[Le SLUC en Eurocup] 3e pour 3v et 3d, éliminés !

manu5494 a écrit:

je suis effaré de lire certains propos depuis hier, on a l'impression que çà fait plaisir à certains de voir que le SLUC joue mal

alors oui, çà joue mal, mais çà reste l'équipe de notre ville, et rien que pour çà je la supporte
les pseudo-supporters qui aiment leur équipe juste un jour de juin 2008 , çà me fait gerber

+1
La décépetion suite à 4 défaites consécutives est complétement compréhensible et que des critiques en émanent c'est logique.
Mais ces critiques ne sont bien souvent jamais suivi de petites notes constructives ou d'encouragements pour la suite
Oh les gars on est pas des footeux...
Et puis la saison est pas finie

ALLEZ LE SLUC on a pas de meneur mais p*** on a des sacrés pivots et un ailier qui a montré de trés belles choses en début de saison et qui est devenu généreux et qui avec un peu de repos (fin de l'eurocoupe... ) pourra les recommencer

dad54 a écrit:

vu le spectacle lamentable, peu de chance de jouer à guichets fermés mardi prochain. Un seul regret avoir pris l'abonnement spécial eurocup!!!!
aucun respect pour les supporters de la part de l'équipe, il ne faudra pas s'étonner du retour de bâton....
NAVRANT

autant l'année dernière pour certains on pouvait le penser, autant cette année sur l'état d'esprit des joueurs il n'y a pas de problème. Les problèmes ont déjà été évoqué : poste 1 (d'autant plus que N'Joya ne sait plus jouer à force d'etre sur le banc), poste 4, coaching ...

Le rebond est un vrai problème mais si on regarde bien lors du shoot aucun défenseur extérieur fait l'effort de se placer pour bloquer les courses adverses ou pour récupérer le rebond résultat ils sont souvant 2 Cougars pour 3 Iberiques.

Par contre j'ai noté le même syndrome que contre Cholet, le SLUC joue bien bloque en défense marque en attaque et remonte à -3 puis d'un coup le jeu s'enflamme ou joue non placé et puis c'est le trou. Hier c'était un tir à 3 pts de Brun sur une relance rapide, et contre cholet c'était un tir à 3pts de Jeff despéré en fin de période car personne n'avait fait l'effort de bouger à l'intérieur.

Dans l'ensemble nous avons de très bons joueurs il faut rester lucide mais je penses que ça devient un vrai problème de ne pas les faire tourner. Ricardo à 40min tout le temps c'est dommage pour lui et pour l'équipe même si il est très fort on voit bien qu'il a toujours un acceuil défensif ciblé sur lui. Et son frère même si il a du mal en attaque reste un magnifique défenseur.... le joueur que je comprends le moins c'est Tchicambou qui peut remonter la balle et ne faire aucune passe pour finir a faire un shoot despéré à 3pts. En tant que joueur y'a rien de plus fustrant que faire l'effort de défendre, de courir en attaque et de ne jamais toucher la balle... si vosu avez regardé le Real Madrid contre Fenerbaceh à chaque attaque tout le monde touche la balle et dès qu'un joueur reçoit la balle il regarde si il peut pas faire une passe à un joueur mieux placé avant d'entreprendre un truc...

Allez le SLUc est toujours en vie !!

Dans l'ensemble nous avons de très bons joueurs il faut rester lucide mais je penses que ça devient un vrai problème de ne pas les faire tourner. Ricardo à 40min tout le temps c'est dommage pour lui et pour l'équipe même si il est très fort on voit bien qu'il a toujours un acceuil défensif ciblé sur lui.

+ 1

C'est également mon sentiment depuis cette saison (encore plus marqué que pour les précédentes)

Néanmoins la saison n'est pas finie, loin s'en faut...mais...

Meme tactiquement ca pourrait destabiliser l'adversaire de jouer des séquences sans lui tellement il est ciblé ...

Allez JLM fait tourner cette équipe, j'aimerais tellement qu'il mette N'Joya 30-35 min sur un match et tant pis si on le perds ce match, ces 30-35 min elles pourraient nous en faire gagner d'autres ... On est en train de le perdre comme on a perdu Zaki (heureusement que N'Joya est plus costaud mentalement et plus intelligent)

Theseus a écrit:

Rasheed Wallace a écrit:

Theseus a écrit:

Rasheed Wallace a écrit:

Allez, Marseille-Real.

Pas de chance, c'est déjà plié !

Wow tu dis d'la merde en version omnisports en fait. La classe

C'est beau l'espoir. Je pensais que t'étais dépucelé avec l'Euroleague, les clubs français en coupe d'Europe, toussa..
Visiblement, t'as encore des choses à apprendre hombre

C'est quoi le rapport?

Ah, oui, le match de foot? Ben écoute, au moment où tu as dit ça il y avait 1-1 et Zurich allait tenir en échec le Milan. Donc non, rien n'était plié. M'enfin bon, je ne me formalise plus de tes absurdités, reste donc à faire tes petites blagounettes sur Stephen Brun - ou à faire tes petits collages de screenshots lnb.fr si tu veux.

Jul54 a écrit:

JC a écrit:

rems a écrit:

Je cherche des explications aux pertes de balles et rebonds défensifs "absents"
pour les rebonds, c'est peut être une coincidence mais je pense que Kaniel manque un peu, il cherhce moins le contre comme le font Marcus et Akin, ce qui permet de bloquer au moins son joueur sur le rebond même si c'est pas lui qui le prend, en tout cas ça fait 2 matchs que c'est un problème

Pour les rebonds, c'est tout simplement le placement des joueurs après une séquence défensive. Tous les joueurs, du meneur au pivot, doivent absolument placer leur vis-à-vis dans le dos et ne pas croire que si un tir et loupé, que le ballon va arriver tout seul dans leurs mains. Et je ne pense pas que cela soit en rapport avec l'absence de Dickens, qui certes apporte dans ce domaine, mais qui était là avant Cholet lorsque l'on s'est fait dominés les matches précédents.

Nancy pourrait bien mieux jouer mais tous ces détails négligés d'entrée font qu'ils doivent courir après un lièvre pendant tout un match depuis trois semaines maintenant. Et ça, c'est épuisant aussi. Les joueurs se précipitent, oublient de faire leurs écrans retards, veulent mettre les paniers tout seuls chacun leur tour en forçant quelques contre attaques au lieu d'installer leur jeu tranquillement... Bref, va falloir retrouver l'esprit de gagnants et de conquérants qu'ils montrent en dehors du parquet.

C'est plus un SLUC à réaction en ce moment. Parce que lorsqu'il est concentré et envieux, et bien ça fait mal. Mais cela ne dure que par séquences...

Cette phrase cela fait deux ans que je la vois, et elle me fait toujours autant rêver...

C'est le même style que "quand le sluc defend on est imbattable"!
,

J'avoue...

Il y avait pourtant la place



Malgré une prestation terne, le SLUC Nancy était revenu à trois points dans le dernier quart-temps avant de prendre un éclat fatal. La défaite et plus de dix points d'écart. Sale soirée dans la course à la qualification...


zoom
Malgré l'abattage de Marcus Slaughter au rebond (16 prises), Nancy a sans cesse couru après le score. Il faudra gagner avec plus de douze points d'écart, mardi à Gentilly. - Photo d'archives




GRAN CANARIA._ « One shoot ! » Un shoot, un seul. Il restait un peu moins de quinze secondes à jouer, et devant son banc, Jean-Luc Monschau criait à ses joueurs d'aller au bout du chronomètre. Cela faisait déjà longtemps qu'il n'était plus question de victoire, simplement de sauver ce qui pouvait encore l'être et essayer de revenir à moins de dix points. Mais la dernière banderille de Jeff Greer tapa le cercle, figeant définitivement l'écart à douze points (77-65).
Cela aurait pu être pire. Deux minutes plus tôt, Gran Canaria avait mené de seize points (77-61). Mais qu'est-ce que ça aurait pu être mieux surtout ! Car malgré une prestation plus que poussive, malgré quelques cagades grossières qui n'ont pas leur place à ce niveau de compétition, Nancy avait été dans le coup pour la gagne à moins de six minutes du gong. Après avoir déjà ramené le SLUC à -3 en première période grâce à trois shoots bienvenus, John Cox avait en effet converti deux lancers-francs pour permettre aux Nancéiens de revenir à trois petits points (59-56, 34').
A ce moment du match, on avait même pensé qu'après avoir fait le yo-yo depuis le début de la partie, Nancy avait le vent dans le dos et que cette équipe de Gran Canaria, loin d'être impressionnante, était peut-être en train de douter.
Tout faux ! En trois minutes vingt, pas plus, les Canariens avaient alors infligé un 11-0 aux Nancéiens pour leur plonger une fois pour toutes la tête dans l'eau du port distant de quelques dizaines de mètres (70-56).

Mêmes causes mêmes effets
Au final, le SLUC pourra s'en vouloir, et méditer longuement sur ce qui lui a manqué pour connaître un autre scénario dans un match où il aura tout le temps couru après le score à partir de la cinquième minute comptant parfois plus de dix points de retard (30-17, 14' ; 54-41, 27').
Ce qui lui a manqué ? Eh bien, un rebond plus autoritaire d'abord. Vieille rengaine. Si Marcus Slaughter a abattu un travail énorme dans la raquette gobant seize rebonds, dont neuf offensifs, le SLUC s'est plutôt fait manger la soupe sur la tête dans ce secteur pendant une grande partie du match, offrant autant d'occasions aux Canariens de reprendre leurs aises.
Le SLUC pourra aussi maugréer contre ses pertes de balles. Vieille rengaine aussi. Oh, dans ce domaine, Gran Canaria a fait moins bien que les Nancéiens (23 contre 19).
Mais les joueurs de Jean-Luc Monshau ont gaspillé des munitions largement dispensables comme cette passe de Tchicamboud pour... la table de marque ou cette balle perdue parce qu'Akin Akingbala n'avait pas vu que Stephen Brun lui avait fait la passe. Et en Coupe d'Europe, c'est le genre de détails qui se paient cash. Et que le SLUC a payé cash.
C'est d'autant plus rageant qu'en première période, Bengaber, Tchicamboud et Jeff Greer avaient plutôt bien limité le rendement de la gâchette US Jaycee Carroll (5 pts à la pause, 16 au final) et que Ricardo Greer avait pris son match par le bon bout (13 d'évaluation).
Mais encore fallait-il que le collectif suive et que le SLUC ne retombe pas dans ses travers. Sensiblement les mêmes qu'à Hyères-Toulon, que face au Panellinios et Cholet.
A chaque fois, la défaite a été au bout. A corriger d'urgence avant le déplacement à Vichy samedi et le match retour face à Gran Canaria la semaine prochaine.
Car pour croire sérieusement à la qualification, il faudra gagner et avec plus de douze points d'écart. Mais pour cela, il faudra montrer autre chose...
Est republicain

Ricardo, de retrouvailles en retrouvailles...




RICARDO. Décidément, cette Eurocup donne l'occasion à Ricardo Greer de se rappeler sa saison paloise en 2006/2007. La semaine dernière, contre Panellinios, le capitaine nancéien avait déjà retrouvé un ancien coéquipier de l'époque en la personne de l'Américain Britton Johnsen et, hier, il a revu avec plaisir Melvin Sanders, qui avait également été un de ses coéquipiers à l'Elan Béarnais... Les deux hommes ont eu le temps d'évoquer leurs souvenirs puisque Sanders est passé à l'hôtel des Nancéiens après le match...
SERVIETTES. En déplacement, le SLUC apporte toujours des serviettes du club pour les joueurs. Heureusement d'ailleurs. Car hier matin, l'intendant Julien Marbouré a reçu un coup de fil d'un dirigeant canarien lui annonçant que le club espagnol ne pourrait pas dépanner le SLUC Nancy en cas de besoin car les machines à laver de la salle étaient exceptionnellement hors-service. Mais de besoin, il n'y en eut heureusement pas.
AUTOCOLLANTS. Les bénévoles du club canarien se sont affairés sur le parquet jusqu'à moins d'une demi-heure du coup d'envoi... La raison ? Il fallait poser des deux côtés du terrain les quatre gros autocollants représentant le logo et le sigle de l'Eurocup mais aussi remettre un peu de scotch sur les différentes publicités se trouvant sur le parquet. Sage précaution. Une blessure est si vite arrivée...
HISTOIRE. Le « Centro Insular de Deportes » a fêté ses vingt ans l'année dernière. Et pour marquer le coup, la ville a décidé de rendre hommage aux personnalités ayant écrit l'histoire de la salle. Une dizaine de basketteurs, basketteuses ou encore volleyeurs s'affichent ainsi dans le couloir d'entrée où maillots, coupes et trophées rappellent les deux dernières décennies. Instructif.
PRESSE. Le foot est roi en Espagne. Et les Canaries ne font pas exception. Dans les colonnes du quotidien local Canarias 7, on parlait davantage du match entre le Real Madrid à l'OM, annoncé en long et en large, que de cette rencontre entre Gran Canaria et le SLUC repoussée dans les dernières pages sports sans la moindre photo pour l'illustrer. Oui vraiment, pas facile de rivaliser avec le foot.
PROCHE. Le somptueux hôtel Santa Catalina où sont logés les Nancéiens est vraiment tout proche du « Centro Insular de Deportes ». Montre en main, il a fallu moins de... deux minutes, hier, au bus pour mener les Nancéiens de leur hôtel à l'entrée de la salle. Presque moins long que de mettre tous les sacs dans la soute !

A. G. (Anthony GUILLE)




Est republicain

Brun : « Les mêmes erreurs »





Jean-Luc Monschau : « C'était un match en accordéon. L'écart final de douze points est plus proche du maximum qu'on a connu que du minimum. Douze points, c'est beaucoup. La musique s'est arrêtée au mauvais moment. On a un succès et deux défaites à la moitié de ce mini-championnat européen. Il faudra faire beaucoup mieux la semaine prochaine face à Gran Canaria. »
Lesly Bengaber : « Il y a de la frustration, de la colère et de la déception car c'était un match largement à notre portée. On s'est fait distancer trois fois, on est revenus mais on n'a pas pu passer le coup d'accélérateur. C'est la quatrième fois de suite que ça nous arrive. Alors, on peut faire de bonnes analyses après coup, ce qui compte, c'est de se remettre en question et de réagir. »
Steed Tchicamboud : « On perd trop de balles et on rate des ballons importants. C'est comme ça depuis le début de saison. On n'y arrive pas en ce moment. On finit à douze points mais on aurait même dû finir avec un écart supérieur. »
Marcus Slaughter : « On a été défaillant au rebond, on n'a pas joué assez dur et on a perdu beaucoup de ballons. Quand vous avez ces trois choses en même temps, c'est impossible de gagner un match. Il faut que chacun réagisse car la solution n'est pas individuelle mais collective. »
Stephen Brun : « Ils étaient prenables mais nous aussi. Simplement, on reproduit les mêmes erreurs que lors de nos trois défaites précédentes en se faisant notamment manger au rebond. On est dans une spirale négative mais il faut rester solidaires. »
Pedro Martinez (entraîneur de Gran Canaria) : « Le SLUC est une bonne équipe, athlétique et c'est une bonne victoire. L'écart est satisfaisant en vue du match retour mais il aurait pu être encore plus grand. »



Est republicain

Citation :

Steed Tchicamboud : « On perd trop de balles et on rate des ballons importants. C'est comme ça depuis le début de saison. On n'y arrive pas en ce moment. On finit à douze points mais on aurait même dû finir avec un écart supérieur. »

on ou je... et oui Steed c'est toi le 1 c'est de ta responsabilité même si hier soir il a pas était le seul à coté de la plaque

Encore une déclaration langue de bois de JLM (finalement j'étais pas si loin de la version officielle hier soir )
Merci à Marcus de reconnaître que la solution passera par le collectif et non pas par les individualités (faut espérer que Tchi lise l'Est ^^)

tom54 a écrit:

Encore une déclaration langue de bois de JLM (finalement j'étais pas si loin de la version officielle hier soir )
Merci à Marcus de reconnaître que la solution passera par le collectif et non pas par les individualités (faut espérer que Tchi lise l'Est ^^)

+1
Marcus dit "On a été défaillant au rebond" !
Il en a quand même pris 16 des rebonds le Marcus ;o)
Il a raison quand il parle de manque de collectif, bonne analyse !

dad54 a écrit:

merci à l'Euroleague de nous avoir évité le ridicule.

ça n'a aucun sens de dire cela...

zoom

Depuis quand le SLUC n'avait-il pas perdu quatre matches de suite ?
Depuis près de neuf mois. Entre le 20 février et le 14 mars, les Nancéiens avaient essuyé quatre défaites de rang contre l'ASVEL à la Semaine des As, Le Havre, Cholet et Roanne, avant de renouer avec la victoire le 21 mars à Gravelines (62-58). Mais il avait connu une série encore pire la saison dernière, puisqu'il avait été battu six fois de rang entre mi-décembre et mi-janvier, contre Strasbourg, Panathinaïkos, Vichy, Kaunas, Le Mans et Sienne. Reste à espérer que le club nancéien ne connaisse pas une aussi longue période sans gagner...
En gobant seize rebonds Marcus Slaughter a-t-il battu son record personnel avec un club français ?
Non, mais il s'en est fallu d'une prise supplémentaire. Avec Le Havre, l'intérieur avait en effet gobé 16 rebonds à deux reprises la saison dernière, à Vichy lors de la 11e journée et contre Dijon lors de la 27e.
Le SLUC avait-il déjà connu une telle maladresse aux shoots depuis le début de saison ?
Non. En se contentant d'un tout petit 33 % de réussite aux shoots, le SLUC a « battu » son record de la saison, qui remontait au déplacement au Mans, lors de la cinquième journée, avec un peu moins de 38 % de réussite.
La qualification est-elle possible même en ne rattrapant pas le panier-average (-12) sur Gran Canaria la semaine prochaine ?
Dans l'absolu, oui. La qualification resterait même possible en cas de défaite la semaine prochaine ! Mais dans ce cas de figure, il faudrait alors un invraisemblable concours de circonstances pour que le club nancéien continue à y croire. Mais une victoire de moins de douze points contre Gran Canaria rendrait la qualification hypothétique. Le SLUC, qui n'aurait plus les cartes en main, devrait alors gagner un match de plus que Gran Canaria lors des deux dernières journées ou espérer devancer un des deux rivaux au panier-average en cas d'égalité finale à trois, avec Panellinios et Gran Canaria. On le voit, le champ des possibles est encore assez vaste.
Mais pour garder toutes ses chances, il est hautement conseillé de gagner de plus de douze points la semaine prochaine.
Pourquoi la fragilité nancéienne du moment au rebond est-elle inquiétante avant le déplacement à Vichy samedi ?
Parce que le club auvergnat est le numéro un de Pro A dans le domaine des rebonds offensifs, avec 14,7 prises en moyenne par match. Si Nancy ne sécurise pas son rebond défensif, il risque de laisser un paquet de deuxièmes chances aux Vichyssois et de se retrouver une nouvelle fois en difficulté.

Anthony GUILLE
Est republicain

Les galériens des Canaries



Suite à un retard d'avion, les Nancéiens ont mis près de 20 heures avant de retrouver leurs pénates. Récit d'un retour interminable.

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GRAN CANARIA._ (De notre envoyé spécial). Et dire que mardi matin, Ricardo Greer trouvait que le voyage aller avait été incroyablement long... Si le capitaine nancéien avait su alors à quoi ressemblerait le voyage retour, il aurait trouvé que finalement, les douze heures pour aller de Nancy à Gran Canaria avaient des allures de trajet express. Car hier, ce ne sont pas 12 heures que les Nancéiens ont mis pour effectuer leur retour mais... près de 20. Oui, oui, vous avez bien lu.
Levés à 4 h 30 pour partir de l'hôtel à 5 h, après avoir ingurgité rapidement un petit dej', les Nancéiens pensaient décoller tranquillement à 7 h 20 de Gran Canaria. Mais l'avion brillait par son absence à l'heure dite. Et alors que les minutes défilaient, pas une annonce, pas un mot sur les écrans d'information pour expliquer la raison de ce retard. Bien après 8 h, une voix consentit enfin à indiquer que dans la demi-heure qui suivrait, le personnel serait en mesure de dire à quel retard les passagers devaient s'attendre !
Finalement, c'est un peu avant 9 h que tout le monde embarqua pour Madrid. Problème, le vol Madrid - Luxembourg que devait prendre le SLUC était prévu à 13 h 15 heure locale depuis un autre terminal.
Avec une arrivée prévue un peu avant 13 h, les Nancéiens avaient compris que la correspondance tombait à l'eau. L'intendant du SLUC Julien Marbouré passa plusieurs coups de fil pour trouver un autre vol et dégota un Madrid - Luxembourg à 20 h 15. Mais comme il ne restait plus que dix-huit places de libres, il fallait encore trouver un autre vol pour les trois autres personnes de la délégation. L'intendant se tourna vers un Madrid - Luxembourg via... Francfort en milieu d'après-midi. Avec une arrivée prévue au Luxembourg après 22 h, c'était la solution la moins mauvaise et à vrai dire, la seule pour que tout le monde se retrouve au Luxembourg le soir.

De l'art de tuer le temps...
Restait alors à attendre, attendre encore. Un peu moins de trois heures pour ceux qui prendraient le vol pour Francfort, plus de six pour le Madrid - Luxembourg de 20 h 15. Six heures à exercer l'art subtil de tuer le temps qui s'écoule au compte-gouttes en prenant le temps de manger, de boire un, deux cafés, de regarder les vitrines des boutiques, sans oublier de décortiquer la moindre étiquette. Six heures aussi pour téléphoner, papoter avec les camarades, lire, somnoler sur un siège inconfortable de l'aéroport en voyant les minutes passer mollement. Bienvenue au pays où le temps semblait s'être arrêté...
Et puis au bout d'une interminable attente, l'heure de l'embarquement arriva à 20 h 15. Quand l'équipe monta dans l'avion, c'est avec des petits yeux et la mine un peu fripée.
Mais la journée des galériens des Canaries était loin d'être terminée. Deux heures de bus attendaient les Nancéiens au Luxembourg, avant le retour à Gentilly passé minuit et demi. Cela faisait près de vingt heures que les Nancéiens étaient debout. Et dans la tête de chacun, il n'y avait plus qu'une obsession, vite, très vite retrouver son lit douillet... C'est que cet après-midi, tout le monde a rendez-vous à Gentilly pour préparer le match à Vichy, samedi. Mais avant, dormir, juste dormir.

A. G. (Anthony GUILLE)

Est republicain

On a aimé Voir Marcus Slaughter confirmer son...


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On a aimé
Voir Marcus Slaughter confirmer son retour en forme. Sur les trois derniers matches, l'intérieur américain tourne à plus de 22 d'évaluation moyenne.
L'ambiance dans le « Centro Insular de Deportes ». Chaude, mais pas hostile pour autant.
L'acrobatie de l'Irlandais Jim Moran au tout début du match. Entraîné par son élan alors qu'il voulait éviter qu'une balle sorte, l'Irlandais de Gran Canaria s'est retrouvé... sur la table de marque. Il marcha dessus sans casser le matériel avant de reprendre le jeu sous les applaudissements du public.

On n'a pas aimé
Constater que le SLUC avait été moins adroit que Gran Canaria à un, deux et trois points. Ce qui s'appelle un gros jour sans en terme d'adresse.
La faute antisportive de Saidou N'Joya sur Josh Fisher en fin de deuxième période. Pas malin.
Apprendre que Zgorzelec n'avait pas pesé très lourd à Panellinios. Déjà quasiment éliminé, le club polonais jouera-t-il le jeu jusqu'au bout ?
Est republicain

ALLEZ....on met N'joya..a la méne ......on termine champion....on gane l eurocup...la cdf...et les as......vite faut mettre n' joya..........heureusement que Tchi est la ......coupable désigné...de tous nos maux........pffffff pathétique

je pense sincèrement que N'Joya a un réel potentiel et sera un très bon. Mais SERA ce n'est pas EST. Il est encore trop tendre et je comprend tout à fait JLM de ne pas l'aligner plus.... Le prob, c'est qu'on a que Tchi et que lui aussi montre ses limites.... on est pas armé du tout au poste 1 et ça va nous nuire... C'est le risque avec des combos....

hubert-felix thie a écrit:

ALLEZ....on met N'joya..a la méne ......on termine champion....on gane l eurocup...la cdf...et les as......vite faut mettre n' joya..........heureusement que Tchi est la ......coupable désigné...de tous nos maux........pffffff pathétique

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hubert-felix thie a écrit:

ALLEZ....on met N'joya..a la méne ......on termine champion....on gane l eurocup...la cdf...et les as......vite faut mettre n' joya..........heureusement que Tchi est la ......coupable désigné...de tous nos maux........pffffff pathétique

Le poste 1 est tout de même le plus important au basket, celui qui donne l'impulsion à toute l'équipe. S'il est à la ramasse, c'est un gros souci dans le jeu.

Mais il est évident que ce n'est pas N'Joya qui résoudra tous les problèmes. Cela dit ce serait bien qu'il joue 5-10 minutes (que Monschau tente des choses ), plutôt que 0 minute comme dernièrement.

D'acc avec toi le sheed, mais ne penses-tu pas qu avec un ric a ses cotés qui est le vrai meneur sur le terrain un bon poste 1 pourrait tirer son epingle du jeu, peut etre mais il faudrait que ric ,partage ou laisse la responsabilité du jeu a celui-ci,et de cela j en suis loin d'etre convaincu

hubert-felix thie a écrit:

D'acc avec toi le sheed, mais ne penses-tu pas qu avec un ric a ses cotés qui est le vrai meneur sur le terrain un bon poste 1 pourrait tirer son epingle du jeu, peut etre mais il faudrait que ric ,partage ou laisse la responsabilité du jeu a celui-ci,et de cela j en suis loin d'etre convaincu

riccardo partagerait plus la gonfle avec un vrai meneur (cf ses années précédent nancy ) mais le problème c'est que pour la troisième année, on a pas de meneur rassurant...

hubert-felix thie a écrit:

D'acc avec toi le sheed, mais ne penses-tu pas qu avec un ric a ses cotés qui est le vrai meneur sur le terrain un bon poste 1 pourrait tirer son epingle du jeu, peut etre mais il faudrait que ric ,partage ou laisse la responsabilité du jeu a celui-ci,et de cela j en suis loin d'etre convaincu

On ne demande pas d'avoir un meneur qui fasse dix passes, ni même d'un meneur qui mette vingt points. Mais un mec qui sache défendre (Tchicamboud est pas mal référencé sur ce point) et surtout, qui installe le jeu, enclenche les systèmes pour les autres, accélère et mette la balle sous le coude lorsqu'il le faut, pousse un coup de gueule, etc. Lorsqu'on avait Zabian Dowdell et Pape-Philippe Amagou, qui installaient le jeu et qui devenaient des menaces offensives qu'en cas de besoin ou au moment opportun, il y avait plus de sérénité. > Ils se partageaient le temps de jeu...

Pour le moment, Ricardo Greer passe peut-être trop de temps sur le terrain, mais c'est plus sa façon de jouer qui a changé. Ce qui, je pense, n'a rien à voir avec son temps de jeu (même s'il devrait pouvoir souffler un peu). Un temps de jeu qui est sûrement la résultante du fait que Steed Tchicamboud soit par contre lui trop utilisé. Mais ça, ce sont les conséquences malheureuses du "faire jouer les hommes en forme du moment". Car avec ces deux joueurs là, qui pétaient le feu en "début" de saison, ça jouait pas mal quand même.

Je l'avais déjà écris, mais pour ma part, le soucis numéro 1 demeure sûrement dans l'implication de tous, dès le premier quart temps. Et ce malgré le fait que Tchi' marque (marquait) beaucoup de points et que Ricardo Greer soit en 3D cette année

Je suis sûr et certain que faire jouer Steed Tchicamboud 25 minutes, et Saidou N'Joya 15', ce serait l'idéal. Car j'ai bien peur que l'ex choletais soit trop en confiance quant à sa place, sa situation. Parce que ces deux là sont complémentaires. Et les différences de profil entre des deux pourraient peut-être, déjà, mieux faire tourner la boutique, et sur la durée. Mais surtout faire déjouer les adversaires. Il y a toujours eu (ou presque) une différence flagrante entre un SLUC dirigé par Tchi et un SLUC dirigé par N'Joya.

Même si on ne gagne pas tout de suite, le fait d'impliquer tout le monde (au moins les deux meneurs) pourrait arranger certaines choses. Nancy ne joue que par séquences, et ce n'est pas anodin.

Enfin, ce n'est que mon point de vue

Bon,on à vraiment aucune news sur la blessure de Steed???

En tous cas Yohan Sangaré vient d'étre libéré par Ferara,mais bon lui aussi c'est plus un combo qu'un vrai 1.