[ProA - J4] JSF Nanterre bat SLUC Nancy, 70-79

etno10 a écrit:

Franchement ,je me pose une question :Pourquoi discuter de Duggins ,alors que l'on ne peut rien lui reprocher...et l'ablette Adams ,on se paluche encore dessus ?
Le mec n'est pas fait pour faire jouer son équipe ,pense qu'a ses stats ,en plus contré 3 fois dans le meme match ,pour moi Darius ,au revoir !

Quand a Bigotte ,ptite que coach W.A ,s'est rendu compte qu'il avait trop tété l'anis ...


Ps :J'ai  vu la victoire du Havre ,bah King que de regrets ,sacré joueur ....( bah nous on a Krupa ..)

On se marre bien quand même... Terminer en plus sur une comparaison Krupalija/King... Du grand art.

supporter54 a écrit:

concernant le temps mort dont vous parlez, WEISS se retourne et dit à BIGOTTE un truc du style "t'as pas enlevé ton sur maillot".BIGOTTE, surpris, fait un geste semblant dire qu'il n'en a que pour quelques secondes à le retirer.WEISS dit alors à ADAMS de rentrer et BIGOTTE reste sur le banc...

Vu sous cet angle.... C'est tout de suite moins stigmatisant que les propos de Weisz... Merci

C'est la technique Weisz. Il veut le bouger. Bigotte est sûrement trop tendre. Il doit entrer avec la bave aux lèvres !

Corpus Christi a écrit:

supporter54 a écrit:

concernant le temps mort dont vous parlez, WEISS se retourne et dit à BIGOTTE un truc du style "t'as pas enlevé ton sur maillot".BIGOTTE, surpris, fait un geste semblant dire qu'il n'en a que pour quelques secondes à le retirer.WEISS dit alors à ADAMS de rentrer et BIGOTTE reste sur le banc...

Vu sous cet angle.... C'est tout de suite moins stigmatisant que les propos de Weisz... Merci

Chacun son interprétation.
Moi je vois aussi Max discuter avec Bigote avant et celui-ci lui fait un signe négatif de la tête et il avait l'air un peu tendu le gaillards.
D'ailleurs à la fin du temps mort on a l'impression que Max lui dit "Je te l'avais dit".

24/10/2014 à 05:00
Basket-ball - Eurocup - Après Roma - SLUC (84-79) et avant Chalon - SLUC, demain en Pro A (20 h) Le régime européen

Duggins touché aux adducteurs Avec deux matches par semaine le SLUC a adapté son programme d’entraînement. Mais il lui faudra aussi exceller dans l’art de la récup’…

La Coupe d’Europe exhale un parfum incomparable. Et la bataille que le SLUC a livrée, mercredi au Palazzetto dello sports face à Rome, est venue rappeler qu’en Eurocup, le mot intensité s’impose comme une évidence. Mais si le club nancéien est reparti de Rome partagé entre le sentiment d’avoir joué les yeux dans les yeux avec une solide formation italienne et la déception d’avoir laissé échapper un succès à sa portée, il y avait, aussi, un peu de fatigue dans les bagages. Normal. Même si Nancy est à deux heures d’avion de Rome, les vols, l’attente aux aéroports, les transferts en bus et, bien sûr, la partie de manivelles qui s’est nouée mercredi, ont forcément généré une certaine forme d’usure physique…

C’est un fait, enchaîner Coupe d’Europe et championnat n’est pas toujours évident. Le SLUC s’en est rendu compte la semaine dernière, en s’inclinant à la maison face à Nanterre deux jours après avoir ouvert sa campagne d’Eurocup par un succès sur Nymburk. Mais il n’était pas le seul. Sur les six équipes tricolores engagées sur le front européen en milieu de semaine, une seule a gagné dans la foulée en Pro A : Strasbourg. Et encore, c’était face à Dijon, un autre qualifié européen ! Sinon, le champion de France limougeaud a calé à la surprise générale au Havre, alors que l’ASVEL (contre Chalon), Paris-Levallois (face à Pau-Lacq-Orthez) et le SLUC ont trébuché dans leur salle. Pas sûr que ce soit un simple hasard. « Je ne sais pas si toutes ces défaites sont imputables à la répétition des matches », commentait Alain Weisz, hier, « mais il est évident qu’une semaine à un match, ça n’a rien à voir avec une semaine à deux matches en terme de préparation. »

Le SLUC est bien placé pour le savoir. Privé de Coupe d’Europe l’an dernier, il ne disputait alors qu’une seule rencontre par semaine et avait tout le temps de bûcher sur ses dossiers de championnat. « C’est en partie ce qui nous a permis de réussir la saison qu’on a réussie », observe le technicien nancéien. Et d’obtenir un ticket européen.
Les bas de compression de sortie

Le SLUC s’est assis à la table de l’Eurocup jusqu’au 17 décembre, minimum. Un menu qu’il savoure avec délectation et fierté, mais qu’il doit digérer. Et pour cela, il a notamment dû adapter ses semaines d’entraînement. S’il a conservé deux séances de vidéo pour chaque match, le club nancéien s’entraîne un peu moins sur le plan collectif. « On ne fait pas forcément moins de séances, car il est important de garder cette intensité », explique Alain Weisz. « Mais elles sont un peu plus courtes. »

Pour favoriser la récupération. Un maître mot en ce moment. Alors que le SLUC a un effectif resserré et qu’il devra peut-être se passer de Vaughn Duggins pour plusieurs matches, l’art de la récup’ sera déterminant. « Mais récupération ne rime pas avec repos », précise l’entraîneur nancéien. « On ne passe pas moins de temps à Gentilly au final. Mais on travaille différemment. »

En individualisant davantage les séances, pour permettre aux joueurs de travailler leurs points forts ou points faibles, en mettant un peu plus l’accent pour certains sur la musculation… Et parce que chaque détail compte, le club nancéien a fourni à chaque joueur deux paires de bas de compression il y a peu. À Rome, les joueurs avaient pour consigne de les porter quand ils se déplaçaient afin d’optimiser la récupération.

Des aménagements indispensables vu l’enchaînement des rencontres. Reste à savoir si cela permettra de concilier efficacement cette double vie européenne et domestique. On aura rapidement des éléments de réponse. Avec Chalon demain, Cholet la semaine prochaine et Le Havre le 8 novembre, le SLUC va affronter trois équipes qui ne disputent pas de Coupe d’Europe. Face à des formations qui devraient, a priori, avoir un léger avantage en terme de fraîcheur physique, le SLUC aura l’occasion de tester sa vitesse de récupération…

Voir Bandja Sy trouver la mire à 3 pts (2/4). Alors qu’il était à la peine derrière la ligne depuis le début de saison (1/9), l’ailier s’est un peu rassuré.

Les chaussures des Romains, revisitant allègrement le spectre des couleurs. Orange ou vert fluo, jaune flashy, bleu électrique…. Les basketteurs de la Roma ont visiblement des goûts très variés.

Les cinq rebonds offensifs pris par Randal Falker. L’activité du pivot américain a offert des chances supplémentaires précieuses aux Nancéiens. Dommage que cela n’ait pas suffi…

L’affluence au Palazzetto dello Sports (1.500 spectateurs). On comprend mieux pourquoi le club romain ne joue dans son Palazzo dello Sports (11.200) places qu’en Euroligue…

L’attitude de Bobby Jones. De la provocation verbale (vis-à-vis de Randal Falker), des coups (à Sergii Gladyr notamment) et une faute technique logique pour contestation… L’ailier fort américain était surexcité mercredi.

La faute grossière commise par Valentin Bigote peu après son entrée en jeu en première période. Sanctionnée sans surprise d’une antisportive, elle fit monter la température dans les tribunes.

Rome. Sorti en fin de première période, mercredi, en se plaignant d’une douleur aux adducteurs, Vaughn n’est pas revenu sur le parquet par la suite. Selon les premiers examens pratiqués sur place, l’arrière américain serait victime d’un claquage. Il devait passer une échographie hier soir et subira une IRM ce vendredi. Mais il est d’ores et déjà forfait pour le match de demain, à Chalon. Un coup dur pour le club nancéien.

De notre envoyé spécial Anthony GUILLE

Source : ER du 24.10.2014

Y a un club que l enchainement de matches ne dérange guère c est bien lz JDA.
Et pour la deuxième année de suite avec un budget identique au Sluc.
Trouvez d autres excuses svp...

Si c est un claquage il faut au moins compter un mois,non?
Sacrée tuile en tout cas.

baltazar21 a écrit:

Si c est un claquage il faut au moins compter un mois,non?
Sacrée tuile en tout cas.

Tout dépend de la gravité du claquage, ça peut effectivement aller jusqu'à 1 mois de repos...

baltazar21 a écrit:

Y a un club que l enchainement de matches ne dérange guère c est bien lz JDA.
Et pour la deuxième année de suite avec un budget identique au Sluc.
Trouvez d autres excuses svp...

La JDA a quasiment le même le bilan que le sluc actuellement (une victoire de plus en eurocup) donc ça les dérange autant (ou aussi peu) que Nancy.