Euroleague 2008/2009 - Top 16

et bien voila le Pana champion

pff sans benson et avec akin et brun

et une meilleure pré-saison se serait nous a leurs places

On est un peu vice-champions d'Europe

euh qui es le deuxieme a avoir voté comme pour le Pana

en tout cas cela prouve la valeur de notre poule 2 clubs dans le top 3

Le CSKA est revenu à un point quand même ! Toujours champion le PAO ? Pas si sûr...

gerard mentor a écrit:

euh qui es le deuxieme a avoir voté comme pour le Pana

Je sais pas, mais le 3ème je sais

euh je crois que c est moi ......

Fin de match de ouf, que c'est beau le basket !!!!!!!!!! Siskauskas , il vient quand il veut

gerard mentor a écrit:

euh qui es le deuxieme a avoir voté comme pour le Pana

Korac a écrit:

euh je crois que c est moi ......

je crois que l'on devrait l'inclure dans le concours de pronos avec je sais pas moi par exemple 500 pts pour la bonne reponse

Enorme match! le cska qui remonte 20 points d'écarts, incroyable, déçu pour eux, ça aurait été historique une telle victoire.

en tout cas quelle fin de match... un vrai régal!!

Le Pana passe la cinquième


Les Grecs du Panathinaïkos ont remporté hier leur cinquième Euroligue à Berlin en dominant le CSKA Moscou, tenant du titre (73-71).




BERLIN._ Le Panathinaïkos Athènes a retrouvé sa place au sommet du basket européen en dépossédant le CSKA Moscou de son titre, au terme d'une finale à deux visages (73-71), hier à Berlin.
Grâce à cette cinquième victoire en Euroligue, le Panathinaïkos poursuit son chassé-croisé avec Moscou, vainqueur en 2006 et 2008 mais déjà battu par le Pana lors de la finale 2007.
Un petit millimètre a fait la différence, puisque Moscou avait le panier de la victoire dans les mains de Siskauskas. Mais le tir à trois points du Lituanien a ripé sur le cercle à deux secondes de la fin.
C'était la fin du rêve pour Moscou, engagé depuis le début de la deuxième mi-temps dans une fantastique remontée, après avoir compté jusqu'à 23 points de retard (56-33, 24').
Survolté derrière la ligne des trois points, le Pana a longtemps cru qu'il avait assommé la partie dès la première période, terminée avec vingt points d'avance (48-28), face à des Russes apathiques et franchement méconnaissables.
Mais après avoir pris la déferlante verte en pleine face, le CSKA a réagi avec force, infligeant, grâce à une défense réanimée, un irréel 17-0 à son adversaire. Le champion n'était pas mort ! Moscou revenu à six points du Pana (56-50, 32'), la finale qu'on attendait pouvait commencer : passionnante, indécise, suffocante et d'une intensité physique aux frontières du viril.
Un combat de rue entre deux équipes enfin au diapason. Sorti des urgences, Moscou a retrouvé la cible de loin pour s'approcher jusqu'à un point (70-69) sur un panier primé de Siskauskas à 26 secondes du terme.
Mais la poursuite infernale prenait fin sur la tentative suivante du Lituanien, pour envoyer le Pana au paradis et lui éviter de se mordre les doigts pendant des années. Les Grecs ne l'ont cependant pas volé.

Richesse partagée


Avec eux, c'est l'équipe la plus complète qui franchit la ligne en premier. Preuve de cette richesse partagée, quatre joueurs ont marqué entre 10 et 13 points, dont Spanoulis, MVP de la finale.
Cette force collective a également permis au Pana de franchir la saison sans frayeur. L'entraîneur Serbe Zeljko Obradovic, qui gagne sa septième Euroligue personnelle, a usé de son expérience et de son palmarès pour gérer les egos.
«C'est le basket d'aujourd'hui qui commande ça », a souligné Obradovic. « Les joueurs doivent comprendre que pour gagner, il faut que chacun joue son rôle.
J'ai la chance de pouvoir compter sur de bonnes personnalités. C'est un facteur déterminant et on le prend en compte lorsqu'on effectue notre recrutement. »
Poussif lors de la première phase, le Pana a étalé sa force à partir du Top 16 puis lors des quarts de finale face à Sienne, avant de dominer l'Olympiakos et Moscou dans deux parties passionnantes, ce week-end à Berlin.
Ces deux rencontres de très haut niveau, ainsi que l'autre demi-finale entre Moscou et Barcelone, ont confirmé la compétitivité de la Ligue des champions du basket, qui a atteint des sommets cette saison.
« Tous les ans, ça devient plus difficile de gagner le titre », a soufflé Obradovic. Avec son effectif, son budget - près de 30 millions d'euros - et l'amour inconditionnel de ses bouillants supporteurs, le Pana semble pourtant paré pour continuer à dominer le continent.




4/05/09


Est républicain

Wild Thing a écrit:

On est un peu vice-champions d'Europe

on devrait ressortir les posts de certains pendant la saison réguliere d'EL qui disaient que notre groupe était le plus faible

on avait quand même le vainqueur et la 3è dans notre groupe

le pire est que parmi les 3 gros c'est contre le Pana qu'on avait été le moins ridicule : pas si loin de la victoire à Gentilly et pas une raclée à Athenes (à peine 12-13 points)

manu5494 a écrit:

Wild Thing a écrit:

On est un peu vice-champions d'Europe

on devrait ressortir les posts de certains pendant la saison réguliere d'EL qui disaient que notre groupe était le plus faible

on avait quand même le vainqueur et la 3è dans notre groupe

le pire est que parmi les 3 gros c'est contre le Pana qu'on avait été le moins ridicule : pas si loin de la victoire à Gentilly et pas une raclée à Athenes (à peine 12-13 points)

Le notre étant sans doute celui ou il était le plus facile de se qualifier. Le fait qu'il y ait 3 monstres (dont les 1er et 3e) dedans ne change rien au fait que faire 1er d'un mini-championnat avec les Zalgiris et Sopot de cette année, bin c'était plus niveau ULEB que Euroleague en difficulté.

Perso, j'ai toujours dit qu'on avait hérité du plus gros groupe mais paradoxalement, c'était le plus facile pour se qualifier.
Encore ne fallait-il pas se rater contre nos adversaires directs car là où dans d'autres groupes tu peux rattraper ces défaites qui font mal (raclée à Sopot), c'était difficilement possible dans notre groupe avec les 3 monstres qui y figuraient. Au final, on a rempli notre job à domicile, il nous a manqué ce petit exploit à l'extérieur qui fait que...

On va pas tout ressortir, mais à mon avis, le sluc n'avait pas le groupe où il était le plus facile de se qualifier, c'est faux...

manu, je dirais même que face au pana, le sluc était revenu à égalité, avant de couler sous les coup de sifflets incohérent, que dis-je aberrant. Et les fautes non sifflées de pekovic (All-Euroleague First Team) dans la raquette.

Ceci dit, cette équipe qu'on aurait peut-être pu battre, ce n'est pas celle qui a gagner l'EL.

Ce coach de géni qu'est Obradovic a plus tard poussé une gueulante assez impressionnante en disant que certains ne méritaient pas de porter les couleurs athéniennes.

Perso, à partir de ce moment là j'ai toujours misé sur le pana champion. Ca a très visiblement réveillé l'effectif qui s'est mis à jouer différemment et qui a été vraiment impressionnant...

Aegis a écrit:

manu5494 a écrit:

Wild Thing a écrit:

On est un peu vice-champions d'Europe

on devrait ressortir les posts de certains pendant la saison réguliere d'EL qui disaient que notre groupe était le plus faible

on avait quand même le vainqueur et la 3è dans notre groupe

le pire est que parmi les 3 gros c'est contre le Pana qu'on avait été le moins ridicule : pas si loin de la victoire à Gentilly et pas une raclée à Athenes (à peine 12-13 points)

Le notre étant sans doute celui ou il était le plus facile de se qualifier. Le fait qu'il y ait 3 monstres (dont les 1er et 3e) dedans ne change rien au fait que faire 1er d'un mini-championnat avec les Zalgiris et Sopot de cette année, bin c'était plus niveau ULEB que Euroleague en difficulté.

c'est certain mais en cherchant bien on doit bien trouver un ou deux posts de "spécialistes" du basket nous expliquant que le Pana cette année n'est pas terrible et que le Barça n'est plus ce qu'il était