SLUC Nancy - Pau Orthez

Les palois sont bloqués à l'aéroport de Paris, ils devaient atterrir à Metz mais devront aller à Strasbourg si le temps le permet.

Le match est dimanche les Palois devraient s'en sortir pour rejoindre Gentilly.

nanceen a écrit:

Les palois sont bloqués à l'aéroport de Paris, ils devaient atterrir à Metz mais devront aller à Strasbourg si le temps le permet.

C'est balot....

Les espoirs reçoivent leurs homologues palois SAMEDI à 15H00; ne pas oublier ce changement d'horaire.

C'est clair qu'il y a un sacré vent en ce moment !
Déjà qu'ils viennent d'enchaîner deux rencontres avec prolongations (soit 95 minutes en deux rencontres au lieu de 80), je me demande dans quel état on va les accueillir !

JC a écrit:

C'est clair qu'il y a un sacré vent en ce moment !
Déjà qu'ils viennent d'enchaîner deux rencontres avec prolongations (soit 95 minutes en deux rencontres au lieu de 80), je me demande dans quel état on va les accueillir !

je me méfie des equipes qui enchaine la malchance. Elles savent se serrer les coudes tous ensembles généralement

Wait & See

Pau de fer et Pau de terre

Dans le coup en Euroligue mais poussif en championnat, l'Elan Béarnais déroute en ce début de saison. Examen du dossier.


NANCY. Mais que fait Pau-Orthez ? Depuis le début de saison, le club béarnais joue les docteurs Jekyll et mister Hyde sur les parquets hexagonaux et européens.


Capables de perdre à Hyères-Toulon puis de battre quatre jours plus tard le grand CSKA Moscou, sacré champion d'Europe au printemps dernier, capables de s'incliner à Paris quelques jours avant d'aller gagner sur le parquet de Naples en Euroligue, capables de s'imposer à l'Ulker Istanbul mais aussi de perdre à Bourg-en-Bresse, les Palois affichent souvent deux visages distincts selon qu'ils évoluent en championnat ou en Euroligue.


Dernier exemple en date ? Hier, les hommes de Gordon Herbert ont été s'imposer chez les Lituaniens du Zalgiris Kaunas (110-106 après... deux prolongations) alors que trois jours plus tôt, ils avaient également dû avoir recours à la prolongation pour dominer à Pau le promu bisontin...


A croire qu'à l'instar du Mans, l'autre club français en Euroligue, également poussif en ce début de championnat (6 succès, 7 défaites), le parfum européen n'a aucune commune mesure avec le quotidien du championnat. « Quand je vois jouer cette équipe en Euroligue, je me dis souvent ''ouahh'' », constate Deron Hayes, « Et puis, quelques jours plus tard, on apprend qu'elle perd à Hyères-Toulon. C'est surprenant... ».


« Se montrer en Euroligue »



Alors, pourquoi cette équipe béarnaise est souvent plus empruntée sur les parquets de Pro A que sur la scène européenne ? « C'est peut-être une question de motivation », avance Victor Samnick, « Les joueurs ont sans doute envie de se montrer en Euroligue ».


En se disant que s'ils brillent dans la compétition-reine, ils pourront plus facilement monnayer leur talent à la fin de saison... L'argument tient la route. Tariq Kirksay en convient. « Pour eux, l'Euroligue est peut-être plus importante », souligne le capitaine nancéien, « La qualification pour le Top 16 est leur objectif principal pour le moment. Le championnat, c'est plus long et ils se disent qu'ils auront la possibilité de revenir plus tard ». D'autant qu'avec la nouvelle formule du championnat, c'est en play-offs et pas avant que les tickets ULEB et Euroligue se gagnent à coup sûr...


« Il y a aussi le fait que les équipes se mettent parfois au niveau des adversaires qu'elles rencontrent », argumente Ricky Soliver pour expliquer ce Pau aux deux visages, « Quand elles jouent de grosses équipes, elles élèvent leur niveau de jeu mais elles peuvent aussi jouer moins dur contre des adversaires de standing inférieur. Nous, on avait gagné très largement à Bamberg et on a vu mardi qu'on n'y était pas en début de match... »


Reste à savoir quel visage affichera l'Elan Béarnais dimanche. Celui, solide, qu'il arbore souvent en Europe ou hormis face à Trévise, il a toujours joué les yeux dans les yeux avec ses adversaires ou celui, tristounet, qu'il affiche lors de certains matches de Pro A ? Sur ce point, les Nancéiens ne se font pas beaucoup d'illusions. « Ils savent qu'on ne perd pas souvent chez nous, et que cela devrait être un match de haut niveau », sourit Tariq Kirksay, « Il y aura beaucoup plus de motivation pour eux ».


Comme il y a une dizaine de jours quand ils ont accueilli le champion manceau ou comme fin octobre quand ils se sont déplacés chez le vieil ennemi villeurbannais. Deux matches de gala que Pau-Orthez avait remportés.


Alors dimanche, il y a des chances que ce soit le Pau de fer qui débarque à Gentilly...

ER du 08/12/2006

marco a écrit:

JC a écrit:

C'est clair qu'il y a un sacré vent en ce moment !
Déjà qu'ils viennent d'enchaîner deux rencontres avec prolongations (soit 95 minutes en deux rencontres au lieu de 80), je me demande dans quel état on va les accueillir !

je me méfie des equipes qui enchaine la malchance. Elles savent se serrer les coudes tous ensembles généralement

Wait & See

Malchance je sais pas...ils viennent quand même de battre Kaunas dans sa salle...ça leur donne une grosse confiance pour venir à Nancy à mon avis.

Ca va être un match très serré selon moi. Même si Pau semble peiner en championnat.
Enfin on verra bien. 2 prolongations dans les jambes jeudi ? Ca jouera peut-être au final mais faut surtout pas que les Nancéiens commencent le match comme face à Bamberg. Faut rentrer dedans tout de suite et imprimer une défense d'enfer...

effectivement surtout que déjà l'année dernière à Gentilly contre Pau, on s'était fait laminé au début (15 à 2 je crois) et on s'en était jamais remis
le sluc avait presque réussi à revenir mais était parti de trop loin

en tout cas SLUC-PAU l'année dernière était pour moi le meilleur match de saison régulière que j'ai vu...........même si on avait perdu

www.elan-bearnais .fr

Le succès est aussi dit-on, la meilleure potion pour affronter les longs transferts des retours européens… Alors, les béarnais ont été doublement bien inspirés de l’emporter jeudi soir à Kaunas au terme d’un marathon de 50 minutes.
A l’origine leur périple pour rejoindre Nancy, dès le début d’après midi vendredi n’était pas des plus confortables. Puisque le réveil était programmé à 5 heures , heure de Kaunas c’est à dire 4 heures en France, alors qu’ils étaient passés à table à minuit et demie… Pas confortable mais en deux transferts en bus et deux coups d’aile ils seraient à bon port sur le coup de 14h30.
C’est donc les yeux en déficit d’un sommeil inexistant ou presque qu’ils se retrouvaient à 5h 45 à bord du bus devant les conduire à l’aéroport de Vilnius.
Quatre vingt dix minutes plus tard, ils enregistraient sur le vol de Paris Charles de Gaulle, vol retardé de 40 minutes au décollage…
Rien jusque là de bien troublant, la simple routine pour des habitués aux petits matins européens… Rien de bien grave non plus, dès lors que la correspondance sur Nancy, à partir d’Orly, avait été prévue large… Le second transfert en bus de la matinée pouvait donc encaisser sans péril les joie des bouchons parisiens un vendredi.
Bref l’Elan était,, à midi, dans les temps, il avait simplement l’estomac dans les talons, et le repas prévu dès l’arrivée en Lorraine serait le bienvenu…
La suite de la journée prévoyait une heure de sieste puis une séance de décrassage avec footing extérieur et de récupération, avant une bonne et longue nuit…
On l’a dit rien de très confortable, mais rien d’exceptionnel non plus au lendemain d’un rendez-vous européen…
Le problème c’est que quatre tours d’horloge plus tard, le voyage de l’Elan n’avait pas fait le moindre pas… Les béarnais, comme tant d’autres passagers, avaient simplement déambulé de salle d’embarquement, en comptoir d’informations.
A l’origine une tempête sur Paris avec des vents suffisants à conduire les commandants de bord à ne pas vouloir prendre le moindre risque. Le vol Paris- Nancy, comme tant d’autres fut donc d’abord suspendu… Puis une petite heure plus tard il était carrément annulé, un container souleva par le vent ayant percuté l’avant de l’appareil…
Entre temps, et toujours à cause de cette satanée tempête, l’aéroport d’Orly avait été plongé dans la pénombre en raison de deux pannes générale d’électricité dont on vous passe les répercussions au niveau des filtres de sécurité…
L’Elan qui avait un temps imaginé de revoir ses plans de voyage et de prendre le train, n’avait plus alors le temps matériel de rejoindre la gare de l’Est… D’ailleurs la rumeur selon laquelle le trafic SNCF était lui même perturbé par des mouvements sociaux circulait avec de plus en plus d’insistance, rapportée par ceux qui avaient eu la même idée…
Restait deux solutions aux béarnais, ou rester à Paris jusqu’à samedi matin puisqu’aucun autre avion ne décollerait à destination de Nancy, ou rallier la Lorraine par des voies détournées.
A 16h 45, la délégation béarnaise était donc transférer sur un vol à destination de… Strasbourg ! Vol qui décollait à 18 heures, Orly étant resté paralysé une heure et demie et qui promettait à l’Elan de ne pas arriver à Nancy avant … 21 heures et après un nouveau transfert en bus…
La victoire avait beau faire passer la pilule, celle-ci restait amère…

Korac a écrit:

A 16h 45, la délégation béarnaise était donc transférer sur un vol à destination de… Strasbourg ! Vol qui décollait à 18 heures, Orly étant resté paralysé une heure et demie et qui promettait à l’Elan de ne pas arriver à Nancy avant … 21 heures et après un nouveau transfert en bus…
La victoire avait beau faire passer la pilule, celle-ci restait amère… [/color]

avec un vol qui décolle à 18h, çà fait une arrivée à strasbourg vers 18h45, le temps de récupérer les bagages et de trouver le bus , çà veut dire un départ pas avant 19h30 - 19h45......ils sont optimistes de dire qu'ils arriveront à nancy à 21h
surtout que la météo annonce de la neige sur les Vosges

'sont pas arrivés les bearnais

Bonjour la fatigue après tout ça, intérêt à bien dormir.

wait and see

Un beau petit match demain contre une belle équipe de NBDL ,et oui les temps change en béarn.
Bref,une équipe ou le danger peut venir de partout,au rebonds c'est pas gagner,avec Linehan j'aurais dit tranquille sans lui cela va étre difficile.
Le joueur qui à mon avis nous posera le plus de probléme est Wright,et ceux qui pointait du doigt la défense de Cyril sur les pivot massif, auront une opposition parfaite pour pouvoir ou pas confirmer leurs analyse.
Pour moi la clef du match sera à l'intérieur,si Samnick et Max nous refont une PBR,on se prend une claque,je pense,de toute façon qu'on à besoin des deux à 100% pour l'emporter,car avec des joueurs du profil de Bauer et Johnsen comme l'a dit JLM en interview Cyril et Dmac ne peuvent pas sortir à 3pts.
A l'aile Tarik aura du boulot avec un Greer en pleine bourre,qui aligne les performances de choix en EL et en championnat.
Banks n'aura pas Harrison dans les pattes et sera bien inspirer dérriere les 6m25 6/8 :cheers: .
A la méne un Aaron Miles dont on ne sait pas trop quoi penser,et un Xane D'almeida dont Soliver devra se méfier tant il aligne les performances de choix en EL.
Contexte difficile pour une entrée en matiére en ProA pour Branko qui devra prouver aux guignols de Tps qu'il est la bonne pioche pour Nancy.
Il reste encore Rupert et Mahinmi à l'intérieur donc malgrés notre secteur intérieur fourni on aura pas trop de marge pour les fautes,DMac/Mahinmi duel de géant in the paint,Ian est trés naif en défense et Dmac est trés adroit aux lancers francs donc qu'il en profite.
Salmon pourra espérer gratter quelques minutes aprés sa belle prestation en ULEB,alors que Fauthoux lui ne doit plus espérer que le All Star Game pour pouvoir shooter devant un public ,les temps change en béarn.
Nancy 86 Pau 78
Avec Samnick et Max dans le sac Nancy 74 Pau 82

l'année dernière à domicile , Max avait livré un beau match face à Bauer et Roanne et avait littéralement bouffé en défense Mahinmi en l'absence de nos pivots contre LeHavre ....je sais pas pourquoi mais je sens bien un beau match de Max


enfin j'espère
parce que si on a que Cyril qui surnage parmi nos 4 intérieurs, çà risque de faire short

pour conclure, je dirais que si on se tappe le Pau habituel du championnat de Pro A comme depuis le début de saison, le SLUC va se promener......mais si on rencontre le Pau d'Euroleage, çà sera beaucoup plus dur mais jouable quand même ...

Le gros danger c'est en effet Michael Wright, il me fait un peu peur celui-là. Cyril sera bien inspiré de défendre comme un mort de faim.

Rasheed Wallace a écrit:

Le gros danger c'est en effet Michael Wright, il me fait un peu peur celui-là. Cyril sera bien inspiré de défendre comme un mort de faim.

Je n'ai pas souvenir d'un match où Cyril n'a pas étè bien inspiré de défendre comme un mort de faim ................Il y a d'autres joueurs au SLUC sur lesquels on ne peut pas en dire autant (même si j'espère me tromper pour le match de demain )

L’Elan fait école : après trois prolongations disputées en deux rencontres, les espoirs ont eux aussi forcé les espoirs nancéens au temps additionnel… Sans succès malheureusement puisqu’au terme des cinq minutes supplémentaires ils s’inclinent 100-90 ! Victimes sans doute de leur trop grand nombre de balles perdues (32), statistique qui détonne avec leur domination au rebond (51 prises à 37) et leur bon pourcentage offensif (54%) dont un excellent 73% à l’intérieur…
La clé était donc sous les paniers pour l’Elan face au double champion de France de la catégorie… Il est vrai que Ludovic Vaty a réalisé une partie hors du commun signant 20 points et 24 rebonds pour une évaluation à 42 ! Bien soutenu par Fernando Raposo (17 points, 11 rebonds) mais aussi Kevin Marauri, le leader de l’équipe de Paco Laulhé fut donc pour beaucoup dans la résistance de l’Elan qui mené de 5 points au repos (41-46) renversa la tendance dans le troisième quart temps (26-16)… L’avantage (67-62) ne fut malheureusement pas suffisant et Nancy revenu au score (84-84) domina la prolongation…
Les points de l’Elan
Heurtel 9, Daube 5, Marauri 18, Blondet 13, Raposo 17, Molas 8, Vaty 20, Sambe, Vantrimpont.

Rasheed Wallace a écrit:

Le gros danger c'est en effet Michael Wright, il me fait un peu peur celui-là. Cyril sera bien inspiré de défendre comme un mort de faim.

Oui moi aussi , esperons que ce Wright ne nous fasse pas un Besok-bis ou un Lux-bis.

Philippe a écrit:

Il y a d'autres joueurs au SLUC sur lesquels on ne peut pas en dire autant (même si j'espère me tromper pour le match de demain )

Je vois de quel joueur tu nous parle , pourtant rare sont les matchs ou un poste 4 adverse nous passe + de 20pts en repartant avec une victoire , et ce depuis 3 ans.

Sinon il faut qu'il y ait une grosse ambiance demain et que Gentilly soit un volcan ! :cheers:

Philippe a écrit:

Rasheed Wallace a écrit:

Le gros danger c'est en effet Michael Wright, il me fait un peu peur celui-là. Cyril sera bien inspiré de défendre comme un mort de faim.

Je n'ai pas souvenir d'un match où Cyril n'a pas étè bien inspiré de défendre comme un mort de faim ................Il y a d'autres joueurs au SLUC sur lesquels on ne peut pas en dire autant (même si j'espère me tromper pour le match de demain )

moi je me rappelle d'un match l'an dernier contre le mans a bercy.... ou besok a un peu gagné le match a lui tout seul...

C'est parti!
On serre les boulons en défense et on dynamite leur défense et c'est bon! :d

Super, Max a l'air dans le coup!