[Coupe ULEB J2] P. Valencia bat SLUC Nancy 81 (39) à 86 (39)

Le futur adversaire du sluc en coupe ULEB, Valence , jouait ce jour à valladolid et s'est imposé 81 70 , valladolid ou évolue jo Gomis qui a eu des stats interessantes : 16 pts , 4 passes pour 19 d'éval . Pour Valence ; Rebraca a joué 6 mn pour -2 d'éval , voilà qui promet un gros match mardi dans un gentilly qui , je l'espere , sera chaud bouillant du début à la fin .

Effectivement, je pense que c'est une des equipe les plus forte de la compétition. Un régal pour les yeux pour ceux qui iront encourager leur equipe
Attention à CJ, qui va vouloir mettre les choses à plat concernant son temps de jeu lors de son passage au Pamesa

Bannière judicieusement réalisée JC
Un gros match du Warrior, le réveil de Totor, et la victoire, on en demande pas plus

oui superbe travail JC, merci pour cette superbe bannière!!!

Ca va être un gros match car le Pamesa, c'est du costaud avec une pléïade d'internationaux. Bref, des joueurs qui ont énormément d'expérience avec leur équipe nationale ou des clubs d'Euroligue.
Test très intéressant pour Zabian et Pape même si à la mène, les Esapgnols seront privés d'Avdalovic. En dessous, Victor et Mike, un peu en dedans depuis quelques matches, devront être au top.

Benoit ADAM a écrit:

Ca va être un gros match car le Pamesa, c'est du costaud avec une pléïade d'internationaux. Bref, des joueurs qui ont énormément d'expérience avec leur équipe nationale ou des clubs d'Euroligue.
Test très intéressant pour Zabian et Pape même si à la mène, les Esapgnols seront privés d'Avdalovic. En dessous, Victor et Mike, un peu en dedans depuis quelques matches, devront être au top.

Victor et Mike n'ont pas bcp de ballons à se mettre sous la dent...

Bon ça n'a pas vraiment de rapport avec ce match, mais ça en a avec l'ULEB en général : sur Basketinfo, j'ai lu un communiqué qui annonçait que le gagnant de la Semaine des As serait crédité d'un ticket pour l'ULEB Cup. Avec l'élargissement de cette compétition (et donc l'augmentation du nombre de tickets attribués à la France), ça semble logique mais ça serait une bonne nouvelle quand on connaît l'incompétence de la Ligue. Ca relancerait l'intérêt de la SdA en tout cas.

Valencia et son armada


Avec trois Serbes dont un certain Rebraca, Timinskas, Barac et trois Américains, Valencia, quatrième du championnat espagnol débarque ce soir à Gentilly. Un roster qui fait peur.






NANCY. _ A croire que l'ULEB en veut au SLUC Nancy. Car franchement, ce groupe D de la Coupe ULEB d'où sortiront trois qualifiés et peut-être seulement un meilleur quatrième, est sans aucun doute le plus relevé des neuf poules de la compétition. Le SLUC a pu s'en rendre compte à Moscou face au Khimki, invaincu dans le championnat russe avec ses 17 millions d'euros de budget. Il sera vite édifié ce soir lorsqu'il verra débarquer à Gentilly pour l'entraînement le Pamensa Valencia, aujourd'hui quatrième du championnat d'Espagne, le meilleur en Europe (cinq victoires, deux défaites) et qui surfe actuellement sur cinq victoires consécutives (quatre en championnat et une en coupe ULEB).
Valence et ses dix millions d'euros de budget (contre 3,8 pour le SLUC) vient encore de gagner à Valladolid ce week-end (70-81) après s'être notamment imposé à Madrid face à l'Estudiantes de Florent Pietrus ou explosé Gran Canaria (les Nancéiens se souviennent) sur le score sans appel de 75-51.
Inutile de vous faire un dessin. Actuellement, dans le championnat d'Espagne seuls la Joventut Badalone, le Real et le Barça font mieux. C'est dire si Valence qu'un certain Cyril Julian connaît bien pour y avoir joué avant son retour en France et à Nancy, a l'ambition de redevenir un grand d'Europe. Valence, ce fut aussi le club de Rigaudeau bien sûr, de Calabria, c'est aujourd'hui la maison de retraite dorée du grand Zelko Rebraca (36 ans au mois d'avril) qu'on ne présente plus mais dont le palmarès est hallucinant (voir encadré). Blessé depuis le début de la saison, Rebraca a repris en Coupe ULEB contre Francfort (10 pts) avant de jouer ce week-end à Valladolid (6', 0 pt). Mais évidemment, le pivot serbe (2,13 m) va monter en puissance.
Mais en attendant que Rebraca retrouve du rythme, Valence a de quoi faire sous le cercle pour patienter. Avec d'abord, Stanko Barac, jeune et immense international croate (2,17 m), qui a donné des insomnies à Fred Weis et Ronny Turiaf au dernier Euro en Espagne. Contre la France, dans le match qualificatif pour le fameux tournoi Pré Olympique (perdu 69-86), Barac a notamment marqué 12 points dont 6 dans les cinq premières minutes du match. Et puis, les enfants du pays Albert Miralles (2,07 m) ou Victor Claver (2,06 m) ou encore le Serbe Milojevic (2,01) sont prêts à jaillir du banc.


Revoilà House !


En remontant dans l'avion de Gravelines pour Nancy, Jean-Luc Monschau a juste levé les yeux au ciel pour répondre à la question : Valence, c'est fort ? évidemment que le Pamensa Valencia est costaud, très costaud avec l'ancien international lituanien Mindaugas Timinskas (2 m) passé par Strasbourg en 1998, médaille de bronze aux J. O de Sydney et qui a roulé sa bosse entre Kaunas et le Tau Vitoria.
Et comme toutes les grandes équipes qui ont des ambitions européennes, Valencia a ses trois Américains : le meneur Williams Shammond, passeur et scoreur qui jouait la saison dernière encore au Lakers de Los Angeles après avoir joué les chefs d'orchestre au Barça, l'arrière-shooteur Ruben Douglas (25 pts contre Valladolid dont 4/6 à trois points), ancien pistolero du Dynamo Moscou et enfin l'ancien forward de Vilnius Fred House qu'on a vu à Nancy la saison dernière avec le Rytas, en Coupe ULEB contre Francfort (10 pts).
N'en jetez plus ! Le roster est plein car il ne faut pas oublier le Serbe (encore un) Avdalovic (16 pts contre Mansera) et le second meneur espagnol Albert Oliver (8 pts de moyenne). Onze joueurs interchangeables qui vont peupler la nuit de Jean-Luc Monschau.
Le SLUC n'a pourtant pas le droit à l'erreur à domicile. En ULEB, c'est la loi. C'est pourquoi, il aura besoin d'un soutien populaire important pour un spectacle évidemment garanti. Meilleure équipe de France actuellement, le SLUC défie dans sa salle l'armada de Valencia et ses stars. C'est David contre Goliath. C'est le charme de la Coupe...


Gilles GAIHIER


est republicain

Zeljko Rebraca, ce géant !









NANCY. - C'est une des plus grandes stars du basket européen, au crépuscule de son immense carrière (Partizan Belgrade, Trévise, Panatinaïkos, Hanks d'Atlanta, Pistons de Détroit, Clippers de Los Angeles) qui sera demain sur le parquet de Gentilly avec Valence. Un palmarès hallucinant. Jugez plutôt !


En club


- Quatre fois champion de Yougoslavie.
- Champion d'Italie en 97.
- Champion de Grèce en 2000.
- Vainqueur de l'Euroligue en 92 et 2000, finaliste en 2001.
- MVP européen en 99.


Avec l'équipe nationale


- Champion du monde en 98 (MVP du tournoi).
- Champion d'Europe en 95 et 97.
- Médaille d'argent aux J. O d'Atlanta.
est republicain

Merci Bacou....

La raquette du Pamesa, parlons-en !
Je crois que l'article oublie de mentionner un joueur, qui avait bien cartonné la saison dernière....
Ruben Garces.
Oui, Samnick et Bauer devront être au top pour minimiser l'impact de ce groupe là

Namele a écrit:

La raquette du Pamesa, parlons-en !
Je crois que l'article oublie de mentionner un joueur, qui avait bien cartonné la saison dernière....
Ruben Garces.
Oui, Samnick et Bauer devront être au top pour minimiser l'impact de ce groupe là

Je me demande si Garcès n'est pas blessé... Mais bon, même avec celui-ci en moins, y'a toujours du "matos" en dessous.

Le SLUC dans l'arène


Drôle de corrida pour le SLUC qui, en terrassant le terrifiant taureau espagnol de Valence, réussirait un des plus grands exploits de son histoire européenne.












NANCY. _ Samedi, mardi. Mardi, samedi... Les matchs s'enchaînent à une vitesse folle. A peine le temps de savourer, de récupérer, qu'il faut déjà se plonger dans le défi suivant. Ainsi va la vie des grandes équipes, celles qui jouent sur deux tableaux, qui gagnent en championnat et se placent en coupe ULEB ou en Euroligue en attendant le printemps.
Et pas question de se plaindre, pas question de se préparer une porte de sortie. A la manière du rythme NBA, les joueurs adorent cette cadence infernale. Ils préfèrent jouer que de s'entraîner, préfèrent la lumière d'un match européen que le gris du quotidien. L'effectif du SLUC a été préparé en conséquence. Et si Jean-Luc Monschau et le président Fra ont réussi à bâtir une équipe qui actuellement force l'admiration en championnat de France, c'est aussi et surtout grâce à cette perspective alléchante de jouer la Coupe ULEB.
C'est l'occasion unique et rêvée pour les joueurs de se montrer au plus haut niveau. Si Kirksay a été contacté par le Real l'hiver dernier, s'il a signé un énorme contrat à Kazan, c'est d'abord pour ses performances en ULEB. Parlez-en aux Nancéiens ? Un garçon comme Zabian Dowdell, rookie d'envergure, tout juste arrivé en Europe, a évidemment tout intérêt de taper dans l'oeil des scouts du Vieux Continent.
Ce soir, pour sa grande rentrée européenne qui mérite incontestablement une salle à la hauteur des ambitions de l'équipe venant de réussi un incroyable coup de piraterie à Gravelines, le SLUC s'est lancé un redoutable challenge : terrasser le Pamensa Valencia, taureau d'envergure qui vient de charger, et de pulvériser à la suite Manresa, Estudiantes de Madrid, Gran Canaria, Malaga, Valladolid en première ligue espagnole et les Allemands de Francfort lors de la première journée de la Coupe ULEB.


« Notre challenge ? Les bousculer »


Comme le dit si bien Cyril Julian qui connaît la maison, Valence est une sacrée machine (voir par ailleurs). Son effectif est riche, complet, équilibré avec trois excellents joueurs américains (House, Douglas, Willaims) et pimenté par la présence de grands joueurs européens sur le retour comme Rebraca ou Timinskas, ou d'avenir comme Stanko Barac (2,17 m) qui a fait mal, très mal dans le premier quart temps à l'équipe de Tony Parker à l'Euro 2007. Ni Weis, ni Turiaf n'avaient pu stopper le Croate en première période. Cyril Julian, le « Warrior », celui dont l'ombre a plané longtemps sous les sunlights du Palacio de la Comunidad de Madrid, est prêt, lui, à relever le défi.
Le SLUC est donc condamné à un exploit pour s'imposer ce soir, condition presque absolue pour rêver d'une qualification (les trois premiers de chaque poule + les cinq meilleurs quatrièmes sur les neuf groupes). En Coupe d'Europe, il faut d'abord engranger à domicile car il est terriblement difficile de s'imposer à l'extérieur. Les Nancéiens ont pu s'en rendre compte à Moscou : « Valence affiche quatorze pros, et n'en présentera que douze, mais les douze qui seront ce soir à Gentilly pourraient tous jouer entre 35 et 40 minutes en Pro A. Maintenant, il y a un match à jouer. Pas question de faire le moindre complexe. Ce n'est d'ailleurs pas le genre de la maison. On a envie de réussir un gros coup. Si on échoue, on en tirera les leçons qui nous seront de toute façon bénéfiques. Notre challenge, c'est d'arriver à bousculer cette équipe », prévient Jean-Luc Monschau.
Le SLUC qui a « bûché » sur la vidéo dimanche, qui s'est entraîné hier matin jusqu'à... 13 h 30 pour une séance intense, s'alignera au complet alors que Valence a laissé aux soins en Espagne le Serbe Vule Avdalovic et le Panaméen Rubén Garcés tous deux blessés.
Mais pour l'emporter ce soir, le SLUC aura incontestablement besoin d'un atout supplémentaire : son formidable public, lequel doit se mobiliser car l'affiche est exceptionnelle. Ricardo Greer et ses copains, étincelants depuis le début du championnat, méritent incontestablement de la chaleur, de la ferveur, du soutien.


Gilles GAIHIER


est republicain

Un contre un avec Cyril Julian

« C'est une machine »
- Valence après Khimki Moscou la semaine dernière. D'entrée, vous jouez les deux équipes les plus fortes de la poule...
- Oui, mais il faudra bien les jouer de toute façon. Alors que ce soit maintenant ou plus tard, c'est du pareil au même. Ce qui est bien c'est qu'on reçoit, après avoir fait un gros match en Russie même s'il y a eu la défaite au bout.
- Vous avez porté les couleurs du Pamesa Valence dans la deuxième partie de saison 2004/2005. Quel souvenir gardez-vous de cette expérience ?
- Très bon. Mais si ce ne sont plus du tout les mêmes personnes, les mêmes joueurs qu'à l'époque. Quand j'y étais, il y avait une philosophie de joueurs espagnols. Mais aujourd'hui, ils nous sortent des Serbes, des Croates, des Américains de partout (sic). Le président de Valence a dû changer, car leur philosophie n'est plus du tout la même.
- On a le souvenir que vous n'aviez pas vraiment eu l'occasion de vous exprimer dans ce club (11' de temps de jeu en championnat, 9' en coupe ULEB)...
- J'avais réussi à m'exprimer pendant deux mois et demi. Après, ils ont viré le coach qui m'avait fait venir. Et celui qu'ils ont mis pour le remplacer m'avait dit qu'il n'aimait pas les Français, et il ne me faisait plus jouer. A partir de là... C'était mitigé.


« Au niveau structure, Valence, c'est énorme »


- Et au niveau de la structure du club, quel souvenir gardez-vous de Valence ?
- Sur ce point, c'est énorme. Il y a des choses que vous ne vous imaginez même pas. Il y a pratiquement une personne pour chaque chose, des gens qui s'occupent du site internet sur place, quatre personnes dépêchées pour recueillir toutes les infos sur Valence, ce qui peut être lu sur le Pamesa Valence dans toute l'Espagne... A la vidéo, ils n'ont pas deux matches d'avance, mais cinq ou six, avec des espions partout, un système de vidéo sur internet. A la limite, ils n'ont même pas besoin de se faire envoyer les vidéos des matches, puisqu'ils peuvent les obtenir sur un site privé. C'est une machine, quoi...
- Vous allez retrouver un certain Zeljko Rebraca contre qui vous avez joué un paquet de fois en équipe de France. C'est toujours particulier de jouer contre lui ?
- Non. C'est un joueur costaud, qui avait et a encore un potentiel énorme. Il est un peu sur la pente descendante, mais cela reste un joueur exceptionnel.
- Autre ''client'' dans la raquette, le géant croate Stanko Barac (2,17m) qui avait donné le tournis aux intérieurs français lors du dernier Euro...
- (Ferme) Je ne sais pas, je n'étais pas là. Et je ne regarde pas les matches de l'Euro à la télé. On l'a vu à la vidéo, on sait que c'est un joueur qui peut être très influent près du cercle. Maintenant, est-ce qu'il pourra s'exprimer contre nous ? On verra ça demain (lire ce soir). Mais sur ce que j'ai vu à la vidéo, ce n'est pas le joueur le plus transcendant.
- On sait que Valence est un très très gros morceau. Comment battre cette équipe ?
- En marquant plus de points qu'eux ! Franchement, qu'est-ce que vous voulez faire (rires) ? Il faudra défendre mieux, essayer de sauver les ballons au rebond, avoir un meilleur jeu de relance qu'eux et revenir vite en défense car Valence a un jeu de contre-attaque très performant. Après, est-ce qu'ils seront dans un jour avec ou un jour sans ? Le niveau d'adresse sera aussi important. On verra bien...


Propos recueillis par Anthony GUILLEUn contre un avec Cyril Julian


« C'est une machine »









- Valence après Khimki Moscou la semaine dernière. D'entrée, vous jouez les deux équipes les plus fortes de la poule...
- Oui, mais il faudra bien les jouer de toute façon. Alors que ce soit maintenant ou plus tard, c'est du pareil au même. Ce qui est bien c'est qu'on reçoit, après avoir fait un gros match en Russie même s'il y a eu la défaite au bout.
- Vous avez porté les couleurs du Pamesa Valence dans la deuxième partie de saison 2004/2005. Quel souvenir gardez-vous de cette expérience ?
- Très bon. Mais si ce ne sont plus du tout les mêmes personnes, les mêmes joueurs qu'à l'époque. Quand j'y étais, il y avait une philosophie de joueurs espagnols. Mais aujourd'hui, ils nous sortent des Serbes, des Croates, des Américains de partout (sic). Le président de Valence a dû changer, car leur philosophie n'est plus du tout la même.
- On a le souvenir que vous n'aviez pas vraiment eu l'occasion de vous exprimer dans ce club (11' de temps de jeu en championnat, 9' en coupe ULEB)...
- J'avais réussi à m'exprimer pendant deux mois et demi. Après, ils ont viré le coach qui m'avait fait venir. Et celui qu'ils ont mis pour le remplacer m'avait dit qu'il n'aimait pas les Français, et il ne me faisait plus jouer. A partir de là... C'était mitigé.



« Au niveau structure, Valence, c'est énorme »


- Et au niveau de la structure du club, quel souvenir gardez-vous de Valence ?
- Sur ce point, c'est énorme. Il y a des choses que vous ne vous imaginez même pas. Il y a pratiquement une personne pour chaque chose, des gens qui s'occupent du site internet sur place, quatre personnes dépêchées pour recueillir toutes les infos sur Valence, ce qui peut être lu sur le Pamesa Valence dans toute l'Espagne... A la vidéo, ils n'ont pas deux matches d'avance, mais cinq ou six, avec des espions partout, un système de vidéo sur internet. A la limite, ils n'ont même pas besoin de se faire envoyer les vidéos des matches, puisqu'ils peuvent les obtenir sur un site privé. C'est une machine, quoi...
- Vous allez retrouver un certain Zeljko Rebraca contre qui vous avez joué un paquet de fois en équipe de France. C'est toujours particulier de jouer contre lui ?
- Non. C'est un joueur costaud, qui avait et a encore un potentiel énorme. Il est un peu sur la pente descendante, mais cela reste un joueur exceptionnel.
- Autre ''client'' dans la raquette, le géant croate Stanko Barac (2,17m) qui avait donné le tournis aux intérieurs français lors du dernier Euro...
- (Ferme) Je ne sais pas, je n'étais pas là. Et je ne regarde pas les matches de l'Euro à la télé. On l'a vu à la vidéo, on sait que c'est un joueur qui peut être très influent près du cercle. Maintenant, est-ce qu'il pourra s'exprimer contre nous ? On verra ça demain (lire ce soir). Mais sur ce que j'ai vu à la vidéo, ce n'est pas le joueur le plus transcendant.
- On sait que Valence est un très très gros morceau. Comment battre cette équipe ?
- En marquant plus de points qu'eux ! Franchement, qu'est-ce que vous voulez faire (rires) ? Il faudra défendre mieux, essayer de sauver les ballons au rebond, avoir un meilleur jeu de relance qu'eux et revenir vite en défense car Valence a un jeu de contre-attaque très performant. Après, est-ce qu'ils seront dans un jour avec ou un jour sans ? Le niveau d'adresse sera aussi important. On verra bien...



Propos recueillis par Anthony GUILLE





est republicain

Les équipes

SLUC : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 6. Lefèvre ; 7. Julian ; 8. Jeff Greer ; 9. Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 13. Samnick ; 14. Ricardo Greer ; 15. Bauer
VALENCE : 4. Oliver ; 5. Douglas ; 6. Avramov ; 9. Claver ; 10. Williams ; 12. Rebraca ; 13. Miralles ; 21 House ; 31. Milojevic ; 41. Timinskas ; 42. Barac ; 33. Urtasum ; 55. Gonzalez.
Coup d'envoi 20 h.
est republicain

Le programme du jour









Groupe D (2e journée)
Mariupol - Khimiki Moscou (17 h)
Francfort - Wloclawek (19 h 15)
SLUC - Valence (20 h)


Le classement


1. Khimki Moscou, Valence et Mariupol 2 pts ; 4. SLUC, Francfort et Wloclawek 1 pt
est republicain

Nancy au pays des géants

Après Moscou, Valence ! Le SLUC poursuit sa tournée des grands ducs européens. Dur d'imaginer un exploit face à ce mastodonte du Vieux continent en provenance d'Espagne, la terre du meilleur basket.



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On va vite évacuer des mémoires ce SLUC laborieux, aux prises avec un mal classé de la nation. Avec ce Gravelines orphelin, qui plus est, de deux éléments majeurs ! Oui, chassons cette image chaotique du meilleur club actuel de notre élite, invaincu dans l'Hexagone (au moins jusqu'à ce soir), pour rêver un peu. Pour imaginer un exploit du n°1 français face à l'armada de Pamesa Valence, envoyé spécial de ce sublime basket ibérique, couronné d'or au Mondial et d'argent en Europe.Etre l'un des ténors en Espagne signifie beaucoup. On n'est pas un acteur à l'affût (cinq succès, deux revers) de la fameuse Liga par hasard. Cette Coupe ULEB est décidément sans pitié pour Nancy : un voyage (par moins neuf) à Moscou (leader de son championnat) avant cette chaude réception d'un rival qui n'a perdu que 68-61 dans le fief de l'immense Real Madrid, lui aussi aux commandes de l'avion.
Pamesa Valence (troisième ville de la Péninsule avec une agglomération d'1,8 millions d'âmes !) a décidé de marcher sur les traces de son glorieux passé (2e en 2003, 3e en 2004) après des errements passagers (7e la saison dernière). Un classement honorable aux allures de gifle, pourtant. Même une finale de la révélatrice Coupe du Roi (2006) n'a pas dompté l'impatience des dirigeants et des supporters à voir leur club revenir au sommet. Ce même club rompu aux joutes internationales : finaliste de la Saporta 1999 et 2002, vainqueur de l'ULEB en 2003, demi-finaliste en 2005... Gentilly s'apprête à accueillir, vraiment, un géant (plus de 10 millions de budget) ayant attiré en son temps les meilleurs Français tels que Cyril Julian ou le légendaire Antoine Rigaudeau. Comme on se retrouve ! Aujourd'hui, la formation du Grec Katsikaris (d'où, sans doute, cette défense de fer, la deuxième du championnat) ressemble à une constellation d'étoiles : Rebrac, a longtemps estampillé NBA et passé par les plus beaux podiums (argent olympique, or mondial), ou encore Shammond Williams (ex-Atlanta Hawks, Detroit, Lakers Los Angeles).
Vous pouvez ajouter à cette liste des stars le jeune Serbe Barac (international, 2,17 m), le Lituanien Timinskas, la gâchette US House, le talentueux Milojevic et quelques gaillards du cru. Soit onze hommes féroces, en pleine force de l'âge (26 ans) et d'une taille moyenne de 2 mètres... Valence, cinq succès consécutifs, arrive lancé comme un TGV, en gare nancéienne. Cette nouvelle équipe du SLUC, renouvelée à 80 % pendant l'été, se voit offrir un test saisissant. Pas réussi, il n'hypothéquerait pas son avenir européen mais un échec la placerait dos au mur, dès mardi prochain à l'occasion de la 3e journée, contre les redoutables Ukrainiens de Mariupol. Ce groupe D est bien celui de la mort.




Alain THIÉBAUT.

Paru le : 13-11-2007
republicain lorrain

Gomis s'en est bien sorti



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L'arrière Joseph Gomis, ancien meneur du SLUC Nancy, qui porte aujourd'hui les couleurs de Valladollid, a justement rencontré ce week-end Pamesa Valence ! L'international a d'ailleurs perdu à domicile 81-70 (sa formation en est à deux victoires pour cinq revers). Le Français, individuellement, s'est néanmoins distingué. Il a été le deuxième meilleur marqueur de son équipe, avec 16 points, prenant également trois rebonds et donnant quatre passes décisives. Sûr qu'il a filé les bons tuyaux aux Nancéiens...

republicain lorrain

Merci bacou

Confirmation Ruben Garces est blessé depuis octobre et a été remplacé par Barak.

Il est bien évident que ce soir va se présenter à Nancy l'une des équipes les plus fabuleuses qu'il nous ait été donné de voir. Vous avez compté le nombre de titres quu'il y a là dedans ? Et je ne compte même pas les titres individuels.... Y'a plus de titres européens et internationnaux à Valence que tout le palmarès des joueurs évoluant en France confondu (ben faudrait faire le calcul mais je suis quasi certain qu'on est dans et ordre d'idée).

Corpus Christi a écrit:

Confirmation Ruben Garces est blessé depuis octobre et a été remplacé par Barak.

Il est bien évident que ce soir va se présenter à Nancy l'une des équipes les plus fabuleuses qu'il nous ait été donné de voir. Vous avez compté le nombre de titres quu'il y a là dedans ? Et je ne compte même pas les titres individuels.... Y'a plus de titres européens et internationnaux à Valence que tout le palmarès des joueurs évoluant en France confondu (ben faudrait faire le calcul mais je suis quasi certain qu'on est dans et ordre d'idée).

Edit le site off :

27. Sous réserve de ne pas en avoir oublier, il y en a tellement, c’est le nombre total de titres engrangés par les joueurs de cette équipe de Valence. Tout simplement démoniaque, et ce chiffre montre parfaitement la nature du challenge qui attend les Couguars mardi soir. 27 titres dont 14 titres nationaux, 2 ULEB, 1 Euroligue, 1 Saporta, 1 EuroCup, 8 titres internationaux dont 1 titre suprême de champion du monde…

Notre chance ce soir, que les espagnols nous prennent de haut, du style aller affronter un club avec un budget ridicule issu d'un championnat du tiers monde ( par rapport à la fiscalité ).

LE MATCH EST IL DIFFUSER??

lucas a écrit:

LE MATCH EST IL DIFFUSER??

Je ne crois pas...hélas...

Valence, la plus grosse équipe que le SLUC ait vu de son histoire à Gentilly ?

Côté affluence, j'ai un sérieux doute que le public s'en rende compte, l'ULEB n'attirait pas les foules l'année dernière (tout du moins en poule)