[ProA - J27] SLUC Nancy bat JDA Dijon, 84-60 (37-34)

+3 à la mi-temps, c'est pas gagné

Marcus 0 minutes Blessé

Dickens, 3 fautes en 4 minutes

et + 11

Akin le retour

+21 et Ric toujours là
J'espère que Marcus est pas blessé, 2 postes 4 ?

Oui, Brun + Dickens..
Une rotation à 3 à l'intérieur, pas très bon signe ça

Brun qui n'a pas pris un seul shoot d'ailleurs.. il a pris la place de pivot??

Victoire 84 - 60 grosse défense apparemment sur la deuxième mi-temps (26 points).

N'Joya qui sort bien aussi ce soir à 100% au tir, 4 passes, 2 int, 1 rbds, 2fautes, et 2FP en 22'

Et Akin qui revient bien !!
(Marcus au repos pour donner du temps de jeu aui deuxième pivot?)

Bonne victoire avec N'Joya qui a du temps de jeu
J'attends les com' sur Marcus

bon la formalité est passée, la suite sera bien plus ardue

Et en plus, Poitiers écrase Orléans, et Strasbourg gagne contre Gravelines

rouen qui perd après 2 prolongations, terrible pour eux

Victoire du Sluc après une 2ème période quand même plus belle que la 1ère. Marcus Probleme a la cheville en esperant que ce n'est pas trop grave et qu'il sera de retour contre Orléans.Akingbala qui revient au avant poste sa fait du bien.

y a pas beaucoup de commentaires ce soir...

Ils sont passés où les spectateurs et supporters de Gentilly??

Ju a écrit:

y a pas beaucoup de commentaires ce soir...

Ils sont passés où les spectateurs et supporters de Gentilly??

Ben franchement on a vu un match bof bof , le Sluc a fait le job sans plus devant une equipe qui s'est battu avec ses armes, mais dans l'ensemble pas de quoi s'enflammer, pour ça fallait voir Le Mans Cholet ...

Pour Marcus, c'est une entorse.
Ils ont préféré le ménager.
S'il avait fallut il serait rentré mais comme on a pu faire sans cela va permettre de consolider la blessure pour vendredi prochain.

Ju a écrit:

y a pas beaucoup de commentaires ce soir...

Ils sont passés où les spectateurs et supporters de Gentilly??

Pourtant....il y avait du monde...Marco...a donné le chiffre de 5600 spectateurs....

Le SLUC accélère en troisième



Dijon a vendu chèrement sa peau en première mi-temps (37-34) avant de craquer devant la montée en régime du SLUC.




Nancy. Il fallait s'y attendre. Pendant que le SLUC finissait le job, après que Ricardo Greer avait rappelé à la mi-temps (37-34) qu'il fallait vite se mettre à l'abri, Orléans prenait l'eau à Poitiers et Gravelines perdait le nord au Sportica devant cette imprévisible équipe strasbourgeoise aujourd'hui sauvée ou presque.
Si bien qu'à trois journées de la fin, le SLUC, Orléans et Gravelines se retrouvent à égalité, les yeux rivés sur cette quatrième place qui peuplent leurs nuits, surtout depuis que Roanne en s'imposant à Paris, devrait normalement terminer troisième.
L'opération a donc été finalement juteuse hier soir à Gentilly pratiquement plein (5655 spectateurs) pour des Nancéiens qui mirent une mi-temps à comprendre que Dijon qui restait sur trois victoires en cinq matchs, vendrait chèrement sa peau malgré ses difficultés actuelles (licenciements, blessures). « Dijon n'est pas encore mort » dira à la fin du match Alexis Tanghe qui fut un des meilleurs Dijonnais dans une rencontre que les Nancéiens décidèrent de plier dans le troisième quart-temps lorsque Ricardo Greer (16 pts et 12 rbds) et Akingbala (20 pts, 13 rbds) roulèrent des épaules sous les cercles en l'absence de Slaughter qui restera sur le banc pour reposer sa cheville : « on a pensé qu'on pouvait s'imposer sans lui afin de le récupérer à 100 % en début de semaine pour préparer le déplacement à Orléans » avouera Jean-Luc Monschau qui aura apprécié la montée en régime après le repos de son équipe, surtout en défense : « Dijon n'a marqué que 5 points en 9' et demi » précisera l'entraîneur du SLUC déjà branché évidemment sur le choc à Orléans vendredi prochain.

Conscients du danger
Disons que le SLUC a fini par comprendre au bout d'une première mi-temps laborieuse qu'il pouvait être en danger. Les Bourguignons qui avaient donné carte blanche à leur scoreur Sean Marshall, rivalisèrent avec des Nancéiens plutôt amorphes, parfois négligents mais qui contrôlèrent les débats sans appuyer où ça fait mal (15-9, 8e ; 26-20, 14e; 34-28, 18è).
Mais en augmentant son volume défensif après le repos, Nancy prit très vite ses distances. D'abord en infligeant un 8-0 en 3' (37-34, 20e puis 45-34 23e) puis en bouclant à double tour sa raquette pendant que les frères Greer et Kaniel Dickens trouvèrent le chemin royal du panier primé.
Lorsque Ricardo alluma une nouvelle mèche à trois points (62-43, 32e), l'affaire finit dans le sac, le plus logiquement du monde, laissant Dijon à son triste sort, Henrik Dettmann, le coach de la JDA étant obligé de donner beaucoup trop de temps de jeu à ses espoirs Aboudou et Prenom.
Le final se transforma en spectacle de haute voltige.
Le SLUC se mit à cavaler sous les inspirations de N'Joya qui progresse incontestablement et Cox réussit le panier du jour en transformant magistralement un alley-oop made in NBA. Parti comme un diesel, le SLUC finissait au super.
«On a usé Dijon»
Steed Tchicamboud: «On a pu s'apercevoir en première mi-temps que les derniers résultats de Dijon n'étaient pas les fruits du hasard. En seconde mi-temps, on a su répondre, on a fait le job et on a usé Dijon qui possédait moins de rotations. Maintenant, on doit tout gagner pour entrer dans le top quatre.»
Kaniel Dickens: «En première mi-temps, on a eu un peu de mal parce qu'on ne défendait pas à nos postes habituels. On a mieux joué en deuxième mi-temps car on a mieux défendu et on s'est appliqué à bien faire les choses.»
Henrik Dettmann (entraîneur de Dijon): «Nancy possède une très belle équipe, elle a affiché sa supériorité après le repos en intensifiant sa défense. Ce n'est pas facile pour nous dans notre situation, mais on ne lâchera pas.»
Alexis Tanghe (Dijon): «C'est dommage parce qu'on était venu avec l'esprit de gagner. On a réussi à faire ce que l'on voulait pendant vingt minutes, mais après on a lâché au troisième quart-temps. Là, on n'a pas fait ce que l'on aurait dû faire et Nancy a su mettre ses tirs ouverts.»

Gilles GAIHIER



Est republicain

Oui, gentilly était encore très bien garni hier soir, et cela m'a surpris car l'affiche était loin d'être extra et le SLUC avait perdu pas mal de sa superbe depuis quelques match.
Finalement le public reste fidèle, et c'est très réconfortant. Certains ici s'ennuient à Gentilly mais il faut reconnaitre que le public est encore là.

Pour revenir sur ce match, on peut déjà remarquer que Dijon a vendu chèrement sa peau, résistant bien en 1ère mi-temps avec quasi seulement 3 marqueurs (Monclar auteur d'un bon début, Alexis Tanghe un bon joueur selon moi à s'intéresser peut-être dans le cas d'une doublure au poste 4 français) et Sean Marshall).
Les marqueurs du SLUC étaient plus variés (qusi tous les joueurs avaient marqué à la mi-temps), mais le SLUC n'arrivait pas à décoller les dijonnais.
Surprise dans le 5 de départ, figurait Saidou N'Joya qui allait au final jouer 22' et face au faible D'Almeida, pouvait montrer ses capacités : rapidité et bonne relation avec Akin.
Notre pivot Nigérian, bien que parfois maladroit (quelques pertes de balles et ratés au shoot) allait retrouver néanmoins des couleurs face lui aussi au très faible Milosevic !!! (20pts et 13 rebonds : c'est pas mal).
Ricardo n'a vraiment pas forcé, il avait son air plutôt chagrin hier mais au final s'en sort avec (encore) la meilleure éval de son équipe...
Brun a été très actif notamment en défense, je l'ai trouvé (comme souvent) très concerné par le jeu...

Voilà, en deuxième mi-temps, Dijon s'est effondré et le SLUC a déroulé sans montrer grand chose non plus.
Les résultats de la soirée (défaites conjuguées de Gravelines et Orléans), nous sont très favorables et nous gardons plus que jamais notre destin en main ! Mais vendredi prochain à Orléans, il faudra montrer autre chose c'est clair !

«Akin a fait le boulot»



Grâce à un Akingbala des grands soirs, le convalescent Slaughter a pu sereinement regarder le match du banc.


Nancy. L'absence de Marcus Slaughter, dans la raquette nancéienne hier soir, ne s'est quasiment pas fait ressentir. Il faut dire qu'Akin Akingbala a répondu présent contre les Dijonnais.
Ses soucis au dos et au genou qui l'avaient contrarié, qui l'avaient handicapé ces dernières semaines sont oubliés. Contre Roanne encore, il avait été ballotté par Nsonwu, ne pouvant totalement prendre appuis sur ses jambes. Akin avait d'ailleurs rendu des statistiques moins flatteuses (6 pts, 1 rbd en 15'). Pas hier face à Tanghe et Milosevic, les deux intérieurs de la raquette dijonnaise.
L'intérieur nigérian a rendu une très belle copie, qui rappelle ses belles heures de la saison dernière: 16 points, 12 rebonds, 7 fautes provoquées, le tout en 34 minutes de jeu.

Agressivité en attaque
Akin a même étouffé son vis-à-vis, le Serbe Stevan Milosevic, pigiste médical dijonnais passé cette saison par le Partizan Belgrade et l'Euroligue. Milosevic a été complètement éteint; vraiment. Il a terminé la partie avec 7 pts et 8 rbds en 25'; bien loin de ses performances du week-end dernier face à Roanne où il avait tourné à 17 pts, 19 rbds pour 31 d'évaluation. Akin Akingbala en est le maître d'œuvre.
«Ce soir, Akin a fait le travail, même si il y a eu quelques balles perdues agaçantes», commente l'entraîneur nancéien, assez heureux de la prestation de son Nigérian, «Il a fait le boulot aux rebonds. Il donne ce qu'on attend de lui. Et il est aussi présent aux points, aux lancers francs.»
En étant bien agressif sur les Dijonnais, il a provoqué nombre de fautes lors du troisième quart-temps (trois dans la seule 22e minute), Akingbala a contraint les Dijonnais à desserrer leur étreinte défensive et à ouvrir les espaces dont ont su profiter ses partenaires pour creuser l'écart (41-34, 22' puis 53-39, 27').
Plus intéressant encore que sa seule prestation sur le terrain, Akin Akingbala a permis à son entraîneur de préserver Marcus Slaughter, sur la feuille de match en cas de besoin seulement. Lorsqu'il sera remis, le SLUC aura ses deux intérieurs opérationnels pour la dernière ligne droite du championnat.
On a retrouvé Akingbala. Ses partenaires l'ont bien compris eux aussi en lui tapant sur le crâne après le buzzer.

Nicolas FERRIER



Est republicain

Wachowiak chaud, chaud...


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ESPOIRS. Dans un match serré entre deux équipes qui occupaient la septième (Dijon) et la huitième place du classement, les espoirs nancéiens de Pierre Verdière ont assuré un succès convaincant grâce notamment à d'excellentes séquences défensives dans le dernier quart-temps aux inspirations de Clerc bien exploités par Sylla (alley-oops) et à l'adresse extérieure de Wachowiak chaud brûlant hier soir.
Les espoirs du SLUC dont on a apprécié l'état d'esprit, la combativité, le collectif, ont même salé l'addition en fin de match (82-66). Ils rejoignent ainsi leurs adversaires du jour au classement à trois journées de la fin mais ont échoué pour reprendre le panier-average particulier pour trois points (74-55 au match aller).
Les marqueurs du SLUC : Wachowiak 27 ; Sylla 23; Clerc 11 ; Emanuely 9 ; Pinda 7 ; Thalien 3, Pintiaux 2
RETROUVAILLES. Marcus Slaughter est venu faire l'accolade à Sean Marshall avant le match. Les deux joueurs américains ont joué à Pinar Karsiyaka en Turquie en 2007-2008, club qui occupe aujourd'hui la septième place du championnat turc.
PANELLINIOS. Les Grecs de Panellinios qui avaient éliminé le SLUC en Eurocup en janvier dernier, ne sont pas prêts d'oublier le joueur français Nando De Colo, scoreur de Valence en demi-finale de la compétition hier à Vitoria. L'ex Choletais et international a réussi 20 points et un 5/8 à trois points, qualifiant son équipe (92-80) pour la finale contre le vainqueur de Bilbao-Berlin.
SAMNICK. Licencié de l'ASVEL pour ne pas s'être présenté à un rendez-vous médical, l'ex Nancéien Victor Samnick aurait pu rebondir en Turquie pour la fin de saison. Son agent lui avait trouvé un club mais Victor a préféré prendre du temps pour réfléchir sur la suite de sa carrière.
GRAVELINES. Le match du SLUC contre Gravelines a été avancé au vendredi 30 avril pour les caméras de Sport Plus. Ce qui n'arrange pas les affaires du BCM qui jouera le mardi 27 avril à Rouen en demi-finale de la Coupe de France.

Est republicain

SLUC, le succès attendu


Face à un Dijon très limité, Nancy a patienté une mi-temps avant de renouer avec la victoire. Orléans et Gravelines vaincus, le SLUC tire les marrons du feu…


Les meilleurs Dijonnais ? Absents. Soit sur le banc (Mbaye, Krupjlica, Bogavac), soit ailleurs (Bradley, Bradford licenciés), soit à la maison (Fazekas blessé). Cette équipe bis du club bourguignon, pourtant, déborde d’envie, de solidarité et de cœur. Et de jeunesse conquérante. Talentueuse à l’image de Tanghe et Monclar. Le duo d’espoirs alignait les treize premiers points pour contrarier un SLUC newlook, Akingabala et N’Joya étant lancés d’entrée de jeu. Mais la machine lorraine avait des hoquets. Des ratés. Elle fonctionnait sur un rythme extrêmement lent qui facilitait la tâche de visiteurs prompts à intercepter et tenter crânement leurs chances.
Le spectacle s’avérait tellement désolant (7-7) que l’entraîneur Jean-Luc Monschau piquait des grosses colères, rappelait les siens lors d’un temps mort bénéfique. C’est dire… Que de ballons balbutiés, égarés et un rebond incroyablement abandonné à des plus petits ! Les Nancéiens oubliaient le jeu sans ballon, ne manifestaient aucune agressivité, et n’allaient pas au bout de leurs efforts. Leur 7-0 était contré par un… 0-7 de Dijon. Même les rotations, nombreuses (Tchicamboud, Dickens), ne réveillaient pas un SLUC piégé par la facilité quand en face seulement cinq professionnels et quelques jeunes…
Ricardo Greer répond présent
Heureusement, Ricardo Greer maintenait sa formation à flot sans pour autant parvenir à assommer un adversaire plein de bravoure, s’appuyant sur une zone simple mais diablement efficace avec des aides bienvenues. Les immenses gabarits de Nancy n’imposaient pas leurs kilos ni leurs centimètres face à un collectif bourguignon exemplaire alors que Cox ou Tchicamboud se la jouaient en solitaire. Invraisemblable, la lanterne rouge s’accrochait aux basques du SLUC à mi-chemin (37-34). Jean-Luc Monschau explosait de voir ainsi ses hommes bafouiller leur basket… Le passage aux vestiaires remettait du plomb dans les cervelles nancéiennes enfin enclines à défendre. Dijon sombra aussitôt dans la difficulté (4 points en 7 minutes). La tâche des Lorrains fut d’autant plus aisée que la fatigue et les fautes personnelles (souvent sévères) alourdissaient les épaules visiteuses.
Enfin, Nancy marquait sa différence dans ce troisième acte (22-9) sans surprise tant la réaction du SLUC était attendue. L’adresse retrouvée à trois points, conjuguée aux sorties, momentanées, de Monclar et Marshall, tuait le suspense de ce duel déséquilibré avant même l’ultime quart-temps (59-43). On retiendra donc la deuxième période sans être sûr que le SLUC ait récupéré tout son allant.
L’indispensable Ricardo Greer ayant dû se démener jusqu’à la 35 ^e minute ! Les résultats de ses rivaux directs au classement consoleront les sceptiques puisque Gravelines et Orléans ont trébuché. Une bonne affaire, cette victoire sans gloire.
Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Un petit rappel dans la lutte que se livrent Orléans, Gravelines et le SLUC pour la 4ème place :

GRAVELINES bat ORLEANS : 67-60
ORLEANS bat NANCY 84-80 ap
NANCY bat GRAVELINES 90-74
ORLEANS bat GRAVELINES 73-67
restent à jouer :
ORLEANS-NANCY
NANCY-GRAVELINES

Classement :
1- ORLEANS 3m 2v 1d (+3)
2- GRAVELINES 3m 1v-2d (-15)
3- NANCY 2m 1v-1d (+12)

Moralité : Le SLUC doit s'imposer à Orléans plus que jamais... puis face Gravelines et dans ce cas là pourrait accepter de perdre à Poitiers...
Les trois équipes se retrouveraient alors à égalité (si Orléans et le BCM remportaient leurs deux autres matchs) et le SLUC serait devant...
Si Nancy battait Orléans de moins de 4 points, il faudrait alors peut-être battre Poitiers également en cas d'égalité à 2 avec Orléans...
Bref, c'est simple et compliqué à la fois, mais le SLUC conserve plus que jamais son destin entre ses mains.

Oui, le SLUC a le destin entre ses mains pour finir 4e. S'il remporte ses 3 dernières rencontres, ce sera dans la poche. Mais je crains bcp les déplacements à Orléans et à Poitiers.

Du rêve au cauchemar




La JDA a cru à l'exploit pendant une mi-temps avant de craquer logiquement face au SLUC. Mais le pire est que Strasbourg et Le Havre ont gagné...

Rivaux. Strasbourg et Le Havre possèdent désormais deux victoires d'avance et le point-average sur la JDA.
Rendez-vous. Le prochain match des Dijonnais n'est autre que le derby face à Chalon au palais des Sports.

L'espoir aura duré vingt minutes... Après une très bonne première mi-temps, la JDA n'avait que trois petits points de retard sur Nancy (37-34), Strasbourg était mené à Gravelines et le derby normand entre Rouen et Le Havre était déjà indécis.
Mais le miracle n'a pas eu lieu. Avec un effectif trop juste, la JDA a fini par céder logiquement face à un adversaire du niveau du SLUC. Et la soirée s'est même terminée de la pire des manières avec la victoire de la SIG dans le Nord et celle du Havre. Le maintien s'est donc éloigné encore un peu plus hier soir.
Et pourtant on y a cru. Notamment parce que les Dijonnais ont réalisé une période initiale de haut niveau, dans le sillage de Monclar, Marshall et surtout Tanghe (16 points dont 8 dans le premier quart). Pendant vingt minutes, les Bourguignons ont rendu coup pour coup aux Nancéiens (15-16, 10e, puis 34-32, 19e), qui se reposaient essentiellement sur Akingbala qui, déjà, prenait le dessus sur Milosevic.

Un troisième quart-temps fatal
Car tous les Dijonnais n'ont pas pu élever leur niveau de jeu comme la situation l'exigeait. « Quand on a si peu de joueurs, il faut impérativement qu'ils évoluent tous à leur meilleur niveau, ce qui n'a pas été le cas », remarquait justement le coach de la JDA Henrik Dettmann après la rencontre. « Stevan (Milosevic) notamment n'a pas pu s'exprimer. »
Souvent pris dans la tenaille nancéienne, le pivot serbe a en effet passé une sale soirée. Sans son point d'ancrage dans la raquette, avec un Xane D'Almeida un cran en dessous de ses dernières performances, la JDA a du coup pris de plein fouet le réveil lorrain dès l'entame du 3e quart-temps.
Dans le sillage d'Akingbala, le SLUC infligeait un 8-0 aux Côte-d'Oriens (45-34, 23e) avant que les frères Greer n'achèvent leurs ultimes espoirs (56-39, 29e). « Nancy a su mettre ses shoots ouverts et nous, on a commencé à souffrir physiquement », analysait Alexis Tanghe. Les Dijonnais tiraient la langue et n'arrivaient plus à franchir le rideau défensif (9 points marqués dans le 3e quart). Avec un retard de 16 points à l'abord de l'ultime période, les espoirs dijonnais étaient ainsi définitivement enterrés, les dernières minutes ne faisant qu'amplifier un écart qui était finalement inévitable.

Guilhem George



Publié le 18/04/2010



Le Bien Public

Un commentaire sur le match ? Le Republicain lorrain a tout dit contrairement a cette farce d'article pondu par l'Est Republicain.

Pas a Gentilly hier....LE match c est vendredi doir. vaut mieux eviter Roanne....!!

Theseus a écrit:

Un commentaire sur le match ? Le Republicain lorrain a tout dit contrairement a cette farce d'article pondu par l'Est Republicain.

Le SLUC a fait le job... après la pause. Dans les 2 premiers quart, pas grand chose à se mettre sous la dent, Nancy cafouille un peu en attaque, n'est pas très vigilant en défense. La JDA joue son va-tout à fond, s'accroche... Bref, rien de bien transcendant pdt 20 min. et puis le SLUC se réveille, accélère...Dijon peine, ne jouant qu'avec 5 pros, s'use... L'écart se creuse logiquement et sans de véritables coups d'éclat... si ce n'est ce alley hoop de N'Joya pour Cox

L'essentiel est fait, surtout avec les défaites d'Orléans et Gravelines que l'on rencontre prochainement. On va donc savoir si Nancy mérite ou pas de terminer dans le top 4 !