[ProA - J12] :: ASVEL Lyon-V. bat SLUC Nancy, 85-59 (44-29)

http://www.20minutes.fr/lyon/1067635-retrouvailles-avortees-entre-herve-toure-asvel

Retrouvailles avortées entre Hervé Touré et l'Asvel

Retrouvailles avortées entre Hervé Touré et l'Asvel E. POL / SIPA
Basket L'intérieur de Nancy ne pourra pas affronter son club formateur

Il le reconnaît lui-même. Il est temps que l'année s'achève. Blessé au dos le week-end dernier face au Havre, Hervé Touré ne refoulera pas les parquets avant 2013. L'intérieur du Sluc Nancy manquera par conséquent le déplacement à Villeurbanne, ce vendredi, et les retrouvailles avec son club formateur qu'il avait quitté volontairement en 2005 pour s'exiler à l'étranger afin d'obtenir davantage de temps de jeu. « Ça ne changera pas ma vie, car l'histoire ne s'arrête pas là. Je suis surtout déçu pour les nombreuses personnes qui avaient prévu de venir me voir », nous a confié ce joueur passé notamment par Charleroi, Milan, Cantu, Rome et Brindisi.

Ce rendez-vous symbolique avec l'Asvel, Hervé Touré n'avait pas non plus été en mesure de l'honorer en fin de saison dernière lorsqu'il avait rejoint Pau-Lacq-Orthez pour une pige puisque son dos lui avait déjà causé mille tourments. « Il n'y a pas de lien entre les deux blessures, affirme-t-il. Mais c'est frustrant car j'ai bossé tout l'été pour retrouver un corps qui me permette de bouger. »

Cette blessure a contrarié les plans du globe-trotter du basket français qui avait juré de ne plus évoluer en Pro A au moment de son départ de l'Asvel. « J'ai accepté la proposition de Pau au printemps dernier, car cela faisait quatre mois que je n'étais plus payé par Valladolid, explique-t-il. Je voyais ça comme une étape. Mais un enchaînement de choses a fait que l'étape s'est prolongée. Je savais que si je repartais à l'étranger en n'étant pas à 100 % physiquement, il y avait un risque que je me retrouve le bec dans l'eau. » Hervé Touré a donc joué la sécurité en rejoignant Nancy. Mais il n'exclut pas une nouvelle expérience hors des frontières, une fois sa saison achevée. D'ici là, il va pouvoir s'adonner durant sa convalescence à sa deuxième activité, l'écriture, lui qui collabore à un Web-magazine consacré à la mode urbaine : urban-trace.fr ■

Touré:
"avait juré de ne plus évoluer en Pro A"
Super motivation
"Je savais que si je repartais à l'étranger en n'étant pas à 100 % physiquement, il y avait un risque que je me retrouve le bec dans l'eau"
En effet ultra ultra motivé pour le club
"il n'exclut pas une nouvelle expérience hors des frontières, une fois sa saison achevée"
Notre franchise player!

Il est là pour se refaire une santé le pépére alors lui en demandé pas trop...

Au fait je vous raconte ma vie:
Descendant pour les fêtes je serais à l'astroballe demain.
Des Forumers y seront?

Meme si son interview n'est pas au top , il manquera pour defendre sur amara Sy !!

A mon tour de vous raconter ma vie...
je serais pour les fêtes en région Centre et donc je me propose comme pour le tournoi aviva de Bourges (oui durant ce tournoi j'ai vu Pope scorer 23 pts... c'est surement sa photo avec moi qui lui a mis la loose!) de servir de reporter pour le match Orléans/ Sluc!

Désolé je viens de consulter le forum à la rubrique TV et du coup vous verrez surement mieux que moi le match bien au chaud dans les chaumières lorraines sur SPORT+!!!
ça partait d'une bonne intention!

jjsabir a écrit:

A mon tour de vous raconter ma vie...
je serais pour les fêtes en région Centre et donc je me propose comme pour le tournoi aviva de Bourges (oui durant ce tournoi j'ai vu Pope scorer 23 pts... c'est surement sa photo avec moi qui lui a mis la loose!) de servir de reporter pour le match Orléans/ Sluc!

Moi aussi je raconte ma vie
Je serai avec toi jjsabir je passe Noël en région centre et j'en profite pour voir nos Couguars au Zenith d'Orléans :cheers:
Mais je loupe le match contre le PL

Ca risque quand même d'être compliqué cette histoire.

Avec Marquis en seul 5 de métier, face à une Asvel surréquipée à ce poste, ouille.

Les villeurbannais vont logiquement cibler Claude et tenter de le mettre dans la pénalité.

On faudra compter sur séquences sur Merriex pour faire face. Attention aux fautes.

Quand à V. Pourchot, autant j'aimerais vraiment qu'il ai quelques minutes, autant face a Uche/ Joseph, il risque de le sentir passer le bonhomme



Diabaté - Grant
Martin
Pope
Sommerville - Merriex
Marquis


Ca fait light, n'est-il pas?


On aura donc besoin de Pinda et/ou Pourchot.

Va falloir les perturber, aussi bien en attaque qu'en défense. On aura pas beaucoup d'armes sur lesquelles s'appuyer pour gagner des points ou en faire perdre au camps d'en face, mais si on arrive à brouiller les cartes et à avoir un poil d'adresse (surtout !), alors là on a une chance.

C'est d'ailleurs un cas de figure qui n'est pas rare dans ce genre de configuration de rencontre.

Mais si on a pas d'adresse.... Comme souvent depuis le début de saison..... Alors là on risque de prendre très cher.

http://www.estrepublicain.fr/sport/2012/12/21/haute-la-marche-uoiw

21.12.12 à 05h30
Basket-ball - Pro A (12 e journée) ASVEL - SLUC Nancy, ce soir à 19 h 30 (sur Sport ) SLUC Nancy : haute la marche…
Avec trois matches en huit jours les journées de Noël serviront de révélateur. Mais chez une équipe villeurbannaise invaincue dans sa salle, le SLUC sait qu’un défi de taille l’attend. D’autant qu’il sera privé de trois joueurs.



Claude Marquis devra relever le défi physique imposé par Uche Nsonwu sous les panneaux. Mais le SLUC Nancy aura d’autres équations à résoudre pour réussir une perf. Photo Patrice SAUCOURT

Claude Marquis devra relever le défi physique imposé par Uche Nsonwu sous les panneaux. Mais le SLUC Nancy aura d’autres équations à résoudre pour réussir une perf. Photo Patrice

Nancy. Le père Noël passera trois fois, cette année, sur les parquets pros. En programmant trois journées en cette fin décembre, la Ligue a souhaité occuper le terrain pendant la trêve des confiseurs, alors que certaines disciplines lèvent un peu le pied. Malin… Reste à savoir si le père Noël se montrera généreux avec le SLUC durant cette période. En tout cas, en composant le menu, il ne lui a pas fait de cadeau.

Avec deux déplacements à l’ASVEL et Orléans, entrecoupés de la réception d’une équipe de Paris-Levallois qui fait partie du quatuor de tête de Pro A, le SLUC passera trois tests carabinés. Après s’être donné un tout petit peu d’air au classement, en négociant bien les deux matches à la maison que le calendrier vient de lui proposer (Limoges et Le Havre), le club nancéien peut vite replonger dans le rouge si ça ne veut pas rigoler.

A contrario, il peut aussi caresser le rêve d’une qualification pour la Disneyland Paris Leaders Cup (nouvelle appellation de la Semaine des As) si les résultats venaient à lui sourire. Dans un championnat aussi serré, où trois succès seulement séparent le premier du dernier, tout peut aller très vite dans un sens comme dans l’autre. Dans huit jours, on y verra beaucoup plus clair…
« Il faut y croire »

La première étape de ces journées de Noël s’annonce semée d’embûches. Si l’ASVEL ne compte qu’un succès d’avance sur le SLUC, elle s’est jusqu’à maintenant montrée intraitable dans sa salle. Cinq matches joués pour autant de victoires (Boulazac, Cholet, Orléans, Paris-Levallois et Dijon). Le club rhodanien est même le seul de Pro A à ne pas avoir été battu à domicile cette saison. Le décor est planté.

Victorieux l’an dernier à l’Astroballe d’un sommet mémorable, marqué notamment par le duel à distance entre Nicolas Batum et Tony Parker en plein lock-out NBA, le SLUC aura du mal à refaire le coup. D’autant qu’il sera amputé de trois joueurs. Alors que John Linehan soigne toujours sa cuisse douloureuse et qu’Abdelkader Sylla a dû jeter l’éponge samedi dernier (aine), Hervé Touré a lui aussi rejoint l’infirmerie en se blessant au dos en début de rencontre, et sera indisponible jusqu’au mois prochain. Des pertes sèches non compensées, contrairement aux blessures de Jamal Shuler et Shawn King, remplacés par Torrell Martin et Claude Marquis.

Mais malgré ces pépins, les Nancéiens veulent croire en leur bonne étoile. « On a joué une bonne partie du match face au Havre dans cette configuration et on s’est imposé quand même », relevait Nick Pope, hier. « C’est ce qu’il faut garder en tête. »

« Il faut y croire », appuyait pour sa part Jean-Luc Monschau. « On va essayer de reproduire ce qu’on a fait de positif dans la construction face au Havre, même si on sait qu’on ne mettra pas à chaque fois treize shoots à trois points. »

À chaque match son histoire, après tout, d’autant que l’ASVEL paraît bien mieux outillée que Le Havre. Pour espérer réussir une perf à l’Astroballe, les Nancéiens devront saper l’activité d’Amary Sy, l’homme à tout - bien - faire de l’ASVEL (lire par ailleurs), empêcher Edwin Jackson de prendre feu à trois points comme cela lui arrive de temps à autre, ou relever le défi physique imposé par monsieur muscles Uche Nsonwu sous les panneaux. Claude Marquis et Bingo Merriex s’y colleront ce soir.

Le SLUC Nancy aura aussi besoin que Marcellus Sommerville et Solo Diabaté restent sur leur lancée actuelle et que, plus généralement, les individualités se mettent au diapason. Pas toujours le cas dans un début de saison aux allures de montagnes russes.

Mais c’est le prix à payer pour espérer réussir une perf retentissante. Et s’offrir un magnifique cadeau de Noël trois jours avant l’heure.

Anthony GUILLE

En Espoirs, le SLUC (4 e, 9 victoires, 4 défaites) affronte l’ASVEL (5 e, 8 victoires, 4 défaites) à 14 h 30.

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L'adversaire

Budget : 5,4 millions d’euros (1,6 million de masse salariale).

Salle : Astroballe (5.643 places).

Entraîneur : Pierre Vincent (48 ans).

Palmarès : 17 titres de champion de France (1949, 1950, 1952, 1955, 1956, 1957, 1964, 1966, 1968, 1969, 1971, 1972, 1975, 1977, 1981, 2002 et 2009), huit coupes de France (1953, 1957, 1965, 1967, 1996, 1997, 2001, 2008), une Semaine des As (2010).

La saison dernière : 12 e de Pro A (13 victoires, 17 défaites), éliminé en huitièmes de finale de la coupe (Limoges), éliminé au Top 16 de l’Eurocup.

Le chiffre : 1. Pierre Vincent a son cinq de départ et il s’y tient. Depuis le début de saison, l’entraîneur rhodanien a débuté tous ses matches avec le quintet Thompson, Jackson, Abromaitis, Sy et Nsonwu-Amadi. Le club villeurbannais est, avec Gravelines-Dunkerque, le seul de Pro A à ne pas avoir remanié son cinq de départ depuis le début de saison.

Le joueur clé : Amara Sy. Deuxième marqueur villeurbannais (12,4 pts), deuxième rebondeur (5,8), deuxième passeur (2,7), premier contreur (1,5) et premier au nombre de fautes provoquées (4,1), celui que l’on surnomme « l’Amiral » est le couteau suisse villeurbannais. Si le SLUC arrive à gripper cette courroie de transmission, il ferait une partie du chemin qui mène à la victoire.

L’infirmerie : en délicatesse avec un genou depuis plusieurs semaines, Georgi Joseph s’est entraîné en pointillés cette semaine, mais l’intérieur tiendra sa place. Tout comme Paccelis Morlende, qui a reçu le feu vert médical après avoir été touché à un doigt la semaine dernière, lors du derby face à Roanne.

Les cinq derniers matches : V-D-D-V-D.

http://www.leprogres.fr/sports/2012/12/21/jackson-ne-se-cache-pas

PRO A12 e JOURNEE : ASVEL - NANCY (19 h 30). Jackson ne se cache pas

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Publié le 21/12/2012 à 06:00
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Photo Joël Philippon
Même s’il est en vue depuis le début de la saison, l’arrière villeurbannais ne se repose pas que sur ses performances pour faire parler de lui.

La remarque n’appelait pas nécessairement une réponse : « De toute façon, vous n’êtes pas du genre à vivre caché… ». Mais en face, Edwin Jackson s’est empressé de confirmer : « Alors là, pas du tout ! ». « J’ai une famille très proche, ajoute-t-il. J’arrive à garder les pieds sur terre. Pour l’instant, ça se passe bien. Faut en profiter… ».

Malgré son mètre quatre-vingt-dix, le jeune Villeurbannais (23 ans) est la tête qui dépasse à l’Asvel, cette saison. Et ce n’est pas pour lui déplaire. Ce « showman » aime ce qui brille et sait attirer la lumière sur tous les terrains. Quitte à agacer. Mais il n’en a cure.
Vu sur les parquets

Deux ans après son retour à l’Asvel, Jackson réalise son meilleur début de saison (15,2 pts ; 3,7 rbds ; 2,5 passes). En retour, les récompenses tombent : à deux doigts d’être élu meilleur joueur de Pro A du mois en octobre, il a été sélectionné dans le cinq majeur français pour le All-Star Game. Voilà son enthousiasme, sa détermination et son immense confiance raccords avec ses résultats : « C’est comme ça que j’ai été élevé. Ma mère a beaucoup confiance en elle. Mon père (Skeeter Jackson, ancien international) aussi. Il vient d’un milieu difficile et il a fait une belle carrière… Avec du travail, on peut réussir de grandes choses », explique-t-il. Le coach Pierre Vincent apprécie : « C’est un garçon très agréable. Il renvoie une image d’exubérant, un peu égocentré, mais c’est plutôt un gros travailleur qui a envie de réussir. » Seulement, avec sa nouvelle dimension de leader propulsé par Tony Parker, son rendement se doit d’être au niveau de celui des étrangers. Et ses absences se font aussi remarquer. C’est le cas lorsque ses pertes de balle se multiplient ou que ses shoots ne passent pas, comme la semaine dernière à Roanne, faisant réémerger les critiques sur son jeu restrictif de pur arrière-scoreur. « Cette saison, ni le coach ni les équipes adverses ne me voient comme un shooteur. D’ailleurs, je n’ai pas un gros pourcentage (33 % à 3 pts) », plaide-t-il.

« Il est plus ciblé, selon Vincent. Je trouve qu’il fait des progrès partout. Il doit encore progresser dans la concentration. Et il doit faire mieux au rebond. Il manque aussi de vivacité en défense. Mais il a un vrai impact. Quand il est défendu ou qu’il n’est pas sur le terrain, il nous manque quelqu’un qui puisse faire la différence. À Roanne, c’est lui qui nous remet dans le match avec deux paniers. ».
Entendu à la télé

On ne fait pas que le voir à la télé. On l’entend aussi. Depuis la rentrée, Jackson enfile presque chaque semaine le costume de consultant sur beIN sport pour les matches de NBA. Drôle d’extra : « Cela me rend heureux, dit-il. Le basket, c’est ma vie, mais il y a tellement d’autres belles choses à faire que je n’ai pas envie de ne faire que ça. Cela peut être critiqué par des médisants. Mais c’est comme ça que j’aime vivre. Je ne monte que le week-end quand on n’a pas de match. De toute façon, je suis souvent à Paris. C’est une ville que j’aime depuis que je suis passé par Nanterre… ». Le deal est simple avec l’Asvel : pas de problème tant que cela ne nuit pas à ses performances. « J’essaye d’être irréprochable pour ne pas donner de prise à la critique. ». Il sera, par exemple, privé de micro demain, la semaine à venir étant trop chargée (déplacement à Gravelines et réception de Limoges). À l’antenne, ce bon « tchatcheur » trouve un rôle sur mesure. Et pourquoi pas une issue post-basket : « Je le fais pour le plaisir. Bon, il y a une paye aussi, faut pas le cacher… Pour me diversifier, également. Je ne pense pas à ma reconversion, mais ça pourrait avoir un poids… Et enfin pour médiatiser le basket français. ».
Suivi sur Twitter

Sa visibilité se prolonge également sur Twitter où il est aussi habile à capter son public. « Avec moi, il n’y aura pas d’affaire des tweets », promet-il en référence à la suspension à Georgi Joseph. Son compte à lui (@edjacks) promet du « divertissement permanent ». On peut le suivre au resto, dans son jacuzi, ou lors de ses séances de tatouage pour son projet corporel (« L’idée, c’est de raconter ma vie »). « Les réseaux, ça me fait rire. Beaucoup de gens le prennent au sérieux. Mais même si j’expose certaines choses, c’est pour déconner ou échanger des idées. » Et entretenir sa popularité naissante : « Même un basketteur très fort, il ne sera pas médiatisé dans le championnat de France. T’es obligé de passer par d’autres voies pour que les gens commencent à regarder du basket. »

Benjamin Steen

Quelqu'un aurait-il un lien pour le match de ce soir ?

Thanks TP !

Faut s'attendreà une partie très difficile ce soir à l'Astroballe oui les gones sont toujours invaincus...
Faire attention à Edwin jakson effectivement et à l'Amiral Sy bien évidemment. Le meneur Thomson aussi est vif et surprenant.
A l'intérieur Abromaitis est sérieux et Nsowu est malgré tout un tantinet vieillissant, mais il affiche encore un joli 15 d'éval !!!
D'ailleurs, 6 joueurs ont plus de 10 d'éval en moyenne (les cinq précédants + Joseph).

Bon derrière les six là, c'est un peu le désert, mais Pierre Vincent s'appuie cette saison sur un groupe cohérent.

A nous de les perturber : Diabaté peut créer le désordre là dedans, Sommerville et Marquis devront insister à l'intérieur. Il faut espérer aussi que Pope et Martin seront au niveau car sinon, ce sera mission impossible !
Sur le banc... nous n'avons plus grand chose : Grant, Merriex et les jeunes !
Verrons nous Benjamin Sene ???

Oulala pinda qui rentre Marquis à 2 fautes Pope inutile, 11-0 en cours , 9 points marqués en 8 minutes, ça sent mauvais cette histoire.
Quart temps horrible j'ai rarement vu un SLUC aussi faible...

Aucune adresse extérieure (0/2 pour Pope et 0/3 pour Pinda dans des positions ouvertes) et 0/8 au total. C'est moche.

sa pue sérieusement tout sa

Bon bein je crois qu'on a compris.

Fallait que cette hécatombe survienne au moment ou l'on va jouer 3 matchs en 1 semaine




Ca risque de faire très mal au classement tout celà...

y a un problème de niveau pour certains

Bah là l'hécatombe explique pas tout, franchement Pope est un joueur très faible, 9 points en un un quart temps c'est l'humiliation pour l'instant.

James a écrit:

Bah là l'hécatombe explique pas tout, franchement Pope est un joueur très faible, 9 points en un un quart temps c'est l'humiliation pour l'instant.

Y'a un effet domino.

Les joueurs jouent avec le frein par peur de commettre des fautes. Fautes qu'ils commettent quand même.

Tout est déséquilibré/ derèglé.



Après, on est d'accord et c'est pas nouveau, Nic' Flop c'est une blague.

Pas d'adresse extérieure, une défense bien mollassonne, des fautes pour Martin et Marquis. Bref, ça va être difficile de finir à moins de 15 points.

0/11 à 3 points et une seule PD sa fait mal

Une bien belle branlée