[Coupe ULEB J7] P. Valencia bat SLUC Nancy 93 (49) à 92 (43)

philippe strasbourgeois a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

dedemax54 a écrit:

Je viens de faire un petit tour sur le site de l'ULEB. Le SLUC est pour le moment le 3ème des quatrièmes : 2 équipes sont à 4v 3d et les 6 autres à 3v 4d; NANCY a le meilleur goal average général de ces 6 équipes (+32); il faut attendre le résultat de RIGA-KIEV ce soir pour avoir les classements complets après 7 journées.

NB : 5 quatrièmes sur 9 seront qualifiés pour les seizièmes.

Savez vous si pour ce tirage des 1/16 de finale ULEB, le classement en poule dégage des équipes protégées qui s'éviteront ou si c'est un tirage intégral...?

il y aura des equipes protegees et le SLUC tombera sur la SIG..........
tu parles d'une protection........

On te propose un echange Amagou(0 pd HIER) contre Darrigand ( 3 d eval)...... on pis on change pas

bacou a écrit:

A chaud

« ça se joue à rien »











• Jean-Luc Monschau : « C'était un beau match. Les dirigeants espagnols nous disaient après la partie que c'était le plus beau match qu'ils aient vu cette saison à Valence, toutes compétitions confondues. C'était un match spectaculaire qui se joue à rien. On peut trouver le point qui nous manque de 36 manières différentes. On a longtemps joué le style de match qu'on voulait imposer, à savoir, jouer en rythme, avec beaucoup de course. On savait qu'avec ce style, ça ferait un score élevé, mais on pensait que c'était de cette manière qu'on avait le plus de chance de gagner. On a simplement été « tués » par la performance exceptionnelle de Shammond Williams ».

Pfff, c'est clair, c'était vraiment un match magnifique comme seule l'ULEB peut nous fournir. Certainement le plus beau du SLUC cette saison, malgré la défaite. Avoir joué à ce niveau dans la salle du 5ème de Liga ACB sans CJ, c'est très grand.

Coupe ULEB : Après Valence - SLUC (93-92)

L'âme du capitaine


Une nouvelle fois irréprochable mardi, Ricardo Greer s'affirme match après match comme le leader naturel du SLUC. Un leader à qui le brassard de capitaine va à merveille...






VALENCE (De notre envoyé spécial). _ Ricardo Greer est de la race des battants, de ceux qui ont une sainte horreur des combats qui ne sont pas menés avec un absolu don de soi. Il fallait le voir mardi dans la bouillante salle « Fuente de San Luis » de Valence brandir un poing rageur et crier après un panier, il fallait le voir demander à un joueur espagnol qui s'était plaint auprès des arbitres de la mettre en sourdine, il fallait le voir rameuter ses troupes, taper dans les mains pour comprendre à quel point l'homme a l'âme conquérante. « Mais c'est la situation du match qui le voulait » se justifie presque le Dominicain dans un sourire, « on ne sentait pas cette équipe de Valence bien meilleure que nous, et on savait que dans le dernier quart-temps, le match pouvait basculer de notre côté ».
On sait comment cela s'est terminé. Une nouvelle fois, le SLUC est tombé au champ de bataille les armes à la main. Après Khimki deux fois et Valence à l'aller, c'est la quatrième fois que le club nancéien s'incline en coupe ULEB en ayant longtemps joué les yeux dans les yeux avec son adversaire.
Mais si Nancy peut avoir des regrets, l'aîné des frères Greer n'aura rien à se reprocher tant il a tout donné pendant quarante minutes. Avec 25 pts, 8 rebonds, 4 passes, 6 fautes provoquées et 33 d'évaluation, le joueur au passeport dominicain a été grand mardi soir et a montré la voie à suivre à ses copains en bon capitaine de route du navire nancéien. Un capitaine qui pèse de tout son poids dans la balance statistique du SLUC depuis le début de saison (18,2 d'évaluation en championnat, 17,4 en coupe ULEB) et à qui le brassard semble aller comme un gant.
A tel point qu'on en oublierait presque qu'avant d'arriver au SLUC, il l'avait très peu porté. Dans le bus qui ramenait les Nancéiens en Lorraine hier matin, l'ancien havrais, gravelinois, strasbourgeois et palois avouait qu'il n'avait pas eu le capitanat depuis... ses années universitaires. « A l'époque, j'avais été capitaine pendant deux ans » se souvient-il, « être capitaine est un grand honneur, car le SLUC a une grande équipe, une grande organisation, un grand entraîneur, un grand président... Sur le terrain, j'essaie de mettre en confiance mes coéquipiers, de faire en sorte qu'ils puissent jouer à leur meilleur niveau. Mais c'est quelque chose de naturel, et le fait d'être capitaine ne change pas ma façon de me comporter sur un parquet ».


« Jamais connu une telle ambiance »


On ne se refait pas, le Dominicain a le rayonnement d'un leader. Comme pouvait l'avoir un Tariq Kirksay ces dernières années. En apprenant le départ de l'homme au bandeau pour Kazan cet été, le SLUC savait qu'il perdait plus qu'un simple joueur, presque son mentor. Mais quand l'international affirmait que son pote Ricardo ferait parfaitement l'affaire pour le remplacer, il ne le disait pas par hasard. Et quelques semaines plus tard, c'est comme si le club nancéien avait trouvé le remplaçant idéal à cap'tain Tariq. Sur et en dehors du parquet. « Il faut demander au coach, c'est lui qui m'a fait venir ! » se marre Ricardo Greer, « c'est vrai que Tariq a fait de grandes choses ici ces dernières années, qu'il a été trois fois d'affilée en finale avec le SLUC. Pour moi, c'était une belle opportunité de signer ici pour aider l'équipe à faire aussi bien. En tout cas, j'ai énormément de plaisir à être ici. L'équipe est jeune, a beaucoup d'énergie, est toujours prête à partir au combat. En fait, je n'ai jamais connu une telle ambiance. Regardez, on est dans le bus pour Nancy, on s'est levés à cinq heures du mat' et pourtant, cela rigole. C'est révélateur ».
Et précieux. Car après une saison délicate à Pau-Orthez où le climat était houleux (« mais cela a été une expérience, j'ai réalisé que je ne voulais plus connaître une situation comme celle-ci » explique-t-il), Ricardo Greer sait que l'ambiance est le meilleur ciment pour échafauder les rêves les plus ambitieux. « Bien sûr qu'une bonne ambiance, c'est le meilleur moyen d'aller loin » glisse-t-il, « je me rappelle que l'année du titre avec Strasbourg, il y avait un peu ce type d'ambiance dans le groupe »...
L'avenir dira où cela peut mener le SLUC. Mais le numéro 14 nancéien en est intimement convaincu, la qualification pour les 1/16es de finale de la coupe ULEB est largement jouable (« on a un bon panier-average général et même si on n'arrive pas à terminer dans les trois premiers, on peut espérer finir dans les meilleurs quatrièmes » glisse-t-il).
Et puis, il y a le titre, ce titre qui fuit le SLUC depuis trois saisons, et qui trotte dans toutes les têtes comme une idée fixe. « Mais dire qu'on veut gagner ceci, cela, c'est une erreur fréquente » coupe le frère de Jeff, « attachons-nous surtout à continuer à jouer dur pour gagner les matches ». Et on peut compter sur Ricardo Greer pour répéter inlassablement ce discours. En bon capitaine.


Anthony GUILLE


est republicain

Le classement :
1. Pamesa Valence et Khimki Moscou 13 pts ; 3. Azovmash Mariupol 11 ; 4. SLUC Nancy 10 ; 5. Anwil Wloclawek 9 ; 6. Francfort Skyliners 7.
• La prochaine journée (le 8 janvier) : Mariupol - SLUC Nancy ; Wloclawek - Valence ; Francfort - Khimki.

est republicain

lucas a écrit:

bravo aux cougars et bon retour aux supporters

Merci de ces bons souhaits.
Départ mardi matin à 10 H 30 sous la pluie de Valence, arrivée à Frankfort-Hahn 2 H 15 + tard sous le soleil & le ciel bleu - mais froid (comme au Pabellon san Luis de la Fuente). Heureusement que l'ambiance était - comme d'hab' - extra entre supporteurs des Couguars du début à la fin. Maintenant, y'en a qui sont en vacances (bien méritées) - les joueurs - et d'autres qui ont repris le boulot - les supporteurs.
Bonne fêtes à toutes & tous, en espérant que 2008 démarrera par 2 victoires Sur la lancée des derniers matches, j'ai confiance pour le match en Ukraine.

Je sais pas pour vous mais pour moi ça fait chaud au coeur de lire ce que dis Ricardo , c est d ailleurs pas le premier à dire du bien de Nancy et du club, hein Tariq ?

Sport lorrain - Basket-ball
SLUC Nancy : le point à la trêve

« La fidélité, ça paye ! »


A peine rentré de Valence, le Président Fra a dressé un bilan probant de la première partie de la saison. Il est surtout heureux d'avoir resigné Jean-Luc Monschau envers et contre tout.






NANCY. _ De Valence le matin même à L'Est Républicain où il était en rendez-vous le soir avec son fils Bruno, en passant par Roissy et une douche réparatrice, il en a donné et reçu des coups de fils le Président. Le col du pardessus relevé, l'oreille collée au portable, il a joué du téléphone. Entre ses affaires, le SLUC, le réveillon du Nouvel An qu'il organise chaque année ou les copains à la recherche d'un billet pour... ASNL - Lyon, Christian Fra ne dira jamais que le bonheur, c'est simple comme un coup de fil.
Et pendant qu'il attendait des nouvelles de Limassol, voire de Maxime Zianveni, il a pris le temps de revenir sur ces trois premiers mois de compétitions alors que le championnat observe la trêve de Noël et du Nouvel An mais que le début de l'année s'annonce terrible pour son équipe.
- Président, donnez-nous des nouvelles de Max Zianveni ?
- Je ne souhaite qu'une chose pour Max, c'est qu'il retrouve le plus vite possible un club. Nous avons fait des efforts pour le libérer. C'était son choix de ne pas vouloir rester alors qu'il avait encore une année de contrat. Il reste une clause minime à payer, différente selon si le club est français ou étranger.
- Cette parenthèse refermée, vous voilà premier et seul leader à la trêve. Avec pourtant une équipe remaniée à 80 % ?
- L'équipe, c'est Jean-Luc Monschau qui l'a construite et qui l'a fait gagner en utilisant parfaitement le talent des joueurs. J'ai resigné Jean-Luc envers et contre tout. C'était mon idée. Aujourd'hui, la fidélité paye !
- Pensiez-vous retrouver aussi vite les sommets du championnat de France après trois finales perdues à Bercy, après avoir subi un véritable traumatisme en juin dernier ?
- Il fallait croire en nous. Vous savez, c'est terrible de perdre trois finales mais une fois encore, on a repris le dessus. J'étais pourtant si déçu pour tout le monde. J'aurais tant voulu donner le titre et l'Euroligue à mon club, aux amoureux du SLUC, à ma ville. On a formé une nouvelle équipe. Elle tient actuellement le haut du pavé. C'est la quatrième année maintenant. C'est formidable même si on ne tire pas le moindre plan sur la comète. On sait très bien que sur une finale sèche, tout est possible, qu'avant d'arriver à Bercy, la route est encore longue, très longue.


« On est heureux et malheureux ensemble »


- Vous ne semblez jamais quitter vos joueurs. Vous faites tous les déplacements ?
- Mes joueurs, c'est ma seconde famille. Cette année, on vit très bien ensemble. On est heureux et malheureux ensemble. Je me dois d'être avec eux. Lorsque j'ai eu de graves problèmes de santé juste après avoir pris la présidence du club, je me demande si ce n'est pas le SLUC qui m'a donné la force de me battre pour m'en sortir. J'avais une énorme responsabilité en reprenant le club derrière un dirigeant comme Jean-Jacques Eisenbach qui tenait la boutique depuis 30 ans. Il fallait que je fasse mes preuves. Aujourd'hui, pour ma quatrième année, j'ai obtenu la confiance d'une grande majorité, que ce soit au Directoire, au Conseil de Surveillance ou au SLUC. Mais sincèrement, je ne pensais pas que c'était si prenant. Heureusement que mon épouse Christiane y a pris goût.
- Plus de 31.500 spectateurs à Gentilly en un mois, c'est un record pour le club ?
- Dans une période économique difficile, c'est super. Et je ne remercierai jamais assez tous nos supporters. Mon souhait est de faire venir de plus en plus de monde à Gentilly. Voilà aussi pourquoi nous avons monté les opérations avec les clubs lorrains et avec l'université pour les rencontres de coupe d'Europe contre Wloclawek et contre Moscou.
- On parle d'un agrandissement de Gentilly, notamment des salons et des bureaux en grignotant sur la salle annexe ?
- Des plans sont en cours. Faisons confiance à la CUGN.
- Les joueurs sont en vacances. Pour combien de jours ?
- La reprise est prévue le 28 décembre. Sauf pour les joueurs qui participeront au All Star Game le 29 décembre à Paris, Ricardo Greer, Victor samnick et peut-être Cyril Julian (voir par ailleurs).
- Justement, on va vite être dans le vif du sujet à la reprise avec deux déplacements à l'ASVEL et à Mariupol ?
- J'ai une totale confiance en mon équipe. Elle ne lâche pas, elle se bat toujours jusqu'au bout de ses limites. On n'a pas encore perdu un seul match de plus de dix points. C'est un signe. En quittant Valence, le coach de Pamesa m'a dit : « Nancy est l'équipe qui a montré le plus beau basket cette année chez nous à San Luis, y compris en championnat espagnol ». Avec Julian, on aurait gagné. On va se qualifier en allant gagner à Mariupol.


Recueilli par Gilles GAIHIER


est republicain

Vestiaires

Julian au All-Star Game ?









• JULIAN. Arrêté jusqu'au 30 décembre suite à sa blessure au pouce, Cyril Julian espère bien participer au All-Star Game le 29 à Bercy. Le pivot nancéien a bon espoir de pouvoir se contenter d'un strapping le 29 alors que depuis lundi, c'est un emplâtre au pouce qui lui enserre la main gauche, ce qui l'a d'ailleurs empêché d'être dans la rotation en coupe ULEB mardi à Valence. La commission médicale de la Ligue va maintenant étudier les documents médicaux que doit lui transmettre le club avant de statuer sur le sujet.
• FOIREST. Laurent Foirest sera forfait pour le choc ASVEL - SLUC du 4 janvier. L'ailier villeurbannais s'est fait une entorse à la cheville mardi en coupe ULEB, et son absence devrait osciller entre trois et six semaines. Le joueur ratera également le All-Star Game à la fin du mois.
• HAYES. Deron Hayes n'en finit pas d'avoir du rab' à Limoges. Remplaçant blessure de Joah Tucker pendant près de deux mois, l'ancien shooteur nancéien a obtenu un nouveau « CDD » à Limoges. Afin de pallier la blessure de Pawel Storozynski, le CSP l'a prolongé jusqu'au 20 décembre. Pour le moment...
• BERCY. Paris-Levallois à Bercy. Le club parisien jouera comme il le fait parfois pour les matches de gala, au POPB le vendredi 11 janvier face au champion en titre Roanne, qui reviendra pour l'occasion dans la salle où il a été sacré le 2 juin dernier face au SLUC.


A. G. (Anthony GUILLE)


est republicain

SLUC, l'Europe pourrait se rétrécir...

OAS_AD('Position2'); On appelle ça une soirée noire. Mardi, trois points ont-ils changé le destin de Nancy en coupe ULEB ? Trois points en deux rencontres : un pour Valence - SLUC, deux pour Moscou - Mariupol. Un exploit lorrain aurait annihilé les effets de la surprenante victoire des Ukrainiens sur le sol du Kremlin et entretenu un avenir en béton. Mais non, la réalité est implacable. Le club du président Fra est bien quatrième désormais, un point derrière Mariupol qui recevra les Lorrains lors de la prochaine journée (la huitième sur dix possibles). Faites les comptes : un revers en Ukraine priverait les potes de Julian de ce troisième rang qualificatif pour la phase finale (ils auraient alors deux points de retard avec deux matches à jouer). En revanche, une victoire à Mariupol aurait l'effet totalement inverse en raison du panier-average très positif du SLUC. Ce duel sent la poudre... L'équipe française garderait une chance de disputer les 16es de finale : aux vingt-sept qualifiés directs se rajouteront les cinq meilleurs quatrièmes des neuf groupes.Comme nous l'avions annoncé voici dix jours, Max Zianveni a bel et bien effectué un stage en Chypre, à l'AKA Limassol, au point de vouloir y rester. La piste romaine étant devenue un cul-de-sac. Cette équipe, actuellement troisième d'un championnat qui compte... neuf concurrents, possède déjà dans ses rangs un Français, Karim Souchu (ex-Villeurbanne). Mais hier soir, le SLUC, qui a son mot à dire dans cette affaire, n'avait toujours pas reçu de confirmation écrite, encore moins le chèque correspondant à la fameuse clause (aux alentours de 75 000 dollars).Il y a toutes les chances pour que Cyril Julian soit forfait pour le All Star Game de Bercy le 29 décembre, son arrêt maladie s'arrêtant le 30. Si son pouce violemment retourné lors de Nancy - Roanne en décide autrement, l'ancien international affolera les records de participation à cette sélection prestigieuse. Un autre joueur est out : Foirest (grosse entorse à la cheville). Une nouvelle qui pourrait réjouir le leader attendu de pied ferme le 4 janvier à Villeurbanne ! Par ailleurs, le pivot du SLUC a été retenu avec Cox (Le Havre) et Marquis (Cholet) pour être élu joueur du mois de décembre

republicain lorrain

C'est quoi de cet article four' tout du républicain lorrain ?
Je crois qu'il a oublié de parler du temps qu'il faisait en Lorraine

Merci Bacou

C'est vrai que c'est pas très structuré comme article...le journaliste il a écrit comme il a pensé quoi...on lui a dit faut faire 5 lignes...lol

Rasheed Wallace a écrit:

Est Républicain a écrit:

En quittant Valence, le coach de Pamesa m'a dit : « Nancy est l'équipe qui a montré le plus beau basket cette année chez nous à San Luis, y compris en championnat espagnol »

ils ont pas du jouer le real ou le barça surement

Mais hier soir, le SLUC, qui a son mot à dire dans cette affaire, n'avait toujours pas reçu de confirmation écrite, encore moins le chèque correspondant à la fameuse clause (aux alentours de 75 000 dollars)

Alors, où il est ce chèque?