75 a 100000 € ! Je ne sais pas si c'est une affabulation mais sinon, bravo au président. Ça change des attitudes gentillettes passées !!! Normal que les parigots disent non. Entre gratis et 100000, y'a un gouffre (et quelques milliers de possibilités de se faire un pécule). Si c'est juste, Durst frappe un grand coup en tout cas en faisant dune pierre 4 coups: Il degoute les Parigots, renforce le projet d'un SLUC avec sa nouvelle politique de jeunes, donne une nouvelle image du club ne désirant plus se faire marcher dessus, et affirme haut et fort la valeur et l'importance donnée au CDF
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Wedj As des As
Nombre de messages : 2795 Date d'inscription : 11/12/2014
Si les informations sont exactes notre attitude est plutôt bonne . On a en tous cas toutes les cartes en main pour les faire cracher ! - La ligue serait plutôt de notre côté - Valentin aussi bon soit-il n'est pas non plus une pièce indispensable et si il faut trouver un JFL , on en a un qui s’entraîne avec nous et qui fait une super prépa ! (Et repasser Narace en 4) - Paris à ABSOLUMENT besoin d'un JFL de moins de 23 ans !
3. Faute de l'agent sans doute. Pourtant, ce n'est pas un amateur ce dernier. En caricaturant la profession, on pourrait dire que pour faire de l'argent, il faut un agent qui ne manque pas d'R.
4.Au final, soit Paris casque, soit Valentin rentre au bercail. A savoir qu'avec le TGV, en moins de 2h tu es à Gentilly ...
C'est triste de voir un joueur, transformer en jouet.
andiamo As des As
Nombre de messages : 2053 Age : 56 Date d'inscription : 27/11/2008
On va mettre çà sur le compte de la jeunesse mais si il ne veut pas lancer sa carrière sur les bases d'un spectacle de marionnettes où il tiendrait le premier rôle, il ne lui reste plus qu'une chose à faire: changer d'agent.
_________________ supporter depuis 1982
Le Coeur à Nancy Assistant slucky
Nombre de messages : 59 Date d'inscription : 03/05/2006
Haha! Un article très...parisien où l'on apprend que Nancy, c'est pire que la Sibérie (mais ça, on le savait déjà), que les 75 à 100 000 euros, c'est l'indemnité de formation (alors que c'est plutôt une somme correspondant à un transfert, l'indemnité c'était autour de 40 000 selon P. Durst et ça aurait dû être versé avant le 30 juin) et où l'on oublie complètement de mentionner que la ligue avait tranché en faveur de Nancy (selon les propos de P. Durst tout au moins puisque la ligue se garde bien encore une fois de publier toute communication sur le sujet). Sinon, si la somme demandée par le SLUC aurait parue complètement disproportionnée par rapport à la qualité du joueur dans des conditions normales, dans cette situation (préjudice pour Nancy qui n'a pas son joueur pour la prépa, frais d'avocat, amende de 25 000 euros pour chaque joueur de moins de 23 ans manquant au Paris Basket, etc...) elle paraît relativement juste et raisonnable. C'est en tout cas une bonne base de négociation parce qu'il est clair que Chery partira pour moins que ça...
viron cyr Disciple slucky
Nombre de messages : 138 Date d'inscription : 02/08/2018
Juste une question, Valentin Chery a t'il bien été payé par Nancy jusque maintenant ?, derrière si Paris lui a versé un salaire sans avoir de lettre de sortie, cela tombe sous le coup de la répression des fraudes de l'urssaf...
Benoit ADAM Korac Winner
Nombre de messages : 6943 Localisation : Dans le Lunévillois Date d'inscription : 01/12/2005
Juste une question, Valentin Chery a t'il bien été payé par Nancy jusque maintenant ?, derrière si Paris lui a versé un salaire sans avoir de lettre de sortie, cela tombe sous le coup de la répression des fraudes de l'urssaf...
Très intéressant en effet. En juillet et août, par qui a-t-il été payé ? Ce serait rigolo par les 2 clubs :-) D'ailleurs, les basketteurs sont-ils payés sur 12 mois ou le temps de leur contrat (en gros d'août/sept à mai/juin) ?
rotceridle Slucky 3ème Dan
Nombre de messages : 889 Date d'inscription : 30/04/2007
Il sont payés sur la durée de leur contrat uniquement si je ne m'abuse, ce n'est pas lissé sur une durée annuelle.
Un point qui ne m’apparaît pas clair alors qu'il devrait l'être suite à la conciliation: a) Valentin Chery est-il actuellement sous contrat avec le Sluc jusqu'en Juin 2020, l'activation automatique de ce premier contrat pro ayant eu lieu en Juin de cet année puisque personne n'a réglé au Sluc asso son indemnité de formation? La seule option pour un autre club de le récupérer serait alors de verser une indemnité de transfert et non une indemnité de formation, élément quasi jamais vu dans le basket FR pour un U23.
b) Valentin Chery est il dans un no man's land juridique n'étant pas actuellement sous contrat avec le Sluc puisque qu'il n'a pas signé le 1er contrat pro du Sluc allant jusqu'en Juin 2020 mais ne peut pas s'engager avec un autre club tant que le Sluc ne lui délivre pas de lettre de sortie soumise à versement d'une indemnité de formation qui convienne au Sluc?
Autrement dit, le Sluc a versé un salaire au 1er Septembre à V.Cherry?
Si c'est a), je ne comprendrais pas maintenant que la situation est claire que le PB continue à accepter que V.Chery s’entraîne au sein de leurs installations et avec leur groupe pro. Pour un club dont la morale est au-dessus de tout soupçon, si tel était le cas ça mériterait d'étudier les voies possibles pour en remettre une couche en terme de procédure à engager envers le club du PB et du joueur.
Si c'est b), les services de la LNB préconisent quoi? Parce que la situation pourrait durer éternellement: aucune sanction possible contre le joueur de la part du club vu qu'il n'est pas sous contrat; aucun moyen pour le joueur de forcer la décision car pas payé et un remplacant finira par prendre sa place dans l'effectif du Sluc pour la saison en nombre et en terme de masse salariale.
En fonction, ça peut aussi durer aussi longtemps dans les discussions entre Sluc et Paris: _ Paris peut jouer le pourrissement de la situation (en prenant un U23 "fictif" en attendant; au risque d'être moins compétitif tant que la situation ne se débloque pas) _ Sluc n'a aucune raison de diminuer l'indemnité demandée avec le temps surtout si c'est juste pour le bon plaisir de ne pas pénalisé un jeune obstiné et mal conseillé si ça ne pénalise pas la masse salariale et les ambitions sportives du Sluc.
Dernière édition par rotceridle le Jeu 06 Sep 2018, 17:28, édité 1 fois
Wedj As des As
Nombre de messages : 2795 Date d'inscription : 11/12/2014
Juste une question, Valentin Chery a t'il bien été payé par Nancy jusque maintenant ?, derrière si Paris lui a versé un salaire sans avoir de lettre de sortie, cela tombe sous le coup de la répression des fraudes de l'urssaf...
Très intéressant en effet. En juillet et août, par qui a-t-il été payé ? Ce serait rigolo par les 2 clubs :-) D'ailleurs, les basketteurs sont-ils payés sur 12 mois ou le temps de leur contrat (en gros d'août/sept à mai/juin) ?
Il me semble que certain ont des contrats sur 12 d'autres sur 10 mois . Pour le reste aucune idée
18/8/2018, 06:16 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message BASKET-BALL - PRO B : SOUS LES PANIERS DU SLUC Valentin Chery au cœur d’un imbroglio Le champion de France espoir ne sera pas présent à la reprise. Il s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il est sous contrat et qu’il compte sur lui. Le dossier est entre les mains de la ligue nationale. VU 20 FOIS LE 18/08/2018 À 05:09 0RÉAGIR Valentin Chery s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il lui reste deux ans de contrat à honorer. La ligue nationale devra trancher. Photo Fred MARVAUX Photo HD Valentin Chery s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il lui reste deux ans de contrat à honorer. La ligue nationale devra trancher. Photo Fred MARVAUX REAGIR Les dirigeants du SLUC s’activant actuellement pour régler les derniers problèmes de visas, tous les joueurs étrangers devraient être présents à la reprise, ce lundi, autour de Christian Monschau. En revanche, on est à peu près certain d’une chose : Valentin Chery, lui, ne sera pas là.
Et pour cause : le champion de France espoir 2017 s’est engagé ces derniers jours avec le club du Paris Basket Avenir, fraîchement propulsé en Pro B, après qu’il ait racheté les droits sportifs de feu Hyères-Toulon. Un tour de passe-passe pour le moins inattendu, sur fond de bataille réglementaire, que le SLUC ne digère pas et entend bien contester, faisant valoir son bon droit.
Accessoirement, si le verdict désormais entre les mains de la ligue nationale devait donner raison au joueur, le SLUC serait dans l’obligation de partir à la recherche d’un nouveau « JFL ».
Mais nous n’en sommes pas encore là. « Nous, nous avons resigné Valentin Chery en date du 30 juin », précise le président nancéien Philippe Durst, « il y avait une date butoir pour nous signifier qu’il souhaitait partir (Ndlr : le 30 juin). Il ne l’a pas fait. Valentin Chery a encore deux ans de contrat au SLUC. Il y a une dizaine de jours, il m’a même appelé pour me demander si nous pouvions envisager une amélioration de sa rémunération et de son logement… Depuis, je lui ai fixé deux rendez-vous pour cette semaine. Il ne s’est présenté à aucun des deux ». Tentons d’éclaircir un brin cet imbroglio qui, selon toute vraisemblance, devrait être dénoué par la ligue sur la base des preuves écrites que chaque camp sera en mesure de fournir.
Le montant de l’indemnité de formation en question… Tout joueur passé par un centre de formation doit trois années de contrat pro à son club formateur. Pour faire court, ce « dû » peut prendre différentes formes. En l’occurrence, Valentin Chery avait un contrat « 1+2 » (un an + deux ans). Avant le 31 mai, le SLUC devait donc lui faire une nouvelle proposition. Ce qu’il a fait en bonne et due forme, selon son président. Le joueur avait ensuite jusqu’au 30 juin pour accepter ou refuser l’offre et, en cas de refus, demander que son club formateur fixe le montant de l’indemnité de formation. Selon Hirant Manakian, l’agent du joueur, « Valentin Chery a exprimé le souhait de quitter Nancy avant le 30 juin. Or, le club n’a jamais répondu à sa demande de fixer le montant de l’indemnité de formation. De ce fait, le joueur a averti le club par courrier que sa proposition était incomplète et qu’il était donc libre de tout mouvement ». De son côté, Philippe Durst affirme que le montant de l’indemnité a bien été communiqué au joueur…
Entre-temps, le club parisien, entraîné par l’ex-candidat à la succession de Gregor Beugnot Jean-Christophe Prat et contraint par le règlement de recruter quatre joueurs de moins de 23 ans (car il ne dispose pas de centre de formation), a manifesté son intérêt pour Valentin Chery. Conditions salariales avantageuses à l’appui. Et il a signé, ce que son agent nous confirmait ce vendredi… Or, pour que le joueur puisse porter le maillot de Paris à la reprise, il faudra encore que le SLUC valide la mutation auprès de la LNB. Voilà un dossier qui devrait occuper les dirigeants de la ligue, tout juste rentrés de vacances.
Thomas SIMON Est Républicain
18/8/2018, 06:16 BASKET-BALL - PRO B : SOUS LES PANIERS DU SLUC Valentin Chery au cœur d’un imbroglio Le champion de France espoir ne sera pas présent à la reprise. Il s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il est sous contrat et qu’il compte sur lui. Le dossier est entre les mains de la ligue nationale. VU 20 FOIS LE 18/08/2018 À 05:09 0RÉAGIR Valentin Chery s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il lui reste deux ans de contrat à honorer. La ligue nationale devra trancher. Photo Fred MARVAUX Photo HD Valentin Chery s’est engagé avec Paris Basket Avenir, alors que le SLUC affirme qu’il lui reste deux ans de contrat à honorer. La ligue nationale devra trancher. Photo Fred MARVAUX REAGIR Les dirigeants du SLUC s’activant actuellement pour régler les derniers problèmes de visas, tous les joueurs étrangers devraient être présents à la reprise, ce lundi, autour de Christian Monschau. En revanche, on est à peu près certain d’une chose : Valentin Chery, lui, ne sera pas là.
Et pour cause : le champion de France espoir 2017 s’est engagé ces derniers jours avec le club du Paris Basket Avenir, fraîchement propulsé en Pro B, après qu’il ait racheté les droits sportifs de feu Hyères-Toulon. Un tour de passe-passe pour le moins inattendu, sur fond de bataille réglementaire, que le SLUC ne digère pas et entend bien contester, faisant valoir son bon droit
Accessoirement, si le verdict désormais entre les mains de la ligue nationale devait donner raison au joueur, le SLUC serait dans l’obligation de partir à la recherche d’un nouveau « JFL ».
Mais nous n’en sommes pas encore là. « Nous, nous avons resigné Valentin Chery en date du 30 juin », précise le président nancéien Philippe Durst, « il y avait une date butoir pour nous signifier qu’il souhaitait partir (Ndlr : le 30 juin). Il ne l’a pas fait. Valentin Chery a encore deux ans de contrat au SLUC. Il y a une dizaine de jours, il m’a même appelé pour me demander si nous pouvions envisager une amélioration de sa rémunération et de son logement… Depuis, je lui ai fixé deux rendez-vous pour cette semaine. Il ne s’est présenté à aucun des deux ». Tentons d’éclaircir un brin cet imbroglio qui, selon toute vraisemblance, devrait être dénoué par la ligue sur la base des preuves écrites que chaque camp sera en mesure de fournir.
Le montant de l’indemnité de formation en question… Tout joueur passé par un centre de formation doit trois années de contrat pro à son club formateur. Pour faire court, ce « dû » peut prendre différentes formes. En l’occurrence, Valentin Chery avait un contrat « 1+2 » (un an + deux ans). Avant le 31 mai, le SLUC devait donc lui faire une nouvelle proposition. Ce qu’il a fait en bonne et due forme, selon son président. Le joueur avait ensuite jusqu’au 30 juin pour accepter ou refuser l’offre et, en cas de refus, demander que son club formateur fixe le montant de l’indemnité de formation. Selon Hirant Manakian, l’agent du joueur, « Valentin Chery a exprimé le souhait de quitter Nancy avant le 30 juin. Or, le club n’a jamais répondu à sa demande de fixer le montant de l’indemnité de formation. De ce fait, le joueur a averti le club par courrier que sa proposition était incomplète et qu’il était donc libre de tout mouvement ». De son côté, Philippe Durst affirme que le montant de l’indemnité a bien été communiqué au joueur…
Entre-temps, le club parisien, entraîné par l’ex-candidat à la succession de Gregor Beugnot Jean-Christophe Prat et contraint par le règlement de recruter quatre joueurs de moins de 23 ans (car il ne dispose pas de centre de formation), a manifesté son intérêt pour Valentin Chery. Conditions salariales avantageuses à l’appui. Et il a signé, ce que son agent nous confirmait ce vendredi… Or, pour que le joueur puisse porter le maillot de Paris à la reprise, il faudra encore que le SLUC valide la mutation auprès de la LNB. Voilà un dossier qui devrait occuper les dirigeants de la ligue, tout juste rentrés de vacances.
Thomas SIMON Est Républicain
On peut supposer que le Sluc a continué à le payer, Paris peut être mais dans une totale illégalité
andiamo As des As
Nombre de messages : 2053 Age : 56 Date d'inscription : 27/11/2008
En tout cas il est bien dans la mouise avec son agent (plus bluffeur que malin entre nous), l'ami Chery. Si le seul contrat qu'il s'avère avoir signé de sa plume est avec Paris, il a oublié une petite chose, la lettre de sortie. C'est un coup à torpiller sa carrière débutante parceque si Paris refuse de payer et si notre Prési est aussi intraitable que ses propos ont pu le démontrer, et qu'il ne revient pas.... Ben c'est ballot. Il risque gros et sportivement et sur sa réputation à naître. En plus il n'est plus vraiment en mesure de négocier appart et augmentation.
Au final c'est très con de sa part car Nancy n'est pas la Sibérie, avec un club Français au CV très flateur, un projet clair, un public, des outils de travail au top. en face c'est quoi ? Pas de passé, une capitale chère, un projet flou pour ne pas dire inexistant, un public fantôme, une image déjà déplorable avant même le championnat. Franchement çà fait pas rêver et le choix est vite fait. Il est dingue le gamin.
_________________ supporter depuis 1982
5NancyBoy4 Modérateur
Nombre de messages : 10364 Age : 40 Localisation : NCY Date d'inscription : 18/04/2009
Le dossier Valentin Chéry va connaître son épilogue dans les tout prochains jours. Si Paris n’a pas encore fait de proposition au club nancéien qui réclame dans son bon droit une contrepartie financière après avoir investi dans la formation du joueur (notre édition du 5 septembre), le club nancéien veut à tout prix être fixé avant le 15 septembre. C’est en effet à cette date qu’il devra communiquer à la LNB la liste de ses joueurs pros, l’instance demandant à ce que cette liste lui parvienne au plus tard 96 heures avant le premier match officiel. Or, le SLUC Nancy disputera son 64e de finale de Coupe de France le 19 septembre à Prissé-Maçon. Paris devra donc rapidement se positionner. Mais alors que le club parisien a besoin de joueurs formés localement de moins de 23 ans, sera-t-il prêt à payer la somme réclamée par le club nancéien, somme semble-t-il comprise entre 70 et 100.000 euros et correspondant aux indemnités de formation du joueur ? Réponse très bientôt.
Merlin l’enchanteur comme emblême Le SLUC Nancy s’est donné le Couguar comme emblème, Crailsheim a choisi pour sa part… Merlin l’enchanteur. A sa création en 1986, le club s’était creusé la tête pour trouver un surnom afin d’avoir sa propre identité au sein d’une structure omnisports. Après avoir regardé ce qui se faisait ailleurs et remarqué qu’en NBA, il y avait les Washington Wizards et les Orlando Magic, le club allemand a opté pour les Merlins. Le magicien au chapeau s’affiche sur le logo du club.
Salle annexe Ce n’est pas à la Arena Hohenlohe et ses 3.000 places que se déroule le tournoi mais dans la petite Hakro Arena à la capacité bien plus modeste (500 places environ). Le club de Crailsheim y a évolué jusqu’à 2014 avant de déménager dans une enceinte bien plus grande quand il est monté en BBL (la première division). Mais il s’entraîne toujours à la Hakro Arena, qui accueille également les matches de la réserve et des équipes de jeunes.
La jeunesse de Hanau Adversaire du SLUC ce samedi, le club d’Hanau est assez récent. Il a été créé en 2004 seulement. Mais c’est en 2012 qu’il a pris une dimension nationale en obtenant une wild-card pour la Pro B, la troisième division allemande. Il y est resté trois ans avant de monter en Pro A, une deuxième division qu’il n’a plus quittée depuis…
ONDAFACE As des As
Nombre de messages : 3244 Age : 83 Localisation : marignan Date d'inscription : 24/09/2009
à partir du moment où la conciliation a eu lieu, je ne vois pas pourquoi le SLUC a demandé une réponse pour le 15 septembre. Chery aurait déjà dû être là à la reprise ! C'est simple, soit les Parisiens acceptent de payer (ils sont pas en train de compter leurs pièces jaunes pour voir s'ils ont assez !), soit non. La réponse n'a pas besoin de tant de temps.
Cela sous-entend-il que nous avons déjà renoncé au joueur et avons demandé 100 pour avoir 50 ? Si c'est ça, c'est un jeu de c... Parce que, plus le temps passe, moins il y a de sens à un retour de Chery. Le montant de l'indemnité de formation baisse tous les jours.
Le Coeur à Nancy Assistant slucky
Nombre de messages : 59 Date d'inscription : 03/05/2006
Curieux effectivement de laisser autant de temps à Paris, on aurait pu croire que le SLUC aurait besoin de temps pour se retourner après la décision de Paris et avant de devoir communiquer sa liste à la ligue... Ou alors,comme , selon certains médias, Petty avait signé avec une période d'essai d'un mois le 12 août et qu'il a de moins en moins de temps de jeu en matchs de prépa (sans blessure apparente) , c'est à se demander si le SLUC n'a pas déjà préparé la succession de Chery au poste 4 par un nouveau ricain (et bye-bye Petty), laissant les postes arrières à EGS, Houmounou, Goods et Braud... Serait-ce une solution viable ?
andiamo As des As
Nombre de messages : 2053 Age : 56 Date d'inscription : 27/11/2008
Je ne pense pas que se passer dun poste 1 majeur soit la bonne solution.Enzo progresse mais na pas encore les épaules suffisantes pour endosser ce rôle. Pour un club visant clairement la montée, c'est prendre trop de risques car on y laisserait des matchs en route. Par contre, si, entre Nancy et Paris, un club a la pression et aurait besoin de temps, ce serait plus du côté de la capitale que ça se passerait. C'est selon moi la raison pour laquelle la date du 15 est évoquée. Au pire, on signe Houmounou ( CM a commence a travailler ce cas de figure) et Chery voyant sa signature parisienne invalidée, na pas d'autre choix que de revenir sans revalorisation salariale qui plus est. Le SLUC me semble clairement en position de force et vis a vis du joueur, et vis a vis de Paris, d'où cette dead line lointaine évoquée qui peut faire peur les supporters mais maîtrisée en plus haut lieu, enfin j'espère!
_________________ supporter depuis 1982
esslem54 Maître Slucky
Nombre de messages : 1520 Date d'inscription : 19/07/2013
Pour l'avoir vu jouer à Vittel et à l'entraînement, il n'y a rien de très inquiétant chez lui ... Si ce n'est qu'il est arrivée hors de forme physiquement
sebfromnancy Slucky 1er Dan
Nombre de messages : 326 Date d'inscription : 18/01/2007
Perry est le plus gros Cv de notre équipe et il a été surtout recruté sur ses stats 2016/17 La saison dernière il n'a joué que 14 matchs et c'est évident qu'il est la ramasse physiquement comparé à Enzo qui a fait un championnat d'Europe.