[ProA - J21] SLUC Nancy bat STB Le Havre, 94-66 (58-23)

Bonne nuit

DE retour de gentilly, oui ben embuscade,Marcus meilleure éval de la soirée en proA,quelle premiere mi-temps , bon en face .....JLM a fait tourner c est bien mais dommage bengahber et n joya, pas dans le tempo,ils n ont pas saisi la chance et pourtant tout etait réunis pour qu ils entrent dans le match,belle prestation de STEED, RIC jeff, et du nouvel héros de mon fils(pas gael)MRS MARCUS,bon la deuxieme mi-temps un peu plus"brouillonne" normal mais le havre a des soucis a se faire, la dodo,et place aux vers euh!!! Verts...

Départ en fanfare






Nancy a torpillé Le Havre d’entrée de jeu hier avant de dérouler son basket contre un adversaire qui se sera à peine réveillé après la pause. Trop facile (94-66).

C’était, au choix, le désert en entrée ou le trou normand en apéritif. La pire équipe du championnat à l’extérieur a pleinement justifié son statut hier. C’est à peine si elle a pris la peine de venir en Lorraine où, de toute façon, elle espérait peu. Le Havre a beau être éloigné des débats de la relégation et des play-offs, il aurait au moins pu témoigner d’un minimum d’orgueil sur le parquet de Gentilly. Au lieu de cela, il a sombré dans des proportions affligeantes, se montrant d’emblée incapable de réagir face au rouleau compresseur nancéien.
Dans les faits, le naufrage s’est traduit par une claque monumentale dans le premier quart-temps (30-6). Placé d’entrée sur orbite par deux flèches de Jeff Greer et deux contre-attaques conclues par autant de dunks de Slaughter (10-2), le SLUC s’est contenté de dérouler hier face à l’acharnement stérile à trois points de son hôte (0 sur 7). Le champion de France 2008, il est vrai, défendait fort, très fort, et empêchait les Normands de marquer durant huit minutes qui scellaient déjà le sort de la rencontre (30-2).
Non content d’être ridicule, Le Havre a tendu l’autre joue sur les dix minutes suivantes (58-23). Le STB avait certes retrouvé un soupçon de réussite, par Miller et Blankson, mais Nancy continuait de le malmener dans tous les domaines à la pause : adresse (64 % contre 36), rebonds (21 prises à 13) ou passes décisives (17 à 4). Le SLUC s’était surtout offert le luxe d’ouvrir son banc et les neuf hommes qui ont défilé sur le terrain avaient tous débloqué leur compteur à la mi-temps. C’était soir de fête à Gentilly mais surtout soir d’ennui car ce match plié en dix minutes avait perdu tout son sel.

Ricardo ménagé
Au retour des vestiaires, Nancy a relâché sensiblement son étreinte et Jean-Luc Monschau a pu poursuivre sa revue d’effectif en distribuant davantage de temps de jeu à des garçons moins visibles habituellement, comme N’Joya, Bengaber ou le jeune Sylla. Le score, de toute manière, n’en souffrait pas (70-30 puis 79-45 et 94-66 au final). Le Havre enfilait quelques paniers comme autant de malentendus mais Slaughter continuait d’écœurer son ancien employeur avec un plaisir presque sadique, sous les yeux d’un Ricardo Greer ménagé comme il l’a rarement été cette saison.
Quelques minutes supplémentaires sur le parquet et le capitaine était en passe de signer son troisième triple-double. Son entraîneur n’a pas jugé la manœuvre nécessaire. Le travail était fait. Parfait même. Avant de croiser Villeurbanne, le SLUC s’est finalement offert une promenade de santé. Ce n’est pas la préparation idéale à l’heure de défier des concurrents autrement plus carrossés mais cette soirée récréative aura eu le mérite de prolonger l’excellente série nancéienne en 2010. Contre l’adversaire le moins contrariant du monde.
Christian JOUGLEUX.

Republicain Lorrain

Publié le 07/03/2010

Slaughter sans pitié




L’homme du match : Marcus Slaughter n’a pas fait de quartiers contre le club qu’il a quitté cet été. L’intérieur nancéien a terminé la rencontre avec un double-double (23 points, 10 rebonds) signé en moins de 24 minutes. Energique d’entrée et présent des deux côtés du terrain (1 contre, 5 interceptions), l’ancien Havrais a idéalement lancé les siens. Sans pitié pour ses anciens coéquipiers…
La stat : Ricardo Greer a joué moins de 24 minutes hier. C’est un événement rare à Nancy. S’il avait disputé la rencontre en intégralité, le capitaine du SLUC aurait certainement engrangé son troisième triple-double de la saison (au moins dix unités dans trois secteurs). Il est passé de peu à côté (10 points, 10 rebonds, 7 passes) mais n’en dormira pas plus mal.
La phrase : « C’est inqualifiable. On a été nul, lamentable. Nous n’avons mis aucun engagement dans ce match et nous avons eu de la chance que Nancy ne continue pas sur le même rythme. » De Jean-Manuel Sousa, entraîneur du Havre. La question était : « Comment qualifiez-vous l’entame de match ? »



Publié le 07/03/2010

Republicain Lorrain

Un festival à sens unique



Il n'y a pas eu de match. Le SLUC était trop fort. En huit minutes, Ricardo Greer et ses copains ont passé un 30-0. Inutile de vous faire un dessin.

Nancy. Le Palais des sports nancéien applaudissant un panier visiteur qui n'a pourtant rien d'exceptionnel neuf minutes seulement après le coup d'envoi, c'est sans doute une première à Gentilly.
D'un double pas d'école, le pauvre Pape Sy venait de stopper l'hémorragie, venait de stopper une interminable panne de lumière havraise et touché le cœur sensible du public nancéien. La carcasse du Havre dévoré tout cru, gisait déjà sur le parquet.
Imaginez qu'entre la deuxième et la neuvième minute de jeu, le SLUC euphorique, bondissant, adroit, agressif, affamé, avait tout simplement passé un 30-0 à la Saint-Thomas. Vous avez bien lu un 30-0. Si bien qu'à la fin du premier quart-temps (30-6), la rencontre était déjà pliée, pesée, enveloppée et tombée dans le compte en banque du SLUC.
La suite de ce long cavalier seul qui mettra en lumière l'adresse à longue portée de Brun (3/4) et Jeff Greer (3/3), les interceptions et dunks de Slaughter et Akingbala ou encore l'altruisme et l'éclectisme de Ricardo Greer et Tchicamboud, se savoure sans modération.
Un match à sens unique qui aura permis aussi à Lesly Bengaber et surtout à Seidou N'Joya de fructifier leur capital confiance. A la pause (58-23), le SLUC jouait en tout cas depuis longtemps sur du velours.



Cavalier seul
Il lui restait en seconde période à dérouler un basket d'attaque du meilleur effet devant une équipe dépassée par les événements et qui avait compris depuis longtemps qu'elle tenterait tant bien que mal à limiter les dégâts (74-32, 27').
Évidemment, le SLUC perdit par instant sa concentration, chercha l'exploit personnel qui brille, relâcha sa défense. Le Havre put ainsi éviter la correction pure et dure en alignant un 4-20 sans provoquer la moindre angoisse à Gentilly.
Il est vrai que le SLUC qui avait le beau rôle, qui pouvait appuyer sur l'accélérateur à sa guise, se promenait dans cette rencontre dont le seul intérêt était de savoir si Ricardo Greer sorti pour laisser sa place aux jeunes, rentrerait pour aligner un troisième triple double cette saison. Il manquera finalement trois passes au capitaine nancéien (10 points, 10 rebonds, 7 passes) : « On a su rendre ce match facile grâce à une excellente première mi-temps. Ce n'est pas négligeable par les temps qui courent. » Jean-Luc Monschau pensait déjà aux prochains déplacements à Villeurbanne et Cholet sans oublier les réceptions de Toulon et Vichy.
Mais à chaque jour, suffit sa peine. Hier soir, le SLUC carburait au champagne. Samedi prochain, il faudra sortit l'huile de coude.

Gilles GAIHIER



Est republicain

Un quart en avion



Nancy. En définitive, le match d'hier soir se résume à une question : peut-on perdre un match lorsqu'on passe un 30-0 à son adversaire dans le premier quart-temps ? « On a bien perdu un match après avoir mené de dix-sept points à sept minutes de la fin... » souriait Stephen Brun, offrant au passage la même réponse que son coach. Pour mémoire : c'était face à Orléans, à Gentilly, au début du mois de janvier. Et il faut croire que la pilule n'a pas encore été complètement digérée.
Mais Le Havre n'est pas Orléans et ce n'est pas de dix-sept points d'avance dont le SLUC a bénéficié, mais vingt-huit après neuf minutes de jeu (30-2). Le résultat d'une entame quasi parfaite, chiffres à l'appui : 4 sur 5 à trois points, 59 % d'adresse globale (contre 19 % au Havre), 15 rebonds à 8 et... 46 d'évaluation alors que le STB naviguait en dessous de zéro (-1).
Dans leurs rêves les plus fous, les Nancéiens n'ont jamais imaginé gicler des starts de cette façon. « Cela faisait longtemps que nous n'avions pas démarré un match comme ça », avouait Stephen Brun, « Nous avons débuté avec beaucoup d'agressivité en défense. Nous avons coupé leurs lignes de passes, fait des interceptions, des stops et mis les shoots à trois points... Après, ça va très vite. »

Eviter le « hourra basket »
Brun qui fut d'ailleurs l'un des grands artisans de cette entame rêvée, avec son compère du secteur intérieur Marcus Slaughter (11 points et 4 rebonds en dix minutes).
A la pause, l'affaire était donc pliée (58-23). Il a alors fallu éviter de tomber dans la facilité. « Le plus dur, c'était de ne pas partir dans du hourra basket », poursuivait Stephen Brun. Une mise en garde que n'a pas manqué de faire Jean-Luc Monschau dans l'intimité du vestiaire, à la mi-temps : « Je leur ai dit qu'il fallait ressortir du vestiaire en remettant les compteurs à zéro. Le but n'était pas de battre des records... Mais j'ai dit aux joueurs qu'il fallait essayer de gagner aussi la deuxième mi-temps. Tout en le disant, je n'étais d'ailleurs pas convaincu qu'ils allaient y parvenir... »
Le SLUC a effectivement cédé la deuxième période à son adversaire (36-43). Mais après le déplacement à Rouen, il a eu la confirmation qu'il était capable d'agir plutôt que de réagir, ce qui n'a pas toujours été le cas (Strasbourg, Paris). Ce n'était de toute façon pas une soirée à chipoter...

Thomas SIMON



Est republicain

Joyeux anniversaire, Lucie !




ESPOIRS. Les espoirs nancéiens ont mis un bon quart-temps avant de lancer la machine, hier (19-23, 10'). Clerc, Sylla, Talbot, Wachowiak et les autres ont ensuite appuyé sur la pédale de droite, retrouvant au passage un peu d'adresse. Progressivement, le match est devenu plus simple pour une équipe nancéienne plus concentrée sur son sujet (54-43, 26' ; 72-52, 33') et qui s'est finalement imposée dans les grandes largeurs (92-62) face au troisième du classement. Grosse performance !
Les marqueurs : Pintiaux 7, Wachowiak 15, Clerc 12 (12 passes), K. Pinda 14, Sylla 15, puis Tshikaya 3, Kurtic, Thalien 10, Talbot 16, L. Pinda.
EX-HAVRAIS. Pas banal ! Près de la moitié des Nancéiens présents sur le banc hier soir a, par le passé, porté les couleurs du STB Le Havre. C'est le cas des joueurs, Ricardo Greer (2002-03), Jeff Greer (03-04), John Cox (06-08) et Marcus Slaughter (08-09), mais également du coach Jean-Luc Monschau (1999-2000).
ANNIVERSAIRE. Lucie Rubert est un peu comme chez elle au palais des sports de Gentilly. Et pour cause, cette passionnée du SLUC est tout simplement la doyenne des supporters. Elle fêtait hier ses 87 ans. Joyeux anniversaire !
BUS. Le club des supporters organise un bus pour aller soutenir le SLUC à Strasbourg, à l'occasion des huitièmes de finale de la coupe de France. Une rencontre qui se déroulera en Alsace le mardi 16 mars.
SAINT THOMAS. Le saviez-vous ? Au même titre que le club de football, le club de basket du Havre est l'un des plus anciens de l'Hexagone. Fondée en 1903, l'Union Sportive de Saint Thomas d'Aquin, une association de patronage, a donné naissance à sa section basket en 1924. La vieille dame est donc âgée de 86 ans et se porte plutôt bien.

T. S. (Thomas SIMON)



Est republicain

« Une grosse pression défensive »

Jeff Greer : « Comme à Rouen, nous avons pris notre adversaire au sérieux et nous sommes entrés dans la partie en étant très concentrés. Nous leur avons mis une grosse pression défensive dans le premier quart-temps et tout a été plus facile par la suite. »
Jean-Luc Monschau : « Nous avons pris le match par le bon bout, c'était l'une des clés. Ce n'est pas désagréable lorsque la victoire se dessine tôt. L'équipe a bien appréhendé la rencontre, ce qu'elle n'a pas toujours su faire. »
Jean-Manuel Sousa (coach Le Havre) : « Si on attend vingt minutes avant d'ouvrir les yeux, ça ne peut pas fonctionner. Le comportement de certains leaders, qui étaient venus en vacances à Nancy, m'a agacé ce soir. Heureusement que nous n'avons pas poursuivi au même rythme pendant quarante minutes, sinon la fessée aurait été mémorable. »



Est republicain

[quote="bubu54"]

Jacques SANTINI a écrit:

tom54 a écrit:

Tchicamboud et Ricardo 217 passes à eux deux... Ricardo au passage c'est 22 d'éval en 24 minutes...

Bravo on peut dire que exceptionel
217 passes

Ben oui, j'ai les doigts fatigués...c'est effectivement 17 passes seulement

hubert-felix thie a écrit:

DE retour de gentilly, oui ben embuscade,Marcus meilleure éval de la soirée en proA,quelle premiere mi-temps , bon en face .....JLM a fait tourner c est bien mais dommage bengahber et n joya, pas dans le tempo,ils n ont pas saisi la chance et pourtant tout etait réunis pour qu ils entrent dans le match,belle prestation de STEED, RIC jeff, et du nouvel héros de mon fils(pas gael)MRS MARCUS,bon la deuxieme mi-temps un peu plus"brouillonne" normal mais le havre a des soucis a se faire, la dodo,et place aux vers euh!!! Verts...

Je pense qu'il est difficile de faire une bonne perf qd on ne joue pratiquement plus et que l'on vous balance sur le terrain un gros 1/4 d'heure.
Bengader je le trouve bon sur de petite séquence qd il a de grosse periode sur le terrain, il a pas mal de dechet.
N'Joya on a deja vu ses capacitées à driver l'équipe, il en a peut etre trop fait pour montrer au coach ce qu'il valait ? il va progresser mais il lui faut du rythme et intervenir un peu plus ds les matchs, en tout cas c'est pas sur le banc qu'il progressera en tout cas ou en le balancant 15 mn sur un match alors qu'il n'a plus joué depuis...

Magic Tariq a écrit:

Je pense qu'il est difficile de faire une bonne perf qd on ne joue pratiquement plus et que l'on vous balance sur le terrain un gros 1/4 d'heure.
Bengader je le trouve bon sur de petite séquence qd il a de grosse periode sur le terrain, il a pas mal de dechet.
N'Joya on a deja vu ses capacitées à driver l'équipe, il en a peut etre trop fait pour montrer au coach ce qu'il valait ? il va progresser mais il lui faut du rythme et intervenir un peu plus ds les matchs, en tout cas c'est pas sur le banc qu'il progressera en tout cas ou en le balancant 15 mn sur un match alors qu'il n'a plus joué depuis...

Bon c'est un débat qui n'est pas simple...

Pourquoi Lesly et Saidou jouent-ils si peu ? Leur niveau est-il insuffisant pour jouer plus ou c'est parce qu'ils ne jouent pas beaucoup qu'ils n'arrivent pas à hausser leur niveau ?
C'est l'histoire de l'oeuf et de la poule... qui est arrivé en 1er ?

C'est clair que dès que Ricardo sort c'est beaucoup de l'organisation du jeu qui va sur le banc aussi... et quand en plus Steed (malgré tout ce que l'on peut lui reprocher) sort également... et bien il n'y a plus du tout d'organisation...
A la question, pourquoi le SLUC arrive à jouer sans meneur spécifique, on sait très bien que la réponse est parce qu'il y a dans l'effectif Ricardo Geer !
Monschau a fait le choix, assez clair il me semble, de confier la boutique à Ricardo, de laisser l'homme orchestre un maximum sur le terrain, de ne lui adjoindre un back-up somme toutes pour jouer 5 minutes... Alors c'est sûr quand Ric sort, c'est pas évident de le remplacer et c'est totalement hors de portée d'un joueur comme Bengbaber (il y a deux ans c'était DJ Harrison...).
L'année passée, Monschau a fait un effort... il avait recruté Morandais pour jouer 3 et 2... on a vu le résultat pour 200000€ la saison ...

JD Choulet, lui qui doit se passer de Pellin jusqu'à la fin de la saison, déclarait il y a peu : "Je ne suis pas JL Monschau, je ne sais pas jouer sans meneur..." mais bon des Ricardo Greer, il n'y en a pas dans toutes les équipes... il y en a même que dans une équipe.

Donc avec le bon Ricardo, un joueur comme Steed peut du coup se comprendre. Même si Steed est parfois crispant, il est plus scoreur qu'organisateur... mais c'est plutôt Ricardo qui organise tout sur le terrain...

Bref c'est simple quand on gagne... c'est criticable quand on perd...

d'accord avec toi Jacques Santini mais je mettrais un bémol: je trouve que Steed a beaucoup progressé dans l'organisation, comme en attestent ses 10 assists hier. Il est même bien placé dans le classement des passeurs

D'accord avec vous Jacques et andiamo.
Bengaber est trop fou fou je trouve, mais il peut progresser et on aura besoin de lui en play off.
Saidou a essayé d'organisé sur le terrain, il parlait mais les autres n'écoutaient pas je trouve. Faut dire que c'était la fin de match et que le match était plié depuis la 8eme minute !!!

Hier j'ai trouvé Steed bon passeur.
Ricardo aussi ... mais cela c'est comme d'hab.

Et l'équipe a joué ensemble, on a vu des bonnes séquences collectives qui font plaisir
Des une-deux en passes rapides

N'Joya, y joue jamais. Donc désolé, mais pour moi, il a perdu de la confiance, beaucoup de confiance. C'est pas en jouant 2 ou 3 min par ci par là qu'il va progresser.
Alors hier, il a eu sa chance et il n'en a pas vraiment profité. Ce qui confortera donc JLM dans ses choix futurs, contre de grosses cylindrées.

Benoit ADAM a écrit:

N'Joya, y joue jamais. Donc désolé, mais pour moi, il a perdu de la confiance, beaucoup de confiance. C'est pas en jouant 2 ou 3 min par ci par là qu'il va progresser.
Alors hier, il a eu sa chance et il n'en a pas vraiment profité. Ce qui confortera donc JLM dans ses choix futurs, contre de grosses cylindrées.

Hier il avait l'occasion de la regagner la confiance...
C'est pas en PO ni dans les matchs à venir contre les grosses équipes qu'il aura du temps de jeu...
Il doit s'adapter et être capable de sortir du banc en étant productif sur de courtes séquences même si c'est difficile.
Je pense qu'il a beaucoup de qualités mais son jeu est encore trop stéréotypé...

tom54 a écrit:

Benoit ADAM a écrit:

N'Joya, y joue jamais. Donc désolé, mais pour moi, il a perdu de la confiance, beaucoup de confiance. C'est pas en jouant 2 ou 3 min par ci par là qu'il va progresser.
Alors hier, il a eu sa chance et il n'en a pas vraiment profité. Ce qui confortera donc JLM dans ses choix futurs, contre de grosses cylindrées.

Hier il avait l'occasion de la regagner la confiance...
C'est pas en PO ni dans les matchs à venir contre les grosses équipes qu'il aura du temps de jeu...
Il doit s'adapter et être capable de sortir du banc en étant productif sur de courtes séquences même si c'est difficile.
Je pense qu'il a beaucoup de qualités mais son jeu est encore trop stéréotypé...

Lesly comme Saidou voire même Cox... connaissent les règles du jeu. (Voir leurs dernières interviews)... Lesly quand il signe au SLUC pour être le remplaçant de Ricardo... sait très bien qu'il aura très peu de temps de jeu. Il ne peut pas en être autrement ! La chance de Bengaber c'est d'être à Nancy... dans une "grosse" équipe avec des objectifs. C'est sûr ça le change de Bourg en Bresse ou Clermont ! Pour le SLUC il a l'avantage d'être français... et de compter pour le quota.

Saidou revient de loin lui aussi... et il a également la chance d'évoluer auprès de Ricardo, Steed, Jeff et John. Il apprend même s'il joue peu. Il a 21 ans et il n'est sûrement pas de la qualité de Batum, Beaubois, Diot, De Colo par exemple... cela se saurait.
Donc c'est réellement sa première saison pro, dans le rooster d'une équipe. Il a été pas mal handicapé par quelques pépins physiques. Monschau tarde effectivement à lui donner sa chance... mais ça va sûrement venir...

Par contre les deux là doivent être performant rapidement sur de courtes séquences, c'est clair... c'est la règle du jeu. Lesly doit être plus concentré, il doit être plus dur en défense et ne pas tenter systématiquement sa chance au shoot trop rapidement comme souvent.
Ce qu'on lui demande je pense c'est pas de marquer des paniers à 3pts (même s'il est plutôt adroit en général) car les stats ne plaident pas forcément pour lui 10 réussis sur 36 tentés soit un petit 27%, car beaucoup sont tentés dans la précipitation... De même aux lancers, ça va pas du tout (3/14 soit 21% )... même Akin fait beaucoup mieux (52% pour notre Akin préféré).
Malgré ces chiffres finalement Lesly joue un peu plus de 9' de moyenne sur les 20 matchs auquels il a participé.

Saidou joue beaucoup moins (6' sur 13 match), mais il évolue à un poste plus difficile. Bonne adresse globale, ce qui prouve qu'il ne gâche pas trop, il doit quand même faire plus de passes (7 passes en 76 minutes de jeu, soit une passe décisive toutes les 11 minutes). A comparer aux 103 passes en 643 minutes de jeu de Steed (soit une passe toutes les 6 minutes)...
Contre Le Havre, il a beaucoup trop driblé et gardé la balle, c'est un reproche qui lui est fait par de nombreux spécialistes, c'est dommage car je suis sûr qu'il peut mieux faire.

Franchement, c'est lamentable d'envoyer Cyril Julian tenter de déstabiliser les joueurs du Havre en leur faisant croire qu'il allait reprendre le STB l'année prochaine, on a vu le résultat

CHUCK KORNEGAY a écrit:

Franchement, c'est lamentable d'envoyer Cyril Julian tenter de déstabiliser les joueurs du Havre en leur faisant croire qu'il allait reprendre le STB l'année prochaine, on a vu le résultat

Excellent
On fait pareil pour samedi prochain .... mais pour l'ASVEL on envoie TP
Pardon, c'est déjà fait !

pro a masculine

Nancy n’a pas traîné



zoom

Njoya, seize points, avait apporté son écot à l’édifice nancéien contre Le Havre. Photo Anthony PICORE

Bourreau du Havre, le SLUC a soigné son entame comme la consigne l’exigeait et s’est placé dans d’excellentes dispositions avant d’aller défier Villeurbanne.

La tournée normande du SLUC Nancy n’aura finalement souffert d’aucune fausse note. Conquérants à Rouen (74-93), les hommes de Jean-Luc Monschau ont remis le couvert samedi soir à domicile contre des Havrais d’une tendresse inattendue (94-66)., L’affaire devait logiquement tourner en faveur du champion de France 2008, elle a failli virer au carnage dès le premier quart-temps (30-2) au prix d’une entame aussi ébouriffante côté nancéien que pathétique côté normand. « On est parti perdant dès l’entre-deux, pestait Jean-Manuel Sousa. Certains sont venus en vacances à Nancy. C’est lamentable parce que ce sont nos leaders. » Le score est lourd mais il n’a pas atteint les proportions historiques que le SLUC était en mesure de lui offrir après ses débuts tonitruants. La soirée était en effet propice aux records mais les Couguars ont fait preuve d’indulgence en relâchant la bride. Comme s’ils avaient reçu la consigne d’épargner l’humiliation à leur hôte. « Le but n’était pas non plus de battre des records », expliquait ainsi Jean-Luc Monschau en salle de presse. Non, l’objectif consistait à prendre la rencontre par le bon bout en imprimant d’entrée une défense acharnée. « Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas commencé un match comme ça, appréciait d’ailleurs Stephen Brun. Ensuite, il ne fallait pas perdre notre concentration et partir dans le hourra basket. Le seul point noir, c’est que nous avons perdu la deuxième mi-temps. » Anecdotique naturellement.

L’ASVEL en danger

Le SLUC n’a pas perdu son exigence en tout cas. S’il est resté attentif à son comportement durant l’intégralité de la rencontre, il le doit à l’épaisseur de son calendrier. Deux déplacements décisifs vont l’amener à défier Villeurbanne et Cholet dans les semaines à venir, avec une escale à Gentilly pour accueillir Hyères-Toulon. Après avoir expédié le menu fretin, Nancy se mettra donc à la pêche au gros avec, toujours, la deuxième place en ligne de mire. Son prochain voyage est d’autant plus important qu’il pourrait compromettre, en cas de succès dans le Rhône, la participation de l’ASVEL aux play-offs. « Mais on ne va pas aller là-bas pour les sortir, rappelle encore Brun. C’est leur situation. On va d’abord jouer pour nous. » Dans le même esprit, Jean-Luc Monschau répète que « chaque match est indépendant » mais l’antagonisme entre les deux clubs est tel qu’on imagine mal le SLUC
s’inquiéter du sort des hommes de Vincent Collet. Au contraire. Si Nancy a l’occasion de rayer Villeurbanne des phases finales, il ne se privera pas. Il s’agirait alors de sa sixième victoire en sept
rencontres sur la phase retour. Soit un rythme de champion. Ch. J.





Publié le 08/03/2010
http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sport/article/2807525,81/Nancy-n-a-pas-traine.html

[quote="James"]pro a masculine

Nancy n’a pas traîné



zoom

Njoya, seize points, avait apporté son écot à l’édifice nancéien contre Le Havre. Photo Anthony PICORE

Publié le 08/03/2010
http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sport/article/2807525,81/Nancy-n-a-pas-traine.html[/quote]

16 Pts ?????
Ils savent pas lire les stats de la LNB au Républicain Lorrain ???
C'est 7 pts en 16 mn !

60%, record battu !



Jamais le SLUC n'avait été aussi adroit à trois points cette saison. Sa dernière performance équivalente dans ce domaine date de décembre 2005.



On a aimé
La ola dans le palais des sports pendant le dernier quart-temps. C'était soir de fête à Gentilly !
La bise du président Christian Fra et du capitaine Ricardo Greer à Lucie Rubert, la doyenne des fans du SLUC, qui fêtait samedi ses 87 ans.
L'altruisme des Nancéiens. Un état d'esprit qu'a apprécié Jean-Luc Monschau, même si cela a parfois coûté quelques paniers faciles au SLUC.

On n'a pas aimé
Apprendre que Le Mans et Cholet s'étaient imposés à l'extérieur. Malgré son match parfait, le SLUC n'a rien grignoté sur le top 2.
Que Le Havre explose aussi rapidement. Le SLUC a tout fait pour et il peut s'en féliciter. Pour le suspense, on repassera...
Que Lesly Bengaber et Seidou N'Joya tombent parfois dans la facilité et la précipitation, alors que l'occasion leur a été donnée de marquer des points.
Le SLUC a-t-il signé le plus gros écart final de sa saison ?
Qui sait si avec un peu plus d'application, le SLUC n'aurait pas battu son record face au Havre ? Rappelons que samedi, les coéquipiers de Jeff Greer ont mené de 44 points (à la 28e minute), pour s'imposer finalement de 28 points. C'est anecdotique. Toujours est-il que le plus gros écart final reste celui acquis face à Roanne, le 18 décembre dernier (+ 39). Il n'est sans doute pas prêt de tomber. A noter enfin que samedi soir, le SLUC a remporté sa septième victoire de plus de vingt points cette saison en championnat.
Les Nancéiens ont-ils battu un record en terme d'adresse à trois points ?
9 sur 15 à trois points pour 60 % de réussite : difficile de faire mieux. C'est d'ailleurs la première fois cette saison que l'équipe de Jean-Luc Monschau atteint cette barre. Le 52 % (11 sur 21) réalisé contre Roanne a donc été effacé. Et pour retrouver la trace d'une telle adresse derrière l'arc de cercle, il faut remonter au... 16 décembre 2005. Lors de sa défaite à Chalon, Nancy avait rendu un 8 sur 13 dans ce domaine (61 %). Ce jour-là, un certain DeRon Hayes avait pris feu (5 sur 6).
Pourquoi Ricardo Greer n'est pas revenu en jeu pour tenter de réaliser son troisième triple-double ?
« Il m'est arrivé, une fois ou deux et parce que j'avais l'info, de remettre un joueur sur le terrain pour qu'il tente le triple-double », reconnaît Jean-Luc Monschau. Samedi, ni le staff ni (encore moins) le joueur n'ont prêté attention à la chose en cours de match. Alors qu'il n'a plus remis les baskets sur le parquet dans le dernier quart-temps, Ricardo a bloqué son compteur personnel à 10 points, 10 rebonds et 7 passes. Il lui manquait donc trois passes pour signer son troisième triple-double de la saison, après ceux réalisés contre Rouen (14 points, 10 rebonds, 14 passes) et Roanne (12 points, 12 rebonds, 10 passes). On vous rassure, cela n'a pas empêché le capitaine du SLUC de bien dormir...
Kaniel Dickens tiendra-t-il sa place samedi, à Villeurbanne ?
Arrêté depuis le lendemain du quart de finale de la Semaine des As (lésion aux ischio-jambiers), Kaniel Dickens va poursuivre sa rééducation en début de semaine et débuter un travail individualisé sur le terrain. Si les essais sont concluants, il sera de retour pour le choc face à Villeurbanne.
Le SLUC avait-il déjà infligé un 30-0 à son adversaire en cours de match ?
A l'échelle de l'histoire du club, c'est absolument invérifiable. Ce qui est certain, c'est que ce genre de fait de match, avec une telle ampleur, est rarissime. Cet éclat n'est d'ailleurs pas sans rappeler celui que le SLUC avait infligé... au Havre de Christian Monschau, en janvier 2005, à Gentilly. En début de deuxième quart-temps, les Nancéiens menaient 35-10. Et au terme d'un incroyable scénario, ils s'étaient finalement inclinés de deux points. Preuve que rien n'est jamais acquis...

Thomas SIMON




Est republicain

Basket-ball Le tableau de bord de la Pro A




Le chiffre 22
C'est le nombre de tirs à trois points transformés par Cholet dans sa victoire à Strasbourg, samedi (98-85). Linehan (5/9), Eitutavicius (5/11), Gelabale (4/5) et Mejia (4/6) ont été les principaux artificiers d'une équipe qui a pris plus de la moitié de ses shoots derrière l'arc de cercle (40 sur un total de 70).

Points
1. Obasohan (Hyères-Toulon) 20,4 points de moyenne ; 2. Spencer (Le Mans) 18,2 ; 3. Vassallo (Paris-Levallois) 17,3 ; 4. Banks (Orléans) 17,05 ; 5. Roberson (Strasbourg) 17 ; 6. Chatfield (Rouen) 15,8 ; 7. R. Greer (Nancy) 15,2 ; 8. Woodside (Gravelines) 15,1 ; 9. Terrell (Hyères-Toulon) 14,9 ; 10. Darden (Strasbourg) 14,71... Le carton du jour : David Simon (Strasbourg) 25 points.

Rebonds
1. Sene (Hyères-Toulon) 12,4 rebonds de moyenne ; 2. Issa (Vichy) 11,2 ; 3. Falker (Cholet) 8,7 ; 4. Nsonwu (Roanne) et R. Greer (Nancy) 8,5 ; 6. Edwards (Gravelines) 8 ; 7. Terrell (Hyères-Toulon) 7,2 ; 8. Akpomedah (Gravelines) 7 ; 9. Akingbala (Nancy) 6,8 ; 10. Krupalija (Dijon) 6,7...
La cueillette du jour : Pape Badiane (Poitiers) 12 rebonds.

Passes
1. Reid (Vichy) 7,4 passes de moyenne ; 2. R. Greer (Nancy) 6,2 ; 3. Pierce (Hyères-Toulon) 5,4 ; 4. Heurtel (Strasbourg) 5,19 ; 5. Sciarra (Orléans) 5,14 ; 6. Tchicamboud (Nancy) et Woodside (Gravelines) 4,9 ; 8. Gomez (Poitiers) et Wright (Le Mans) 4,3 ; 10. Pellin (Roanne) 4...
Le caviar du jour : Thomas Heurtel (Strasbourg) 11 passes.

Evaluation
1. Sene (Hyères-Toulon) 21,4 d'évaluation moyenne ; 2. R. Greer (Nancy) 21,2 ; 3. Issa (Vichy) 20,7 ; 4. Edwards (Gravelines) 18,5 ; 5. Spencer (Le Mans) 17,9 ; 6. Nsonwu (Roanne) 17,1 ; 7. Schilb (Chalon) 17 ; 8. Darden (Strasbourg) 16,9 ; 9. Terrell (Hyères-Toulon) 16,8 ; 10. Slaughter (Nancy) 16,5...
L'évaluation du jour : Marcus Slaughter (Nancy) 30.

La prochaine journée
Vendredi 12 mars : Le Mans - Poitiers (20 h) ; Vichy - Paris-Levallois (20 h 30 sur Sport+).
Samedi 13 : Cholet - Gravelines (19 h sur Sport+) ; (20 h) : Villeurbanne - Nancy, Rouen - Chalon, Roanne - Dijon, Le Havre - Orléans, Hyères-Toulon - Strasbourg.
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