[ProA - J28] SLUC Nancy bat EO45, 75-78 (42-45)

Nancy peut y croire
Tchicamboud a appuyé sur l’accélérateur quand il le fallait, au début de la deuxième période. Dijon n’a pas résisté au meneur nancéien.

L’équipe lorraine, bien aidée par des rivaux qui flanchent, est relancée pour le top 4 offrant un avantage indéniable pour les playoffs. Mais il s’agira de s’imposer à Orléans, vendredi…

I l ne faut pas trop épiloguer sur ce match », avouait Jean-Luc Monschau, entraîneur réaliste dont l’expérience lui permet très vite de prendre du recul. Que sa formation se débarrasse de Dijon, il n’y a rien de plus normal. Par 24 points d’écart ? Logique. Nancy a simplement imité les équipes qui ont reçu les Bourguignons vaincus à l’extérieur depuis onze matchs par le même écart…

Doit-on se montrer déçu par la prestation des Nancéiens ? « Dijon venait de gagner trois de ses cinq dernières rencontres et on a vu pourquoi lors de la première mi-temps. Cet adversaire a du caractère, croit encore au maintien. On s’est rendu compte du danger à la pause où on s’est dit qu’il nous fallait prendre les choses en main. On a su intensifier notre défense dans le troisième quart-temps » et ce zeste d’agressivité supplémentaire a coulé ces valeureux visiteurs qui ont peut-être bénéficié de la clémence, involontaire des Lorrains : « Jouer un rival avec autant de blessés, on compatit, on n’a pas la dureté exigée », glissait, philosophe, le coach de Gentilly.

Le tournant à Orléans

Bien sûr, le Sluc était au-dessus, et n’a pas eu besoin de faire « prendre des risques à Slaughter », à peine remis d’une entorse à la cheville. Alors, s’agit-il d’un simple succès ? A voir. Ce duel a permis de relancer Akingbala (34 minutes de temps de jeu), de faire souffler Tchicamboud et donner sa chance à N’Joya (22 minutes, 3/3 aux tirs, 2 fautes provoquées, 4 passes décisives).

En revanche, pour Cox, Dickens, Bengaber, les temps continuent d’être difficiles. Et Dijon ou pas, les clés de la maison ont été, comme d’habitude confiées aux frères Greer !

Disposer sans trembler de la lanterne rouge peut pourtant rapporter gros quand vos concurrents directs au classement se ramassent piteusement. Les échecs, inattendus, de Gravelines devant Strasbourg (dans le Nord SVP !) et d’Orléans à Poitiers, ont relancé le Sluc dans la course au top 4 qui aura la vertu d’offrir à ses pensionnaires cet avantage évident : recevoir lors du match d’appui.

Jean-Luc Monschau de dicter la marche à suivre à trois journées de la fin : « Vaincre à Orléans (vendredi) est une condition nécessaire mais pas suffisante. » Car il ‘agira de dominer Gravelines dans la foulée. Une place pour trois donc, si on considère que Roanne (un point de plus) est hors d’atteinte.

On peut de nouveau imaginer le meilleur. Deux succès face aux Orléanais et aux Gravelinois, pourraient même, en cas de faux-pas de Roanne, déboucher sur la troisième marche du podium. Nancy s’apprête à jouer sa saison régulière et sans doute ses playoffs, sur le seul match d’Orléans… L’heure de vérité n’a jjamais été aussi proche.
A. T.

Publié le 19/04/2010
http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sport/article/3011497,81/Nancy-peut-y-croire.html

Pro A : Trois cols pour finir



Pour rêver du top 4 et de l'avantage du terrain en quarts de finale des play-offs, le SLUC doit gagner sa dernière étape de montagne avec trois cols : Orléans, Gravelines et Poitiers.


NANCY._ Jean-Luc Monschau n'a pas souhaité en rajouter. Il connaît les difficultés que traverse la JDA un de ses anciens clubs. Il a simplement apprécié la prise de conscience de son équipe après le repos, apprécié que sa défense mette les pendules à l'heure après le repos : « Dijon n'a mis que cinq points en neuf minutes et demi. C'est une bonne stat. On s'est rendu compte qu'on pouvait être en danger. Maintenant, passons à autre chose, à ces trois derniers matches (Orléans, Gravelines et Poitiers) qui vont nous réserver une place sur la grille de départ des play-offs. Trois matches de haut niveau, contre trois équipes toutes concernées. »
Le SLUC reprend l'entraînement ce matin avec une idée fixe : le top 4, ce privilège inestimable qui donne l'avantage du terrain lors des quarts de finale des play-offs. Pour y parvenir, le SLUC n'a pas le choix : gagner ses trois matches même si les défaites d'Orléans à Poitiers et de Gravelines devant Strasbourg, ont éclairci l'horizon nancéien : « Disons que les résultats du jour nous permettent encore de passer devant Gravelines même si on perd à Orléans en raison du panier-average, à condition bien sûr de s'imposer aussi à Poitiers qui aura peut-être assuré avant ce dernier match, sa participation aux play-offs. »
Mais n'allez surtout pas croire que le SLUC gamberge, calcule, et recalcule. Il ne veut penser qu'à ce choc contre Orléans, avec en tête un esprit de revanche : « Cette défaite à domicile contre Orléans alors que nous possédions dix-sept points d'avance à sept minutes de la fin, pèse lourd, très lourd », reconnaît Monschau.
On se souvient qu'Orléans dominé, surclassé même pendant trente-trois minutes, s'en était sorti blanc comme neige grâce notamment à deux paniers primés miraculeux d'Anthony Dobbins, pourtant loin d'être un spécialiste derrière la ligne des 6,25 m.



Akingbala retrouve le sourire


On ne va tirer trop d'enseignements de cette large et indiscutable victoire contre une équipe de Dijon trop amoindrie (Bogavac, Mbaye, Krupalija, Fazekas blessés, Bradford, Bradley partis) pour rivaliser avec l'armada nancéienne.
On retiendra toutefois la bonne tenue d'Akin Akingbala qu'on a revu solide dans la lutte aux rebonds : « Si on excepte le match à domicile contre Le Mans, on a rarement pu obtenir simultanément le meilleur rendement d'Akin (Akingbala) et de Marcus (Slaughter). Marcus a été blessé, avant de revenir fort au moment où Akin a souffert du dos puis du genou. J'aimerais tant pouvoir bénéficier du potentiel de mes deux pivots pour le sprint final de la saison régulière et pour les play-offs », ajoute Monschau.
Autre satisfaction, les progrès de Seydou N'Joya, en jeu comme à l'entraînement. Même si le SLUC a besoin d'un grand, d'un bon Tchicamboud en manque de réussite actuellement (0/3 à trois points) mais toujours là pour concrétiser ses interceptions comme dans le deuxième quart-temps, il peut aujourd'hui compter sur N'Joya. Le gamin prend confiance.
Enfin, il a semblé que Kaniel Dickens, pénalisé par les fautes, ait retrouvé le moral. Son adresse extérieure doit être un plus comme ce fut le cas à Paris, à Gravelines. Pourquoi pas vendredi à Orléans devant les spécialistes du genre : Banks, Nichols, Doellman, Moerman ?

Gilles GAIHIER



Est republicain

Une fin de saison passionnante...
Il reste trois matchs,
Trois matchs difficiles dont deux contre des adversaires directs.
Trois matchs à gagner pour espérer se positionner dans le Top4.

Le Sluc a son destin en main et à cette heure, on ne peut que regretter la défaite assez bête quand on y pense face à Hyères-Toulon par exemple. Ou encore et surtout celle face à Orléans alors que le SLUC menait de 17pts avant de perdre totalement les pédales...
Dommage, car alors, le Top4 serait assuré et on parlerait probablement plus de la 1ère place.

Hélas..., mais nous ne sommes pas tout à fait les seuls à balbutier : Tiens Gravelines qui perd à domicile face à la SIG qui du coup assure quasi son maintien...
Tiens Orléans qui semble moins bien tourner depuis quelques matchs (petite victoire tirée par les cheveux à Rouen, puis défaite à Strasbourg (encore ) et puis petite victoire face à Gravelines sans récupérer le panier average, large défaite à Poitiers... il y a peut-être finalement un coup à jouer là-bas !
D'autant qu'Orléans n'est pas royal à domicile (9v-4d)...

Bon et puis Monschau respire... car finalement même les coachs réputés meilleurs que lui ont du mal dans cette ProA ou vraiment on a l'impression que tout le monde peut battre tout le monde
Regardez JD Jackson qui gère mal le money-time, Kiki Monschau ne pas assurer quand il le faut, Philippe Hervé (le magnifique) perdre les pédales à Poitiers, Collet mal gérer son effectif...
Bon d'accord, il y a Maître Kunter qui est pour moi Coach de l'année !

Ce match face à Orléans est crucial... saurons-nous le jouer ? Saurons nous garder la maîtrise de notre basket qui nous échappe parfois ? Saurons nous assurer dans ce match décisif ?

Mon frére Jacques, méme si on m'accuse d etre trop pessimiste nos dernieres rencontres a enjeu vraiement fort nous les avons toutes perdues!! Esperons qu'Orléans soit dans un plus mauvais jour que nous, honnétement je les vois mal perdre deux fois de suite, souhaite me tromper!!

Jeff....va nous mettre 3 paniers au buzzer... ....il aime bien jouer à Orléans.....

On perd 9 fois sur 10 les matchs décisifs...

C'est les matchs perdu alors qu'on avait 15pts d'avance qui nous poussent à faire tout ces calculs.
Les matchs télévisé, il y a toujours un joueur qui prend feu, rarement côté SLUC. (sauf final 2008 avec Jeff)

Orléans.....par exemple!!!!!

Jul54 a écrit:

On perd 9 fois sur 10 les matchs décisifs...

Donc reste quand même une petite chance

Peut-être que les matchs précédents ne plaident pas en notre faveur... moi je dis peu importe, ce qui compte c'est ce qui vient, après il sera temps de faire des commentaires et des conclusions...
A ce jour, tout reste possible... et c'est déjà ça !

Jacques l eternel optimiste, une victoire en plus et nous n en serions pas la...comme l année passé ,l histoire se répéte et trop souvent pour nous!! mais je veux bien te croire frére Jacques tant que le match reste a jouer il reste de l espoir meme qu 'un peu!!

Cedrick Banks le « serial- shooteur »



L'ex-Nancéien, qui avait manqué sa fin de saison au SLUC, fait depuis deux ans le bonheur d'Orléans malgré trois finales perdues. Attention, ça dégaine très vite.

Nancy. Arrivé de Besançon avec un titre de MVP de Pro B, il a vite déchaîné les passions à Gentilly au début de l'automne 2006. Rappelez-vous. Deux premiers matches avec le SLUC, deux cartons : 19,5 points de moyenne et un 10 sur 15 à trois points.
Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.
Les Ross Land (2001-2002), Meriguet (2002-2003), Vinson (2003-2004) et Hoover (2004-2005) n'ont pas convaincu. Cedrick Banks allume, lui, sans état d'âme et dans tous les sens jusqu'à Noël. « Contre nous à Strasbourg ce jour-là, il aurait pu shooter des vestiaires. Son tir est instinctif, inné », se souvient coach Éric Girard, aujourd'hui entraîneur du CSP Limoges et qui retrouvera Banks en demi-finale de la Coupe de France, le 28 avril.
Ce 14 octobre 2006, l'ancien étudiant de Chicago flingue tous azimuts au Rhénus : 36 points, dont un 7/12 à trois points. Le SLUC marche au super. Mais après la trêve, Cedrick va connaître une période moins folle pour terminer à 12 points de moyenne, aujourd'hui son rendement le plus faible depuis qu'il est en France (voir repères).
Il perd sa première finale du championnat de France, et la troisième du SLUC, contre Roanne, part pour Israël avant de revenir à Orléans où il brille depuis maintenant deux saisons. « Cedrick n'est pas qu'un shooteur. Il drive, il court et il défend », dit de lui Philippe Hervé qui ne regrette surtout pas d'avoir conservé son Américain après la déception de Bercy.



« Des appuis très rapides »
Deux finales manquées au POPB (2006 et 2009) qui s'ajoutent aux deux finales gâchées à la Semaine des As (2009 et 2010). Cedrick Banks serait-il un looser ?
C'est oublier que l'arrière de l'Entente orléanaise a tourné cette saison à 11,9 points de moyenne en Euroligue, avec notamment un 41,4 % à trois points et des performances remarquables devant le Partizan Belgrade, aujourd'hui au final four de Paris (19 points, 4/6 à trois points) ou à Malaga (23 points dont 5/8 à trois points).
« C'est un gros scoreur aux appuis très rapides, ce qui le rend difficile à défendre. Un shooteur en série qui, s'il met un panier, peut enchaîner », insiste Erman Kunter, l'entraîneur de Cholet, aujourd'hui leader de la Pro A.
Jean-Luc Monschau, qui connaît bien Cedrick Banks et pour cause, s'en méfie donc comme de la peste avant de retourner dans le Loiret : « C'est un joueur qui possède une grande confiance, même lorsqu'il est en échec. Contre Gravelines, il est à 0/9 à trois points avant de réussir son dixième shoot dans le money-time. Cedrick va très vite. Il est capable d'aller dribbler sur les écrans et de shooter derrière. Jeff (Greer) a le meilleur profil de l'équipe pour défendre sur lui ».
Au match aller, Banks avait mis 15 points avec un 3/9 à trois points, dont un si précieux dans ce final dramatique pour le SLUC (perdu 84-80 a.p. après avoir eu 17 points d'avance à 7' de la fin). Jeff sait ce qui lui reste à faire.

Coulisses

Batigere. C'est à Essey, dans le quartier Mouzimpré, qu'aura lieu cet après-midi la grande journée avec Batigère dans le cadre de son tournoi de basket de rue. Toute l'équipe du SLUC et le staff participeront aux différents ateliers, barbecue géant et dédicaces. Début du challenge Batigère (16 h), concours de lancers francs. 17 h : remise des récompenses.
Slaughter. Pas question de prendre le moindre risque avec la cheville de Marcus Slaughter. Le pivot du SLUC ne rependra l'entraînement qu'aujourd'hui. Tchicamboud et les frères Greer ont soigné des bobos sans gravité.
Récompense. L'équipe de Philippe Hervé a reçu le Trophée Fred-Leblanc qui récompense le sportif ou l'équipe de l'année dans le département du Loiret. Rappelons qu'Orléans a été finaliste de la Semaine des As et du championnat de France 2009 et qualifié pour l'Euroligue.


Gilles GAIHIER



Est républicain

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

bacou a écrit:

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

Surtout à son époque nancéienne... La phrase fait rire quand même

bacou a écrit:

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

Pas si sûr, il faut encore rappeller une fois encore que James Banks au SLUC, c'était essentiellement de la Pro B. Je sais qu'il est un monstre sacré à Nancy et sur le forum parce qu'il a marqué les esprits, mais le niveau en face était peut être moins élevé que maintenant.

Ouais pitetre mais James on ne peut pas le comparer avec personne, de par ses performances bien sur mais aussi pour avoir participé à la genèse des plus belles années du club .

Rasheed Wallace a écrit:

bacou a écrit:

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

Pas si sûr, il faut encore rappeller une fois encore que James Banks au SLUC, c'était essentiellement de la Pro B. Je sais qu'il est un monstre sacré à Nancy et sur le forum parce qu'il a marqué les esprits, mais le niveau en face était peut être moins élevé que maintenant.

Nan désolée , James n'a joué qu'en pro B avec le Sluc , je suis tout de même d'accord avec toi, ce n'est pas comparable avec le niveau actuel en pro B... , mais l'état d'esprit (et la combativité de ce joueur) était différent , bref, L'est a fait une comparaison malheureuse entre un monsieur qui a emmené le sluc en pro A et un autre qui a son compteur titre à zéro

hubert-felix thie a écrit:

Jacques l eternel optimiste, une victoire en plus et nous n en serions pas la...comme l année passé ,l histoire se répéte et trop souvent pour nous!! mais je veux bien te croire frére Jacques tant que le match reste a jouer il reste de l espoir meme qu 'un peu!!

En fait je ne suis pas optimiste... mais seulement pragmatique !
Effectivement on peut encore se classer dans le Top4... donc quand il y a de la vie, il y a de l'espoir dit-on.
Maintenant c'est vrai que c'est un peu dommage d'en être seulement là... avec deux ou trois défaites de moins (et c'était dans nos cordes) on jouerai pour le Top2!!!

Rasheed Wallace a écrit:

bacou a écrit:

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

Pas si sûr, il faut encore rappeller une fois encore que James Banks au SLUC, c'était essentiellement de la Pro B. Je sais qu'il est un monstre sacré à Nancy et sur le forum parce qu'il a marqué les esprits, mais le niveau en face était peut être moins élevé que maintenant.

j'imagine que toi qui sais tout sur tout tu l'as vu joué pour aligner les évidences comme çà...

Finalement, au delà du potentiel classement du SLUC avec deux/trois défaites en moins (à domicile surtout), c'est le format des PO qui dérange. Car cela aura beau être un nouveau championnat, ce sera vraiment trop court.

Bref, il y a un coup à jouer à Orléans. Il n'y a pas de raison qu'on ne puisse pas les battre chez eux.

Rasheed Wallace a écrit:

...il faut encore rappeller une fois encore que James Banks au SLUC, c'était essentiellement de la Pro B. Je sais qu'il est un monstre sacré à Nancy et sur le forum parce qu'il a marqué les esprits, mais le niveau en face était peut être moins élevé que maintenant.

Ah James c'était quand même quelque chose...
Je me souviens d'un match de ProB de la saison 1989-90... James Banks jouait alors à Berck et ce club avait mis deux pâtées au SLUC avec un Banks a plus de 35pts dans chacun des deux matchs...
Cette saison là il a quand même terminé à 33,8pts de moyenne sur 28 matchs de ProB !!! (Il jouait d'ailleur cette saison avec le fameux Cédrick Miller qui a terminé en France à plus de 40 ans) et Jérôme Keita frère d'Amadou et père de Mathis Keita jeune meneur du SLUC actuellement au Centre Fédéral...)
Bref... je m'éloigne du sujet !

Banks arrivait alors l'année suivante à Nancy :
Saison 90-91 : NANCY 14ème/17
Banks : 32 matchs, 30,4pts de moyenne à 55% de réussite (6rb+4passes)!
Saison 91-92 : NANCY 5ème sur 14
Banks : 26 matchs, 23,9pts à 56% (4,5rb+4,4passes)(avec Ronnie Smith qui a joué en EdF puis à Pau quand même !
Saison 92-93 : NANCY 4ème sur 14
Banks : 26 matchs, 26pts à 59% (5rb+4passes) !!!
Saison 93-94 : NANCY 1er et Champion de ProB
Banks : 34 matchs, 23,4pts à 59% (4rb + 4passes) !!!

Des stats totalement incroyables et qui ont laissé une trace indélébile 15 ans après son départ !
Seul regrêt : ne pas avoir fait confiance à James lors de notre première saison de ProA... A ce jour, je n'ai toujours pas compris !

Et le regretté JJE avait déclaré bien plus tard que c'était son plus grand regret de ne pas avoir cru en lui pour la Pro A ...

lolo a écrit:

Et le regretté JJE avait déclaré bien plus tard que c'était son plus grand regret de ne pas avoir cru en lui pour la Pro A ...

Et Olivier Veyrat avait avoué une grande erreur...

J'aimerai bien moi que JLM avoue ses erreurs parfois!!! A moins qu -il croit ne pas en commettre!!!!

JC a écrit:

Finalement, au delà du potentiel classement du SLUC avec deux/trois défaites en moins (à domicile surtout), c'est le format des PO qui dérange. Car cela aura beau être un nouveau championnat, ce sera vraiment trop court.

Bref, il y a un coup à jouer à Orléans. Il n'y a pas de raison qu'on ne puisse pas les battre chez eux.

Peu importe JC pour avoir une bonne chance d aller a Bercy fallait perdre moins de matchs bétement maintenant si nous terminons 4 il y a de fortes chances qu Orléans termine 5 donc retrouvailles!!!! A moins que gravelines.....

bacou a écrit:

Rasheed Wallace a écrit:

bacou a écrit:

ER a écrit:

Cedrick Banks, fils virtuel de James, idole du Palais Jean-Weille entre 1990 et 1994 avec ses 3.000 points et des poussières, est enfin arrivé. Le SLUC, qui cherchait son « serial-shooteur » depuis longtemps, a cette fois déniché l'oiseau rare.


Est républicain

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties, Cédric n'a ni le talent, ni la classe, ni les stats de James

Pas si sûr, il faut encore rappeller une fois encore que James Banks au SLUC, c'était essentiellement de la Pro B. Je sais qu'il est un monstre sacré à Nancy et sur le forum parce qu'il a marqué les esprits, mais le niveau en face était peut être moins élevé que maintenant.

Nan désolée , James n'a joué qu'en pro B avec le Sluc , je suis tout de même d'accord avec toi, ce n'est pas comparable avec le niveau actuel en pro B... , mais l'état d'esprit (et la combativité de ce joueur) était différent , bref, L'est a fait une comparaison malheureuse entre un monsieur qui a emmené le sluc en pro A et un autre qui a son compteur titre à zéro

Effectivement, le comparaison "fils virtuel de James Banks" dans l'article n'a pas trop lieu d'être.