On a aimé
•L'accueil réservé par le public palois à Cyril Julian et Ricardo Greer. Passés à l'Elan, les deux joueurs ont eu droit à une belle ovation à la présentation des équipes.
•Apprendre que les joueurs s'étaient réunis tous ensemble samedi pour faire le point. Chaque joueur a pris la parole, a pu dire ce qu'il avait sur le coeur. Une séance d'autocritique qui a porté ses fruits.
•Le geste de Cyril Julian qui a offert son t-shirt à un jeune handicapé palois qu'il connaît depuis plusieurs années. Comme il n'en avait pas de rechange, le pivot nancéien s'est retrouvé avec sa seule veste de survêtement pour le retour en avion. Heureusement que la météo était douce...
On n'a pas aimé
•Le manque de présence des Nancéiens au rebond défensif. Le SLUC en a essaimé 16 dimanche, laissant notamment les jeunes Raposo et Vaty faire pitance sous leurs panneaux. Au final, c'est Pau qui a remporté de très peu la bataille des panneaux avec 41 rebonds contre 40 pour le SLUC.
•L'affluence décevante au Palais des Sports. Un peu moins de 5000 spectateurs, ce n'est a priori pas si mal... Sauf que la salle paloise peut accueillir plus de 8000 personnes, que l'affiche avait de l'allure avec la venue du champion de France en titre, qu'il n'y avait la concurrence ni du foot ni du rugby et que les anciens du club avaient préparé une grande fête avant et après le match.
•Voir un monument comme Pau-Orthez aussi mal en points. Après quatre journées, l'Elan ne compte aucune victoire et a déjà utilisé deux de ses trois jokers disponibles.
Est republicain
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La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.
Woody Allen