Cyril Julian raccroche

Alors j'ai l'explication, je n'ai pas de souris

lolo a écrit:

Alors j'ai l'explication, je n'ai pas de souris

ah voila un adepte comme moi des raccourcis clavier et de la touche Tab la souris c'est pour le feignant

Depuis samedi 22/08 12h30 on peut clore le sujet

Le prési a répondu à un éventuel accrochage du maillot de CJ...Ce topic pourra etre rouvert dans 5 ans minimum

Merci Mr FRA !!!

En fait Fra-JLM et Cyril n'ont pas fini la saison dans une entente cordiale (cf les propos du coach sur les blessures de CJ) il est donc plus ou moins compréhensible que le président freine à ce que l'on retire le maillot.
En plus ça le saoul d'avoir à retirer le parquet pour pouvoir acceder aux accroche du plafond...

Que des bonnes raisons!

Expatried SlucFan a écrit:

En plus ça le saoul d'avoir à retirer le parquet pour pouvoir acceder aux accroche du plafond...

... et vous pensez que si je fais des petits bonds sur mon siège à Gentilly, y a moyen que j'accède par interférences aux commandes du panneau d'affichage et que je puisse faire gonfler artificiellement le score du Sluc pendant les matchs?

Le crépuscule de Julian



Le 10 juin devait être une fête pour Cyril Julian, qui célébrait son dernier match à Nancy avec l’espoir d’une finale à Bercy pour apothéose. La fin n’est pas belle.



Certaines fins se provoquent, d’autres s’imposent d’elles-mêmes. Qui laissent parfois un sentiment insoutenable, cet aveu d’impuissance mêlé de frustration, de tristesse. Cyril Julian, justement, est de ceux qui ont vu l’objet de leurs convoitises s’envoler sans pouvoir agir. Ni réagir. C’est l’histoire de sa fin de carrière. Dans son cas, c’était même une rediffusion.
Le 10 juin dernier, Gentilly était plein jusqu’à la gueule, nerveux, tendu comme une corde sur une potence. La qualification pour une deuxième finale de championnat de France de suite était en jeu. L’autre événement devait attendre le terme du match. Pour la dernière fois, l’un des dinosaures de l’ère Sydney 2000 foulait le parquet de son cœur et le public se préparait à célébrer les dernières gouttes de sueur d’un garçon qui a confié onze saisons de son existence à ce maillot rouge et blanc. Ce soir-là, il devait battre Villeurbanne et dire au revoir au peuple nancéien, aux siens, avant de quitter chasuble et baskets pour retrouver costard et mocassins. Mais Nancy a perdu.
Sous la pluie, les larmes se voient moins… Le 10 juin, Cyril Julian a subi un déluge sportif (53-69) avant d’essuyer un torrent de reconnaissance. Ce public assommé par le résultat avait trouvé les ressources pour chanter sa gratitude dans un hommage brandi à son œil sec comme une dernière épreuve. « J’espérais une autre issue, glissera-t-il en coulisse. Mais, quand même, ça fait drôle d’entendre 6000 personnes crier ton nom. » Emu, forcément.
Deux amours
Cette soirée de désillusion sportive et d’adieux domestiques résonnait comme le triste épilogue d’une carrière monumentale bercée par deux amours : cette ville de Nancy et l’équipe de France. Sur sa cheminée, aujourd’hui, trois trophées nationaux prennent la poussière, qui voisinent avec la dernière Coupe Korac et deux médailles de bronze et d’argent, ramenées d’Europe et d’Olympe. Or, Julian n’a jamais choisi ses fins. Il voulait Bercy et la lumière, il a quitté la Pro A dans le Rhône et l’obscurité. Il voulait prolonger son séjour en bleu, le sélectionneur d’alors, Claude Bergeaud, a décidé de le laisser à quai. Ce nœud-là a particulièrement torturé son estomac.
A l’heure d’assouvir ses passions annexes, nourries de virées en moto, de musique et de bon vin, le "roc" laisse le souvenir d’un farouche combattant, à la carrure dissuasive et à la technique rudimentaire mais à l’efficacité redoutable. Rideau sur ses titres de meilleur joueur de France, rideau sur toutes les blessures qui ont motivé sa révérence et rideau sur ses rapports compliqués avec son dernier entraîneur. Rideau.
Comme l’albatros du poème, un peuple a vu un homme poser ses ailes de géant dans un environnement qu’il ne contrôlait plus. Fin imposée : pas de dernier trophée avant l’éclipse. Le natif de Castres songeait idéal, on lui a servi du spleen à la louche. Une rupture comme une petite mort. Son bonheur implique pourtant de poursuivre l’idylle avec Nancy sur d’autres terrains, sans maillot ni pression. Car s’il lui prend de regarder en arrière, il verra une somptueuse romance, plus belle et plus riche que cette fin. Puisque les histoires d’amour finissent mal en général…
Christian JOUGLEUX.
Republicain lorrain

bacou a écrit:

rideau sur ses rapports compliqués avec son dernier entraîneur.

Encore bien mis en évidence...

http://www.catch-and-shoot.com/2010/07/30/news/entretien-video-avec-cyril-julian-un-geant-du-basket-francais/

Merci à toi.


3.20' +9.05' ------>>>> Et BAM dans ta face. Enfin on savait bien que ce n'était pas l'amour fou fou.


Quoi quoi quoi son départ coincide avec la baisse de régime du Sluc. Un joueur qui passe outre ses relations avec son coach, qui mouille le maillot pour la ville ou il vit, confer le chapitre sur les mercenaires.... pas taper

Super initiative en tout cas.

Avec de jolies dédicaces de Julian à Monschau.... (cf la 9:27).

Respect

Il manque au SLUC un guerrier, qui cela va être cette année, le virus.
Merci pour les vidéos

Mister J!!!!

nostalgie quand tu nous tiens !!!

quel joueur !!!

oliv2710 a écrit:

quel joueur !!!

c'est clair, quel joueur

c'est dans 10-20 ans qu'on se rendra compte quel joueur on a eu dans nos rangs...

et dire que certains voulaient qu'il parte quand il jouait au SLUC

Quand je repense aux derniers matchs d'Euroligue qu'il nous a sorti...

Eh ouais, le coaching Monschauesque lors des finales perdues, du grand art.

La roue tourne,la roue tourne.......

ah ça faisait longtemps kill bill en tout cas c'est rigolo d'avoir eu l'occasion de croiser cyril en moto dans des endroits paumés des hautes vosges

Cyril aurait été un exellent embassadeur du sluc....mais voila bergeaud et jlm méme combat que c est dommage de na pas l integrer dans lemanagement !!!

Le résultat des prochaines élections municipales sera intéressant à suivre : une victoire de Laurent Henart faciliterait le retour de Cyril Julian dans le monde du basket nancéien.

http://issuu.com/acces.sport/docs/n2-maquette-finale

J'espère que quand Cyril reviendra, ça sera parce qu'il s'inscrira dans le projet des dirigeants du club, pas parce qu'il sera pistonné par les barons locaux ... Sinon ça ne sera bon ni pour lui ni pour le club ...

Mais s'il devient adjoint aux sports à la mairie de Nancy, il ne reviendra pas avant les élections suivantes au minimum ... Le conflit d'interêt serait violent ...

Bon, Julian se retire...
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/28/municipales-a-nancy-cyril-julian-se-retire

Merde je savais pas que son bar à vin était dans le dur.... Courage a Cyril.