[PO 1/4 - #3] Le Mans SB bat SLUC Nancy, 92-84, A.P. (38-38)

publié le 29/05/2012 à 05:00
Basket | pro a SLUC, ça passe ou ça casse…
Le champion en titre saura, ce soir, s’il abandonne sa couronne et part en vacances. Le Sluc est-il en mesure de rééditer au Mans son exploit de la semaine dernière ?
M
Moerman, par ses multiples fonctions, détient la clé de la réussite nancéienne. Photo Fred MARVAUX

Difficile d’imaginer le scénario de ce match d’appui qui enverra soit Le Mans, soit Nancy en demi-finale ! En phase régulière, chaque équipe a gagné sa rencontre. En playoff aussi. Et comme il s’agit d’un duel mettant aux prises le quatrième et le cinquième, on ne se hasardera pas à tirer des plans sur la comète.
ZOOM

Disputer cette belle à domicile constitue-t-il un réel avantage ? « Pas toujours », affirme Pape-Philippe Amagou. On oubliera, cependant, que depuis plusieurs saisons, personne n’a réussi à faire le plein lors deux éventuels voyages proposés en quart de finale. Nancy espère être le premier à débloquer le compteur…

Allons-nous vers la photocopie de 2009 ? Vainqueur de l’acte I, le Sluc avait ensuite mordu la poussière deux fois de suite… Dommage que le règlement ait changé d’ailleurs. Voici sept ans, si Le Mans avait chapardé le succès à Gentilly 62-61, les Lorrains avaient arraché la qualification grâce au panier-average. Avec une avance de 25 points acquise la semaine précédente, Nancy aurait pu voir venir ! L’anecdote du passé ne saurait faire oublier la nécessité d’une nouvelle performance en terre mancelle. Car, pour l’instant, le club du président Christian Fra a pratiquement échoué dans l’ensemble des compétitions : Euroligue, coupe de France, Semaine des As, phase régulière même si ce cinquième rang n’a rien de catastrophique. Plus dure serait la chute en cas de revers dans la Sarthe. Ce serait le champion en titre qui serait viré d’entrée de jeu dans ces playoffs où la formation de Jean-Luc Monschau s’est souvent comportée de façon efficace : deux titres, trois finales, une demie pour une seule élimination en quart… Un résultat négatif ferait désordre dans la maison lorraine à l’orée de l’ultime croisade du tandem Monschau – Fra et au moment des transactions avec les joueurs.
Koffi, le danger

L’entraîneur nancéien, sera là pour apporter toute son expérience d’homme détenant le record national de playoffs. Avec dix-sept participations, il devance un certain Greg Beugnot, le mentor de Chalon. Amagou, avec ses huit phases finales, est aussi le symbole d’une solidité exacerbée dans les instants cruciaux. Au palmarès national, Nancy mène même le bal des chevronnés avec un cumul de 115 parties de playoffs, devançant Orléans et Gravelines. Si le curriculum vitae pouvait tenir un rôle décisif… Mais rien n’est moins sûr tant les coéquipiers de Linehan alternent les certitudes et les inquiétudes, les hauts et les bas, les brillantes prestations et les démonstrations de faiblesses. A quel saint se vouer…

Par chance, le Sluc ne connaîtra pas l’enfer dans la salle Antares qui manque singulièrement de chaleur, d’ambiance et d’enthousiasme. Il faut bien ça pour croire au destin victorieux de Nancy souvent emprunté hors de ses bases, cette saison, avec des revers au Mans, à Gravelines, Chalon, Orléans, Paris, Roanne, soit des échecs au domicile de six des sept autres rivaux du top 8. « Il s’agira de se montrer confiant dans la tête, estime le coach Jean-Luc Monschau, être capable de rééditer notre deuxième mi-temps du match retour. Je rappelle que nous étions dans les clous passer quand nous sommes revenus à trois longueurs », après avoir accusé un retard de dix-sept points. Preuve que l’adversaire manceau n’est pas insurmontable ?

En étant réaliste, on pourrait sortir les chiffres de l’effroi : vendredi dernier, les potes de Moerman ont baissé pavillon devant un opposant aux statistiques anodines : 38 % de réussite totale, 25 % à trois points. Et si la deuxième attaque du championnat se réveillait à l’image du fameux Rochestie (6 unités à 2 sur 9 aux tirs) ou du NBA man Acker (3 sur 12) ? Et si Koffi (zéro pointé) redevenait le vrai Koffi ? Encore des données qui sèment un peu plus le trouble dans les intentions des Lorrains et Kenny Grant : « De toute façon, on sait ce qu’il nous reste à faire. »

Voilà la seule chose dont on est sûr : ça passe ou ça casse. Classique mais imparable quand on n’a pas su plier une bonne affaire qui vous tendait les bras.
Alain THIÉBAUT.

Basket | playoffs de pro a Nancy, dos au mur
Le Sluc s’est compliqué la vie en s’offrant une belle au Mans. Amagou ferait-il la pluie et le beau temps ?

Les Manceaux Rochestie et Bryant n’ont pas toujours su arrêter Linehan mais le Sluc a quand même dilapidé une belle occasion d’aller en finale. Photo FRED MARVAUX.

Comment peut-on battre une équipe chez elle de vingt-cinq points et trois jours après, perdre contre ce même adversaire, devant son public, de huit longueurs… Nancy, qui n’est pas à un paradoxe près, était-il trop confiant contre une formation sarthoise tout aussi surprenante : cette saison, jusqu’alors, jamais Le Mans ne s’était imposé dans l’antre d’une équipe du top 8. La première fois, c’était vendredi à Gentilly !

Nancy apparaît dépendant de Pape-Philippe Amagou : 20 points dans la Sarthe, 5 en Lorraine. Sa performance a rejailli aussi sur Linehan évoluant à ses côtés. Quand ce duo est touché, c’est l’ensemble du Sluc qui souffre. Et quand la balle tourne péniblement, les positions de tirs sont moins faciles. Le 50 % de réussite dans les tirs à 3 points ayant tué les Manceaux chez eux, s’est transformé en un 25 % fatal à Nancy.

L’autre secteur clé de ce match retour, pour l’entraîneur Jean-Luc Monschau, a été le rebond offensif : « Dix balles de plus à jouer pour notre rival ! » Akingbala et Sylla ont oublié de faire leur job… Pas vraiment aidé par les joueurs arrivés en cours de saison. A savoir les Américains Kurz et Baxter : 5 points à eux deux en deux rencontres de playoffs. Pas terrible comme apport…

L’entraîneur lorrain voulait retenir « la deuxième mi-temps », gagnée par le Sluc 41-32. « Si on la réédite, demain, nous gagnerons le match d’appui. Mais j’avais prévenu, et ce n’était pas une formule de style, que notre adversaire, à l’aller, avait joué bien en dessous de son niveau et que Le Mans était une belle équipe et que tout restait à faire avant ce deuxième duel… »
« Pas beau à voir »

Les Lorrains, pour cet acte III, devront encore enfiler leurs armures : « Nous avons eu droit à un vrai match de playoff, avec toute sa rudesse, c’était un combat avec une belle densité physique », dont on ne sait pas qui du Sluc ou du Mans est capable de la renouveler tant ces groupes ont affiché des visages différents.

« Toutes les insultes et les critiques que nous avons eues après le premier match, nous ont servis », analysait le mentor manceau JD Jackson, nous avons eu la réaction qu’il fallait mais maintenant, il reste à la maintenir », au cours d’une belle définitive qui sera peut-être plus belle que les deux manches initiales : « Oui, avec ce manque d’adresse, ce n’était pas beau à voir… » Si le technicien le dit ! Pour son joker médical Antoine Eito, bourreau de Nancy, vendredi, « si Le Mans, qui a beaucoup de talent, réédite une telle intensité, ce sera compliqué pour les prochains adversaires. Mais il faudra encore regarder dans la même direction, surtout en défense. Car laisser le Sluc à 60 points dans sa salle, ça n’arrive pas tous les jours. »

A tous les entendre, on sent bien que personne ne s’avance sur le terrain de la certitude. En se réfugiant auprès des chiffres, on sait que depuis la mise en place de la formule actuelle des playoffs en 2006, personne ne s’est qualifié en remportant deux des trois parties à l’extérieur. Une statistique gênante pour Nancy.

UN EXPLOIT OU LA PORTE

Poussé à la belle pour n’avoir pas su finir le travail en deux manches, le SLUC est face à un défi d’envergure : gagner une deuxième fois au Mans pour s’ouvrir les portes des demies. Pour signer l’exploit, tenue de combat exigée.



Pour prendre la pleine mesure de la difficulté d’une entreprise, une stat vaut parfois mieux que bien des discours. Alors que le SLUC Nancy s’apprête à disputer un match d’appui, à la vie, à la mort ce soir au Mans, il pourra facilement jauger l’ampleur du challenge qui l’attend en constatant qu’aucune équipe n’a réussi à se qualifier en allant gagner deux fois à l’extérieur depuis la saison… 1998/1999. À l’époque, le PSG Racing et Le Mans s’étaient imposés deux fois sur les parquets de Chalon et Cholet pour s’ouvrir les portes de la qualification. Un exploit qui n’a jamais été reproduit depuis.

Pas forcément très engageant pour le club nancéien, vous en conviendrez… Même si hier midi, à l’issue de la séance d’entraînement de ses joueurs, Jean-Luc Monschau exhumait un souvenir relativement récent de nature à tempérer la froide réalité des stats. « Quand on a joué Villeurbanne en demi-finales des play-offs en 2009, on s’était retrouvés dans le même cas » soufflait l’entraîneur nancéien, « et lors de la belle dans le Rhône, on menait de dix points à quatre minutes du gong. Il nous a manqués quatre minutes mais on n’était pas loin d’y parvenir. L’équipe était déjà dans la démarche qui est la nôtre aujourd’hui, c’est-à-dire être prêts à se battre et être conquérants ».

Voilà donc le SLUC Nancy face à son destin, contraint de passer par une case belle pour avoir cafouillé son basket vendredi à Gentilly (60-68) trois jours après avoir fait une belle démonstration de force à Antarès (89-64). La qualification lui tendait les mains à Gentilly. Mais malgré son retour en deuxième période, le club nancéien avait au final traîné sa première période indigne (19-36) comme un boulet.

« IL Y A PLEIN DE CHOSES QUI PEUVENT SE PASSER… »
Que le SLUC Nancy ait calé de très peu dans un contexte où plusieurs secteurs ont été franchement défaillants (rebond, adresse aux tirs, aux lancers-francs…) est paradoxalement un motif d’espoir. Difficile d’imaginer que le SLUC Nancy se fasse autant « manger » aux rebonds offensifs (8 à 18 vendredi), difficile d’imaginer aussi qu’un joueur comme Pape-Philippe Amagou se troue une nouvelle fois aux lancers-francs (3/10) alors qu’il tournait à plus de 80 % de réussite dans cet exercice en saison régulière, difficile encore d’imaginer qu’Antoine Eïto réussisse un nouveau festival (4/7 à 3 pts en 13’)… « Après, il peut y avoir d’autres facteurs X » coupe le coach nancéien, « Taylor Rochestie peut faire mieux que lors des premiers matches (voir plus loin, NDLR) et pour nous aussi, Jimmy Baxter peut faire mieux que jusqu’à maintenant et trouver sa place sur le terrain comme il l’a déjà fait à l’entraînement. Il y a plein de choses qui peuvent se passer. Il faut qu’on ait confiance dans une volonté commune de se battre, confiance les uns dans les autres. Avoir confiance, croire en soi, avoir la foi ».

LE RETOUR DU VIRUS
La foi en une défense qui a bien monté le curseur depuis quelques semaines (65 pts de moyenne concédés sur les quatre derniers matches) à l’image d’un John Linehan plus « virus » que jamais depuis le début des play-offs. Taylor Rochestie en sait quelque chose. Elu deuxième meilleur joueur du championnat, l’Américain tourne à 8 pts, 35 % de réussite aux shoots et 9,5 d’évaluation sur les deux premiers matches des play-offs alors qu’en saison régulière, il « pesait » 17,4 pts à 51 % et 20,4 d’évaluation !

Limiter l’Américain sera une nouvelle fois une des clés du match, une des clés pour croire en l’exploit et rester en vie dans ces play-offs. Le SLUC a quarante minutes (ou plus si prolongation) pour aller l’arracher. Alors messieurs, prêts pour le combat ?

Anthony GUILLE

Je pense que c'est le scénario du match qui décidera de la présence de Baxter sur le parquet.
Par exemple des fautes rapides prises par Linehan, Amagou ou Shuler...

Ce match va être très difficile pour le Sluc. Le Mans ne rééditera surement pas sa mauvaise prestation lors du premier match. Il va falloir que le Sluc soit dans la continuité de sa 2ème mi-temps de sa rencontre à Gentilly.
J'ai bien peur que Rochestie nous sorte un festival, lui qui a été assez discret lors des 2 premiers match. Espérons que Linehan soit en mesure une nouvelle fois de limiter son impact et que les arbitres ne soient pas trop sévères avec lui...

Du coup ce soir pas de possibilité de voir le match?
Sport+ a choisi le BCM?

sûr que nous pouvons faire bien mieux qu'au match 2... mais eux aussi, comme écrit dans la gazette : Rochestie, Acker et Koffi sont capables d'autre chose

nous n'avons rien à perdre, nous avons déjà réussi une fois, allons y et espérons que, si nous perdons, en dehors d'avoir vidé nos tripes, nous aurons joué un beau match de basket et serons tombés contre une belle équipe (bref, au moins que nous ne perdions pas en jouant comme l'horrible MT1 du match 2)

Neodurden a écrit:

Du coup ce soir pas de possibilité de voir le match?
Sport+ a choisi le BCM?

j'ai lu, je ne sais plus où, que c'est BCM qui a été choisi en effet

mais aucun des deux matchs n'est diffusé sur le site de sportlemon... en revanche, pour les intéressés il y a du championnat espagnol et du championnat bulgare

Absolument pitoyable, une belle des PO va se jouer dans l'indifférence générale. FBSL ne sera pas présente non plus je suppose. A l'aire du tout média, ou la moindre compétition de fléchette au fin fond de la Hongrie est retransmise, ça la fout mal.
Et du coup, le créneau de mercredi, il mettent quoi Sport plus à la place, du twirling baton?
Il en pense quoi Alain Béral ?

Effectivement, c'est du grand art...

ONDAFACE a écrit:

Neodurden a écrit:

Du coup ce soir pas de possibilité de voir le match?
Sport+ a choisi le BCM?

j'ai lu, je ne sais plus où, que c'est BCM qui a été choisi en effet

mais aucun des deux matchs n'est diffusé sur le site de sportlemon... en revanche, pour les intéressés il y a du championnat espagnol et du championnat bulgare

Sportlemon vient de mettre un lien pour BCM-Cholet : http://www.sportlemon.tv/v-4/0/138/v-413812.html

tony parker a écrit:

ONDAFACE a écrit:

Neodurden a écrit:

Du coup ce soir pas de possibilité de voir le match?
Sport+ a choisi le BCM?

j'ai lu, je ne sais plus où, que c'est BCM qui a été choisi en effet

mais aucun des deux matchs n'est diffusé sur le site de sportlemon... en revanche, pour les intéressés il y a du championnat espagnol et du championnat bulgare

Sportlemon vient de mettre un lien pour BCM-Cholet : http://www.sportlemon.tv/v-4/0/138/v-413812.html

Ce lien a disparu sur "citron" mais il y a une ligne MSB/SLUC sur LSHunter TV....a surveiller peut avant 20h30...

lolo a écrit:

Absolument pitoyable, une belle des PO va se jouer dans l'indifférence générale. FBSL ne sera pas présente non plus je suppose. A l'aire du tout média, ou la moindre compétition de fléchette au fin fond de la Hongrie est retransmise, ça la fout mal.
Et du coup, le créneau de mercredi, il mettent quoi Sport plus à la place, du twirling baton?
Il en pense quoi Alain Béral ?

C'est pour ne pas qu'il y ait de différence entre les 2 qualifies au niveau du temps de récupération.
Par contre, s'ils l'avaient voulu, ils auraient pu mettre un match à 19h et l'autre à 21h ; ou même si les devaient être tous les 2 à la même heure, Gravelines-Cholet en live,puis en diffère Le Mans-Nancy.
Mais c'est clair que quand Cholet a gagne samedi j'avais les boules, car ça signifiait qu'on ne pourrait pas voir notre belle...
On suivra ça sur le live LNB... A moins que le France bleu de la Sarthe ne le retransmette ?

Bon c celui qui sera le plus fort dans sa tête qui passera ce soir. Parce qu'il va y avoir des séries pour Le Mans, puis pour Nancy, puis pour Le Mans, puis pour Nancy... Je ne pense pas que l'une ou l'autre des équipes va prendre 15 - 20 pts d'avance sur une MT !!!

Ouais la récupération elle a bon dos, Boston avec ses dinosaures contre les jeunes loups ils ne se sont pas plaints que je sache.

lolo a écrit:

Ouais la récupération elle a bon dos, Boston avec ses dinosaures contre les jeunes loups ils ne se sont pas plaints que je sache.

En NBA et notamment à Boston, il n'y aurait pas dans chaque franchise des équipes médicales d'une dizaine de personnes et des installations de plusieurs centaines de milliers de dollars ? Par hasard ? L'excuse de la récupération vaut pour certains joueurs comme Linehan ou Akingbala qui traînent des douleurs chroniques, oui.

toff54 a écrit:

tony parker a écrit:

ONDAFACE a écrit:

Neodurden a écrit:

Du coup ce soir pas de possibilité de voir le match?
Sport+ a choisi le BCM?

j'ai lu, je ne sais plus où, que c'est BCM qui a été choisi en effet

mais aucun des deux matchs n'est diffusé sur le site de sportlemon... en revanche, pour les intéressés il y a du championnat espagnol et du championnat bulgare

Sportlemon vient de mettre un lien pour BCM-Cholet : http://www.sportlemon.tv/v-4/0/138/v-413812.html

Ce lien a disparu sur "citron" mais il y a une ligne MSB/SLUC sur LSHunter TV....a surveiller peut avant 20h30...

En fait il est indiqué MSB-SLUC mais c'est un lien pour Gravelines -Cholet
C'est sur y a pas de TV au Mans !

ah, en plus du match du BCM, on propose même notre match sur sportlemon

en revanche, le championnat de Bulgarie a disparu

je ne pouvais vous annoncer que des bonnes nouvelles

Vous vous faîtes du mal, aucune équipe télé n'est au Mans (ce qui est effectivement lamentable).
Ce soir, il va falloir gonfler le buzzer du live de la LNB. Supayr !

rien en effet

C'est génial...

L'excuse d'un jour de décalage pour de la recup, c'est ridicule pour des pros. Et puis Akin n'arrête pas de dire qu'il est en pleine forme, gros contrat futur oblige

Baxter rentre.

C'est le moment guy!

Wouhou le live LNB fonctionne, c'est enoooorme

lolo a écrit:

L'excuse d'un jour de décalage pour de la recup, c'est ridicule pour des pros. Et puis Akin n'arrête pas de dire qu'il est en pleine forme, gros contrat futur oblige

Je n'ai pas dit que c'est une excuse mais ça pèse pour des joueurs qui souffrent de douleurs chroniques. Et c'est le cas pour Akin qui, comme tu le dis, le nie pour chercher du contrat.