolas Batum, ne l’oublions pas, a quitté l’Amérique, pour vivre ça.

Gilles GAIHIER

Au pied de la montagne

Nancy accueille aujourd’hui le club espagnol de Vitoria, grand d’Europe et leader invaincu de la poule. Le SLUC a-t-il ses chances ?

L’Espagne, en sport, parade partout. Le football, le cyclisme, le basket… Pas un podium européen, mondial ou olympique sans un air de castagnettes. Dans la plus prestigieuse compétition du Vieux Continent, ce pays affiche même une présence insolente : 5 clubs sur 24, soit 20 % du peloton… Aussi énorme que révélateur d’une domination sans partage ou d’une puissance de feu qui perdure. Plus riche, plus fort, plus haut.
GRAND ANGLE

Vitoria, capitale du Pays basque, ne bénéficie pas de l’aura du Real Madrid ou de Barcelone. A cause de la variation de ses appellations peut-être, qui suivent la volonté des sponsors. Tau Vitoria est devenu Caja Laboral, le vrai nom étant Baskania… Pourtant, sur le terrain, l’équipe possède l’aura des surdoués : deux finales d’Euroligue pour cinq présences dans l’ultime carré d’as. Au-delà des Pyrénées, Vitoria rime avec excellence depuis les trois couronnes conquises (la dernière en 2010) au cœur d’une folle concurrence.

De stars en vedettes (Foirest, Scola, Nocioni, Oberto, Garbajosa, Calderon, Splitter…), la formation du redoutable Dusan Ivanovic ne fera-t-elle qu’une bouchée du SLUC Nancy, opposant plutôt novice dans la cour des rois ? Pas si sûr à en croire le coach légendaire de Vitoria : « En dépit de nos succès précédents, je ne pense pas que le quatrième sera le plus évident à obtenir. Parce que Nancy est une grosse équipe qui développe un très bon jeu de transition, qui possède des joueurs athlétiques. Personne ne doit penser que le SLUC se résume à Nicolas Batum. C’est un bloc solide comme le prouve son parcours dans son championnat national. »

Pluie d’étoiles

Son ami et homologue Jean-Luc Monschau appréciera le coup de brosse à reluire. Mais Dusan Ivanovic craint aussi les manques des siens. Certes, Vitoria est invaincu sur l’échiquier international. Ses triomphes, cependant, sont frappés du sceau de la fragilité : + 2 face à l’Olympiakos Athènes, + 12 devant les Italiens de Cantu, + 3 contre Fenerbahçe Istanbul. Des marges étriquées confirmées par les deux revers en six journées de championnat d’Espagne. Ce roc aurait donc des failles. « Nous sommes en progrès, avoue Dusan Ivanovic. Il s’agira de rester sur ce chemin. Nous manquons encore de fluidité dans les phases offensives. »

Un secteur où les Lorrains se sentent, en revanche, de mieux en mieux : « Oui, nous devenons performants. Nicolas Batum trouve mieux ses coéquipiers et vice versa. Il a plus de temps pour entreprendre ses actions. On fait tout pour qu’il en soit ainsi », assure le technicien de Gentilly. La prestation du joueur NBA, à Villeurbanne, témoigne de cette symbiose en flèche : « C’était mon meilleur match en Pro A, le plus complet, le plus accompli. J’ai un peu réglé mon problème de balles perdues et j’ai une meilleure adresse ».

Vitoria est plus que jamais prévenu des dangers nancéiens depuis que le voisin Bilbao a été passé à la moulinette : Batum mais aussi Linehan, qui a battu le record d’Euroligue, sur un match, de passes décisives la semaine précédente à Istanbul (15), et Moerman capable de capter quinze rebonds en une seule rencontre…

Bien sûr, le premier de la classe française devra oublier les sunlights de Villeurbanne qui ont mis en pleine lumière l’exceptionnelle adresse d’Amagou ou Samnick (ça n’arrivera pas tous les jours), pour se rappeler que les trous d’air, à ce niveau, peuvent s’avérer méchants (- 24 à Istanbul avant la pause). Vitoria, à l’effectif très renouvelé (six recrues), ne peut qu’affiner, avec le temps, sa réunion des multiples talents. Entre le duo hexagonal Heurtel-Séraphin, le top-scoreur de l’Euroligue Teletovic (21,6 points de moyenne), le médaillé olympique Prigioni, les internationaux San Emeterio et Bjelica, sans oublier le tandem NBA Williams (Warriors)-Dorsey (de Memphis à Toronto). Sous cette pluie d’étoiles, le SLUC serait inspiré de marcher au sec. En cas de défaite, il quitterait, momentanément, le quarté plus de la poule. Celui qui permet de plus longues chevauchées européennes.

Alain THIÉBAUT.

Foirest : « Vitoria est un grand d’Europe »
L’actuel directeur sportif de Villeurbanne a été sacré champion d’Espagne sous les couleurs de Vitoria.

Laurent Foirest, quatre ans à Vitoria, cela laisse de grands souvenirs ? « Sur le plan basket, oui. Un grand club avec lequel je suis monté sur le toit de l’Europe. On ne peut avoir que de bons souvenirs quand on devient champion d’Espagne et que l’on a disputé la finale de l’Euroligue. »

• A l’époque, dans les années 2000, vous étiez entraîné par Dusan Ivanovic, revenu aux affaires depuis 2008… « Un coach très dur qui demande beaucoup à ses joueurs jusqu’à atteindre les limites humaines. Par contre, il connaît très bien le basket ! »

• Et vos illustres coéquipiers ? « Oberto, Scola, Tomasevic… »

« Fans de sport et de basket »

• Le basket espagnol que l’on vante tant est-il si différent du basket français ? « Oui, oui… Des joueurs vraiment talentueux. Leur jeu est au-dessus par sa vitesse, sa technique. Les salles sont grandes et pleines, remplies parfois avec 90 % d’abonnés. Les Espagnols sont des fans de sport et de basket. Les matches sont souvent à guichets fermés, à Vitoria comme à Malaga ou ailleurs. Donc, cela n’a rien à voir avec la France. »

• Vitoria, selon vous, est toujours l’un des gros clubs d’Europe ? « Totalement, il vient d’être sacré champion d’Espagne voici peu et a atteint le Final four de l’Euroligue. Ce sont des preuves infaillibles. Ce n’est pas du jour au lendemain que l’on va voir Vitoria, un grand d’Europe qui a beaucoup de moyens, disparaître ! »

• Vous venez de voir le SLUC vaincre Villeurbanne sous vos yeux. Nancy a-t-il ses chances ? « En tout cas, il faudra que le SLUC produise son meilleur basket pour espérer gagner car techniquement et tactiquement, Vitoria est aujourd’hui nettement au-dessus. Néanmoins, en sport, un gros match de la part du plus faible est toujours possible ! »

• Heurtel a été villeurbannais sans jouer car prêté. Des regrets maintenant qu’il a signé à… Vitoria ? « Non, pas spécialement. Il voulait rester en Espagne. On n’a pas l’habitude d’aller à l’encontre des joueurs et nous n’avions pas non plus besoin de lui à tout prix. »

Laurent Foirest a été six fois champion de France de 1991 à 2009, une fois champion d’Espagne, finaliste de l’Euroligue avec Vitoria, médaillé olympique en 2000, a connu 150 sélections en bleu, disputé quatre Euros et un Mondial.

A. T.

Séraphin, ça déménage !
Exilé depuis un an, aux Etats-Unis et aujourd’hui en Espagne, Kevin Séraphin retrouve la France le temps d’un match d’Euroligue à Nancy. Attention, le pivot de Vitoria est en pleine forme !

Sept cents kilomètres séparent Cholet de Nancy mais le chemin qu’a emprunté Kevin Séraphin pour revenir en Lorraine a été beaucoup plus long.

Arrivé en métropole à l’âge de quatorze ans, le Guyanais a quitté Cholet l’année dernière pour les Washington Wizards et la NBA, où on salivait depuis des années sur son gabarit XL, haut (2,06 m) et surtout très large.

En difficulté au début, le jeune pivot de vingt et un ans a terminé la saison sur une note prometteuse avant que la chape du lock-out ne s’abatte sur la NBA. « Je n’ai aucune nouvelle, je suis ça dans la presse comme tout le monde », explique l’intérieur qui repartira aux Etats-Unis dès la fin de la grève.

En attendant, il a trouvé refuge en Europe, et pas n’importe où. En contact avec Cholet, il a finalement préféré Vitoria, un grand d’Espagne et du Vieux continent, la seule équipe à avoir joué tous les quarts de finale de l’Euroligue depuis 2005.

« On a choisi cette équipe parce qu’elle n’avait pas de gros poste 5 (pivot). Et Bouna (Ndiaye, son agent) a pensé que ça pouvait coller avec Dusko Ivanovic », le légendaire entraîneur serbe, réputé pour son intransigeance. « Les anciens disent qu’il est moins dur mais il est déjà extrême. Je n’ose pas imaginer comment c’était avant », se marre Séraphin qui, même s’il ne parlait pas un mot d’espagnol, a rapidement pris ses marques au pays basque.

En 6 matches de championnat, il présente une moyenne de 5,5 points et 1,2 rebond qui traduit mal son impact défensif. C’est surtout en Euroligue qu’il brille avec 11,7 points et 6 rebonds en seulement 19 minutes en 3 matches.
« Excité de revenir »

« Je me suis bien intégré. Je suis titulaire, on me fait confiance. Dusko aime les joueurs qui jouent dur et ne trichent pas. Et à l’entraînement, je bosse. Ici il n’y a pas beaucoup de gens qui parlent anglais. Mais Dusko parle français et Thomas m’aide aussi. Ça a facilité mon intégration. »

Thomas, c’est Thomas Heurtel, jeune meneur de jeu français, né comme lui en 1989, qui apprend son métier avec Pablo Prigioni dont il est la doublure.

« Il joue à un poste pas facile, qui demande de la maturité, mais il se débrouille bien. Il va progresser », dit Séraphin qui a, lui, explosé cet été à l’Euro, où son gabarit de déménageur a aidé les Bleus à décrocher l’argent. « C’est ce qui manquait au basket français. On voit bien l’ampleur que ça a pris. Et ici on sent qu’il y a plus de respect pour l’équipe de France. »

Revenir au pays dans ce contexte est un vrai plaisir. « Je suis très excité. Je savais avant de signer qu’on allait se retrouver avec Nicolas (Batum). Je vais aussi croiser John (Linehan) avec qui j’ai joué à Cholet », glisse Kevin Séraphin. Standing de son club oblige, il ne vise « rien d’autre que la victoire à Nancy pour rester invaincu en Euroligue ».

Citation :

Quand on pense que le Conseil de Surveillance du SLUC veut utiliser les retombées financières du titre, de la qualification en Euroligue et de l’engagement de Batum (télévision, recettes publicitaires, recettes guichets) pour… recapitaliser le club plutôt que de recruter.

Voilà, nous sommes désormais fixés.

Foirest pffffff,on n'avait pas besoin de lui à tout prix en parlant d'Heurtel,tout le monde le voulait cet été en Espagne mais l'Asvel ils peuvent s'en passer mdr

JC a écrit:

Citation :

Quand on pense que le Conseil de Surveillance du SLUC veut utiliser les retombées financières du titre, de la qualification en Euroligue et de l’engagement de Batum (télévision, recettes publicitaires, recettes guichets) pour… recapitaliser le club plutôt que de recruter.

Voilà, nous sommes désormais fixés.

Ouais c'est peut étre la saison ou il y'a le plus la place pour passer et on n'en profite pas,un top 16 c'est pas rien quand méme,mais bon quand on entend Monschau se plaindre de son effectif réduit on voit bien que si ça ne tenait qu'a lui il prendrai un joueur de plus.

Putain en tout cas nos belles victoires contre Bilbao et l'Asvel attirent les boulets sur le blog de Monclar, si eva08 et stratix54 lisez ce message, mettez du plomb dans la cervelle au lieu de faire passer notre club pour de la...

vince a écrit:

JC a écrit:

Citation :

Quand on pense que le Conseil de Surveillance du SLUC veut utiliser les retombées financières du titre, de la qualification en Euroligue et de l’engagement de Batum (télévision, recettes publicitaires, recettes guichets) pour… recapitaliser le club plutôt que de recruter.

Voilà, nous sommes désormais fixés.

Ouais c'est peut étre la saison ou il y'a le plus la place pour passer et on n'en profite pas,un top 16 c'est pas rien quand méme,mais bon quand on entend Monschau se plaindre de son effectif réduit on voit bien que si ça ne tenait qu'a lui il prendrai un joueur de plus.

Si participer au Top 16 avait pour conséquence, autre que sportive et médiatique, de récupérer des droits TV supplémentaires, je suis certain que le club aurait recruté. Mais là, comme rien de plus ne sera attribué, autan garder l'argent de côté, histoire de ne pas mettre le club dans la mouise l'été prochain. On ne sait jamais.

PTB a écrit:

Le SLUC en rêve tout haut

...
Gentilly qui sera plein à craquer, devra être le sixième homme. Car il faudra bien être 6 contre 5 pour gagner. Aux heureux supporters nancéiens, si gâtés de vivre cette sublime aventure européenne de transformer Gentilly en volcan. Nicolas Batum, ne l’oublions pas, a quitté l’Amérique, pour vivre ça.

Gilles GAIHIER

On a gagné à 5 contre 8 à Villeurbanne mais ce soir il faudra être 9 pour gagner, pas 6

C'est quand même un sacré morceau qui attend le Sluc ce soir. Si on bat Vitoria, avec tous les petits pépins physique de ces derniers jours, on pourra dire que le Sluc est vraiment très fort...!!

Bonjour a tous!

Eh EH ,je vais enfin voir Nico sous les couleurs du Sluc, :cheers: ,

Désolé mais.... j'ai pas pu résister à la tentation de vous montrer la futur salle de Vitoria (qui est en réalité un agrandissement de l'actuelle Buesa Arena)

Jul54 a écrit:

Putain en tout cas nos belles victoires contre Bilbao et l'Asvel attirent les boulets sur le blog de Monclar, si eva08 et stratix54 lisez ce message, mettez du plomb dans la cervelle au lieu de faire passer notre club pour de la...

Ouais j'ai vu ca hier....

De vrais boulets qui se permettent de dire "on" et de faire passer tous les supp's nanceens pour des crétins arrogants et paranoiaques.

Beaufs finis.

5NancyBoy4 a écrit:

Jul54 a écrit:

Putain en tout cas nos belles victoires contre Bilbao et l'Asvel attirent les boulets sur le blog de Monclar, si eva08 et stratix54 lisez ce message, mettez du plomb dans la cervelle au lieu de faire passer notre club pour de la...

Ouais j'ai vu ca hier....

De vrais boulets qui se permettent de dire "on" et de faire passer tous les supp's nanceens pour des crétins arrogants et paranoiaques.

Beaufs finis.

Uép, surtout que Monclar est toujours la à répondre aux questions de chacun sans se défiler...

La pression monte
Je viens d'aller sur le site de off pour voir le nombre de paces dispo :
Ds le titre 1000 places dispos ... et ds l'article ils parlent de 100
Je suis allé voir la resa et il reste 96 places en additionnant les places dispos par bloc.
Un petit guichet fermé ce soir ?

Gros match pour l'occasion j'enfile mon maillot champion de france 2011 + 3 pulls
Aller les couguars !

EDIT: Le titre sur le site off est modifié , c'est maintenant 100 places dispo

15 minutes avant le départ pour Gentilly, première fois de la saison !
Mes cordes vocales sont prêtes, j'espère que le Sluc fera un gros match, l'excitation est là...

Il va y avoir une ambiance de fou

je debarque chez moi,bonsoir à tous et allez nancy...je peux me tromper mais ils vont le faire plus 2

20h45 et sur Sport+ c'est encore Efes-Maccabi