[ProA - J16] JDA Dijon bat SLUC Nancy, 72-62 (35-30)

au moins il semble que Boulazac et Poitiers perdent...

- 10
Fermez le ban !!!

Et Limoges qui se dépouille contre Gravelines, l'adversaire du SLUC la semaine prochaine.

14/25 aux LF, 14 balles perdues contre 5 seulement pour Dijon, Martin à -5 d'évaluation, les chiffres font mal.
Au moins, Pope aura été moins catastrophique que d'habitude.

Quelle gabegie aux LF quand même !!!
Enfin, qd on se prend + de 100 pts à Boulogne, ce n'est bien sûr pas la meilleure des façons de préparer un match ô combien important. Va falloir remobiliser les troupes pour la venue du BCM vendredi prochain.

Au fait, c'est quoi les commentaires d'après match ???

Vivement que Linehan et Touré reviennent, histoire qu'il y ait un peu plus de concurrence au poste 1 et 3. Diabaté a l'air crevé, 14 BP en 2 matchs.. et Pope qui joue 34 min..
On a besoin de nos cadres.

C'est surtout Touré que j'attends avec impatience, pour remplacer Pope. En espérant qu'il fasse preuve d'un peu de motivation et qu'il soit remis de sa blessure.

Sûr qu'une alternative a Pope sera la bienvenue. Pour l'équipe comme pour lui.

J'en reviens toujours pas qu'avec le temps de jeu dont il a bénéficié suite a l'hécatombe dans nos rangs il n'ai pas produit (bien) plus.

Pas les épaules? D'un titulaire au Sluc non en tout cas.

Moi je n'en reviens toujours pas de voir le nombre de supporters déçus par Pope.Le mec vient du Havre où déjà là il n'était pas flamboyant.
Forcément si on attendait qu'il soit dans la continuité de Kirksay, Greer,Darden, ça calme ...

On ne demande pas a Pope d'etre au niveau de ceux que tu cites Lolo,mais juste un plus d'implication ,d'energie ,d'envie ,.

van morrison a écrit:

On ne demande pas a Pope d'etre au niveau de ceux que tu cites Lolo,mais juste un plus d'implication ,d'energie ,d'envie ,.

Et du scoring !!!!
Bon là, je m'emballe un peu. Donc déjà de l'implication et de l'envie, ce sera pas si mal.

SLUC : dehors, il fait nuit
Nancy a perdu à Dijon une occasion unique de se positionner pour les playoffs. Mais est-ce bien l’objectif d’une équipe incapable de faire la loi à l’extérieur ? Le SLUC doit surtout regarder le classement vers le bas.

Solo Diabaté est partout au sein du Sluc Nancy. Malgré ses prouesses tant à la marque qu’à la direction du jeu, l’équipe lorraine déçoit. Photo Anthony PICORE.

Comment gagner à l’extérieur lorsque votre arrière titulaire, réputé shooteur et scoreur, termine la rencontre avec un… moins 5 d’évaluation ? C’est bien là, tout le problème, d’autant que le SLUC terriblement amoindri par les blessures, doit pouvoir se reposer sur un cinq majeur opérationnel.

Samedi soir, Torrell Martin qui depuis son arrivée à Nancy, est d’une inconstance assez troublante, est passé complètement à côté de son sujet, rendant une copie qui laisse perplexe (1/7 dont 0/3 à trois points, 1/2 aux lancers francs en 20’45).

Décidément, le SLUC n’y arrive pas lorsqu’il joue loin de Gentilly, loin de son public, loin de ses habitudes. Et pourtant, les Nancéiens n’ont pas calculé, pas géré non plus, leur organisme comme à Boulogne ou comme à Orléans et à Villeurbanne : « pour gagner à l’extérieur, il faut de l’adresse à trois points et aux lancers francs, deux secteurs qui nous ont plantés . Ce fut le cas, une seule fois cette saison. A Gravelines, là, où nous avons comme par hasard, gagné notre seul match à l’extérieur depuis le début de la saison. C’est regrettable », soulignait Jean-Luc Monschau. « car l’équipe a montré beaucoup de volonté. Et la rencontre s’est déroulée comme on le souhaitait. On laisse Dijon à 72 pts, c’était bien. Par contre, nous ne sommes pas récompensés de notre excellent job pour trouver nos intérieurs. J’ai compté entre quinze et vingt situations où notre joueur seul sous le cercle, a manqué son panier (18/34 à l’intérieur). Je veux bien penser que mes joueurs n’étaient pas dans un grand soir d’adresse mais tout de même. On a tiré 25 lancers francs. Compte tenu du nombre de fautes de la JDA, c’est largement en notre défaveur ».

Au passage, Jean-Luc Monschau a voulu évidemment montrer du doigt l’arbitrage de Messieurs Jeanneau, Guedin et Rosso sans doute, loin d’être irréprochables, notamment sur certaines actions de Sommerville, Marquis et Diabaté même s’il faut chercher ailleurs, les raisons d’une nouvelle défaite qui fait mal, puisqu’elle s’accompagne de la perte du panier-average contre un adversaire direct.
Condamné aux exploits

Si on parle maintien après cette seizième journée car c’est hélas, la grande préoccupation du SLUC en ce lundi matin, il s’en sort presque indemne. Car Boulazac, Poitiers, Limoges, Roanne, ont perdu.

On donnerait bien aussi un petit morceau de galette à Jean-Manuel Sousa et à ses joueurs si ce soir, il gagnait au Havre. Au passage, ça permettrait de garder un petit bol d’oxygène alors que le calendrier va sérieusement se compliquer : réception des leaders Gravelines et Strasbourg, entrecoupée d’un déplacement à Boulazac qui vaudra son pesant de foie gras et de confit dans le Périgord.

A l’inverse, si on parle… playoffs (les huit premiers), la soirée fait mal, très mal aux dents. Dijon compte aujourd’hui sur le SLUC, une victoire de plus, presque deux grâce à son meilleur panier-average et Orléans qui a atomisé Nancy dans le Loiret, vient de battre Villeurbanne : « pour viser les playoffs, il va falloir gagner à l’extérieur », soupirait Soleyman Diabaté extrêmement déçu, presque abattu par le scénario du match, lui tient l’équipe à bout de bras, qui multiplie les efforts : « Solo (Diabaté) et Marcellus (Sommerville) ont encore joué quarante minutes. C’est beaucoup surtout lorsqu’on joue trois matchs en huit jours » , faisait encore remarquer Jean-Luc Monschau, qui ne voit pas pour l’instant le bout du tunnel en ce qui concerne sa troupe de blessés : « On rame, encore et encore. L’équipe se bat mais nous sommes aujourd’hui presque condamnés à réussir un exploit à domicile, devant Gravelines ou devant Strasbourg ».

Strasbourg, aujourd’hui superbe leader avec notamment les frères Greer qui cartonnent comme aux plus beaux jours du SLUC. Champion de France en 2005, les Alsaciens ont mis huit longues années pour remonter la pente après avoir dévissé dans les sommets du basket français. C’est peut-être, ce qui attend le SLUC Nancy…
Gilles GAIHIER

Pourquoi Nancy a perdu à Dijon une occasion unique de se positionner pour les playoffs ?
Il n'y aura pas d'autres occas d'ici la fin de saison ???