PROA J20 Sluc - Paris Levallois

basket-ball - Pro A (20e journée) SLUC : Gregor Beugnot, avant de retrouver son ex-club Paris-Levallois : « Particulier ? Pas vraiment… »

Entraîneur à Paris-Levallois entre 2013 et 2015, Gregor Beugnot va retrouver pour la première fois son ancienne équipe. Mais à l’entendre, il s’agit d’un match comme les autres. À gagner…

Gregor Beugnot : « Ce match face à Paris a la même importance que n’importe quel autre… »

sLUC Nancy - Paris-Levallois
Ce lundi à 20 h 30
G regor Beugnot, ce sera la première fois que vous retrouvez Paris-Levallois. Ce sera un match particulier ?
Pas vraiment. C’est comme si on jouait n’importe quelle autre équipe. D’abord parce qu’on est à la maison. Quand vous retournez pour la première fois dans une salle en tant qu’entraîneur, vous avez droit à une standing-ovation, vous retrouvez des gens que vous avez côtoyés, on vient vous voir… C’est plus difficile quand vous êtes joueur et que vous revenez dans votre ancien club. Vous avez une énorme pression et en général, vous vous plantez…

Quels souvenirs gardez-vous de vos deux saisons à Paris-Levallois ?
Il y avait une très bonne relation entre le staff technique, médical, administratif, le président aussi (Ndlr : Jean-Pierre Aubry). Le problème, à Paris, c’est toujours le même : est-ce que le club va être racheté, pas racheté… Quand j’ai signé là-bas en 2013, j’avais l’image de l’homme du président et du maire (Patrick Balkany, le maire de Levallois), car ce sont eux qui voulaient que je vienne.
« À Paris-Levallois, le projet a été torpillé »

Votre première saison dans la capitale a été réussie avec une cinquième place en saison régulière et un quart de finale perdu face au SLUC. La deuxième a été nettement plus délicate avec une onzième place à la clé. Comment l’expliquez-vous ?
Quand je suis arrivé, on m’avait fixé comme objectif de finir dans les cinq premiers la première année et on m’avait dit qu’on aurait un budget énorme et la possibilité de bâtir une grosse équipe la deuxième. Mais le projet a été torpillé. Le budget a baissé (Ndlr : il est passé de 5,4 à 4,6 millions d’euros), tout le monde s’est occupé de tout, on a recruté des joueurs dont je n’avais pas besoin, c’était un peu n’importe quoi…

Êtes-vous amer par rapport à la façon dont les choses se sont passées ?
Non. C’est sûr que je n’étais pas venu pour ça, mais j’aurais eu de l’amertume si j’étais resté plus longtemps.

Cette saison, le club a encore réduit la voilure après le retrait de la mairie de Paris qui accordait 800.000 euros de subvention. Mais malgré le 14e budget de Pro A (3,9 millions d’euros), Paris-Levallois occupe une très bonne cinquième place. Quel regard portez-vous sur cette équipe parisienne ?
Compte tenu des circonstances, la volonté du président était de s’appuyer sur des jeunes. C’était la bonne politique à mettre en place. Vincent Poirier est devenu un bon joueur, les autres ont confirmé. Ce qu’ils font est cohérent et il n’y a rien à redire. C’est très hiérarchisé, et avec Louis Campbell qui est un ordinateur, ils ont trouvé un leader charismatique.

Ce sera un nouveau match crucial dans la longue marche vers le maintien…
Mais tous les matches sont importants. On avait dit après la rencontre contre Châlons-Reims qu’on attaquait un nouveau championnat (avec la phase retour). Pour l’instant, on est à 1-1 (succès devant Châlons-Reims, défaite au Portel). Mais ce match face à Paris a la même importance que n’importe quel autre…

Recueilli par Anthony GUILLE

http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/02/24/sluc-beugnot-avant-de-retrouver-son-ex-club-paris-levallois-particulier-pas-vraiment

Itw Maleye Ndoye d'avant match Nancy - PL par ParisLevallois

Les 2 matchs contre Le Portel sont très mal passés chez moi, pour des raisons différentes.

Mais, maintenant, toutes les belles paroles n'ont plus d'importance. Il n'y a plus de joker. Peu importe les blessures, les panneaux, les arbitres, etc..., il faut juste ga-gner !

Idem quelque soit la forme de jeu
Quelque soit l'arbitre en face
Quelque soit le dégré de bobo des joueurs
Le club doit se sauver

Basket-ball - Pro A Le SLUC doit relever la tête contre Paris-Levallois

Remobilisé pour affronter Châlons-Reims, le SLUC n’a ensuite pas tenu ses promesses au Portel. Une fois de plus, il est dans l’obligation de réagir à domicile, pour espérer décrocher une cinquième victoire.

http://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2017/02/27/le-sluc-doit-relever-la-tete-contre-paris-levallois

Ce lundi à 20 h 30
C’est ce qui s’appelle tomber de la chaise. Pire, de l’échelle. Enfin bref, tomber de haut. Revenons un instant sur nos pas… La semaine avant la réception de Châlons-Reims, on nous avait promis une prise de conscience, une remise en question. Les joueurs s’étaient réunis au lendemain de la défaite à Nanterre, en Coupe de France, afin de décréter l’état d’urgence. Résultat : le SLUC avait effectivement réagi face aux Champenois, pour mettre en banque la victoire de l’espoir (89-80).

Et voilà que six jours plus tard, cette même équipe, soi-disant remobilisée à l’entame de son « nouveau championnat », a complètement disparu des écrans radars dans le petit chaudron du Portel (64-98). Une nouvelle faillite complète. Dès lors, que penser de ce SLUC ? Qu’il est décidément incorrigible ? Qu’il n’a tout simplement pas les moyens d’enchaîner deux rencontres sur le même ton ? Une chose est certaine : à ce train-là, il ne créera pas les conditions sine qua non pour que le miracle ait lieu en fin de saison. Inquiétant, à nouveau.

« Nous ne pouvons pas être calculateurs »

« J’avoue que c’est difficile à expliquer », soupire Gregor Beugnot. « Le match du Portel a été une surprise par rapport à l’évolution de l’équipe et à la semaine d’entraînement que nous avions faite avant. Voir l’équipe baisser la tête aussi rapidement a été une déception. Laisser filer un match comme ça ne doit pas être dans notre mentalité. Nous avons essayé de trouver des solutions afin d’obtenir une réaction. Après Nanterre, nous avions bien réagi contre Châlons-Reims. J’espère que cette nouvelle erreur va à nouveau nous faire réagir et nous servira pour l’avenir. »

La crainte qui pourrait naître des dernières « performances » des Nancéiens, c’est que les hommes de Gregor Beugnot se sentent plus concernés par les enjeux lorsqu’ils évoluent à domicile. Ce qui serait, dans leur situation, un réflexe catastrophique et voué à l’échec. « Surtout que ce n’est pas ce qu’on leur présente », poursuit le coach. « Nous ne pouvons pas nous permettre d’être calculateurs. Nous allons affronter des concurrents directs à l’extérieur. Et ce sont des matches qui nous feraient le plus grand bien au classement en cas de victoires. »

Mais pour l’heure, c’est bien à domicile que le SLUC doit se faire pardonner sa dernière négligence en date. Face à une formation parisienne qui n’a rien d’une victime désignée, pour peu que l’on accorde un intérêt au classement de la Pro A (Paris-Levallois est cinquième avec 11 victoires et 8 défaites). C’est dire s’il faudra mettre encore plus d’ingrédients que face à Châlons-Reims pour espérer s’imposer et garder un semblant de contact avec les équipes qui précèdent au classement. Sachant que les résultats de samedi n’ont globalement pas été très favorables au SLUC.

« Paris est une équipe bien construite, qui joue très bien au basket. Mais il faut surtout que mes joueurs se persuadent qu’ils peuvent battre tout le monde. En cela, une victoire contre Paris ferait le plus grand bien », estime Gregor Beugnot. Ce soir à Gentilly, il ne sera pas le seul à croiser les doigts et à espérer une réaction. Une fois de plus.

Thomas SIMON

Nancy – Paris-Levallois (20h30, en direct sur SFR Sport 2)

Les dirigeants du SLUC Nancy ont tout essayé. Un changement d’entraîneur, un effectif revu en profondeur… Force est de constater que trois mois après l’arrivée de Gregor Beugnot en lieu et place d’Alain Weisz, les Cougars n’ont pas réussi à passer la vitesse supérieure (2v-8d avec Weisz, 2v-7d avec Greg Beugnot) et sont restés englués à la dernière place.

Au début du mois, on avait cru voir dans la victoire étriquée contre Châlons-Reims (89-80) le début d’une réaction. La semaine suivante, les Nancéiens sombraient littéralement dans le Chaudron du Portel (98-64). « Voir l’équipe baisser la tête aussi rapidement a été une déception », livre Gregor Beugnot dans les colonnes de L’Est Républicain. « Laisser filer un match comme ça ne doit pas être dans notre mentalité. (…) Il faut surtout que mes joueurs se persuadent qu’ils peuvent battre tout le monde. »

Trop de défaillances individuelles

La faillite n’est pas simplement collective. Le SLUC se heurte est de sévères défaillances individuelles. On en viendrait presque à se demander si le groupe actuel est plus fort que celui aligné en début de championnat. Parmi les nouveaux venus, seul Brion Rush – dont le contrat vient d’être prolongé jusqu’à la fin de la saison – évolue peu ou prou au niveau attendu (14,5 points à 40,8%, 3,5 rebonds, 3,7 passes, 11,3 d’éval en 31 minutes). Les autres recrues, Demond Mallet (6,3 points à 23%, 5 passes, 6,8 d’éval en 28 minutes), Abdoulaye Mbaye (2 points et… -0,3 d’éval en 16 minutes), Elton Brown (6 points, 3 rebonds, 4,3 d’éval en 13 minutes), Jonathan Jeanne (3 points, 3,4 rebonds, 5,4 d’éval en 12 minutes) n’ont rien révolutionné. Pire, Benjamin Sene est en perdition (2,2 points et 0,2 d’éval en 15 minutes sur les quatre derniers matches).

Il faudra une mobilisation générale pour inverser la tendance et réussir à gratter 7 ou 8 victoires supplémentaires pour se maintenir. Cela commence dès ce soir contre le Paris-Levallois, solide 5e du championnat, et auteur de quelques performances solides à l’extérieur (victoires à Villeurbanne, à Monaco…). Pour le SLUC, chaque match est une finale.

http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/33227/Les-Cougars-ont-ils-encore-faim

Ce soir va falloir absolument limiter Campbell et Rich et surtout contrôler le rebond. Pour le reste, être adroit a 3pts et pas hésiter à donner la balle a l'intérieur car ces derniers temps ca a marché.. allez on y croit!

ca semble fou de se dire qu'il faut gagner un match sur 2 maintenant !! quelqu'un à un lien ou une possibilité pour voir le match ? merci

http://0eb.net/video/901682.html

Écran noir chez moi.
Quelqu'un aurait un autre lien?

Rentrée dégueul*sse de Benjamin Sene

Focus garcon!


18 - 16 en fin de premier QT.

Trasolini 6 points 3/3 4 rebonds 14 d'éval ça va pour le premier quart ! 18-16

poste 1, toujours aussi défaillant au scoring

Y a pas de jeu. Un peu de patience en attaque ilfaut que l'on arrêde balancer.

Trasolini benché ou ? Urtasun et lui font 25 d'éval sur... 24 ! 29-38 mi temps on reste pas loin ..

avec cette efficacité offensive, 9 pts c'est loin

C'est bien triste, en effet...

ONDAFACE a écrit:

avec cette efficacité offensive, 9 pts c'est loin

exact c'est ça qui fait peur en même temps !!

Quasiment aucune jeu en cherchant à allé à l'intérieur. Ça dribblote 10 à 15 sec pour aller chercher systématiquement du tir à 3 points et comme on est ni Chalon ni Nanterre

Au Mallet ne perd pas de ballon.
Mais c'est clair que niveau scoring on est faible au poste de meneur.
Urtasun est vraiment un poste2 dommage...
Mais bon hormis Urtasun et Trasolini, on est trop faible en attaque. Même si l'équipe défend mieux d'une manière générale, on ne peut pas gagner avec de telles faiblesses offensives !

moitié du 3eme quart et premier panier du poste 1

Urtasun 3ème faute ça va faire mal ça ...

espérons que ça ne se termine pas par une déculottée...

Levallois ne m'impressionne pas mais on est clairement en dessous

ils ont plus de variété offensive et nous, en plus, on a du mal à mettre en place nos pauvres systèmes

Dans tous les cas, on est l'équipe la plus faible de ce championnat donc on est à notre place, c'est à dire la dernière...

jeu concours Trasolini et Urtasun vont-ils faire toute l'évaluation du Sluc.. ? les mots manquent...