[Korac Cup] 10 ans !

Allez, j'ouvre un nouveau topic sur la Korac Cup de 2002, car aujourd'hui, en plus d'être mon anniversaire cela fait 10 ans que Nancy a remporté ce titre continental !!! Déjà... Et toujours aucun autre club français vainqueur d'une Coupe d'Europe depuis.

Si vous avez des anecdotes, des photos, des articles ou autres, n'hésitez pas.


Aujourd'hui, cela fait dix ans jour pour jour que le SLUC Nancy a remporté la Korac Cup, la toute dernière de l’histoire de la compétition, tout juste trente ans après son instauration par la FIBA. C’était le 17 avril 2002, face aux Russes du Lokomotiv Mineralnye Vody…

L'aventure avait débuté par un tour préliminaire plus de sept mois auparavant, le 2 octobre 2001 pour être précis, en Allemagne, tout juste quatre jours avant la reprise victorieuse en championnat de France face à l’Adecco ASVEL Lyon-Villeurbanne (88-81), contre le Stadt Sport Braunschweig.

Préliminaires + phase de poule = 87,5% de victoire

Devant 3400 spectateurs, les hommes de Sylvain Lautié et son assistant Benoist Burguet, emmenés par un binôme Stevin Smith/Cyril Julian impeccable (39 points à 12/21 aux tirs), n’avaient laissé aucune chance à leurs vis-à-vis : victoire écrasante sur le score de 74 à 93.

Deux semaines plus tard, les deux formations se retrouvaient donc pour le match retour, cette fois-ci au Palais des Sport Jean Weille. Et là, rebelote… Sept joueurs à dix points ou plus, Maxime Zianveni en tête (18 points à 70%, 6 rebonds, 3 interceptions, 1 contre et 4 passes en 25 minutes), un deuxième succès net et sans bavure à la clé (103-80).

Les Couguars s’étaient ainsi brillamment qualifiés pour le tour principal de la Korac Cup : huit groupes de quatre équipes, pour 192 matches entre le 14 novembre 2001 et le 16 janvier 2002.

Et là encore, à l’image du tour précédent, les Lorrains n’avaient pas fait dans la dentelle pour ouvrir les hostilités, écrasant les Portugais du FC Porto (106-82) à la maison, sous la houlette d’un Ross Land déchainé derrière l’arc : 6/10 à trois points, pour un total de 24 unités (+ 2 interceptions et 4 passes) en 32 minutes de jeu.

Lancée de la plus belle des manières, la compétition était, au grand damne de leurs rivaux, par la suite devenue un véritable parcours de santé, ou presque, pour les Nancéiens. Car mise à part un Porto revanchard lors d’un match retour ultra offensif (101-98) durant lequel Ross Land, encore en pleine bourre (23 points à 7/13 de loin), répondait sans cesse aux assauts intérieurs de Krostopher Hill (18 points, 10 rebonds, 1 contre et 5 passes), pas un soupçon de défaite à l’horizon.

Étriqués contre les Belges du WATCO Antwerpen (78-80 au plat pays, puis 84-81 à domicile), un peu moins aux dépends des Italiens du Scaligera Basket Verona (90-79 à Gentilly, 97-90 en Vénétie), ces très bons résultats avaient logiquement propulsé le SLUC Nancy, aussi bon en ProA à cette époque de l’année (3e, 10-3), au sommet de son groupe (5-1). En route pour les huitièmes de finale !

C’est à partir de cette phase couperet (aller/retour jusqu’en finale) de la compétition que les supporters du SLUC Nancy s’étaient véritablement mués en sixième homme de poids : une affluence en constant progrès (3500 + 3700 + 5900 + 6000) pour près de 4800 spectateurs en moyenne, et un bilan exceptionnel sur le parquet…

Gentilly, la forteresse imprenable

En effet, défaits lors de la première manche, le 29 janvier 2002, en Allemagne contre les joueurs du TSV Bayer 04 Leverkusen (87-80), deuxièmes du Groupe A, à égalité avec… les trois autres équipes dont l’ÉLAN Chalon-sur-Saône (3-3), Stevin Smith (21 points et 5 passes en 31’) et consorts s’étaient ensuite échappés par la petite porte « at home » (+2 au cumulé des deux matches), en dépit d’un net avantage à la pause (62-41, 20e), et là encore au terme d’un match haut en points inscrits (104-95).

L’étape suivante : les quarts de finale, pour un duel franco-français entre le SLUC Nancy donc, et la JDA Dijon du meneur de jeu Paccelis Morlende, qui elle avait terminé deuxième du Groupe D (3-3) derrière la formation grecque du Maroussi Athens, puis vaincu l’équipe israélienne du Maccabi Ness Raanana en huitièmes de finale (135-134 au cumulé).

Là encore, alors que recevoir en premier n’est généralement pas un avantage, l’addition avait été bien salée pour les visiteurs venus s’aventurer au Palais des Sports Jean Weille… Emmenés par un Joseph Gomis à la limite de la perfection (22 points à 9/13 aux tirs), les Couguars avaient effectivement fait qu’une bouchée (95-72) de Dijonnais incapables de combler leur large retard en Bourgogne, face aux partenaires du duo Cyril Julian/Stevin Smith (49 points !), la semaine suivante (79-66).

Puis bis-repetita, sans Cyril Julian, blessé dès la première minute de jeu, lors de la première manche des demi-finales face aux Slovènes du Pivovarna Lasko (89-58), qui avaient obtenu le deuxième meilleur bilan du Groupe G avec quatre succès – un de moins que le Prokrom Trefl Sopot (Pologne) -, battu les Russes du Avtodor Saratov (177-166) en huitièmes, et les Israéliens du Maccabi Ironi Ramat Gan (143-123) en demies.

Avec un tel matelas de sécurité (+31) avant de se déplacer vers la grande botte pour la deuxième manche, le SLUC Nancy s’était donc quasiment assuré une place en finale de la Korac Cup. Une place finalement confirmée quelques jours après le quinzième succès - en vingt-trois sorties – des Nancéiens en championnat nationale : défaite sous contrôle en Italie, sur le score de 94 à 83, avec 22 points et 14 rebonds de Maxime Zianveni.

La suite, tout le monde la connaît… Devant des tribunes archi combles du premier au dernier siège, et malgré l’absence de Cyril Julian, à nouveau contraint de quitter les siens, cette fois-ci au bout de quatre minutes, les Couguars avaient atomisé le Lokomotiv Mineralnye Rostov (98-72) grâce à un deuxième et un troisième quart temps de feu (54-30).

Une semaine avant de se faire peur dans la froideur russe… à l’Olimp Arena devant 1700 spectateurs endiablés, après un combat de tous les instants (95-74). Mais peur seulement : +5 au cumulé pour le SLUC. Maxime Zianveni (9 points en 12’) avait marqué la rencontre en écrasant un énorme « dunk » sur le museau du géant Eurelijus Zukauskas (2,18 mètres, 20 points, 10 rebonds et 7 contres !), alors que Vincent Masingue avait réalisé le match de sa vie : 24 points à 9/16 aux tirs, 14 rebonds et 1 ballon volé en 36 minutes !

Suffisant pour le club de Jean-Jacques Eisenbach, qui moins de huit années après son accession dans l’élite du basketball tricolore en 1994, remportait une Coupe d’Europe, celle-là même que seuls le CSP Limoges (1982, 1983 et 2000) et l’EB Pau-Orthez (1984) avaient amené en France.

Un succès HI-STO-RIQUE ! Aujourd’hui, en 2012, le SLUC Nancy demeure le dernier club tricolore à avoir remporté un trophée continental.


Les statistiques moyennes du SLUC Nancy 2001-2002 :

16 matches disputés (11 victoires) à hauteur de 90 points par match (1440) à 51,8% aux tirs (514/992) dont 38,5% à trois points (121/314), 74,2% aux lancers francs (291/392), 31,3 rebonds (502) dont 8,8 offensifs (141), 16,7 passes (268), 22,3 fautes (358), 14,3 balles perdues (230), 9,1 interceptions (146) et 2,8 contres (46).


Stevin SMITH (30 ans – 1,87 mètres et 92 kilos - USA)
15,1 points à 44% aux tirs (67/152) dont 37,1% de loin (36/97), 81% aux lancers francs (73/90), 3,6 rebonds, 4,8 passes (2,2 balles perdues) et 2 interceptions en 31,5 minutes.


Fabien DUBOS (25 ans – 2,07 mètres et 102 kilos - FRA)
13,7 points à 55,7% aux tirs (87/156) dont 26,7% de loin (8/30), 88,3% aux lancers francs (38/43), 6 rebonds, 1,8 passes (1,9 balles perdues), 0,8 interception et 0,7 contre en 30,1 minutes.


Ross LAND (25 ans – 1,96 mètres et 90 kilos - USA)
12,8 points à 45,7% aux tirs (70/153) dont 46,1% de loin (48/104), 85,6% aux lancers francs (18/21), 2,7 rebonds, 2,2 passes (1,3 balles perdues) et 0,9 interception en 29,8 minutes.


Cyril JULIAN (28 ans – 2,06 mètres et 106 kilos - FRA)
13,3 points à 63,7% aux tirs (74/116), 75% aux lancers francs (39/52), 5 rebonds, 0,8 passe (1,3 balles perdues), 0,8 interception et 0,8 contre en 24,9 minutes.


Goran BOSKOVIC (30 ans – 2,00 mètres et XX kilos - SRB)
10,7 points à 55,5% aux tirs (50/90) dont 45,7% de loin (16/35), 83,3% aux lancers francs (45/54), 2,8 rebonds, 2,2 passes (1,6 balles perdues) et 1,8 interceptions en 23,6 minutes.


Joseph GOMIS (24 ans – 1,80 mètres et 80 kilos - FRA)
11,3 points à 51,7% aux tirs (59/114) dont 26,4% de loin (9/34), 74,4% aux lancers francs (32/43), 1,8 rebonds, 3,5 passes (2,4 balles perdues) et 1,1 interceptions en 23,8 minutes.


Maxime ZIANVENI (23 ans – 1,98 mètres et 98 kilos – FRA/CAF)
8,7 points à 47,6% aux tirs (60/126) dont 33,3% de loin (4/12), 45,7% aux lancers francs (16/35), 4,5 rebonds, 1,1 passes (1,8 balles perdues) et 1,2 interceptions en 20,5 minutes.


Vincent MASINGUE (26 ans – 2,05 mètres et 106 kilos - FRA)
8 points à 56% aux tirs (46/82) dont 0% de loin (0/1), 53,8% aux lancers francs, 5,7 rebonds, 0,6 passe (1,8 balles perdues) et 0,5 interception en 22,4 minutes.


Les Espoirs de l’époque :

Mouhamadou M’BODJI (21 ans – poste 3 - SEN), Gary PHAETON (17 ans – poste 1 - FRA), Loïc TOILIER (18 ans – poste 2 - FRA), Danilo CMILJANIC (20 ans – poste 5 - SRB)

Joyeux anniversaire JC, en effet c'est un jour mémorable

Je me souviens de ces moments comme si c'était hier.... J'étais alors dans la tribune F10... Le match aller de la finale, presque 1h avant le coup d'envoi, l'ambiance était déjà absolument fabuleuse. J'ai le souvenir durant la rencontre d'avoir senti le sol trembler...

Je me souviens aussi de ces dijonnais venus supporter le SLUC dans sa salle. C'est quand même une sacré leçon de sport ça.

A titre bien plus personnel, j'ai le souvenir d'avoir pleuré à la fin de la rencontre et être resté assis à regarder la salle.. Un état second dont avait profité un journaliste de France Bleue pour me poser des questions.... Je n'ai su que quelques jours plus tard qu'il s'agissait d'un journaliste, quand je me suis entendu dans le générique des sports de la radio.... En train de dire "c'est magnifique" entre 2 sanglots... Me suis fait chambrer un bon moment avec ça.

Et puis me reviennent aussi ces images à la sortie du Zenith, une fois champion d'Europe. Le trajet jusqu'à la place Stan avec ce défilé de voitures ininterrompu. la chenille géante autour de la place Stan....Et cette cuite monstrueuse qui s'en est suivi ...

Rha putain ces souvenirs... Cette équipe... J'ai toujours le maillot de Ross Land d'ailleurs.


Et joyeux anniversaire JC... Quelle belle date !!! :cheers:

Joyeux anniversaire JC

J'ai vu dans la version papier de l'Est Répu de ce matin qu'il y a une page sur la coupe Korac :cheers:

Super souvenir cette épopée en Korac, surtout les matchs aller des demies et finale au Palais des Sport avec le public complètement transcendé et à fond derrière le Sluc...!! J'étais en E2 et je n'en croyais pas mes yeux à la fin de la finale aller avec ce +26 pour les Cougars. Là, on sentait qu'il y avait une osmose dans cette équipe. Une véritable équipe de copains voir plus qui allaient jusqu'au bout des choses. Dommage qu'il y eu toutes ces blessures pour la fin du Championnat, car comme le dit Cyril Julian dans l'ER d'aujourd'hui, sans ces blessures, cette équipe aurait pu très bien terminer Champion de France cette année...

Et pour finir, gagner une Coupe d'Europe, même la moins importante à l'époque, c'est quand même une sacrée perf pour un club Français...!! Respect à tous les joueurs qui ont composés cette équipe et au Staff technique également.

J'en garde également un émouvant souvenir moi aussi.
Mes parents qui s'étaient alors expatriés dans le sud pour leur retraite, étaient en Lorraine à ce moment là.
Mon père était tout aussi de féru de basket que moi. Je lui ai demandé d'aller nous chercher des places au sièges du club. Il est revenu furax d'avoir longuement attendu avant d'obtenir les 2 précieux sésames!
Le jour J, nous sommes arrivés dans une salle archi comble parée aux couleurs du SLUC.
L'ambiance était incroyable, la tension a son comble. Les joueurs ont tout donné, certains dépassant la douleur physique (je pense à Land, Smith et Boskovic) pour mener cette équipe à la victoire.
La salle était électrisée, l'ambiance unique, le public manifestant une ferveur jamais connue jusqu'alors dans les travées de Gentilly.

Mon père et moi partageant ce moment que nous savions unique. Ce fut la dernière communion sportive que nous avons connue ensemble, il devait décéder quelques semaines plus tard.

Ce jour là est pour moi chargé d'émotion.

Quelle équipe fabuleuse !!!

Gentilly en mode grande folie !!! je n'ai jamais revue une telle ambiance, la salle en transe total.

C'était compliqué pour les Russes de gagner dans une telle ambiance, nos couguars avaient des ailles.

Il n'y a personne à sortir du lot !!! mais je garde un souvenir énorme de Ross Land, quel sniper de folie... et que dire de Goran Boskovic d'une abnégation à toute épreuve.

Les deux joueurs ont donné leur dos au Sluc quand même !!! Ross Land n'a plus rejoué au basket et est devenue entraineur. Je l'ai contacté par mail il y a peu pour avoir des news.

de beaux souvenirs en effet

Magic Tariq a écrit:

Je l'ai contacté par mail il y a peu pour avoir des news.

Je l'avais contacté il y a quelques temps déjà, mais il était déjà entraîneur. On avait reparlé de cette Korac et il m'avait dit qu'il y pensait souvent, qu'il en parlait à ses jeunes régulièrement et que tous savaient où se trouvait Nancy. Il m'avait même glissé qu'il serait partant pour nouer des contacts avec Nancy pour des échanges de jeunes.... Un souhait resté à ce jour sans suite...


Y'aura t'il une commémoration de cet évènement ? Quel pied ce serait de pouvoir les revoir tous, les Bosko, les Land, Fabien Dubos.... Bon Steven Smith il faudrait qu'il prenne un faux nom pour venir, le fisc risque de l'attendre à l'aéroport ... Mais quel joie ce serait.

Y'aura t'il un DVD pour l'occasion, où on pourrait revoir les matches des demies et de la finale... Les interview, les reportages, bref, un bel objet qui permettrait de rendre hommage au club, ses joueurs, ses supporteurs. Nul doute que ça ferait un tabac !!!

Le cellule com/multimedia du club a dû taffer dessus !
->

machin00 a écrit:

Le cellule com/multimedia du club a dû taffer dessus !
->

Bonne vanne, bonne vanne...

JC a écrit:

machin00 a écrit:

Le cellule com/multimedia du club a dû taffer dessus !
->

Bonne vanne, bonne vanne...

Cette même cellule qui a bien géré l'exploitation de l'image de Batum au Sluc et qui doit surement préparer le 1/4 de siècle du club....

sans parler du nouveau logo du club...

Quels intenses moments, inoubliables. Une salle totalement en fusion, j'en ai encore des frissons en y repensant.
Quelqu'un aurait des vidéos de cette épopée?

Tiens en voici une de notre cher Makerman:


COUPE KORAC 2002 SLUC NANCY par Makerman

Cadeau...

Korac - 10 ans

Et cette autre du même auteur...
Encore un super moment!


Projet KORAC 2002 par Makerman

Ce titre me colle la chaire de poule à chaque fois ! que de frissons ! quel pied énorme !

Cette équipe et ce titre me touche bien plus que le 1er ou le 2ème titre, même si cela était énorme aussi, mais la Korac a une place particulière.

L'ambiance ? l'équipe ? je ne sais pas ! la communion total avec le public ? ce match aller est pour moi le summum des matchs du Sluc.





ahh si seulement les blessures n'étaient pas venues gâcher cette fin de saison... nous aurions pu aller chercher un premier titre plus tôt.

MERCI !!!
Que de souvenirs !! J'étais dans cette foule sur la place Stan, le visage moitié blanc, moitié rouge, avec un gros SLUC sur les joues !! Ah la la...

Theseus a écrit:

Cadeau...

"La chenille SLUC sortait en tout cas de son cocon sur les bords de la Mer Noire. Elle allait devenir papillon pour voler vers d’autres aventures enivrantes: deux titres de champion de France, six finales à Bercy et cette victoire historique et symbolique, le 10 novembre dernier contre Vitoria, géant de l’Euroligue. Une autre soirée triomphale, inespérée du petit Nancy, mais hélas sans lendemain. La saison prochaine, le SLUC baissera sa masse salariale de 20% et jouera, quoiqu’on en dise, d’abord le maintien. Cherchez l’erreur…"

Cette phrase de G. Gahier me laisse perplexe car se sera la triste réalité, malheureusement...

Bon anniversaire JC( roooh le vieux ).
En ce qui me concerne et en dehors de la victoire et du show Bang bang, je retiendrais une anecdote .

J'étais assis derrière le banc de Vodye, juste derrière le "petit Zukauskas" et ses 2,18 je crois. Comme il ne jouais pas beaucoup, il se levait sur les paniers de son équipe et me gâchait la vue, ce qui avait le don de m’énerver, bien aidé par le stress. Je n’arrêtais pas de le "menacer" de lui en coller une s'il ne s’asseyait pas, toute la rangée était pliée de rire

Bon anniversaire !!! JC

Putain, 10 ans !
Que de grands souvenirs, à Gentilly et au Zénith ou sur la place Stan...
Et bon anniversaire JC ! Tu pourrais même te faire une p'tite bannière pour l'occasion.

Bon annif

bon anniv JC. Que de souvenirs qui remontent....!

Quel merveilleux souvenir!!!
On avait décoré la R5 d'un pote en la recouvrant entierement de ballons rouge et blanc. Et dans gentilly on avait fait des pancartes "GO MISter Jospeh" et "Vinny Bang Bang! Vody Bye Bye..."
Une ambiance de folie, un match de folie!
A la fin on avait attendu les joueurs et on avait discuté avec Gomis et Masingue, Joseph était super calme il nous avait dit qu'il avait même eu le temps de voir notre pancarte pendant le match.
On leur avait posé la question de leur avenir au sluc et Masingue avait répondu euphorique "je reste, c'est sur je reste, je suis trop bien ici!!!"

Quelques photos souvenirs pour finir :

Avant Match...


The match!


Interview de stevin après le match


Vinny place stan avec la coupe!



Et avec un peu de retard Bon Anniv JC!