[ProA J20] SLUC Nancy bat EB Pau-Orthez 76 (36) à 82 (44)

alors c'est peut etre un dicours un poil optimiste mais a partir du moment que c'est 5 hommes contre 5 hommes tout est possible, ce match c'est presque du 50/50 pau n'a pas des allures d'extra terrestres non plus comme l'a dis theseus y'a de belles failles quand même, a nous de les exploiter et si possible de limiter l'impact de graves et le coup est jouable...

Theseus a écrit:

En voyant le résumé du match entre l'ASVEL et Pau, on s'aperçoit qu'il y a d'énormes boulevards à l'intérieur côté palois. Je me dis que ce match peut-être celui du renouveau pour Dowdell et dans une moindre mesure, Ricardo.
Quant on voit les pénétrations presques faciles de R. Conley, on ne peut que souhaiter pareil réussite à Ricardo. Bref, pour moi ce match se jouera à l'intérieur en attaque avec une grosse défense sur leurs extérieurs (Robinson et Graves). Pourvu que Jeff ne ressente plus de douleurs aux aducteurs...

Les passes de Stanic à une main avec rebond, au niveau des genoux... quel régal

Je viens de voir le résumer. Et effectivement, ça pourrait vite devenir un match "porte ouverte"... Je sens qu'on va se faire manger sur les pick'n roll (notre gros point fort en défense... lol) avec ce Stanic. Il est évident que leur secteur intérieur n'est pas génial - ça, on le savait - et athlétiquement, il va y avoir du répondant, et surtout sur les ailes (aie !). Bref, Dowdell et Amagou vont devoir défendre fort, J. Greer aussi. Quand à Samnick et Julian, il va falloir profiter des "aises" de Harrison et Bauer sur la périphérie (donc étendre leur défense assez flexible on va dire) pour leur donner le plus de ballons possible dans la raquette.

Pau à tout de l'équipe type dont le SLUC ne raffole pas en défense... Et offensivement, on pourrait se coltiner de la zone, encore. J'en ai vu sur la vidéo.

Robinson était chaud aussi à 6/7 à 3pts
L'ambiance ne sera pas comme à Limasssol

Je ne vois pas Graves refaire le même match deux fois de suite. Et puis comme Pau a gagné à l'Astroballe, ils auront peut être moins les crocs, moins la rage ! C'est pourquoi je vois une victoire du SLUC d'autant que nos couguars qui en lisent et en entendent des vertes et des pas mûres à leur sujet auront à coeur de se reprendre.

(j'irai quand même allumer un cierge)

Basket-ball - Pro A - Pau-Orthez - SLUC Nancy, samedi (20 h)

Les rythmes de l'an neuf Le Mans et Roanne qui foncent, le SLUC qui ralentit la cadence et tourne au même rythme que Pau... Le championnat n'a plus tout à fait le même visage depuis janvier.









NANCY._ Sept victoires. Il faudrait se plonger dans les manuels d'histoire, mais l'écart qui sépare le SLUC Nancy et Pau-Orthez au classement après dix-neuf journées de championnat est très certainement historique à ce stade de la compétition. Et pourtant, aussi bizarre que cela puisse paraître, les deux adversaires du week-end seraient à égalité parfaite en championnat si la saison avait débuté en 2008. Si, si...
Alors que l'on a disputé depuis le début de l'année sept journées de saison régulière, le SLUC Nancy et Pau-Orthez comptent chacun quatre succès et trois défaites. Nancy a gagné à Vichy, à Paris-Levallois, contre Cholet et Chalon et s'est incliné à Villeurbanne, Strasbourg et devant Dijon vendredi dernier, pendant que l'Elan Béarnais a remporté ses duels contre Dijon, Orléans, à Gravelines et à Villeurbanne le week-end dernier tout en concédant trois défaites à Hyères-Toulon, Le Havre et contre Le Mans...
Plutôt étonnant quand on sait que le SLUC partage la tête du classement alors que Pau-Orthez pointe seulement au douzième rang. Mais après avoir démarré la saison sur les chapeaux de roue (10 succès en 12 matches), le club nancéien tourne depuis janvier au même rythme que Chalon, Le Havre, Pau-Orthez et Vichy (voir tableau). « Mais c'est une question de calendrier » note l'entraîneur nancéien Jean-Luc Monschau, « on a disputé un nombre impair de matches depuis la reprise, donc certaines équipes ont joué plus souvent à l'extérieur. Ca change beaucoup de choses »...
Evidemment, si on considère qu'il est a priori moins épineux de jouer à domicile qu'à l'extérieur, la photographie du classement depuis début janvier est à prendre avec quelques réserves d'autant que les Nancéiens se sont déplacés quatre fois quand l'ASVEL ou Le Mans, pour ne citer que les équipes de tête, n'ont joué sur les routes qu'à trois reprises. Remarquez, ce n'est pas parce que ce week-end, on disputera la huitième journée de championnat depuis début janvier que la balance « matches à domicile, matches à l'extérieur» sera équilibrée pour les Nancéiens puisqu'ils se rendront à Pau-Orthez...

Un effet Euroligue ?


Reste que la forme des uns et des autres depuis le début d'année est une mine d'informations plus qu'utile. On voit ainsi que Clermont, Gravelines et Paris-Levallois ont attaqué la nouvelle année à la vitesse d'escargots (1 victoire en 7 matches), qu'Orléans piétine (2 succès), que Dijon s'est mis sur le remonte-pente (3 victoires) et qu'en haut de l'échelle, ce sont Le Mans et Roanne qui foncent à l'allure la plus rapide avec six succès chacun en sept journées.
Deux équipes qui disputaient il y a encore moins d'un mois l'Euroligue. Comme si le fait de se frotter depuis le début de saison à ce qui se fait de mieux sur la scène européenne avait des effets bénéfiques sur les joutes domestiques. « Je ne sais pas si c'est pour ça qu'on tourne mieux » confie Vincent Collet, le coach manceau, « mais ce qui est certain, c'est que l'Euroligue, ça fait progresser car on joue face à plus fort que soi. Maintenant, quand on ne gagne pas beaucoup de matches comme cela a été le cas pour nous, cela met un coup au moral. Mais je pense que le week-end dernier contre Orléans, l'expérience Euroligue nous a servis car on s'est retrouvés à -10 à la fin du troisième quart-temps alors que sur la scène européenne, on a souvent été à +10 après trente minutes. Cela nous a aidés à remonter ».
Et à remporter un sixième succès consécutif en championnat. On en connaît qui doivent afficher un large sourire depuis début janvier...

Anthony GUILLE


Est republicain

Sport lorrain
Vestiaires

Mike Bauer seul absent









• REPRISE. Comme prévu, Jean-Luc Monschau a pu récupérer Victor Samnick, Jeff Greer et Roger Zaki pour les deux séances d'entraînement programmées hier. Seul Mike Bauer (cheville) est resté aux soins. L'intérieur américain subira un nouvel examen de contrôle aujourd'hui, mais le coach du SLUC reste relativement confiant quant à la présence de Bauer sur la feuille de match, samedi à Pau.
•AVION. C'est en avion que le SLUC rejoindra Pau, samedi. Le départ est prévu le samedi matin à l'aéroport de Metz-Nancy. Retour dans la nuit.
• ZIANVENI. Mine de rien, Maxime Zianveni est en train de marquer l'histoire du basket chypriote. Mardi, Limassol est devenue la première équipe de l'île à se qualifier pour le final-four d'une coupe d'Europe (l'Eurocup). Grâce notamment aux 19 points et aux 6 rebonds (en 28') du Nancéien, l'AEL s'est largement imposée en Ukraine face à Khimik Yuzhny, lors du match retour (87-76).
• CADETS. Vainqueurs de Besançon le week-end dernier, les cadets du SLUC poursuivent leur aventure en coupe de France. En huitième de finale, l'équipe de Nicolas Meistelman accueillera Chalon-sur-Saône, le 23 mars prochain.
•LOCATION. La location pour la rencontre SLUC - Gravelines (le vendredi 7 mars, 20h, à Gentilly), se déroulera de la manière suivante. Au palais des sports, aujourd'hui (9h -12h), demain (9h - 12h et 14h - 18h), du lundi 3 mars au jeudi 6 mars (9h - 12h et 14h - 18h), le vendredi 7 mars (9h - 12h). La location est également ouverte sur www.ticketnet.fr et dans les magasins Cora et Auchan jusqu'au vendredi 7 mars à 15h.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Merci Bacou...
Ce serait vraiment une bonne nouvelle si Bauer jouait le match de samedi.....l'équipe aura besoin de toutes les forces disponibles.....

surtout qu'il risque d'e^tre surmotivé contre les palois alors vu son abattage habituel...

Bon apparemment c'est officiel, Trepagnier va rester à Pau jusqu'à la fin de l'année d'après un forumeur (Guitou) de l'ELAN :

Citation :

Dans l'article consacré à Antonio Graves dans BN, ils annoncent que Mopsus a confirmé que Trépagnier resterait jusqu'à la fin de la saison. Une annonce qui clos la discussion sur le futur du joueur à l'élan.

Désolé mais pour moi, il s'agit d'un 4ème joker non-réglementaire et pas d'un simple pigiste médical !
Dials est blessé depuis le 1er Décembre, on lui prévoit 6 semaines d'indiponibilité et son pigiste, arrivé début janvier, resterait jusqu'en juin ?? Dials est donc out pour le reste de la saison ?? Mon oeil ouais ! Ca reflète bien ce que je disais plus haut

Theseus a écrit:

N'empêche je trouve cette règle du joker médical facilement détournable, tu décrètes un joueur, que tu trouves mauvais ou au rendement insuffisant, "blessé" avec avis médical et tout, et tu prends un pigiste médical à durée indéterminée tant que le joueur mauvais guérisse en sachant tu ne le veux plus dans ton équipe et que tu as le médecin dans ta poche...

On fait la même chose avec un de nos ricains ?
Jplaisante, je suis contre le "coupage" mais ça pourrait donner des idées à certains...

Theseus a écrit:

Bon apparemment c'est officiel, Trepagnier va rester à Pau jusqu'à la fin de l'année d'après un forumeur (Guitou) de l'ELAN :

Citation :

Dans l'article consacré à Antonio Graves dans BN, ils annoncent que Mopsus a confirmé que Trépagnier resterait jusqu'à la fin de la saison. Une annonce qui clos la discussion sur le futur du joueur à l'élan.

Désolé mais pour moi, il s'agit d'un 4ème joker non-réglementaire et pas d'un simple pigiste médical !
Dials est blessé depuis le 1er Décembre, on lui prévoit 6 semaines d'indiponibilité et son pigiste, arrivé début janvier, resterait jusqu'en juin ?? Dials est donc out pour le reste de la saison ?? Mon oeil ouais ! Ca reflète bien ce que je disais plus haut

Theseus a écrit:

N'empêche je trouve cette règle du joker médical facilement détournable, tu décrètes un joueur, que tu trouves mauvais ou au rendement insuffisant, "blessé" avec avis médical et tout, et tu prends un pigiste médical à durée indéterminée tant que le joueur mauvais guérisse en sachant tu ne le veux plus dans ton équipe et que tu as le médecin dans ta poche...

On fait la même chose avec un de nos ricains ?
Jplaisante, je suis contre le "coupage" mais ça pourrait donner des idées à certains...

Il ne te reste plus qu'à faire un courrier à la LNB pour dénoncer ces pratiques...

Trop tard, le match c'est après-demain

Complètement d'accord avec toi Theseus : si je trouve que c'est une bonne idée que de pouvoir rajouter un élément pour palier à une blessure (car on sait que dans le basket, on a rarement des équipes qui ont un effectif supérieur à 14, pour 12 sur la feuilles de matchs...D'ailleurs en Pro A, il y a très peu de monde qui a plus de 10 pros).

Par contre, le détournement est assez "limite" mais, l'intelligence c'est peut être d'exploiter les failles du règlement LNB finalement (un peu comme la SIG en 2005 ). Ca ne pourra que le faire évoluer/inciter les autres à faire de même. En fait, c'est surtout malheureux pour Terrence Dials.

En meme temps je ne pense pas que Dials soit assez bete pour accepter d'etre mis sur la liste des bléssés si il ne l'est pas. On peut certe truquer un avis médical, mais le joueur sait très bien si il se sent apte à jouer ou pas.

Quel est l'interet pour Dials de ne pas jouer pendant une longue periode, donc manquer de rythme, de compétition, de ne pas pouvoir se montrer et donc d'avoir moins de chance de trouver un club qui le recrute l'année prochaine???

Je ne vois pas comment un joueur peut accepter de jouer les "faux-bléssé" meme contre une certaine somme d'argent! Le terrain, le basket, la compétition doivent lui manquer!!! Tout en sachant qu'il peut jouer il va faire exprès d'etre bléssé et de rester inactif pendant la moitié de la saison juste pour aider son club à prendre un pigiste supplémentaire... J'y crois pas de trop...

De toutes façons, Pau n'est pas plus avantagé que les autres. Ce n'est pas comme si Dials pouvait revenir compléter l'effectif par la suite. Ce ne sera pas possible : le quotas d'étrangers est déjà atteint.

Ben ils n' ont qu'à naturaliser Dials géorgien comme Seillant l'as fait l'an passé

En parlant de naturalisation, celle de Mike Bauer pourrait être un véritable plus si c'est en cours, pour l'année prochaine.

Ca serait pas un peu court pour le délai (3 ans je crois?)

JC on est pas à Pau

mais il dit pas n'importe quoi JC vu qu'il est marié a une française il pourra faire valoir ses droits a une naturalisation dans environ 3 ans a l'instar de ce qu'a fait tariq...

Ben c est ce que je dis pas l'an prochain mais dans 2 ou 3 ans ...

Basket-ball - Pau-Orthez - SLUC, demain (20 h)

Graves, encore dans les cartons


Depuis qu'il a posé ses valises en Béarn, en janvier, l'arrière enchaîne les coups d'éclat. Ses quarante points inscrits contre l'ASVEL l'ont définitivement sorti de l'anonymat.






NANCY._ En inscrivant 40 points le week-end dernier à l'Astroballe, Antonio Graves a d'abord fait gagner son équipe, mais il a aussi donné du boulot aux archivistes du basket français. 40 points ! Pour retrouver un chiffre similaire dans le championnat de France, il faut remonter au 12 février 2005. Ce jour-là, le Canadien de Dijon Rowan Barrett (désormais à Chalon) avait planté 43 points à la défense de Vichy. Le carton réalisé par Antonio Graves est encore très éloigné de la perf stratosphérique du Mulhousien Ron Davis, en octobre 1988. L'Américain alors coaché par un certain Jean-Luc Monschau avait inscrit 61 points (voir par ailleurs).
Pour finir de dépoussiérer les vieux souvenirs, du côté de Pau cela faisait bien longtemps qu'un joueur au maillot vert n'était plus venu chatouiller cette barre des 40 points. Le dernier à l'avoir franchi s'appelait Mike Jones (42 points). C'était en 1991 et le gaillard avait bénéficié de deux prolongations.
Tout ça pour prouver s'il en était besoin que la performance individuelle du nouvel arrière de l'Elan n'est pas anodine. Au passage, elle a d'ailleurs complétement éclipsé les exploits de ses petits camarades lors de cette fameuse victoire béarnaise à Villeurbanne : les 14 passes décisives de Stanic, par exemple, où encore le 6 sur 7 à trois points d'Antywane Robinson.
Graves, lui, n'a pas oublié de leur rendre hommage : « Quarante points, ça ne m'était jamais arrivé. Mais ce que j'ai fait, je le dois au staff qui a remarquablement préparé le match et à mes coéquipiers. Max (Stanic) a été exceptionnel dans les passes et les grands ont fait le job sur les intérieurs adverses. J'ai joué avec ce qu'ils m'ont donné car on ne gagne jamais seul ».

Défenseur à Pittsburgh


Et voilà comment Antonio Graves, inconnu du commun des mortels il y a encore un moi et demi (comme la plupart des joueurs US lorsqu'ils débarquent en Pro A), est devenu en quarante minutes (il n'en a joué que 31, en fait) l'une des attractions de la Pro A.
Mais à y regarder de plus près, on peut se demander si ce carton n'est pas simplement la partie émergée de l'iceberg. Si, en allant dénicher cet arrière en CBA (Pittsburgh Xplosion), le coach palois Laurent Mopsus n'a pas fait une véritable trouvaille. Pas impossible... Depuis qu'il a posé ses valises en Béarn, début janvier, ce joueur qui aura 23 ans en avril enchaîne les perfs. 27 points contre Dijon et Le Havre, 30 face à Gravelines...A l'université de Pittsburgh, Antonio Graves avait plutôt une réputation de défenseur. Peut-être une des raisons pour lesquelles la NBA ne lui a pas fait les yeux doux. Pau est en train d'en faire son principal atout offensif. « Lorsqu'il est arrivé, je lui ai promis un rôle important », précise Laurent Mopsus, « Aujourd'hui, il est clairement notre première arme offensive. Je savais qu'il pouvait scorer, mais la seule inconnue le concernant, c'était sa capacité à supporter la pression, à seulement 22 ans. Sa jeunesse lui confère finalement une certaine insouciance. Des arrières puncheurs comme lui, avec cette fraîcheur, il n'y en a pas beaucoup en Europe ». Alors, une bonne pioche ? Pour l'instant, c'est évident. S'il avait disputé suffisamment de matches pour figurer dans les classements (il n'en a joué que sept à ce jour), Antonio Graves serait le meilleur marqueur de Pro A (23 points de moyenne), devant le blessé longue durée Sean Colson (21,3) et le Roannais Marc Salyers (19,2). Graves est absent des classements français, mais les antennes des grands clubs européens ont peut-être déjà repéré sa trace...

Thomas SIMON


Est republicain

Qualifications pour l'Euro 2009 : Nancy candidate ?









BLEUS. Dans le cadre des qualifications pour l'Euro 2009, l'équipe de France devra donc disputer trois rencontres dans l'Hexagone : le 3 septembre prochain contre la Belgique, le 17 septembre contre l'Ukraine et le 20 septembre face à la Turquie. Or, comme le précisait notre confrère L'Equipe hier, aucune de ces trois rencontres ne devrait avoir lieu à Paris. Bercy est d'ores et déjà réservé à ces dates et Coubertin sera en travaux en septembre. Ce sont donc des salles de province qui devraient avoir le privilège d'accueillir la sélection nationale dirigée par Michel Gomez. On pense évidemment à des salles dont la capacité est suffisante, comme Le Mans, Pau, Villeurbanne, Strasbourg ou... Nancy.
Les Bleus à Gentilly ? A l'heure actuelle, le projet n'existe même pas à l'état de trace. Mais visiblement, l'idée commence à faire son chemin. « Un tel événement ne pourrait être que bénéfique pour la ville et le basket nancéien », reconnaît le président Christian Fra, « Il faut voir dans quelles mesures cela pourrait se passer, mais sur le principe j'y suis tout à fait favorable. Je vais d'ailleurs contacter très rapidement Yann Barbitch (Ndlr : l'ancien joueur gère désormais le département organisation de la fédération) ». Les lieux devraient être désignés au plus tard le 18 avril. Affaire à suivre...
BAUER. L'examen de contrôle subi hier par Mike Bauer (cheville) n'a apparemment pas rassuré définitivement le staff nancéien. « La précaution reste la priorité », regrette Jean-Luc Monschau, « on prendra sans doute la décision au dernier moment ». Le coach nancéien qui, hier, a également dû se passer des services de Cyril Julian, que son problème au pied (hallux valgus) a une nouvelle fois écarté du terrain.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

Les 61 points de Ron Davis









NANCY._ Le record de Ron Davis, qui avait inscrit 61 points le 29 octobre 1988 contre le Racing Paris, n'est pas près d'être battu. Un exploit qui avait eu lieu sous les yeux de Jean-Luc Monschau, alors coach de Mulhouse où jouait également son frère Christian. L'entraîneur du SLUC se souvient : « ça avait été un match très spectaculaire joué sur un rythme élevé. En face, Hervé Dubuisson avait inscrit un paquet de points aussi. Quant à Ron Davis, on avait l'impression qu'il ne pouvait pas rater un tir. De mémoire, il devait déjà être à quarante points à la mi-temps... »
Les plus gros cartons de la ligue
61 points : Ron Davis (Mulhouse) contre Racing Paris, le 29 octobre 1988.
55 points : Hervé Dubuisson (Racing Paris) contre Tours, le 4 mars 1989.
54 points : Brook Steppe (Racing Paris) contre Mulhouse, le 10 octobre 1987.
54 points : Kevin Strickland (Sceaux) contre Chatou, le 16 mars 1991.
54 points : Kevin Strickland (Sceaux) contre Saint-Brieuc, le 7 octobre 1991.
53 points : Billy Goodwin (Nice) contre Montpellier, le 19 septembre 1987.
53 points : Bill Varner (Gravelines) contre Limoges, le 27 septembre 1988.
53 points : Joe Dawson (Evreux) contre Voiron, le 25 février 1989.
53 points : Jeff Wilkins (Voiron) contre Evreux, le 25 février 1989.
53 points : Terence Stansbury (Levallois) contre Caen, le 26 mars 1992.
53 points : Bruce Bowen (Evreux) contre Maurienne le 14 janvier 1995.
Note : le record absolu de points dans un match de championnat de France depuis la saison 1949-50 est la propriété de Jean-Pierre Staelens de Denain, avec 71 points le 4 mars 1967 contre Valenciennes.
Est republicain

Merci bacou

merci...Bacou...
Ces blessures pas bon signe.....