Fusion Paris-Levallois

Vers la création du Paris Levallois Basket!
24 Mai 2007 | ProA
C'est Le Parisien qui avait ébruité l'affaire en avril, et c'est encore Le Parisien qui la confirme. Les dirigeants du PBR et de Levallois ont entamé un processus de rapprochement au point que la naissance du Paris Levallois Basket devrait être dévoilé très prochainement. On parle même du 10 juin pour l'officialisation de cette fusion.
Selon le quotidien, ce grand club francilien aurait beaucoup d'ambitions puisqu'on évoque déjà les noms de Sciarra, Risacher ou encore Salyers. Du côté du coaching, Antoine Rigaudeau pourrait faire appel à Eric Girard qu'il connaît très bien.

Source BASKETZONE 24/05

I have a dream !

domrogers a écrit:

]


Vers la création du Paris Levallois Basket!
24 Mai 2007 | ProA
C'est Le Parisien qui avait ébruité l'affaire en avril, et c'est encore Le Parisien qui la confirme. Les dirigeants du PBR et de Levallois ont entamé un processus de rapprochement au point que la naissance du Paris Levallois Basket devrait être dévoilé très prochainement. On parle même du 10 juin pour l'officialisation de cette fusion.
Selon le quotidien, ce grand club francilien aurait beaucoup d'ambitions puisqu'on évoque déjà les noms de Sciarra, Risacher ou encore Salyers. Du côté du coaching, Antoine Rigaudeau pourrait faire appel à Eric Girard qu'il connaît très bien.

Source BASKETZONE 24/05

oui enfin, bon, eric Girard est encore sous contrat pour un an avec la SIG, contrat qu'il a signe au courant de l'automne 2006.
D'autre part, le president et le directeur sportif de la sig ont confirme eric comme coach pour la saison 2007-2008.
Quant à Salyers, il est annonce restant à roanne alors attendons......

Avec Solly Azar derrière tout ça, j'annonce le dépôt du bilan du PBR dans deux ans

En tout cas, je suis fasciné qu'Harper ne soit pas plus cher (même si avec une source, c'est mieux). C'est là qu'on voit concrètement l'importance de disputer une bonne Coupe d'Europe pour attirer du gros poisson en quête de "revalorisation salariale".

C'est une info relayée aujourd'hu dans Le Parisien.
Eric Girard coacherait cette new team et des noms circulent : Sciarra à la mène, venue de Risacher qui quitterait donc l'Espagne... On parle aussi de John Linehan dans la capitale...
Le tout avec un budget de 4,5 MF. Y'a donc de fortes chances que Paris fasse l'ULEB Cup l'an pochain....

AH...ah.....je te l'avais dit phiphi que Girard y resterait pas

Benoit ADAM a écrit:

C'est une info relayée aujourd'hu dans Le Parisien.
Eric Girard coacherait cette new team et des noms circulent : Sciarra à la mène, venue de Risacher qui quitterait donc l'Espagne... On parle aussi de John Linehan dans la capitale...
Le tout avec un budget de 4,5 MF. Y'a donc de fortes chances que Paris fasse l'ULEB Cup l'an pochain....

C'est pas un club , c'est une maison de retraite qu'ils sont entrain de faire

domrogers a écrit:

philippe strasbourgeois a écrit:

Salyers et Harper auraient deja resigne à Roanne pour deux ans (source forum Roanne sur BI)........
ensuite, 5 millions d'euros, ce serait bien mais il faudra y arriver. pas simple.
l'annee de l'EL, celui de la sig etait monte à 4.8 millions.

Vers la création du Paris Levallois Basket!
24 Mai 2007 | ProA
C'est Le Parisien qui avait ébruité l'affaire en avril, et c'est encore Le Parisien qui la confirme. Les dirigeants du PBR et de Levallois ont entamé un processus de rapprochement au point que la naissance du Paris Levallois Basket devrait être dévoilé très prochainement. On parle même du 10 juin pour l'officialisation de cette fusion.
Selon le quotidien, ce grand club francilien aurait beaucoup d'ambitions puisqu'on évoque déjà les noms de Sciarra, Risacher ou encore Salyers. Du côté du coaching, Antoine Rigaudeau pourrait faire appel à Eric Girard qu'il connaît très bien.

Source BASKETZONE 24/05

L'article du PARISIEN / AUJOURD'HUI EN FRANCE du 24/05/2007 ajoute même que le budget avoisinerait les 4,2 Millions d'euros (ou 4,5, je sais plus vraiment).
On y parle aussi de John Linehan, mais les infos devaient avoir filtré avant qu'il ne se blesse à nouveau...

guillom54 a écrit:

Benoit ADAM a écrit:

C'est une info relayée aujourd'hu dans Le Parisien.
Eric Girard coacherait cette new team et des noms circulent : Sciarra à la mène, venue de Risacher qui quitterait donc l'Espagne... On parle aussi de John Linehan dans la capitale...
Le tout avec un budget de 4,5 MF. Y'a donc de fortes chances que Paris fasse l'ULEB Cup l'an pochain....

C'est pas un club , c'est une maison de retraite qu'ils sont entrain de faire

tu m'étonnes

manque plus qu'Ostrowki et bilba

4,5M€ de budget, avec çà et pour peu que Rigaudeau ait le nez fin, il aura un gros effectif c'est sur

Fusion Paris-Levallois : on avance

La fusion entre Levallois et le Paris BR avance-t-elle ? Oui car les deux parties discutent. Est-elle « imminente » comme l’estimait hier « Le Parisien » ? C’est moins sûr. « J’aimerais bien qu’elle le soit, nous confiait hier soir Antoine Rigaudeau. Mais pour l’instant, ce n’est pas le cas. Un jour, ça avance, le lendemain, ça n’avance plus. » Toutefois, la situation pourrait se décanter la semaine prochaine. Le vice-président chargé du sportif, qui testait la semaine passée à Coubertin de jeunes recrues potentielles pour la formation parisienne, a même été plutôt surpris de découvrir dans le quotidien parisien qu’il ferait de la réalisation du plan avancé (gros budget de 4,5 millions d’euros, des recrues comme Sciarra, Risacher, Salyers...), la condition de son maintien dans la future structure. Que l’idée d’une union des sections professionnelles soit à l’étude est tout à fait vrai, d’autant plus que l’une et l’autre n’ont quasiment à ce jour aucune contrainte contractuelle avec leurs effectifs 2006-07. Le consensus politique, lui aussi, existe. La dimension du projet, c’est autre chose. Le PBR n’excluait pas ces jours derniers d’avoir à vivre une seconde année de transition. C’est même la levée de cette hypothèque qui conditionnerait en premier lieu le choix d’un coach, la possibilité de conserver Elias Zouros avec un effectif ambitieux restant d’ailleurs crédible. – J.-L. T.

L'Equipe papier du 25/05/07

ProA - Le basket, Paris et le mariage impossible
AFP - 09.04.2008, 16h41

PARIS, 9 avr 2008 (AFP) - Le naufrage du Paris-Levallois, menacé de relégation en ProB, met en lumière la difficile implantation du basket professionnel dans la capitale où tout semble réuni pour réussir mais où, depuis dix ans, on court de déception en désillusion.

Au siège de l'Euroligue, la Ligue des champions du basket, à Barcelone, on s'en arrache les cheveux. Satanée France! Qui lui envoie, année après année, des équipes de villes comme Le Mans ou Roanne alors qu'elle aimerait promouvoir sa compétition à travers les capitales et les métropoles.

Sauf que Paris se fait toujours autant attendre, incapable de donner suite au titre de champion de France du Paris-Basket-Racing en 1997. Depuis dix ans, le club a changé plusieurs fois de nom, connu une demi-douzaine de repreneurs, des dirigeants par dizaines, des joueurs par wagons entiers, Tony Parker comme actionnaire, de l'espoir à chaque revirement mais toujours le même constat au final: des résultats au mieux honorables, un public rare et zéro identité.

Cette année, c'est pire. Pour la première fois depuis son accession dans l'élite en 1986, le club de la capitale, avant-dernier avant la réception d'Orléans vendredi, risque de descendre en deuxième division.

Contexte

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En début de saison, l'optimisme était pourtant de rigueur. La fusion entre le Paris BR et Levallois venait de donner naissance au deuxième budget de France (environ cinq millions d'euros) et l'équipe dirigeante emmenée par Essar Gabriel et Antoine Rigaudeau avait belle allure.

Mais au final, l'échec est une nouvelle fois au rendez-vous. Et l'éternel débat aussi. Pourquoi, à Paris, ça ne marche pas? René Le Goff, ancien président du club et aujourd'hui président de la Ligue de basket, fustige d'abord le manque de salle.

"On ne peut pas se développer sportivement et économiquement à Coubertin. Il faudrait une salle de 7 à 8000 places, surtout dans contexte parisien où il est difficile de fidéliser un public." Jacques Monclar, entraîneur parisien de 2002 à 2004, insiste également sur ce "lieu autour duquel on pourrait construire".

Autre piste, le fameux "contexte parisien". "C'est dur à Paris, souligne Monclar, quand on dit que tel ou tel joueur de foot n'est pas fait pour le PSG ou l'OM, c'est un peu pareil pour le basket." Sauf que c'est surtout le vertige de l'anonymat qu'il s'agit de gérer. "En province, les joueurs ont la pression de la rue, souligne Le Goff. A Paris, que tu sois bon ou mauvais..."

Excuses

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"Tout ça, c'est des excuses", balaye Laurent Sciarra, passé à trois reprises par Paris et aujourd'hui joueur de Dijon. Quand tu as un bijou comme Coubertin et que tu ne réussis à le remplir que trois fois en dix ans, tu te tais! C'est la même chose pour les joueurs. Qui les recrute?"

"Il n'y a pas les gens compétents au bon endroit, c'est tout, enchaîne l'ex-international qui en veut d'abord aux équipes dirigeantes successives. Il faut un capitaine dans le bateau. Or, à Paris, les mecs ne sont là que pour leur intérêt personnel et le show-biz."

Essar Gabriel et Antoine Rigaudeau, qui ne vivent pas à Paris, ont été critiqués cette saison pour leurs absences répétées. "Ca ne facilite pas la vie, surtout lorsqu'on est en phase de construction", constate René Le Goff.

Selon Charles Biétry, à la tête du club l'année du dernier titre, il est bien "possible" de réussir dans le basket à Paris "car ça nous est arrivé en 1997". La recette pour repartir "passe par les résultats et un rassemblement autour d'un club qui vit aujourd'hui dans l'indifférence".

Sauf que créer un tel engouement ne s'annonce pas facile, surtout dans le contexte français actuel, miné par les piteux résultats des équipes nationales et l'effritement des clubs sur la scène européenne. "Paris, estime Biétry, est le symbole de la mauvaise santé du basket français."

AFP.

Jolie costard avec un Lolo Sciarra en forme

de toute façon avec une équipe sans meneur c'est difficile la pro A, leur paire de meneur c'est vraiment des quiches a coté des leurs les notres passeraient presque pour excellent.... en tout cas c'est mal embarqué pour le PL ils risquent vraiment de descendre ( sauf en cas de fusion avec nanterre ou de passage de la ligue a 18 )

aircraft a écrit:

de toute façon avec une équipe sans meneur c'est difficile la pro A, leur paire de meneur c'est vraiment des quiches a coté des leurs les notres passeraient presque pour excellent.... en tout cas c'est mal embarqué pour le PL ils risquent vraiment de descendre ( sauf en cas de fusion avec nanterre ou de passage de la ligue a 18 )

C'est ce que j'avais ironiquement écrit dans un post il y a quelques semaines, mais j'ai bien l'impression que cette fusion sera d'actualité si le PLB est condamné à évoluer en ProB la saison prochaine et comme Le Goff ne veut pas d'une ligue à 18 clubs actuellement, je ne vois guère que cette solution pour Paris et surtout pour la Ligue...

pourtant pour certain sa fonctionne la fusion




oui je suis HS et j'assume


Edit Bacou; Euhhhh tu expliques le HS STP

Jo L'incruste a écrit:

aircraft a écrit:

de toute façon avec une équipe sans meneur c'est difficile la pro A, leur paire de meneur c'est vraiment des quiches a coté des leurs les notres passeraient presque pour excellent.... en tout cas c'est mal embarqué pour le PL ils risquent vraiment de descendre ( sauf en cas de fusion avec nanterre ou de passage de la ligue a 18 )

C'est ce que j'avais ironiquement écrit dans un post il y a quelques semaines, mais j'ai bien l'impression que cette fusion sera d'actualité si le PLB est condamné à évoluer en ProB la saison prochaine et comme Le Goff ne veut pas d'une ligue à 18 clubs actuellement, je ne vois guère que cette solution pour Paris et surtout pour la Ligue...

A ce rythme, dans 5 ans ils auront créés le Paris Ile de France Basket , le PIF Basket Le gadget de la ligue

domrogers a écrit:

Vers la création du Paris Levallois Basket!
24 Mai 2007 | ProA
C'est Le Parisien qui avait ébruité l'affaire en avril, et c'est encore Le Parisien qui la confirme. Les dirigeants du PBR et de Levallois ont entamé un processus de rapprochement au point que la naissance du Paris Levallois Basket devrait être dévoilé très prochainement. On parle même du 10 juin pour l'officialisation de cette fusion.
Selon le quotidien, ce grand club francilien aurait beaucoup d'ambitions puisqu'on évoque déjà les noms de Sciarra, Risacher ou encore Salyers. Du côté du coaching, Antoine Rigaudeau pourrait faire appel à Eric Girard qu'il connaît très bien.

Source BASKETZONE 24/05

Ca y est, c'est possible ! Bon, il faut se maintenir avant...

bacou a écrit:

Jo L'incruste a écrit:

aircraft a écrit:

de toute façon avec une équipe sans meneur c'est difficile la pro A, leur paire de meneur c'est vraiment des quiches a coté des leurs les notres passeraient presque pour excellent.... en tout cas c'est mal embarqué pour le PL ils risquent vraiment de descendre ( sauf en cas de fusion avec nanterre ou de passage de la ligue a 18 )

C'est ce que j'avais ironiquement écrit dans un post il y a quelques semaines, mais j'ai bien l'impression que cette fusion sera d'actualité si le PLB est condamné à évoluer en ProB la saison prochaine et comme Le Goff ne veut pas d'une ligue à 18 clubs actuellement, je ne vois guère que cette solution pour Paris et surtout pour la Ligue...

A ce rythme, dans 5 ans ils auront créés le Paris Ile de France Basket , le PIF Basket Le gadget de la ligue

Oh oh, digne de dedemax celle-là, chapeau bas

bacou a écrit:

Jo L'incruste a écrit:

aircraft a écrit:

de toute façon avec une équipe sans meneur c'est difficile la pro A, leur paire de meneur c'est vraiment des quiches a coté des leurs les notres passeraient presque pour excellent.... en tout cas c'est mal embarqué pour le PL ils risquent vraiment de descendre ( sauf en cas de fusion avec nanterre ou de passage de la ligue a 18 )

C'est ce que j'avais ironiquement écrit dans un post il y a quelques semaines, mais j'ai bien l'impression que cette fusion sera d'actualité si le PLB est condamné à évoluer en ProB la saison prochaine et comme Le Goff ne veut pas d'une ligue à 18 clubs actuellement, je ne vois guère que cette solution pour Paris et surtout pour la Ligue...

A ce rythme, dans 5 ans ils auront créés le Paris Ile de France Basket , le PIF Basket Le gadget de la ligue

ah dans le top ten de tout les temps celle là

mdr

Ils en sont revenus...


Depuis dix ans, le club de la capitale n'a cessé de dégringoler pour toucher le fond cette saison. Victor Samnick et TJ Parker, deux anciens de la maison, livrent leurs sentiments.


NANCY. _ L'acte de naissance figure sur la page d'accueil du site internet du club : « Paris-Levallois est né le 12 juin 2007. L'an un, le décollage ». Il n'est peut-être pas mort, mais le nouveau-né a pris un sacré coup de plomb dans l'aile mardi dernier en s'inclinant à domicile contre l'ASVEL. Une vingtième défaite cette saison, synonyme de relégation en Pro B. La fusion des deux entités Paris BR et Levallois l'été dernier, sous l'égide du trio Gabriel-Flamme-Rigaudeau, avait fait naître des espoirs, des ambitions... et des moyens. Rappelons que Paris-Levallois affichait cette saison un budget de cinq millions d'euros et la deuxième masse salariale de Pro A. La vue d'ensemble ressemble à un beau gâchis. Un constat : depuis le titre décroché en 1997 (sous le nom de PSG Racing) le club de la capitale n'a cessé de dégringoler. Et une question : pourquoi le basket galère à ce point à Paris ? L'analyse de l'échec du basket à Paris nécessiterait sans doute la rédaction d'un ouvrage en plusieurs tomes. Victor Samnick (2004-06) et TJ Parker (2005-07), deux anciens de la maison, livrent leur sentiment.
• L'ENGOUEMENT.
VICTOR SAMNICK : « Le contexte est particulier. Le club n'a pas vraiment sa salle à lui. A l'époque, on devait la partager avec l'équipe de handball. Mais surtout, il n'y a pas de supporters ou si peu. Il y a tellement de choses à faire à Paris, les gens ne viennent pas au basket. Et ceux qui viennent ne soutiennent pas forcément l'équipe. Lorsque j'y étais, je me souviens que les places étaient relativement chères. Les gens ne sont pas prêts à traverser la ville pour aller voir un match de basket. D'ailleurs, je ne suis pas certain que le public de Levallois se soit beaucoup déplacé à Coubertin cette saison. Moi, je connais des personnes qui préfèrent aller voir jouer Nanterre ».
TJ PARKER : « Le public est spécial. Il y a bien quelques fidèles. Mais les supporters ne te soutiennent pas comme c'est le cas à Nancy ou ailleurs. A Paris, il était même fréquent que l'on se fasse chambrer ou siffler pendant les matches ».
• LA VIE A PARIS.
VICTOR SAMNICK : « A Paris, les gens ont tellement d'autres choses à faire que d'aller voir un match de basket... Le problème c'est que parfois, cela vaut aussi pour les joueurs. La vie à Paris peut parfois distraire. Lorsque tu joues dans la Capitale, tu as intérêt à rester sérieux, sinon cela peut vite influer sur son rendement sur le terrain ».


[b]« La vie à Paris peut distraire »

• L'EQUIPE.
TJ PARKER : « J'ai joué deux saisons à Paris et on avait une équipe avec des gars qui se battaient et qui mouillaient le maillot. Quand tu es pro, tu n'es pas là simplement pour prendre de l'argent. On a rencontré plusieurs fois Paris-Levallois cette année et je n'ai pas eu le sentiment de voir une équipe qui se battait jusqu'au bout. Je n'ai pas vu une équipe soudée. J'ai discuté avec Vincent Mouillard (Ndlr : le meneur parisien). Il me disait que les joueurs ne faisaient jamais rien ensemble en dehors du terrain. C'est le genre de chose qui ne trompe pas ».
VICTOR SAMNICK : « On ne peut pas dire que l'équipe n'était pas bonne sur le papier. Mais il y a aussi la responsabilité du staff. A Paris, il est primordial de sensibiliser les joueurs au projet et à l'ambition de l'équipe. Lorsque la plupart des joueurs ont des contrats d'un an, ils ont souvent tendance à penser plus à leurs stats qu'au destin du club ».
• LA FUSION.
TJ PARKER : « La fusion de Paris et Levallois est une bonne chose dans le sens où elle permet d'avoir plus de moyens. J'ai été assez surpris d'entendre les propos de Francis Flamme concernant la façon dont le club était dirigé. La saison dernière, Essar Gabriel et Antoine Rigaudeau étaient régulièrement aux matches. Ils m'ont plutôt fait une bonne impression au niveau de l'investissement ».

Thomas SIMON

Est Republicain

ah revoila miss bacou et ses articles

Merci BACOU et bonne reprise

dedemax54 a écrit:

Merci BACOU et bonne reprise

+1

La fusion Paris - Levallois ? Elle doit bien rester au travers de la gorge de Sylvain Lautié.