[Les ex du SLUC]

Bah le coach l'avait aussi bien placardé...

Zabian Dowdell s'est engagé au Spirou Charleroi

Il se rapproche...   

James a écrit:

Zabian Dowdell s'est engagé au Spirou Charleroi

Déjà dit...  

Jacques SANTINI a écrit:

Sinon en cherchant les stats de Damir à Charleroi la saison passée... j'ai vu que Zabian Dowdell serait le meneur du Spirou cette saison !

Grant avait également la manie de ne jamais faire la prépa' estivale car il était retenu en sélection nationale et nous revenait soit "usé" soit plus ou moins blessé.

Ca n'est pas le cas cette année, la Suède joue tout à l'heure pour les qualif' au mondial et il ne pas été retenu. Frais et dispo pour la Chorale   

V-Sam s'entraînerait avec le SPO Rouen... Apparemment, un mec du staff a gagné au loto...

Bon, Nash, nouvelle recrue, est déjà blessé. Mais pour un club qui a été médiocre pendant un moment, et qui monte via une invitation de la LNB, le budget m'a l'air d'être bien sympa.

Marques Green signe à Ankara !

5NancyBoy4 a écrit:

Grant avait également la manie de ne jamais faire la prépa' estivale car il était retenu en sélection nationale et nous revenait soit "usé" soit plus ou moins blessé.

Ca n'est pas le cas cette année, la Suède joue tout à l'heure pour les qualif' au mondial et il ne pas été retenu. Frais et dispo pour la Chorale   

ça me rendait malade qu'un gars qui avait clairement besoin de se retaper physiquement parte tout les ans en vacances en sélection pour revenir encore plus hors de forme

Neodurden a écrit:

5NancyBoy4 a écrit:

Grant avait également la manie de ne jamais faire la prépa' estivale car il était retenu en sélection nationale et nous revenait soit "usé" soit plus ou moins blessé.

Ca n'est pas le cas cette année, la Suède joue tout à l'heure pour les qualif' au mondial et il ne pas été retenu. Frais et dispo pour la Chorale   

ça me rendait malade qu'un gars qui avait clairement besoin de se retaper physiquement parte tout les ans en vacances en sélection pour revenir encore plus hors de forme

Faut pas se mettre dans ces états pour un club de basket non plus.

Apparemment Pourchot aurait signé à Charleville Mézières

En ProB à la place de Monaco ?

Magic'Val a écrit:

Apparemment Pourchot aurait signé à Charleville Mézières

Il retrouvera Cédric Heitz.

JC a écrit:

Neodurden a écrit:

5NancyBoy4 a écrit:

Grant avait également la manie de ne jamais faire la prépa' estivale car il était retenu en sélection nationale et nous revenait soit "usé" soit plus ou moins blessé.

Ca n'est pas le cas cette année, la Suède joue tout à l'heure pour les qualif' au mondial et il ne pas été retenu. Frais et dispo pour la Chorale   

ça me rendait malade qu'un gars qui avait clairement besoin de se retaper physiquement parte tout les ans en vacances en sélection pour revenir encore plus hors de forme

Faut pas se mettre dans ces états pour un club de basket non plus.

Je me remettais vite
Contrairement à lui

ça en fait des espoirs du sluc à Charleville

http://www.bebasket.fr/a/46645-kevin-thalien-renforce-l-etoile-de-charleville-mezieres

Oui beaucoup de nos espoirs n'avaient ou n'ont que le niveau de la ProB...
Pour les derniers : Pourchot, Pinda, Thalien...

Jacques SANTINI a écrit:

Oui beaucoup de nos espoirs n'avaient ou n'ont que le niveau de la ProB...
Pour les derniers : Pourchot, Pinda, Thalien...

Djordjevic aussi... Toujours là!

J'aurai toujours un regret de ne pas avoir revu Petrovic en Pro A. C'était un joueur laissant apparaître tant de potentiel...

Petrovic a même été bon en Pro B mais son vrai problème, ce sont les blessures.

Marcus Slaughter au Real Madrid jusqu'en 2016. La classe !
http://www.bebasket.fr/a/46699-marcus-slaughter-ex-nancy-prolonge-jusqu-en-2016-avec-le-real-de-madrid

Charleville, équipe de développement du SLUC ?

Un résumé BUSA sur un match de l'équipe de Paul Harris à la fac contre UConn... 6 prolongations.
Paulo nous sort un match à 29 pts/22 boards

Ici

MONSCHAU A REPLONGÉ

Après une année sabbatique, l’ancien entraîneur du SLUC a repris du service dans la ville où il vit, Pfastatt. Samedi, il coachait son premier match sur le parquet de Besançon.

Besançon. Dans la petite salle Saint-Claude de Besançon, il a fallu installer des chaises supplémentaires samedi soir. Alléché par l’affiche entre les deux prétendants à la montée que sont BesAC et Pfastatt, le public bisontin avait répondu massivement présent.

Mais si ce match était un petit événement en soi, il y en avait un autre sur le banc : le retour de Jean-Luc Monschau aux affaires. Après une année sabbatique, l’ancien coach du SLUC (de 2004 à 2013) a accepté de prendre les rênes de Pfastatt, le club de la ville où il réside depuis le début des années 80. « J’habite tout près de la salle », s’amuse le technicien. « Il suffit que j’ôte le frein à main, et ma voiture arrive juste devant… »

Pourtant, il n’était pas écrit comme une évidence que ’’JLM’’ replonge un jour. Après une dernière saison éprouvante avec le SLUC au cours de laquelle le club avait arraché son maintien à l’ultime journée face au Mans, l’Alsacien avait écrit le mot « fin » sur sa longue histoire avec Nancy.

À 62 ans, il pouvait faire valoir ses droits à la retraite. Mais on l’avait tout de même annoncé dans plusieurs clubs pros comme Antibes ou Chalon.

Un choix à deux
« Je n’ai postulé nulle part », coupe-t-il. « Il n’était pas envisageable que j’entraîne une autre équipe (professionnelle) que le SLUC. Pourquoi j’aurais cherché ailleurs ce que j’avais à Nancy à tous points de vue ? C’était Nancy ou rien. »

Jean-Luc Monschau est donc reparti en Alsace pour couler une retraite paisible, vivant « différemment » sa passion du basket en se rendant régulièrement dans les salles (à Gentilly notamment...) et en visionnant des matches par dizaines à la télé.

Et puis,le président de Pfastatt, Bertrand Taczanowski, a commencé à lui faire des appels du pied quand son entraîneur (Pierre Bilbeau) lui a fait part de son désir de prendre un peu de recul. Après tout, les deux familles se connaissent de longue date... « Il est venu me voir en cours de saison dernière pour me dire que ce n’était pas normal que je ne fasse rien », raconte l’ancien coach nancéien, qui a toutefois pris le temps de la réflexion avant de donner son accord. « Avec mon épouse, on s’était installés dans une certaine logique et cela impliquait d’en changer. On a toujours envie de bien faire et si je m’engageais, c’était à fond. C’est pour ça qu’on a vraiment fait ce choix à deux avec mon épouse. »

Finalement, Jean-Luc Monschau a accepté la proposition du club. Assisté de Pierre Bilbeau, il a endossé un rôle de coach-manager. Pour combien de temps ? « On va déjà disputer cette saison et après, on verra », glisse-t-il, prudent.

« Un peu plus d’indulgence »
Même s’il a déjà coaché des amateurs il y a une... trentaine d’années (à Kaysersberg), l’Alsacien avance à petits pas.

En étant pleinement conscient que les réalités du monde amateur sont bien différentes de celles des pros. Moins de séances d’entraînement (« on en fait trois par semaine, mais elles durent 2 h 30 », lâche-t-il), moins de systèmes, de vidéo et un support statistique quasiment inexistant pour orienter le travail. Pas simple quand on a l’amour des chiffres comme lui...

« De manière générale, c’est vrai qu’il y a un peu plus d’indulgence (que chez les pros) », reconnaît-il. « Maintenant, en tant qu’éducateur, on est avant tout là pour faire progresser les joueurs individuellement. »

Même si forcément, le club ne peut pas ne pas nourrir quelques ambitions en N3 après avoir recruté un entraîneur aussi prestigieux. Mais quand on parle « objectifs », Jean-Luc Monschau botte en touche en invoquant notamment sa méconnaissance des autres équipes du groupe. « L’objectif ? Toujours gagner le prochain match », lâche-t-il dans un sourire. Un classique.

Reste que samedi, le technicien se doutait bien que sa première officielle sur le banc de Pfastatt n’aurait rien de neutre. Arrivé à 18 h 30 en bus avec son équipe, Jean-Luc Monschau aimantait le regard des connaisseurs. Après s’être assis sur le banc, il s’est vite levé après le coup d’envoi pour suivre le match en arpentant sa zone les mains derrière le dos ou sur les hanches. Comme lors de ses années nancéiennes.

Mais si l’entraîneur a beaucoup donné de la voix pour recadrer, jouer les pédagogues ou simplement encourager ses hommes, son équipe a fini par craquer (55-79) après avoir tenu le choc pendant 25 minutes. « On a lâché sur le plan défensif », commentera-t-il.

Pas vraiment le scénario espéré pour son retour. Mais la saison ne fait que débuter. Et Pfastatt en est intimement convaincu, avec un tel coach, il ne pourra que grandir...

Anthony GUILLE

Interview complète et intéressante de ce bon Kenny:

http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/23452/Moi-je-Kenny-Grant

Kenny qui fait d'ailleurs un super début de saison avec Roanne,c'est pour le moment un des meilleurs JFL de Pro B.