[ProA - J9] SPO Rouen 85 (41) - (37) 78 SLUC Nancy

Wild Thing a écrit:

Bactere a écrit:

Bah moi j'dis qu'on doit surtout profiter du fait que l'ASVEL et le MSB se rencontrent... et aussi de BCM - Roanne. Si on gagne, ça nous fera deux victoires d'avance minimum sur deux de ses 4 clubs candidats pour la première place...

Avec derrière un match accessible à domicile et une victoire facile à ... Strasbourg

Faut profiter de ce calendrier pour transformer les belles victoires contre Roanne, l'ASVEL ou Gravelines

ouép, tout à fait!!


d'ailleurs, j'y pensais, rouen à peut-être accroché le MSB et l'ASVEL à domicile, mais le Sluc a bien battu Roanne à l'extérieur, donc si on regarde ça , les courtes défaites du SPO n'ont pas grandes valeurs...

Rasheed Wallace a écrit:

Rouen après Sienne...hum, sans commentaire.

Ouais, ben c'est comme ça...
Rouen est en ProA et il faut bien les rencontrer...

Avec 3 victoires et 6 défaites, ils se débrouillent avec leur tout petit budget (rappelez vous le feuilleton Mc Clintock !) et leur petite salle.
Le seul joueur côté est Kevin Houston qui a joué à St Etienne (ProB)...
A noter... un seul joueur de l'effectif fait plus de 2m !!! (Toffin 2m05)

Dernier match : défaite 91-85 face à Besançon. Houston 18pts 8 passes en 38'. Dorsey également 18pts (4/7 à 3pts) en 32'.
L'intérieur Mc Clark a fait pour sa part 12pts et 8 rebonds et Toffin en 17' il a gobé 4 rebonds

Bref... cette équipe n'est pas Sienne et le SLUC n'a pas le droit de perdre là-bas...
Il est clair que Samnick, Tchicamboud, Jeff Greer, Cox et Wilson nous doivent une revanche !
JLM doit faire reposer au maximum Julian et même Ricardo (surtout si ça va bien)

Si le groupe montre sa solidarité et joue sérieusement, le SLUC doit pouvoir gagner de 15-20pts... sans grosses frayeurs.

je trouve ke vous faites comme l ´ASVEL, LE MANS ou CHOLET.
Vous dite que vous allez gagner de 20 points mais ce n´est pas arrivé

spo rouen a écrit:

je trouve ke vous faites comme l ´ASVEL, LE MANS ou CHOLET.
Vous dite que vous allez gagner de 20 points mais ce n´est pas arrivÃ

On n'en sait rien encore
En tous cas, Rouen accroche les grosse cylindrées à domicile, à nous de faire attention. Que les consignes soient respectées pendant quarante minutes, ce serait bien...

Bon match spo rouen

Nancy, le nouveau patron



Archidominés par Sienne mardi soir en Euroligue, les Lorrains, emmenés par l'Américain Ricardo Greer et le vétéran Cyril Julian restent presque insubmersibles en Pro A
Depuis cinq ans, Nancy est l'un des clubs phares du championnat qu'il a remporté pour la première fois la saison passée. C'est en épouvantail qu'il se présentera demain aux Cotonniers à Rouen.

Longtemps, Antibes, Limoges, Pau/Orthez et Villeurbanne se sont érigés en bastion du basket français. Depuis 2005 et le titre de champion de Strasbourg, l'Est du pays prend une place de plus en plus grande sur l'échiquier national. Essentiellement grâce aux performances de très haut niveau de Nancy, finaliste des quatre dernières éditions et victorieux pour la première fois en juin dernier.
Un poids lourd en Pro A
Doté du deuxième budget de Pro A (4,98 millions d'euros) et également de la deuxième masse salariale (1,80 million d'€), le SLUC Nancy s'impose comme l'équipe la plus constante du championnat depuis cinq ans. Modeste 8e de la saison régulière en 2004-2005, elle se défait de Gravelines en tour préliminaire avant de réaliser l'exploit en quarts devant Le Mans, le lauréat de la saison régulière. Battus chez eux à Gentilly (61-62), les Lorrains retournent la situation dans la Sarthe (70-77). En finale à Bercy, ils finissent par céder de justesse devant Strasbourg (72-68).
Dès lors, le SLUC s'installe au sommet de l'élite avec une impressionnante régularité, passe du statut d'outsider à celui de valeur sûre puis de favori. Deuxième en phase régulière en 2005-2006 puis lauréat la saison suivante, il lui manque cependant un brin de réussite pour décrocher le titre que lui soufflent Le Mans (93-88) puis Roanne (81-74).
Qualifiés pour leur quatrième finale d'affilée en juin dernier, les Nancéiens parviennent enfin à décrocher ce titre tant mérité, aux dépens de Roanne (84-53). Le champion en titre a semble-t-il bien digéré cette couronne puisqu'aujourd'hui, il est potentiellement leader du championnat (7 victoires et une seule défaite). Orléans ne le devance qu'à la faveur d'un match disputé en avance sur le calendrier (7 victoires et 2 défaites).
Un poids leger en Euroligue Ogre en Pro A, Nancy mesure la différence de niveau qui existe avec le gratin européen.



Les Lorrains ont commencé par essuyer trois revers dont deux extrêmement sévères, l'un à domicile devant Barcelone (54-82) et l'autre à Sopot en Russie (91-62). A leur quatrième tentative, ils sont enfin parvenus à s'imposer devant les Lituaniens de Kaunas (69-64). Mercredi soir, ils ont de nouveau été corrigés par Sienne (86-63), impitoyable leader du championnat d'Italie. Il n'y a guère eu que Julian (21 points et 7 rebonds) pour limiter la casse.
Un effectif impressionnant
Nancy dispose d'un effectif très étoffé et de si grande densité qu'il pourrait aligner deux cinq majeurs sensiblement du même niveau. Trois internationaux Français (Michel Morandais, Steed Tchicamboud et le vétéran Cyril Julian, vice-champion olympique en 2000 à Sydney) côtoient Jeff et Ricardo Greer, les redoutables frangins shooteurs, et les Américains Cox et Wilson, le cinquième marqueur du championnat (16,5 points de moyenne) et le troisième joueur à l'évaluation (19,9). A l'intérieur, Victor Samnick, le Camerounais naturalisé français, est une valeur sûre de Pro A (12,2 points et 6,4 rebonds de moyenne). Le pivot américain Rob Benson dénote un peu au milieu de cet aréopage de talent (1,9 point et 2,9 d'évaluation).
Un coach d'envergure
L'Alsacien Jean-Luc Monschau, 57 ans, est l'un des techniciens français les plus respectés, récompensé par une montée dans l'élite dès sa première saison dans son fief de Mulhouse (1985-1986). Il a également réussi cette performance en 2000 lors de son unique saison aux commandes de Saint-Thomas Le Havre.
A part un autre bref épisode à Saint-Brieuc (1998-1999), cet ingénieur chimiste de formation a effectué l'essentiel de sa carrière en Pro A, à Mulhouse (5 saisons), au Mans (2), à Dijon (4), à Gravelines (4). Depuis 2004, il façonne le SLUC Nancy avec lequel il présente un bilan très positif de 116 victoires (17 en play-offs) contre 49 défaites (8 en play-offs).
A. G.
SPO Rouen - Nancy demain soir (20 h), aux Cotonniers.

Paris Normandie

Danke schon,Bacou

que ferais-t-on sans lesarticles que nous retranscris BACOU
Mille mercis

Merci BACOU pour cette revue de presse normande

spo rouen a écrit:

je trouve ke vous faites comme l ´ASVEL, LE MANS ou CHOLET.
Vous dite que vous allez gagner de 20 points mais ce n´est pas arrivé

J'ai bien dis : "Si le groupe montre sa solidarité et joue sérieusement, le SLUC doit pouvoir gagner de 15-20pts... "

Effectivement, on ne sait pas se qu'il va se passer, mais au vu de nos victoires à Cholet à Roanne et à notre démonstration face à Gravelines, on est en droit d'espérer une victoire...
Après c'est une question de motivation, de réussite et... d'adversaire !
Mais c'est sûr que pour nous ce serai hyper décevant de perdre à Rouen, cela dit sans vous offenser aucunement !

Bon match à vous

il faut que le havre et pau orthez perde

ca serai bien pour nous

spo rouen a écrit:

je trouve ke vous faites comme l ´ASVEL, LE MANS ou CHOLET.
Vous dite que vous allez gagner de 20 points mais ce n´est pas arrivé

Apprends déjà à parler français !

minitarent a écrit:

spo rouen a écrit:

je trouve ke vous faites comme l ´ASVEL, LE MANS ou CHOLET.
Vous dite que vous allez gagner de 20 points mais ce n´est pas arrivé

Apprends déjà à parler français !

Apprend
Un verbe conjugué à l'impératif présent ne prend pas de S à la 2e personne du singulier.

Bon sinon, c'est vrai que Rouen a l'air coriace à domicile. Aux Cotoniers, c'est peut être une victoire seulement, mais les défaites étaient de seulement 1 et 2 points et face à des cadors.
M'enfin, même pas peur. Blogman va faire un triple-double à la Vujcic ou un match à la Sakuragi Hanamichi (d'ailleurs, un grand maigre dont le gros point fort est le rebond mais faible en attaque, je ne comprend pas pourquoi je n'ai pas fait le rapprochement plus tôt) lors de ses premiers matches. Au choix.

Apprend
Un verbe conjugué à l'impératif présent ne prend pas de S à la 2e personne du singulier

... quand il est du premier groupe (ER). Pour les autres, il y a un S

Basket/ rouen - nancy en pro a

SLUC, continuer à tenir le premier rôle en scène maritime
En quatre jours, le Sluc passe d'un grand d'Europe à un promu en pro a. Ce retour à l'ordinaire tombe à pic pour calmer les douleurs.
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Petit d'Europe, grand de France. Voilà le label actuel de Nancy. Car si silencieux, pour l'instant, dans le concert international, le Sluc rassemble toutes les voix dans l'Hexagone où il connaît la musique depuis trois saisons. Pas une sans voir le club lorrain chef d'orchestre battre la mesure.
De quoi fissurer le mur des lamentations qui s'est de nouveau élevé en Toscane, après la fessée reçue à Sienne. Déçu Jean-Luc Monschau ? «On aimerait parfois mieux jouer, c'est frustrant» révèle l'entraîneur nancéien. «Mais on est peut-être moins déçu que Le Mans qui a encore perdu en fournissant une très belle partie face à l'Olympiakos. Cela fait cinq matches que les Manceaux sont bons d'ailleurs, en Euroligue et ils n'ont enregistré aucun succès. Nous, on a livré deux parties correctes et on s'est imposé une fois. Le principal, c'est que nous soyons toujours en course pour la qualification du top 16. Dans notre situation, nous pourrions passer la première phase avec seulement deux victoires.»
Heureusement, Rouen n'est pas Sienne, «Un adversaire face auquel on n'a pas été performant dans le contrôle du ballon. Toutefois, nous respections beaucoup ce promu qui a déjà triomphé deux fois à domicile, faisant trembler Le Mans et Villeurbanne.» Vrai, ces deux grosses écuries ne se sont imposées en Seine-Maritime que sur la dernière possession de balle ! «Il faudra défendre efficacement car Rouen a des meneurs-arrières qui n'ont pas peur de tirer. Il ne faudra donc pas qu'ils soient dans un jour de réussite, d'autant que Rouen est très physique dans le jeu intérieur avec notamment Jonathan McClark».

Une journée tout bénéfice ?

Pourtant, sur les routes de France, le Sluc écrase la concurrence : une seule défaite à Hyères-Toulon (et encore, sans Ricardo Greer, l'équipe lorraine a mené de 25 points) pour un championnat maîtrisé. «Il faut se retenir de tenir ces propos. Rouen est un rival solide qui peut nous mettre en difficultés.» Jean-Luc Monschau croit-il vraiment en ces paroles, lui qui peut laisser son Américain Benson sur le banc sans perturber le niveau du collectif : «C'est vrai qu'il n'a pas énormément de temps de jeu mais pendant la préparation, nous avions des blessés, alors il était appelé. En ce moment, tous les joueurs répondent présents. Normal qu'il prenne moins de place.»
Bref, avec Benson ou sans, le leader partira grandissime favori d'un duel franchement déséquilibré compte tenu des moyens budgétaires. Sa motivation, pas évidente entre deux rencontres européennes au sommet (Sienne, Barcelone), pourrait être aiguisée par la perspective de dégâts collatéraux vis-à-vis de concurrents belliqueux puisque Le Mans sera opposé à Villeurbanne et Gravelines à Roanne. C'est le moment de creuser l'écart.

Alain THIÉBAUT.
Publié le 29/11/2008
Republicain lorrain

je peux écrire sans fautes d´othographe

c´est parce que je suis avec ma psp

sluc forever a écrit:

Apprend
Un verbe conjugué à l'impératif présent ne prend pas de S à la 2e personne du singulier

... quand il est du premier groupe (ER). Pour les autres, il y a un S

Ca m'apprendra à vouloir faire le malin en plein milieu de la nuit.
Bon, je vais me coucher.

Pro A (9e journée) : Rouen - SLUC Nancy, ce soir (20 h)

Pas sérieux s'abstenir


Après avoir mordu la poussière chez un ténor européen, le SLUC se remet à l'heure de la Pro A chez le promu rouennais. Contraste saisissant et vigilance maximale requise. D'autant que Rouen est redoutable à la maison.





NANCY._ Euroligue, championnat, Euroligue, championnat... Le quotidien d'un club qualifié pour l'épreuve reine européenne oblige à constamment faire la bascule entre les deux épreuves et à ouvrir et fermer les chapitres à vitesse grand V. L'avantage, c'est qu'on n'a pas trop le temps de ressasser le passé et qu'on peut rapidement embrayer sur autre chose. Alors, trois jours après avoir bu une nouvelle tasse en Euroligue chez une équipe de Sienne qui a montré que son objectif de rejoindre le dernier carré de l'épreuve comme la saison dernière n'avait rien d'utopique, le SLUC aura tout de suite l'occasion de rebondir à Rouen.
Avouons-le, passer en l'espace de quelques jours d'un ténor européen à un promu de Pro A, plus petit budget de l'élite (2,3 millions d'euros), plus petite salle (l'archaïque salle des Cotonniers et ses... 1.300 places), a quelque chose de saisissant. Arrivé dès jeudi en Seine-Maritime, le SLUC a certainement dû mesurer le contraste... et le risque qui pourrait le guetter par ricochet.
Quel risque ? Celui de croire que le vécu en Euroligue qu'il commence à acquérir, même douloureux pour le moment (un succès, quatre défaites avec un écart moyen supérieur à 22 pts), pourrait le mettre à l'abri d'un faux pas chez un candidat au maintien. « Mais la défaite à Sienne va nous aider dans le sens où elle va constituer une mise en garde» prévient Jean-Luc Monschau, « par ailleurs, on sait que Rouen est très fort à domicile. Je rappelle que Villeurbanne et Le Mans ne s'étaient imposés là-bas que sur la dernière possession. »

Deux gros par un trou de souris


Vrai, si le coach nancéien voulait agiter un gros chiffon rouge devant les yeux de ses joueurs, il n'aurait qu'à sortir la feuille de route du SPO Rouen dans sa salle. On l'a dit, il n'a cédé que d'extrême justesse face au Mans (-1) et à l'ASVEL (-2), et il a dominé assez aisément Cholet (+16) et Pau-Orthez (+12).
Avec un poil de réussite en plus, Rouen serait aujourd'hui invaincu à domicile, et serait confortablement installé dans la première moitié de tableau.
Les Nancéiens devront donc se montrer hyper-vigilants s'ils veulent enquiller un septième succès de rang en championnat et conforter leur place de leader. Car même si Rouen fait mine de jouer profil bas (« Ce ne sont pas des petits microbes comme nous qui allons faire peur au SLUC » clamait hier dans nos colonnes Michel Veyronnet, le coach local alors que son assistant David Dubosc, martelait hier que «sur le papier Rouen n'avait aucune chance»), le club de Seine-Maritime a montré qu'il n'était pas du genre à trembler face à plus fort que lui sur le papier.
Et si le collectif rouennais ne comporte aucune star, il semble parfaitement huilé puisque Rouen a conservé une forte ossature (Thioune, numéro un à l'évaluation côté rouennais avec une moyenne de 14,2, Dorsey, Toffin et Williams même si ce dernier est blessé) et qu'il a visiblement réussi son pari de recruter des joueurs US en Pro B. Meneur de jeu de Saint-Etienne la saison dernière, Kevin Houston est le meilleur marqueur de l'équipe (14,2 pts) alors que le pivot Jonathan McClark, transfuge d'Aix-Maurienne, a parfaitement franchi le cap de la Pro A (10,8 d'évaluation moyenne). « Il faudra bien défendre » résume Jean-Luc Monschau, « d'autant que Rouen a des meneurs-arrières qui n'ont pas peur de tirer. Le fait qu'ils ne soient pas dans un jour de réussite est une des conditions pour espérer gagner d'autant que l'équipe a un jeu intérieur physique à l'image de McClark. » On le voit, vigilance maximale de rigueur...

Anthony GUILLE


Est republicain

Quand la gastro s'invite...








NANCY._ Si le SPO Rouen a eu toute la semaine pour préparer le choc face au SLUC, Michel Veyronnet a dû se passer des services de Ronald Dorsey et Mickaël Toti mardi. L'ailier américain et le meneur français souffraient en effet d'une gastro-entérite.
Mais les deux joueurs ont finalement repris l'entraînement en milieu de semaine et ils tiendront leur place normalement. Le club de Seine-Maritime est par ailleurs toujours privé de son capitaine Darnell Williams, victime d'une fracture de fatigue au tibia le mois dernier et « out » jusqu'à la trêve de Noël, mais il a fait appel à l'ancien Bisontin Sébastien Hermenier comme pigiste médical.
Est republicain

Gracias Sénorita Bacou,hum, en plus...vont en ch....nos amis Rouennais

hubert-felix thie a écrit:

Gracias Sénorita Bacou,hum, en plus...vont en ch....nos amis Rouennais

Jean-Luc Monschau croit-il vraiment en ces paroles, lui qui peut laisser son Américain Benson sur le banc sans perturber le niveau du collectif : «C'est vrai qu'il n'a pas énormément de temps de jeu mais pendant la préparation, nous avions des blessés, alors il était appelé. En ce moment, tous les joueurs répondent présents. Normal qu'il prenne moins de place.»

Il rigole là ? Julian qui demande à sortir contre Sienne, Sannick pas dans un bon jour, Zaki qui apprend toujours...à compter les minutes de temps de jeu
C'est vrai qu'on peut s'en passer

Sebond a écrit:

Jean-Luc Monschau croit-il vraiment en ces paroles, lui qui peut laisser son Américain Benson sur le banc sans perturber le niveau du collectif : «C'est vrai qu'il n'a pas énormément de temps de jeu mais pendant la préparation, nous avions des blessés, alors il était appelé. En ce moment, tous les joueurs répondent présents. Normal qu'il prenne moins de place.»

Il rigole là ? Julian qui demande à sortir contre Sienne, Sannick pas dans un bon jour, Zaki qui apprend toujours...à compter les minutes de temps de jeu
C'est vrai qu'on peut s'en passer

d'un autre côté, un américain comme celui-là

savez vous ou l'ont peut revoir le match miami heat vs phoenix suns merci

sluc forever a écrit:

Apprend
Un verbe conjugué à l'impératif présent ne prend pas de S à la 2e personne du singulier

... quand il est du premier groupe (ER). Pour les autres, il y a un S

Moi j'ai fait 3 fautes à " la dictée de Pivot", 2 à dictai, 1 à Pivo, ok je

spo rouen a écrit:

savez vous ou l'ont peut revoir le match miami heat vs phoenix suns merci

euh c'est quoi le rapport avec le match contre le SLUC