[ProA - J11] Strasbourg IG 93 (38) - (34) 78 SLUC Nancy

Basket-ball / Cyril Julian avant SIG - Nancy, demain (16h)




Les derniers feux du volcan


Le pivot nancéien vivra peut-être sa dernière au Rhenus, demain. Loin d'afficher le profil d'un préretraité, Cyril Julian constituera le point d'ancrage de la raquette du SLUC.







C'est dans les vieux pots que l'on prépare les meilleures soupes, paraît-il. Ces temps-ci, ce n'est pas loin d'être les vieilles branches qui égayent la Pro A, assurément. Cyril Julian, 34 ans, près de 400 matches de championnat au compteur, se consacre peut-être à son ultime millésime, le 15e.
Il n'en constitue pas moins la pierre angulaire d'un cador du championnat, en visite au Rhenus, ce dimanche. Benson prié de faire ses valises (lire encadré), c'est avec un couteau entre les dents qu'il viendra filocher. Et un papy des parquets de 2,05 m et d'un bon quintal peut allègrement s'apparenter à une arme de dissuasion massive.
Le Castrais de naissance ne constitue néanmoins pas la quintessence du bourrin des raquettes. Accessoirement, l'homme au palmarès long comme un jour sans pain ou un quart temps sans panier s'est toujours illustré pour entretenir la marque plutôt qu'empêcher l'adversaire de scorer.
En la matière, le pivot nancéien sait toujours y faire. Il a pu souffrir à la sortie de l'été, en délicatesse avec ses orteils. « En fait, j'ai signé mon contrat et donc intégré le collectif tardivement, soulignait-il cette semaine, à l'heure de la sieste de la marmaille et à la veille d'une production majeure face à Sopot (13 points, 14 rebonds). Ensuite, il n'était pas question pour Nancy que je me consacre à une opération chirurgicale. C'est donc ma dernière sur le circuit. »
Et le basket français peut verser une (grosse) larme à l'avance. Entre un physique de déménageur, des tatouages impressionnants et d'habiles mains, il laissera un grand vide en quittant les parquets. Mais loin d'anticiper cette retraite sportive, Julian apprécie l'instant présent. Et il y a de quoi. Avec un 34 d'évaluation face à Dijon dimanche dernier, le pivot sait encore faire mal. « J'utilise le temps de jeu que l'on me donne, lâche-t-il dans un sous-entendu à l'adresse de son coach avec qui il entretient des relations particulières. Mais il est clair qu'il y a encore du plaisir et qu'une sélection au All Star Game l'entretient. »
Le joueur sera de la fête organisée à Bercy, entre Noël et Nouvel an. Il y croisera Sciarra, Foirest ou Risacher, les anciens combattants aux restes reluisants. Le quartette était du sommet olympique de 2000 (médaille d'argent). Il peut regarder la France du basket avec condescendance.
« Avec Sarre, tout n'a pas toujours été rose »

« Ce n'est pas très flatteur pour la jeune génération, poursuit le MVP français de Pro A en 2006 et 2007. Elle est peut-être obnubilée par la NBA. » Au cours de ses pérégrinations à cheval sur les deux siècles, Julian est resté fidèle à l'Hexagone. Il a connu un incontestable pic, celui d'un club, Pau-Orthez, avec un triplé championnat - semaine des As - coupe de France, en 2003. « C'était une sacrée expérience avec Frédéric Sarre, rappelle-t-il sans verser dans le faux semblant. Il exigeait beaucoup, parce que c'est un entraîneur qui vit basket 24 heures sur 24. Tout n'a pas toujours été rose. Mais c'est quelqu'un que j'apprécie. »
Et les retrouvailles dominicales ne risquent pas de trancher avec les habitudes. Julian envisage le « classico » avec gourmandise : « Les gens en font une rencontre mythique, mais les joueurs et les dirigeants s'apprécient. Il y aura de l'intensité et du beau jeu et, quel que soit le verdict, il n'y aura pas de rancoeur, ni de haine. »
Il y aura certainement quelques regrets : celui d'avoir vu la probable dernière de Julian en ces lieux.


François Namur


La billetterie fonctionne ce matin, de 10h à 12h, au siège de la SIG, rue de Solignac, et à la boutique au Rhenus.


Les DNA

bacou a écrit:

On n'a pas aimé

•Apprendre que le deuil avait une nouvelle fois frappé le SLUC. Après Lamayn Wilson, c'est Steed Tchicamboud qui vient d'avoir la douleur de perdre un proche. Nos condoléances.

Est republicain

Je ne sais pas si Tchicamboud sera là demain (toutes mes condoléances) mais pourquoi ne pas tenter Seidou comme meneur#2 derrière Cox ? Benson ayant libéré une place d'étranger dans l'équipe, il pourrait tout à fait rentrer en jeu. Ca reste un match à l'extérieur, qui plus est un derby, donc ça m'étonnerait que JLM le frileux prenne ce risque.


Merci bacou

Theseus a écrit:

bacou a écrit:

On n'a pas aimé

•Apprendre que le deuil avait une nouvelle fois frappé le SLUC. Après Lamayn Wilson, c'est Steed Tchicamboud qui vient d'avoir la douleur de perdre un proche. Nos condoléances.

Est republicain

Je ne sais pas si Tchicamboud sera là demain (toutes mes condoléances) mais pourquoi ne pas tenter Seidou comme meneur#2 derrière Cox ? Benson ayant libéré une place d'étranger dans l'équipe, il pourrait tout à fait rentrer en jeu. Ca reste un match à l'extérieur, qui plus est un derby, donc ça m'étonnerait que JLM le frileux prenne ce risque.


Merci bacou

Seidou va jouer je le crois...
Une bonne chose pour lui si cette éventualité se confirme en réalité...
A partir du moment où on aura créé un écart, tu verras il va enfoncer le clou!

Je pencherai + vers un duo Cox -Ricardo a la méne , contre Sopot 7 passes décisives de Ricardo pas mal pour un soliste

Supporter Couguars a écrit:

Theseus a écrit:

bacou a écrit:

On n'a pas aimé

•Apprendre que le deuil avait une nouvelle fois frappé le SLUC. Après Lamayn Wilson, c'est Steed Tchicamboud qui vient d'avoir la douleur de perdre un proche. Nos condoléances.

Est republicain

Je ne sais pas si Tchicamboud sera là demain (toutes mes condoléances) mais pourquoi ne pas tenter Seidou comme meneur#2 derrière Cox ? Benson ayant libéré une place d'étranger dans l'équipe, il pourrait tout à fait rentrer en jeu. Ca reste un match à l'extérieur, qui plus est un derby, donc ça m'étonnerait que JLM le frileux prenne ce risque.


Merci bacou

Seidou va jouer je le crois...
Une bonne chose pour lui si cette éventualité se confirme en réalité...
A partir du moment où on aura créé un écart, tu verras il va enfoncer le clou!

Surtout que Seidou en début de saison avait mangé Essart et Darrigan à Gentilly

En méme temps pas besoin d'etre un ogre pour "manger" Darrigan et Essart

Bel hommage des DNA à Julian

Woui mais il était seul au poste 1 avec 35 mn jouées

bacou a écrit:

Woui mais il était seul au poste 1 avec 35 mn jouées

Cyril au poste 1 ça c'est une idée si Steed est absent Bacou

Nan... Elle avait pas vu mon post

Mais CJ en 1, c'est pas plus mal que RG en meneur non ???

OK je sors ---->

Wild Thing a écrit:

bacou a écrit:

Woui mais il était seul au poste 1 avec 35 mn jouées

Cyril au poste 1 ça c'est une idée si Steed est absent Bacou

Ba woui je ne reprends pas forcement le post mwoua faut lever la tête sur l'écran pour lire les posts du dessus des fois

Même si les plus chaudes années de la rivalité strasbourgo-nancéienne semblent remonter aux années 2005-2006, le derby de ce dimanche devrait valoir son intérêt, tant les Sigmen aiment à signer des coups d'éclat face à leurs voisins lorrains. Et pourtant, ces deux clubs, qui trustaient les premières places de la Pro A, ont suvi des trajectoires radicalement différentes. Si les Couguars sont restés au sommet, jusqu'à conquérir le titre suprême, les Sigmen n'ont cessé de déchoir, jusqu'à une triste douzième place la saison passée. Avec une SIG incapable à ce jour de l'emporter face aux cadors du championnat (Orléans, Le Mans, l'ASVEL, Roanne), le match paraît déséquilibré au premier abord.




Ce déséquilibre s'explique d'abord et avant tout par la qualité de l'effectif lorrain, probablement le plus talentueux de France.
Au poste 1, Amagou et Dowdell partis à l'étranger, le SLUC a misé sur deux faux meneurs talentueux. Si Steed Tchicamboud (1.93 m, 27 ans) peut être considéré comme un meneur puncheur et scoreur, en revanche, John Cox (1.94 m, 27 ans) est clairement un 2 repositionné à la mène, avec plus ou moins de succès.
A l'arrière, l'ancien Sigman Jeff Greer (1.95 m, 29 ans) fait désormais équipe avec l'un des meilleurs 2 français, Michel Morandais (1.93 m, 29 ans) dont c'est la première saison professionnelle dans l'hexagone.
En 3, le tout puissant Ricardo Greer (1.95 m, 30 ans) a les clefs de l'équipe.
En 4, le très talentueux scoreur Lamayn Wilson (2.03 m, 28 ans) cohabite avec le plus défensif Victor Samnick (2.01 m, 29 ans).
Enfin, en 5, la triplette initiale n'est plus que doublette après le départ du talenteux blogueur Rob Benson, qui était moins à son avantage sur les parquets. Si Roger Zaki (2.15 m, 20 ans) ne confirme pas tous les espoirs placés en lui, le "Warrior", Cyril Julian (2.05 m, 34 ans) est dans une forme éblouissante, en particulier en Euroligue.
Le tout reste coaché par le Régional de l'étape, Jean-Luc Monschau.



Après une décevante défaite chez le promu rouennais, le SLUC recevait une JDA Dijon requinquée après un début de saison difficile. Dans un match très serré (22-23 ; 38-39), la JDA croyait avoir pris le match par le bon bout (50-57 à la 30'). Mais Ricardo Greer marquait le panier décisif et assurait l'essentiel pour le SLUC, à savoir la victoire à la maison (76-74). Dominateurs sous les panneaux (41 à 32, 64.7 % à 2 pts contre 44.1 % aux Dijonnais), les Couguars ont laissé pas mal de points aux lancers (14/23) et ont eu quelques difficultés à contenir les shooteurs Dijonnais (3/6 pour Cope, 2/3 pour Krupalja, 2/5 pour M'Baye). Individuellement, les deux tauliers de l'équipe nancéienne furent Cyril Julian, auteur de 20 pts à 8/9, 12 rbds et Ricardo Greer (20 pts à 8/18, 10 rbds, 5 pds, 3 ints).




Nancy ne truste pas les meilleures places pour rien. La très grande majorité des indicateurs sont en sa faveur. Le SLUC est une équipe énorme aux rebonds, solide en défense et très forte en attaque. On ne décèle pas vraiment de scories dans ce bel édifice.



Ne vous méprenez pas sur les statistiques solides mais modestes au regard du potentiel de Julian. Il est actuellement en pleine bourre : il a enchaîné 21 pts à 9/11, 7 rbds, 3 ints contre Sienne, 18 pts à 8/13, 7 rbds, 2 ints contre Barcelone, 20 pts à 8/9, 12 rbds contre Dijon puis 13 pts à 6/14, 14 rbds, 5 ints contre Sopot. A contrario, David a été miné par les fautes face à Roanne, après un début de match tonitruant (8 pts à 100 % en 3'), terminant à 13 pts, 3 rbds en 24'. David devra réaliser un gros match dans tous les secteurs. S'il parvient à dominer le poste 5, la route se dégagera pour la SIG, tant Julian paraît fondamental au collectif lorrain.




La paire de meneurs nancéienne est des plus atypiques. En effet, le choix de Jean-Luc Monschau a été de privilégier le talent au profil type du meneur organisateur. Partant du principe que Ricardo Greer était le véritable créateur de l'équipe, le staff a porté son choix sur deux joueurs à vocation offensive, ce qui n'a pas toujours été un succès tant que l'axe 1-5 a été faible, notamment en Euroligue. Steed Tchicamboud (1.93 m, 27 ans) est un meneur de grande taille, avec un shoot erratique, mais beaucoup de punch et d'envie, notamment en défense. Ses stats : 7.5 pts à 56 % à 2 pts, 30 % à 3 pts, 2.4 rbds, 2.7 pds en 18' (7.8 d'évaluation).
John Cox (1.94 m, 27 ans) est même un véritable arrière, comme son illustre cousin. Pas toujours à l'aise à la mène où il a eu tendance à privilégier la passe au détriment de son jeu propre, il a touché le fond en Euroligue, si l'on excepte son dernier match. En championnat, malgré une certaine irrégularité, il est plus à son avantage, grâce à la qualité de son shoot. Ses stats : 10.1 pts à 51 %, 36 % à 3 pts, 2.4 rbds, 3.0 pds en 24' (9.0 d'évaluation).
Au fond du gouffre Gauthier n'apporte plus grand'chose pour venir en aide au très méritant Steeve, qui a signé l'un de ses plus beaux matches à Roanne (15 d'évaluation). Face à ces deux puncheurs, la SIG aura besoin de ses deux meneurs. Egalité sur ce poste.





La paire d'arrières du SLUC regroupe deux joueurs solidement référencés à l'échelon national. Jeff Greer (1.95 m, 29 ans), bien connu du Rhénus, ne confirme pas son niveau de la saison passée. En concurrence avec Cox et Morandais au poste 2, il peine un peu, à l'image de sa saison d'Euroligue avec la SIG. Toutefois, on sait que ce féroce défenseur peut devenir un shooteur de premier plan, les soirs où ça veut rigoler. Ses stats : 7.3 pts à 50 % à 2 pts, 28 % à 3 pts, 2.1 rbds, 2.0 pds en 24' (6.9 d'évaluation)
Après avoir bourlingué dans pas mal de championnats (NCAA, Italie, Espagne), Michel Morandais (1.93 m, 29 ans) réalise sa première saison en France. Pas toujours à l'aise dans le collectif balbutiant du SLUC, en particulier en Euroligue, il semble lui aussi retrouver confiance et trouver sa place. Capable de grosses séries à 3 pts, il sera un danger permanent.
Ses stats : 7.7 pts à 40 % à 2 pts, 42 % à 3 pts, 3.1 rbds, 1.2 pds en 21' (7.1 d'évaluation).
Prophète en son pays sur les terres de son ancien fief roannais, Brion retrouve petit à petit de la confiance, lui qui vient d'être sélectionné pour le All Star Game. Inversement, la belle série de Derrick s'est achevée sur une prestation sans relief (0 d'évaluation en 16'). Avantage SIG.




Deuxième dans l'élection du MVP étranger du championnat l'an passé derrière Marc Salyers, Ricardo Greer (1.95 m, 30 ans) est encore énorme et décisif cette saison en Pro A. Le Dominicain reste le formidable puncheur, l'ailier polyvalent et le leader vocal que l'on a connu à Strasbourg. Comme en plus, il s'est doté d'un shoot à 3 pts précis, il peut être inarrêtable. Ses stats : 15.2 pts à 49 % à 2 pts, 40 % à 3 pts, 7.7 rbds, 4.0 pds en 35' (17.7 d'évaluation).
Côté SIG, la régularité et la polyvalence de John sont de véritables atouts. Quant à Elson, il y a fort peu de chances qu'il puisse jouer, a fortiori avoir un grand rôle dimanche. Avantage Nancy.




Outre Ricardo Greer, le SLUC compte un autre joueur énorme cette saison, Lamayn Wilson (2.03 m, 28 ans). 2e évaluation de Pro A, l'ancien choletais et villeurbannais est un joueur très efficace, finisseur incroyable, aux dimensions athlétiques presques inégalées en Pro A. Ses stats : 16.9 pts à 61 % à 2 pts, 43 % à 3 pts, 6.6 rbds, 1.6 pds en 34' (20.3 d'évaluation)
Après deux saisons où il est monté en puissance, Victor Samnick (2.01 m, 29 ans) est un des tauliers de l'équipe, le joueur qui va faire le sale boulot au profit des scoreurs qui l'entourent. Capable de dépanner en 5, Victor est un vrai bon joueur de Pro A. Ses stats : 11.6 pts à 60 % à 2 pts, 22 % à 3 pts, 6.2 rbds, 1.2 pds en 23' (14.7 d'évaluation)
Face à un tel duo, Sacha aura du boulot, d'autant plus qu'il est le seul 4 de l'effectif. Il devrait souffrir ! Avantage Nancy.




Après des débuts discrets, et quelques critiques en interne, Cyril Julian (2.05 m, 34 ans) a démontré sur le terrain qu'il était probablement le meilleur 5 français du championnat. Avec sa main droite ravageuse, son sens du rebond et sa combativité jamais prise en défaut, il est le poste 5 dont le SLUC a besoin. Ses stats : 7.2 pts à 68 %, 3.6 rbds, 0.3 pds en 14' (10.0 d'évaluation)
Prospect scouté par le TAU Vitoria, doté d'un physique sans commune mesure en Pro A, Roger Zaki (2.15 m, 20 ans) n'a pas encore confirmé la confiance placée en lui par JLM, malgré ses réels progrès. Son physique avait fait beaucoup de mal aux Sigmen lors du match amical de présaison à Gentilly. Ses stats : 3.0 pts à 62 % à 2 pts, 1.9 rbds, 0.2 pds en 9' (3.9 d'évaluation).
Massacrés par les fautes et par un Mohammed Koné survolté (28 d'évaluation), les deux pivots strasbourgeois ont bu la tasse à Roanne. David a pourtant pesé en attaque, à défaut de le faire aux rebonds et en défense. Quant à Rob, ses 5 fautes en 11' l'ont empêché de soulager l'équipe dans ces deux derniers secteurs. Egalité sur ce poste.

Si le SLUC n'a pas toujours rassuré sur les ondes de Sport en milieu de semaine, il n'empêche qu'en Pro A, peu d'équipes peuvent jouer les yeux dans les yeux avec lui, tant le roster compte de talents. Alors certes, l'axe 1-5, les shooteurs n'ont pas toujours confirmé. Les deux plus grands ennemis du SLUC, en témoignent ses deux derniers matches en Pro A (défaite à Rouen, victoire de deux points face à Dijon), ce sont l'excès de confiance et la fatigue. La SIG aura donc fort à faire. Les statistiques n'incitent guère à l'optimisme. En effet, ces dernières saisons, le SLUC a toujours gagné le match aller, la SIG le match retour. En voilà une série qu'il faudrait faire cesser !

Que le meilleur gagne !

On tourne à 66.5 aux lancers

Hélas... Y'a que Gravelines, Rouen et Vichy qui soient plus pitoyables que nous dans ce secteur...

Ben quand tu vois Morandais qui tape 83% aux LF avant Dijon et qui fait 1/5... On est globalement fâché avec l'adresse depuis le début de saison.

Et comme en plus on va recuperer un pivot, qui en theorie est moins adroit qu'un exterieur...

@ Corpus....Le vent tourne quelque fois...

Merci à moi67 :cheers: Il y aura environ 200 "nancéiens" demain alors l'appui du Rhenus

Pi poste 1, tu as aussi Seidou hein

Comme d'hab super prés moi67
Bon j'ai un peu tiqué sur l'égalité entre les meneurs de la SIG et ceux du SLUC mais ça doit être un mauvais réflexe de ma part
Et concernant les lancers, c'est assez étrange: on n'a jamais trop eu une équipe bonne aux lf... Heureusement que la SIG ne peut pas trop se permettre de faire des fautes au vu de son manque de profondeur d'effectif.

Au fait quelqu'un sait si ça se jouera à guichet fermé, pasque j'ai pas encore mes places , et j'ai pas trop envie de faire le pied de grue avec un bretzel devant un guichet desespèrement clos

J'ai un doute sur les passes décisives et les balles perdues aussi...

En effet, après vérification, on ne distribue "que" 15,6 passes par rencontre contre 13,6 balles perdues. En fait, on a progressé dans ce dernier domaine (4e formation tenant le mieux le cuir), ce qui témoigne d'un collectif encore en rodage et moins à risque, moins fou-fou et spectaculaire qu'auparavant, d'où le nombre faiblard de passes par rapport aux quatre dernières saisons (10e).

Un manque de confiance et de collectif donc - la résultante d'un poste "5" défaillant jusqu'à ce que Julian ne nous sorte des matches de gala - qui explique aussi les nombreux trous d'air au niveau de l'adresse.

Le pourcentage moyen de nos adversaires est très surprenant en tous cas. C'est ça aussi défendre : laisser l'équipe adverse faire un peu comme on a fait quelque fois en ce début de saison finalement. C'est à dire pilonner à trois points, sans alterner le jeu et vraiment peser sous le cercle, et multiplier les phases de "1x1", donc des tirs forcés.

est-ce que Steed joue demain?

J'ai cru comprendre que non d'après le post de supporter cougars ...

lolo a écrit:

Au fait quelqu'un sait si ça se jouera à guichet fermé, pasque j'ai pas encore mes places , et j'ai pas trop envie de faire le pied de grue avec un bretzel devant un guichet desespèrement clos

Hum hum , c'est pas maintenant qu'il faut ci prendre hein

Honnêtement, je pense que l'on ne sera pas complet au Rhénus. Le public a un peu déserté la salle, du fait des turbulences de la saison passée et du manque de résultat. A mon avis, les retardataires n'auront aucun souci pour trouver des places. Sinon, il reste le marché de Noël...

Pourtant j'ai tout prevu, mon dico alsaco-français, mes quiches lorraines, ma pancarte "c'est qui les champions", mais les places, là non