[Play-Offs - 1/2 #3] SLUC bat ASVEL 104 (44) à 89 (51)

bacou a écrit:

Supporter Couguars a écrit:

Visiblement, depuis ce matin plus de places "jaunes" encore quelques "oranges"...depuis aucune nouvelle de la vente des places...

Et surtout, ils ont supprimé l'astuce qui nous permettait de savoir combien de places il restait

Quel intérêt, dis moi?

Ce qui serait dommage, ce sont des fauteuils VIP vides si toutefois on jouait à guichets fermés...

Euh, désolée mais les fauteuils vides ils n'étaient pas chez les VIP au dernier match et pi la synthèse des places dispo par secteur sur internet , ben cela donne la tendance pour demain :cheers:

Ben si tu peux toujours prendre des places sur le net, c'est qu'il en reste un max je pense

Basket - Pro A - Match couperet à Gentilly
Celui qui perdra dira adieu au titre, certes, mais aussi à l'Euroligue, le grand objectif des dirigeants. C'est dire si cela sera difficile à digérer. Nancy et L'ASVEL disputent la première belle des demi-finales, vendredi en Lorraine, 24 heures avant un autre match d'appui entre Le Mans et Roanne dans la Sarthe. Sachant que les Manceaux devraient conserver leur billet garanti pour la plus prestigieuse des compétitions européennes, il ne reste plus qu'un billet à obtenir. Et ni le SLUC, ni l'ASVEL ne sont prêt à tirer un trait sur la finale de Bercy, le 15 juin prochain.

Les Villeurbannais ont montré mardi qu'ils avaient encore de la réserve en se rattrapant d'une première mi-temps ratée au match retour, ce qui a offert un sursis à Yves Baratet, coach sur le départ. «Il faudra se souvenir du début de match que nous avons réalisé mardi, car si nous reproduisons le même à Nancy, nous risquons de subir une deuxième vague, résume le meneur de l'équipe de France et capitaine Aymeric Jeanneau. On ne craint pas l'ambiance de Gentilly, mais plutôt la confiance qu'affichent les Nancéiens dans leur salle.»

Les 6000 spectateurs de Gentilly, qui assisteront au dernier match de leur équipe cette saison à domicile, risquent de peser comme un seul homme, habitués qu'ils sont à voir leur équipe franchir le cap des demies en 2005, 2006 et 2007. «Notre envie va se décupler. Croyez-moi, il n'y aura pas besoin de trouver les mots pour nous motiver», estime l'ancien pivot des Bleus Cyril Julian. Mais pour cela, il faudra en premier lieu calmer les ardeurs adverses à trois points (24/57 en deux matches pour Villeurbanne), et notamment celle de l'explosif Lamayn Wilson. (Avec AFP)



www.lequipe.fr

Demi-finale des play-offs (match d'appui) : SLUC - ASVEL, ce soir 20 h 30 à Gentilly (en direct sur Sport+)

Jusqu'au dernier souffle


Poussé par toute une ville dans son volcan de Gentilly en éruption, le SLUC va tout donner pour forcer les portes d'une quatrième finale en quatre ans. Une « belle » qu'il faudra conquérir dans l'adversité.








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NANCY. _ Cette fois, on saura. Et tous les commentaires qui suivront cette troisième manche d'une série à haute tension et qui sincèrement a fait honneur au basket français, s'envoleront en fumée. Il restera la vérité du terrain. Une équipe qui prendra le TGV pour Paris qui n'a plus d'équipe de basket mais qui garde l'incroyable privilège d'accueillir la finale sur un match sec et une autre qui partira en vacances. La « belle » et son verdict impitoyable.
« On s'est battu toute l'année pour conquérir cette deuxième place en saison régulière qui nous donnait l'avantage du terrain en cas de troisième match dans la série des play-offs. Nous y voilà. Eh bien, jouons-le chez nous devant notre formidable public avec toutes nos convictions, toutes nos forces physiques et mentales ».
Comme tous ses joueurs et après une séance vidéo critique, Jean-Luc Monschau s'est vite replongé dans la série, soignant sans doute encore plus, les moindres détails. Il fallait gommer les traces d'un match retour féroce. Le staff du SLUC, mobilisé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, a fait le nécessaire tout en privilégiant l'influx nerveux : « C'est un match qui se jouera au mental » disait mardi soir après la revanche Cyril Julian.
Ce soir, c'est d'abord dans la tête qu'il faudra être fort dans une salle que les dirigeants et joueurs nancéiens espèrent encore plus chaude que celle qui propulsa le SLUC dans sa deuxième finale en 2006 contre Strasbourg. Parlez-en à Cyril Julian mais aussi aux frères Greer et à Aymeric Jeanneau qui jouaient à l'époque avec la SIG.
Le Palais des sports Jean Weille, plein jusqu'à la gueule, avait porté son équipe vers Paris et une finale contre le Mans. Signe prémonitoire ?
L'enjeu est énorme puisqu'à la possibilité de retrouver les sunlights et les paillettes de Bercy, le SLUC pourrait y ajouter un billet d'Euroligue si demain Le Mans s'impose chez lui devant Roanne. Inutile de vous faire un dessin météo. Gentilly sera ce soir sous l'effet de hautes pressions. Attention aux dérangements climatiques...

Le tir à trois points


Entre le SLUC et l'ASVEL, il faut bien avouer que les similitudes s'enchaînent dans l'esprit et dans le jeu. Si par exemple Nancy ou l'ASVEL remportent le concours de tirs à trois points, il prendra un avantage certain. Bauer à l'aller, Wilson à l'Astroballe, à qui le tour ? Jeff Greer, Laurent Foirest, Conley, Pape Amagou, Dowdell ou Johan Sangaré ? Allez savoir...
Et que dire du match dans le match dans le secteur intérieur, là où les coups de sifflet des arbitres pèsent des tonnes.
Il est important, primordial que Samnick trop ciblé par les arbitres, reste plus longtemps sur le parquet (14,7'en play-off contre 21' en saison régulière). Avec un Cyril Julian farouchement déterminé et précieux en attaque, le SLUC a les arguments pour neutraliser le duo Nsomwu-Troutman d'autant que Zaki a montré qu'il pouvait assurer quelques minutes de rotation si les conditions de la rencontre le nécessitent.
Dans le jeu posté, dans le jeu rapide, sur les pick and roll, le SLUC a longtemps dominé l'ASVEL à l'Astroballe avant de faiblir en défense, de perdre trop de balles et de laisser à Troutman trop de rebonds offensifs. Au SLUC de ne plus connaître des trous d'air (8-0 en 50''après le repos à Villeurbanne) mais aussi de défendre comme un mort de faim en s'appuyant sur l'ambiance de Gentilly pour se surpasser sans pour autant chercher à forcer, à vouloir trop bien faire.
L'ASVEL s'attend au combat. Il a prévu comme le disait avec le sourire Yves Baratet, les armures et les gilets pare-balles : « On s'entraîne dur depuis neuf mois pour un objectif. Ce soir, grâce à l'adrénaline, on va oublier la fatigue pour venir chercher notre billet pour la finale ».
Les premières minutes risquent fort d'être déterminantes. Pas question de faux départ. Pour les cinq joueurs nancéiens sur le parquet comme pour le sixième homme du SLUC, son public, il n'y a qu'un objectif à atteindre jusqu'au dernier souffle : Bercy. Tous ensemble, tous ensemble....

Gilles GAIHIER


Est republicain

L'invité : Jeff Greer

« Pas besoin de mots »











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NANCY._ Passés les coups de gueule et la colère, dans le vestiaire de l'Astroballe après la défaite, mardi... Les Nancéiens ont retrouvé le cocon douillet de Gentilly où ils ont paufiné hier les petits détails qui peuvent encore l'être. Le tout drapés dans une sérénité retrouvée.
A l'extérieur, la pression monte. Comme ses camarades d'entraînement, Jeff Greer reste zen. Les demi-finales de championnat, il connaît (comme la plupart des joueurs du SLUC d'ailleurs). Avec son frère Ricardo et un certain Aymeric Jeanneau à ses côtés, il en avait disputé une au couteau face à... Villeurbanne. C'était en 2005 avec Strasbourg. On connaît la suite.
- Jeff, à quoi l'équipe a-t-elle passé son temps depuis le retour de Villeurbanne ?
- On a fait de la vidéo. On a revu ce que nous avions bien fait lors du premier match et ce qui a moins bien marché lors du deuxième. Encore une fois, on a vu que l'on avait fait un gros boulot défensif sur les intérieurs à l'aller. C'était moins bien au retour, mais cela reste l'une des clés face à cette équipe qui aime fixer à l'intérieur pour avoir des shoots ouverts à l'extérieur.
- Il y avait de la colère et de la frustration après la défaite, mardi. Tout cela est oublié ?
- Se servir de sa colère et de sa frustration pour préparer le match suivant, cela peut aider. On était frustrés parce que l'on pensait vraiement que l'on pouvait faire quelque chose la-bas. Maintenant, pensons d'abord à jouer notre basket. On a la chance de jouer à domicile pour une place en finale. Oublions tout le reste...
- L'avantage du terrain sera déterminant ?
- On a bossé dur toute la saison pour l'avoir. Maintenant, on ne va pas se plaindre. Jouer la belle à domicile est incontestablement un avantage. Mais ce n'est pas une garantie, surtout face à une équipe comme l'ASVEL qui est composée de plusieurs joueurs expérimentés.
- Lors des deux premiers matches, les shoots à trois points ont pesé lourd. Ce pourrait être à nouveau le cas ce soir ?
- C'est une autre clé du match, effectivement. Que ce soit pour l'ASVEL ou pour nous, lorsque nous sommes adroits à trois points, il est très difficile de nous battre.
- Quels ont été les derniers mots du coach, hier à l'entraînement ?
- Il n'y a pas besoin de mots pour nous motiver. La motivation est naturelle. Tous, nous n'avons qu'une idée en tête : gagner et jouer la finale à Bercy. Il ne reste plus que quatre équipes. Toutes les autres aimeraient être à notre place...
- Après la défaite à Villeurbanne, votre frère Ricardo disait que la belle allait être une guerre. C'est également votre avis ?
- Et comment ! Vous savez, entre joueurs de Nancy et de Villeurbanne, on se connaît tous très bien. Et personne ne veut perdre contre l'autre. En début de saison, on savait que l'ASVEL, Le Mans, Roanne et nous étions favoris pour le titre. Aujourd'hui, nous sommes là, face à face. On veut tous remporter le titre.

Propos recueillis par Thomas SIMON


Est republicain

Vestiaires

Tous en rouge !











•LOCATION. Il est peu problable qu'il y est encore une seule place de libre à Gentilly, ce soir à l'heure du coup d'envoi. Hier soir, vers 19h30, 5.000 places avaient déjà trouvé prenneur pour ce match d'appui de la demi-finale SLUC - ASVEL.
Les places restantes sont disponnibles aujourd'hui. Dans les magasins Auchan et Cora, jusqu'à 15h. Sur le site internet du club à la page ''billetterie en ligne''. Au palais des sports, de 9h à 12h ou par téléphone au 03.83.96.89.90. Aux guichets, à partir de 18h.
• ROUGE. Aucun doute, le palais des sports de Gentilly va être bouillant, ce soir, à l'heure de l'entre-deux. Pour l'occasion, les supporters du SLUC lancent un appel au public, demandant à chacun de s'habiller de rouge pour venir encourager l'équipe nancéienne. Excellente initiative...
•VISITE. Pendant que l'équipe de Jean-Luc Monschau aprentait le parquet, hier matin, une petite délégation de la fédération française faisait le tour du propriétaire, dans la perspective du match international France - Belgique qui, rappelons-le, aura lieu le 3 septembre à Gentilly. Accompagnés par Jean-Charles Bregeon (directeur administratif du SLUC) et Claude Pourchet (Grand Nancy), les représentants de la fédération, Fabrice Canet, Yann Barbitch et Gregory Tosello ont effectué la visite guidée du palais des sports.
•SELECTION. Guy-Marc Michel n'était pas sur la feuille de match mardi à Villeurbanne. Il n'y sera pas ce soir non plus. Pour une excellente raison d'ailleurs, puisque le pivot de l'équipe espoirs du SLUC est actuellement en stage de préparation à l'Euro des moins de 20 ans avec l'équipe de France de la catégorie. Il participe en ce moment au camp de Trévise, aux côtés d'un ancien nancéien, Romain Dardaine.

T. S. (Thomas SIMON)


Est republicain

« TP » à Gentilly ?



NANCY._ Depuis le début des play-offs, la famille Parker vient régulièrement rendre visite à TJ.
Dans les gradins du palais des sports, on a récemment croisé Tony son papa, sa maman Pamela, ainsi que Pierre, son plus jeune frère qui évoluait cette saison à Aix-Maurienne. La famille du basketteur nancéien va peut-être encore s'agrandir ce soir.
Rien n'était officiel hier, mais il n'est pas exclu que Tony Parker débarque ce soir à Gentilly pour assister à la rencontre. Depuis plusieurs jours, TJ espérait que, en cas d'élimination des Spurs en play-offs NBA, son frère lui rendrait une petite visite du côté de Nancy en compagnie de son épouse, l'actrice Eva Longoria, héroïne de la série ''Desperate Housewives''.
Eliminé par les Lakers en finale de conférence Ouest, le meneur des Spurs de San Antonio a rejoint l'Europe dernièrement. A Nancy hier, l'éventuelle venue du triple champion NBA était un peu plus qu'une simple rumeur. Si celle-ci devait se confirmer, ce serait en tout cas une belle surprise...
Est republicain

Les équipes









SLUC : 4. Dowdell ; 5. Amagou ; 6. Lefèvre ; 7. Julian ; 8. J. Greer ; 9. Parker ; 10. Harrison ; 11. Zaki ; 13. Samnick ; 14. R.Greer ; 15. Bauer.
ASVEL : 5. Nsonwu ; 6. Wilson ; 7. Foirest ; 8. Troutman ; 9. Jeanneau ; 10. Conley ; 11. Eito ; 14. Diakité ; 15. Joss Rauze ; 17. Cakarevic ; 18. Jackson ; 20. Sangaré.
Arbitres : M. Bichon, Bissang et Mateus.
Est republicain

Wouaaaa, la triplette au sifflet

Sinon plus de places sur le Net, et déjà 5000 places de vendues hier soir :cheers:

Pi y'a peut être TP et son épouse ce soir alors pour les retardataires dépéchez vous

C'est encore loin Bercy ?

A égalité dans leur demi-finale, le SLUC et Villeurbanne se disputent ce soir le premier billet pour la finale à Bercy. Malgré l'équilibre des débats, l'ASVEL redoute l'euphorie nancéienne à domicile.

De retour de Villeurbanne, Nancy n'est pas plus avancé. C'est à la fois inquiétant et sans conséquence : le SLUC a grillé un joker sur un parquet qu'il n'a jamais apprivoisé cette saison mais il n'a pas hypothéqué ses chances de retrouver Paris. Il s'est seulement imposé un détour par Gentilly pour atteindre sa quatrième finale consécutive.La peur du vide vient pourtant de s'inviter dans le quotidien nancéien. Cet effectif que l'on pensait aimanté par Bercy peut en effet tout perdre ce soir, la perspective d'un premier titre de champion de France, voire un ticket pour l'Euroligue si Le Mans n'est pas champion au final. De plus, il n'aura échappé à personne que Villeurbanne a fait jeu égal avec son rival dans ces play-offs. Le pressentiment s'était dessiné à Gentilly, lorsque Nancy a remporté une première manche (86-75) sur la base d'une excellente entrée en matière (27-19). Il s'est confirmé dans le Rhône où le SLUC a lâché prise (92-79) malgré une séduisante récidive dans le premier quart-temps (21-30). Pour résumer, les hommes de Jean-Luc Monschau doivent désormais tenir sur la longueur pour éviter une élimination prématurée. Le rebond jouera à cet égard un rôle important puisque le vainqueur de ce secteur a systématiquement remporté la rencontre. Il ne faut pas se tromper de favori pour autant. Villeurbanne a un effectif complet, un budget supérieur, de l'expérience et un passé plus éloquent que son adversaire mais il se présentera bien dans l'habit de Sisyphe ce soir. Au pied d'une montagne qu'il a dévalée à deux reprises cette saison, l'ASVEL traîne son boulet à Gentilly. Et, sur son terrain, le SLUC ne se privera pas de précipiter une troisième chute verte cette saison. « On ne va certainement pas s'envoyer en l'air, pondérait ainsi Yves Baratet à l'issue de la demi-finale retour. Vendredi, il va nous falloir armure, bouclier, gilet pare-balles et tout le reste ! » Dans son registre imagé, gentiment belliciste, le futur ex-entraîneur de l'ASVEL avait déjà remarqué que « le SLUC envoie quelques cartouches à domicile ». « Nancy joue beaucoup sur l'euphorie, complète le meneur Yohann Sangaré. En deux, trois minutes, ils peuvent creuser l'écart, surtout si le public les pousse. Dans cette ambiance, c'est du bonheur pour une équipe mais c'est aussi une source de motivation pour l'adversaire. Quand on se fait huer, on a envie de réagir. » Pour l'heure, deux joueurs ont marqué cette série de leur empreinte : le Nancéien Bauer (22,5 points et 6 rebonds de moyenne) et le Lyonnais Wilson, auteur de 37 unités à l'Astroballe. « Lamayn était un peu frustré à cause des fautes à l'aller. C'est sa réponse, constate Sangaré. Il a peut-être surpris beaucoup de monde mardi mais pas nous. A l'entraînement, on sait de quoi il est capable quand il prend feu. » Depuis mardi, le SLUC est au parfum. Nancy-ASVEL, 20 h 30

Christian JOUGLEUX.

Republicain lorrain

Sangaré : « Chacun son tour »

Le meneur villeurbannais Yohann Sangaré estime que la pression a changé de camp depuis la victoire des Verts à l'Astroballe.

OAS_AD('Position2'); Yohann Sangaré, vous sentez-vous plus léger depuis mardi ? « Pas forcément. C'était une étape à passer mais c'est le dernier match qui va tout déterminer. Pour le moment, on ne peut pas parler de soulagement. » • Pensez-vous que la pression a changé de camp ? « Oui, Nancy risque de la ressentir devant son public comme nous l'avons ressentie à domicile. C'est chacun son tour. » • Comment expliquez-vous les mauvaises entames de match de l'ASVEL dans cette série ? « C'est le basket... Il n'y a pas toujours d'explication. On peut éventuellement en revenir à cette pression devant notre public. Moi, je pense surtout que Nancy est arrivé très agressif à l'Astroballe. » • Le rebond est une clef dans cette série. La bataille intérieure sera-t-elle décisive ce soir ? « Les deux équipes sont très solides dans ce secteur. L'intérieur sera peut-être déterminant mais tout le monde doit se sentir impliqué. Nous avons justement perdu à Nancy parce qu'on a laissé trop de longs rebonds à l'adversaire. Ces ballons, c'est à nous d'aller les chercher. » • L'arbitrage a également été décrié des deux côtés. Avez-vous un avis sur le sujet ? « Je ne préfère pas en parler. Il reste un match à jouer. » • Une finale ASVEL-Le Mans est encore possible. Que vous inspire l'éventualité de jouer une finale contre Vincent Collet qui sera le prochain entraîneur de Villeurbanne ? « A mon avis, il ne va pas réfléchir. Je le connais et c'est quelqu'un de très pro. Il va honorer son contrat jusqu'au bout avec un club qui lui a donné beaucoup de choses. J'ai entendu les rumeurs mais il ne fera pas exprès de perdre pour que l'ASVEL aille en Euroligue. Au contraire. Il va se battre jusqu'à la dernière minute, quelles que soient les conséquences. »

Ch. J.

Republicain lorrain

Pfffff, énorme.

J'ai hâte.

Rasheed Wallace a écrit:

Pfffff, énorme.

J'ai hâte.

Idem , j'en peux plus, la journée va être trés longue !!



Tous en rouge, Gros match, Tp dans la salle avec Eva , pffff c'est énorme quand même ce qui se prépare !

Cozette, Monclar et leurs sbires vont voir de quel bois Gentilly se chauffe.

je ne pense qu'au match. Cette journée va être très très longue...
Ca va etre terrible ce soir j'espère !!!
Vivement 20h30

Idem ! Ca va etre tres difficile de se concentrer au taf aujourd'hui !!!!

Vivement ce soir !

GO SLUC GO!!!

encore 12h à attendre...pfffffffffffff

J'adore l'encart de l'Est sur la (peu probable) venue de TP à Gentilly. Très marrant
Par contre, on peut noter l'effort du journal pour l'opération "Tous en rouges".
La journée va être loooooonnnnnnnnnnngue !

Merci Bacou pour tous ces articles

Ptit rapport après 1h de taf : et be je suis pas efficace, j'ai rien branlé pour le moment et je ne pense qu'à ce putain de match......

Bon va falloir que je me bouge sinon je vais me faire dégommer par le boss

j'espère qu'il ne lit pas le forum !

GO SLUC GO

Merci Bacou !!

A-Sir a écrit:

J'adore l'encart de l'Est sur la (peu probable) venue de TP à Gentilly. Très marrant
Par contre, on peut noter l'effort du journal pour l'opération "Tous en rouges".
La journée va être loooooonnnnnnnnnnngue !

Merci Bacou pour tous ces articles

Si ça peut décider les dernières personnes à venir à Gentilly et blinder le Palais des Sports, je ne suis pas contre...
Après que ce soit vrai... ou pas....

bacou a écrit:

Wouaaaa, la triplette au sifflet

Bissang is back.En souhaitant qu'il ait pris connaissance des réactions de Ricardo dans l'ER de mercredi.Peut-être voudra-t-il se racheter (ce qui laisserait supposer qu'il a été vendu )

Bichon et Bissang était déjà là à l'aller, Bissang au retour. Et Mateus a arbitré l'autre demie-finale. Comme la Ligue (ou la Fédé) recycle ses arbitres, c'est dingue !

aerfffffffffffffffff encore 11h à attendre....

Perso je suis déjà en rouge depuis ce matin avec la maillot du Sluc sous le sweat ! Et dans les starting-blocks pour ce soir !
Pourvu qu'on n'ait pas droit à un remake de Nancy-Rennes ... ce serait vraiment trop con ! Allez je recroise les doigts jusqu'à ce soir