[Le SLUC en Eurocup] 3e pour 3v et 3d, éliminés !

Bactere a écrit:

Hum, que Dickens soit de retour n'est pas forcement génial .

C'est vrai que depuis qu'il s'est blessé, Kaniel a laissé de la place notamment à Stephen Brun qui avait débuté la saison avec de très mauvaises statistiques. Je me souviens avoir écrit ici qu'il était à 18% aux shoots à 3pts, alors que la saison dernière il avait terminé en tête dans ce domaine avec 41%...
Monschau a débuté ses matchs avec Slaughter en 4 et Akin en 5 et faisait tourner ensuite Brun en 4 les deux "babars" se relayant alors avec plus ou moins de bonheur au poste 5...

Maintenant, on ne peut que se satisfaire du retour d'un joueur blessé.

1- Cela fait une rotation intérieure en plus. On a vu à Dijon que cela n'était pas de trop. Marcus et Akin quand ils défendent dur, prennent des fautes. Ils doivent donc plutôt se relayer au poste 5, car sinon, ils doivent gérer et moins défendre.
2- Kaniel est un bon rebondeur (4,4 rebonds pour 20') soit autant que Marcus Slaughter.
3- Même s'il n'est pas trop en réussite à 3pts notamment (32%), il apporte plus de 8pts (toujours en 20').

Il est clair qu'il doit apporter quelque chose pour que son retour soit une plus value. S'il retrouve son adresse à 3pts, il sera aussi dangereux que Brun (35% à 3pts)... ils ont le même profil de 4 shooteur, sauf que Dickens prend plus de rebonds (notamment offensifs) et Brun fait plus de passes décisives...

Maintenant, JLM voit aussi certainement ce que tu vois et il connait ses joueurs. Il doit bien y réfléchir. Déjà l'année dernière c'était Brun qui avait remplacé (au pied levé) Wilson...
Kaniel quand il reviendra, devra donc se réadapter, retrouver sa place en jouant plus juste que ce qu'il avait fait.
Brun quand à lui va devoir se réhabituer à la concurrence, il ne peut en être autrement !

IL est clair que Brun apporte plus au collectif que Dickens. Stephen a une très belle qualité de passe et de vision du jeu, un sens du collectif que n'ont que peu de joueurs dans l'équipe.
Brun restera le titulaire sur ce mois de Janvier, j'espère avec Dickens qui aura ses systèmes pour planter à 3 points.

D'autre part on a entrevu le facilité de scoring de Dickens sur quelques matchs (paris, rouen), il pourrait exploser en deuxième partie de saison et devenir un leader offensif... mais est-ce ce dont l'équipe a vraiment besoin?

CAM-ROM a écrit:

C'est vrai que Jeff flambe en ce moment mais c'est surtout parce qu'il a pris une autre dimension dans l'équipe (en tout cas je trouve) il est également en train de devenir un patron sur le terrain

Si Ricardo a les clefs de la maison, on remis également un double à Jeff qui organise également de plus en plus le jeu et décide même des systèmes mis en place.
On le connait très fort défenseur, bon marqueur mais je trouve qu'en ce moment il devient encore plus complet.

Très juste...
Les deux frangins sont en fin de contrat, n'oublions pas ! C'est bien Fra d'ailleurs qui le disait... voyons cette saison comment ils se comportent avant de les ressigner.
Il est clair qu'avoir les deux, à ce niveau là, c'est super... et que je les ressigne tout de suite...

Mais bon, il y a peu, certains n'hésitaient pas à les critiquer sévèrement... heureusement qu'ils ne sont pas dirigeants parce qu'alors ce serait de belles girouettes...
Et ne me répondez pas "On a le droit de critiquer... c'est un forum... on est pas des béni-oui-oui...c'est pas le monde de candy... etc !
Regardez ce qu'il se passe à Dijon, avec un Pdt qui critique ouvertement son Coach, pour se raviser deux heures après et puis critiquer à nouveau le lendemain... ce n'est pas sérieux !
Regardez Choulet et ses déclarations un peu "outrancières" quand il perd (c'est vrai souvent de gros écart face à Nancy...), Monschau, jamais il a critiqué à ce point Jeff ou Ricardo ou même Tchicamboud !!! (Un peu la saison dernière quand il réagissait aux propos aigres doux de Lamayn Wilson...)

Perso, je préfère cela, car à un cycle de défaite comme on a connu en décembre (après prolongation face aux grecs, d'un point face à Cholet en ayant également la balle de match, puis à Vichy alors qu'on menait à 5' de la fin...) avec des joueurs un peu en perdition Ricardo méconnaissable, Tchicamboud brouillon, Stephen pas en réussite, Cox défaillant etc... On revient (en force) avec 4 succés très larges (même s'il a fallu se battre ou se réveiller parfois) et des joueurs étincellants aujourd'hui (les mêmes qui étaient en difficultés le mois dernier)...

Ces joueurs peuvent nous montrer ce qu'ils savent faire, on le sait, ce sont tous de bons voir de très bons joueurs, capables tous de grosses perf, mais parfois ils n'y arrivent pas... et quand plusieurs sont moyens en même temps et bien cela peut se terminer en défaite...

Samedi contre Orléans, ce sera tout sauf simple. Tout au plus, Orléans sera plus fatigué que nous (ils jouent ce soir à Malaga), mais ils ont d'excellents joueurs :
Coville (25', 10pts et 5,3 rebonds) sera dur à contrôler à l'intérieur bien aidé par Vaty (16' 6,5pts et 4,4 rebonds)
Doellman est un danger au poste 4 fuyant (comme nous).
Nichols va bien se réveiller un jour, non (9,2pts/match pour le meilleur marqueur 2009) ?
Et puis il y a notre Cedrick Banks qui fait (comme chaque saison) un très bon début de championnat : 13 matchs, 17pts de moyenne avec 42% à 3pts, 3 rebonds et 2,7 passes pour un bon 16 d'éval (la meilleure d'Orléans).
Pour leurs parts, Moerman, Dobbins, Curti et Sciarra me semblent un peu en baisse par rapport à la dernière saison, cela est dû probablement à l'Euroleague et la succession des matchs... on le sait ça use !
En ProA, Hervé s'appuie sur ces neuf joueurs qui jouent entre 17' et 27'...

Orléans c'est 76,2pts de moyenne à 54% à 2pts et 30% à 3pts (Banks 42%, Nichols 35%)
Orléans c'est aussi 35 rebonds (Coville 5, Dobbins, Moerman, Vaty et Nichols 4)
C'est aussi 10 interceptions par match (5 joueurs à plus d'une interception)
c'est aussi 17,2 passes décisive (Sciarra 5 en 20', Banks 2,7, Curti 2,5)
C'estr aussi 12,8 balles perdues (Banks 2,3, Coville 1,8)

Nancy c'est 80 points marqué à 55% et 35% à 3pts (Chicamboud 38%, Cox 37%, R.Greer 35%, Brun et Jeff 34%)
Nancy c'est aussi 38 rebonds (R.Greer 9, Akingbala 7, Slaughter 4,6, Dicken 4,4)
C'est 8 interceptions (R.Greer 2,2, Tchicamboud 1,5 et Slaughter 1,1)
C'est aussi 18,1 passes décisives (R.Greer 6,3, Tchicamboud 4,2 et Jeff 2,4)
C'est aussi 15,5 balles perdues (R.Greer 3,7, Slaughter 3,0, Tchicamboud 2,7)

Jacques SANTINI a écrit:

Il est clair qu'il doit apporter quelque chose pour que son retour soit une plus value. S'il retrouve son adresse à 3pts, il sera aussi dangereux que Brun (35% à 3pts)... ils ont le même profil de 4 shooteur, sauf que Dickens prend plus de rebonds (notamment offensifs) et Brun fait plus de passes décisives...

Le 35% de Brun est trompeur... Sur les 3 dernières sorties du Sluc, Stefen cumule 9/18 à 3pts, soit 50%.

Ensuite Brun se donne plus en défense que Dickens. Bien sûr, s'il le veut, Dickens aussi sait mouiller de maillot. Mais jusqu'à présent, c'est le français qu'on a le plus vu courir (Gran Canaria ne me contredira pas...) .

CAM-ROM a écrit:

C'est vrai que Jeff flambe en ce moment mais c'est surtout parce qu'il a pris une autre dimension dans l'équipe (en tout cas je trouve) il est également en train de devenir un patron sur le terrain

Tout à fait d'accord.

Mais si c'est le cas, c'est parce que les circonstances ont été favorables. Et pour moi, sans un Wilson sur le terrain l'an dernier, ça aurait déjà été le cas. On l'avait largement entrevu contre le Pana...

Alors bien sûr une rotation supplémentaire est souvent plutôt bonne à prendre . Les matchs contre la JAV et la JDA sont les meilleurs exemples qui soient puisque nos 3 intérieurs y ont écopés de cinq fautes...

Mais on se doute que Dickens ne va pas attendre l'exclusion de ses comparces pour rentrer... Alors le retour d'un intérieur (et d'un shooteur) le jour même du match est-il le moment le plus opportun ?

sachant que le match en gréce est diffusé sur france 3.fr ce mardi à 19h30 et bossant au moment de direct, y a t'il moyen de voir cette diffusion plus tard sur leur site ou une autre façon de le visionner?

Interview de Ricardo Greer sur eurocupbasketball.com : http://www.euroleague.net/ulebcup/home/news/interviews/i/64776/3729

Bactere a écrit:

Hum, que Dickens soit de retour n'est pas forcement génial .
L'équipe a trouvé un bon équilibre lorsqu'il n'était pas là .
Le sluc vient d'enchainer 3 victoires contre Roanne, Dijon et Zgorzelec et avec la manière (+39, +21 et +20) .
à l'intérieur, chacun trouve un peu sa place. Akin et Marcus associés sur le terrain, c'est vraiment intéressant.
Quant à Brun il est très efficace ces derniers temps, en plus d'avoir un bon esprit, il joue juste.

Voilà... ça c'était juste avant Orléans...
Et Dickens présent aurait pu apporter quelque chose, d'autant que Brun a été moins efficace samedi... et Akingbala a été handicapé par les fautes...

Comme quoi !

J'espère que Kaniel sera en mesure de jouer un peu mardi et un peu plus dès samedi à Gravelines...
Ca fera du bien à tout le secteur intérieur !

Dickens peut aussi, et surtout, je pense, jouer poste 3.

En tout cas, juste avant sa blessure contre Cholet, il commençait seulement (enfin) à devenir régulier dans ses productions, notamment en Eurocup.

Le récupérer pour demain ou samedi ne serait pas du luxe, en effet.

je pense que dickens pourrait être utile 1) si rotation il y a (volontaire ou forcée par les fautes) et 2) s'il a la main chaude... mais, s'il faut mettre le bleu de chauffe, se retrousser les manches et donner son corps à la patrie, le match de tranchée, j'ai peur qu'il ne soit pas l'homme de la situation...

en tout cas, je me régale à l'avance de l'agitation qu'il y aura dans mon poste demain soir !!!

c'est le genre de match qui fait une équipe

Un exploit ou une prière



En s'imposant à Athènes devant Panellinios, le SLUC réussirait un des plus grands exploits de son histoire. Il peut aussi se qualifier s'il s'incline en priant que Turow joue le jeu devant Gran Canaria.


zoom
Ricardo Greer et les Nancéiens vont jouer très gros tout à l'heure en Grèce. - Photo Patrice SAUCOURT




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ATHENES._ Dans une ville olympique où le basket est roi, où l'Olympiakos et le Panathinaïkos se disputent le pouvoir européen dans la fameuse Euroligue, en ajoutant toujours plus de zéros sur leurs chèques, l'Eurocup n'a pas droit au chapitre.
Dans les kiosques à journaux de la place Omonia, au cœur d'Athènes qui passe un début de mois de janvier dans une douceur délicieuse (15°), pas facile de trouver des quotidiens grecs qui parlent de Panellinios, de ce club de quartier, étonnant troisième de son championnat mais qu'on dit beaucoup plus riche d'ailleurs que son budget déclaré (3 millions d'euros) ne veut bien l'indiquer. « En Grèce, on ne paye pas ou très peu de charges et les joueurs ne payent pas d'impôts. Sans parler des salaires qui ne sont pas honorés, des contrats qui ne sont pas respectés. C'est la Grèce... » fait remarquer, dans un léger sourire, Jean-Luc Monschau qui, passionné de culture grecque et de vieilles pierres, adore venir dans cette ville mythique.
La beauté, l'éclat d'Athènes fascinent toujours même si aujourd'hui, englouti par d'énormes embouteillages, les Athéniens cherchent l'oxygène dans l'immense brouillard de pollution qui enveloppe la ville. L'hiver, c'est encore respirable. En août, avec la chaleur, on suffoque.
Pour arriver à Peristeri, dans la salle où joue Panellinios en Eurocup (4.000 places), le bus du SLUC a donc fait du slalom pour être à l'heure à l'entraînement. Panellinios venait de quitter le parquet, le SLUC qui avait soigné ses bobos dimanche, s'attendait à une séance intensive. Plus que jamais, l'heure est à la mobilisation générale.

Du meneur à l'ailier-fort
Car l'affaire s'annonce compliquée. Panellinios cherche aussi sa qualification même si une victoire de Turow propulserait les Grecs au Top 16. Elias Zouros, l'ancien entraîneur de Paris, coach aujourd'hui de Panellinios se souvient des malheurs de l'Aris Salonique la saison dernière et ne veut surtout pas que son équipe subisse le même triste sort : « Comme nous, ils avaient gagné leurs trois premiers matchs. Comme nous, ils étaient déjà pratiquement qualifiés. L'Aris a perdu ses trois derniers matchs et s'est fait coiffer sur le fil au panier-average. Nous sommes maîtres de notre destin. Pas question de sortir la règle à calcul : une victoire et les portes du Top 16 s'ouvriront ».
Jean-Luc Monschau sait bien que Panellinios, troisième du championnat grec, juste derrière les « mastodontes » Panathinaïkos et Olympiakos, ne calculera pas. Il sait aussi que les Grecs vont donner carte blanche à leurs shooteurs, du meneur à l'ailier fort, avec pour objectif de pilonner la défense nancéienne.
Blakney, Papamakarios, Charalampidis, Devin Smith (excellent au match aller), Davis font régulièrement des « cartons » derrière la ligne à trois points : « Il faudra donc être à la fois en aide défensive sur les intérieurs car Vougioukas prêté par Olympiakos est un pivot dangereux mais aussi se projeter sur son adversaire direct qui va profiter du moindre espace de liberté pour artiller. Je vous l'accorde, c'est compliqué mais on a pu se rendre compte dans cette poule que les équipes étaient très proches, qu'au match aller, malgré un match remarquable des Grecs, on a la balle de match à 14 secondes de la fin (65-65) et qu'il n'a manqué que deux ou trois dixièmes de seconde à Jeff Greer (panier refusé) pour nous donner la victoire... ».
Misson difficile mais pas impossible. En se dégourdissant hier soir les jambes après un voyage qui aura duré tout de même douze heures, Ricardo Greer et ses copains avaient en tout cas de l'enthousiasme à revendre. A quelques heures d'un match pas comme les autres, on n'est sûr que d'une chose : le SLUC vendra chèrement sa peau au pied de l'Acropole.





Est republicain

Dickens veut jouer


ATHENES._ Absent depuis le 4 décembre dernier (réception de Cholet), Kaniel Dickens soigne sa déchirure aux adducteurs. Kaniel qui, à l'inverse de N'Joya, est bien parti à Athènes et veut jouer ce soir. Jean-Luc Monschau et le docteur du SLUC Jean- Marc Geoffroy, lequel a fait le déplacement, prendront une décision avant la rencontre. Le toubib du SLUC craint que sa blessure ne se transforme en pubalgie...
RETARD. Beaucoup de trafic, du retard, des changements de porte d'embarquement à trois reprises pour la délégation nancéienne... L'aéroport de Francfort, le plus grand d'Europe avec ses interminables couloirs, a laissé des traces. Dans l'avion qui menait les joueurs du SLUC à Athènes, Ricardo Greer et ses copains sont tombés comme des mouches. Il est vrai que le rendez-vous pour le bus Nancy-Francfort, était fixé hier matin à 5 h 15 à Gentilly.
SALLE. Panellinios a la particularité d'évoluer dans deux salles cette saison.
A Zarigos en championnat grec, dans une salle qui ne respecte pas le cahier des charges de l'Eurocup, et donc à Peristeri pour la Coupe d'Europe. Visiblement, ça ne perturbe pas les hommes de Zouros, l'ex coach de Paris puisque les Grecs ont battu facilement Gran Canaria et Turow.
INTERNET. Internet, SMS, tous les moyens seront bons, ce soir, pour que Jean-Luc Monschau et son assistant Cédric Heitz soient tenus au courant du déroulement de la rencontre Turow Zgorzelec - Gran Canaria qui débutera évidemment à la même heure (19 h 30 heure française).
TROISIÈME. C'est la troisième fois dans son histoire que le SLUC joue à Athènes. Sous l'ère Lautié-Burguet, l'équipe s'était inclinée en FIBA Cup contre le Maroussi Athènes. Avant de revenir l'année dernière en Euroligue contre le prestigieux Panathinaïkos où le SLUC dirigé par Jean-Luc Monschau n'avait pas démérité. Ce soir contre le Panallinios, il faudra absolument gagner...

Est republicain

L'adversaire



Le budget. 3 millions d'euros.
La salle. Salle Andrea Papandreou (4.000 places).
L'entraîneur. Elias Zouros (43 ans).
Le joueur clé. Devin Smith. Le SLUC n'a certainement pas oublié son carton derrière la ligne des trois points lors du match aller (5 sur 8, 21 points). L'ailier américain est le meilleur scoreur de cette équipe qui ne manque pas d'arguments par ailleurs. Le week-end dernier, il a encore passé 18 points à la défense de Salonique.
Le chiffre. 3. Comme le classement de Panellinios dans le championnat grec. L'équipe d'Elias Zouros occupe la troisième marche du podium en compagnie de Maroussi (9 victoires, 2 défaites) et juste derrière les deux monstres que sont le Pana et l'Olympiakos (10-1). En clair, Panellinios est au coude à coude avec les trois représentants grecs en Euroligue. Une référence.
L'infirmerie. Vide.
Les cinq derniers matches (en championnat).
V-V-V-V-V.


Est republicain

LE SLUC QUALIFIé.....




LE SLUC QUALIFIé...
- S'il gagne à Panellinios.
- S'il perd et que Gran Canaria perd, conservant sur les Espagnols son avance au panier-average général (+ 10 pour le SLUC).

Le SLUC éliminé...
- S'il perd à Panellinios et que Gran Canaria gagne.
- S'il perd son panier-average général sur Gran Canaria (+ 10 pour le SLUC).
En cas d'égalité encore à la différence de points marqués et encaissés (imaginons que le SLUC perde de 11 pts et Gran Canaria de 1 pt), c'est la meilleure attaque sur les six matchs joués qui départagera les deux équipes. Pour l'instant SLUC : 381 pts, Gran Canaria 350.




Est republicain

Le SLUC va savoir…


Match couperet, ce soir, pour Nancy. Si plusieurs possibilités de qualification existent, la meilleure reste une victoire à Panellinios Athènes. Mais les Lorrains sont-ils remis de leur couac navrant contre Orléans ?



Le sixième élément changera-il la face du monde du SLUC… Ils sont trois pour deux places qualificatives lors de cette sixième journée débordant de suspense. Qui sera le dindon de la farce : Nancy, Gran Canaria ou Panellinios ?
Le SLUC se situe à la fois tout près et si loin de la deuxième phase, du top 16 tant convoité menant aux quarts de finale, dont les portes sont déjà refermées pour Cholet alors que Le Mans demeure bien placé.
Oui, ce match pourrait éclairer la vie de l’équipe nancéienne, ou l’assombrir après ce dérapage mal venu face aux Orléanais. Le capitaine Ricardo Greer ne dit pas autre chose et sait pertinemment qu’il vaudrait mieux caresser l’exploit dans le sens du poil : « Il s’agit réellement d’un match important pour nous, c’est peut-être même l’un de plus important de la saison… Nous devrons être très concentrés. »
On se souvient que l’enchaînement des malheurs s’était précipité la saison dernière. La sortie de l’Euroligue, en janvier, avait précédé une faillite à la Semaine des As et une fin de championnat chaotique. Bref, tous les objectifs avaient été manqués. Pour Ricardo Greer, l’influence d’une dynamique positive paraît essentielle.
La formation lorraine a su, en enlevant ses deux rencontres à domicile (Gran Canaria et Zgorzelec) se remettre dans la course. Dans les différents, et nombreux, cas de figures, on retiendra d’abord le plus simple : vaincre en Grèce, à Athènes, dans l’antre de l’un des plus anciens clubs européens.
Enfin convaincre à l’extérieur
Le Panellinios du coach Elias Zouros (vu à Paris) avait tout d’un foudre de guerre (trois succès pour lancer l’affaire internationale dont un à Gentilly : 72-81) avant de sombrer en Pologne et à Gran Canaria. Pour et adversaire, remonté en première division en 2004 et se qualifiant régulièrement pour les playoffs nationaux, le duel sera aussi capital. On voit rarement des clubs hellènes virés par des rivaux français…
Devant son maigre public, l’ambiance brûlante étant l’apanage des grands frères comme le Panathinaikos, Panellinios aime pourtant rester maître chez lui : « Nous aurons beaucoup de difficultés, annonce Ricardo Greer, car ils sont forts à la maison. » En tout cas, les Athéniens ont bien révisé, ce week-end, en ridiculisant l’Aris Salonique 60-48, devant ses supporters !
Pour enfin décrocher une victoire significative à l’extérieur (mis à part Paris, éventuellement), le Sluc devra évacuer sa déception orléanaise (ce fameux 22-0 encaissé) sans trop penser au voyage périlleux prévu, samedi, à Gravelines. Et ne pas hésiter à demander le maximum à un physique déjà sollicité. Un programme délicat, pas irréaliste. D’autant qu’une défaite n’est pas obligatoirement synonyme d’élimination. Y’a donc de l’espoir…A. T.



Publié le 12/01/2010

Republicain lorrain

Merci Bacou

Basket - Eurocoupe (H)
Ça se joue ce mardi

C'est cette semaine que l'on saura si la saison des clubs français sur le front européen vaut plus que la précédente - ou non. Tout simplement. Alors que l'ASVEL jouera sa qualification au Top 16 jeudi à Zagreb, Nancy et Le Mans sauront mardi soir s'ils se hissent dans le Last 16 de l'Eurocoupe*. La saison dernière, l'ASVEL, Le Havre et Roanne avaient été éliminés dès le premier tour, ce qui est le cas de Cholet cette fois. L'équipe d'Erman Kunter clôturera son parcours dans le groupe F avec la venue du Dynamo Moscou (19h30).




Sur le papier, Le Mans et Nancy n'auront pas la tâche facile, même si ces deux équipes ont l'avantage d'avoir leur destin en main. Deuxième ex aequo avec le Triumph Libertsy dans le groupe B, Le Mans sera qualifié s'il s'impose à domicile (19h00) contre Valence. Et ce même si les Russes gagnent au même moment à Vrsac puisque les Sarthois ont récupéré le point-average sur la formation de la banlieue moscovite la semaine dernière. En revanche, le MSB serait éliminé en cas de défaite en raison d'un point average négatif sur les Serbes. Le Mans peut toujours compter sur une relative déconcentration de Valence. L'équipe de Nando de Colo et Florent Pietrus, qui avait gagné de peu à l'aller (74-73), est invaincue et assurée de finir première.


«On ne peut compter que sur nous mêmes»
Dans un groupe G où personne n'a encore son billet pour le tour suivant, Nancy ira chercher sa qualification à Athènes face au Panellinios (19h30), qui était venu gagner en Lorraine à l'aller (81-72). «C'est un match très important, le plus important qu'on ait à jouer depuis longtemps, rappelle Ricardo Greer. On ne peut compter que sur nous-mêmes. On sait déjà que ça va être très difficile parce que Panellinios est très fort à domicile.» Si le SLUC perd face à l'équipe d'Elias Zouros, l'ancien entraîneur de Paris, il faudra compter sur une défaite à la même heure de Gran Canaria à Turow et sortir la calculette pour calculer le quotient général puisque les Nancéiens et les Espagnols ne se sont pas départagés, chacun gagnant de douze points à domicile.

source : www.lequipe.fr
http://www.lequipe.fr/Basket/breves2010/20100111_192701_ca-se-joue-ce-mardi.html

bonne cote pour le sluc à parions sport
2,95 !

Ca a déjà bien démarré pour Le Mans qui mène 25-8 avec déjà 12pts pour Spencer (3 paniers à 3pts).... face à Valence qualifié invaincu !!!
Si Le Mans, gagne ils seront qualifié pour le Top16 d'Eurocup...

(édit) : 32-12 et 15pts de Spencer... au bout de 10'.

Surtout que pour Valence ce match n'a aucun enjeu... Je ne les vois pas se livrer corps et âme dans la bataille...


Pour le Sluc, ça sera tout autrement, mais j'espère qu'ils vont gagner !


En espérant que cette fois ci le commentateur ne va pas partir en plein pendant le match ^^

Il doit avoir un topic pour les autres clubs français en Coupe d'Europe, dans la section ProA
Thanks.

http://video-direct.france3.fr/player.php?id=60

lien pour le match
merci France 3

1ère info : Dickens va donc jouer a priori ...

et 5-0 pour Gran Canari pour démarrer !!!

Bon ça part mal 11-3 pour Panellinios...

SLUC éliminé pour le moment. Il faut réagir !

arrivez vous a afficher la video en plein ecran .....?