Les grands changements de la LNB

Des retombées grace au titre de CE??

-Bravo,pour les changements ,matches décalés ,plus de matches en semaine que le w-end,debut du saucissonnage!
-Faudra pas s'etonner que les salles se vident,mais l'essentiel est que les caisses se remplissent!

-Tout est vraiement fait pour que le basket se popularise hein?? En jouant le lundi,mardi,mercredi.....

De toute façon... faut bien que le basket passe à la télé !
Comme le WE est strictement réservé au foot et au rugby et que le vendredi semble réservé au Hand... que reste-t-il ?

Maintenant si quelques matchs de ProA passent en clair sur la TNT, ce sera bien même sur des chaînes annexes !

Après on fera les comptes, mais il est clair que 7 millions de téléspectateurs un dimanche soir pour la bande à Parker, c'est pas mal.
Maintenant, l'Euroligue va se barrer sur being sports... coup dur pour Canal...
Bref, les médias sont un monde en constante évolution, au basket de suivre du mieux qu'il peut !

Tiens, le SLUC va être télévisé lundi 14/10 à Dijon et mardi 22 octobre à Pau !!!

ouais enfin comme le dit van morrisson, les matchs lundi, mardi et mercredi t'oublie tout ceux qui viennent d'un peu plus loin et qui ont de la route... du coup au lieu de fédérer une "grande région" les clubs resteront l'attrait d'une ville. Perso impossible de monter à gentilly en semaine du coup j'ai du rendre mon tablierà mon grand regret, une première depuis 1999...

"j'ai du rendre mon tablier à mon grand regret"
Tu es cuistot?  

non   (ça aurait pu) je voulais dire par la que pour la première fois depuis 99 je laisse tomber gentilly j'ai pas repris d'abonnement même si j'espère encore y aller de temps en temps... quand ils joueront les samedi et que je serais dispo

Ça avance, et pas qu'un peu cette fois ci :

http://www.catch-and-shoot.com/livenews/alain-beral-souhaite-trouver-un-partenaire-naming-pour-la-pro-a/2013/

http://www.catch-and-shoot.com/livenews/la-lnb-va-distribuer-au-moins-500-000-euros-avec-ces-labels-or-argent-et-bronze/2013/

La LNB va distribuer au moins 500 000 euros avec ses labels or, argent et bronze

Interrogé par France Bleu, le président de la Ligue Nationale de Basket (LNB) Alain Béral s’est exprimé sur la redistribution des droits télévisés. Il a notamment donné des précisions sur les futurs labels qui seront décernés afin de récompenser les clubs les mieux structurés.

« La politique de la Ligue en la matière a été définie depuis le début. Les répartitions des droits de télévision se font en fonction de plusieurs critères. D’abord ce sont les places en coupe d’Europe font le premier lot. Nous avions décidé et annoncé que nous allions faire en sorte de répartir de façon à ce que les clubs qui jouent les coupes d’Europe puissent se muscler un petit peu plus pour faire des résultats en Europe. Nous avions également dit que nous allions répartir le reste des droits télé et des sponsoring publicitaires qui veulent venir sur la ligue – surement grâce à l’exposition – sur des clés correspondant à des labels. Les clubs vont d’ailleurs être informés la semaine prochaine de ce qu’est un label, comment on acquiert un label or, argent et bronze. Ces labels, lorsqu’ils seront attribués, va donner un classement des clubs qui bénéficieront, selon qu’ils aient le label or, argent ou bronze, de répartitions complémentaires qui vont être versées par la Ligue.

[...] L’enveloppe complémentaire – donc en dehors de ce que nous avons en dehors de ce que nous avons déjà distribué – est déjà de 500 000 euros pour les labels or, argent et bronze. Et nous espérons arriver à 500 000 euros de plus dans les douze à dix-huit prochains moins. Un label or, ça sera au moins 50 000 euros. »
C&S

BASKET-BALL - PRO A - POUR GAGNER EN VISIBILITÉ GRÂCE À LA TÉLÉ, LA PRO A A BEAUCOUP PERDU EN LISIBILITÉ

UNE IMAGE BROUILLÉE

La deuxième journée de championnat s’est étalée sur cinq jours. La télé fait son calendrier, ciblant en semaine les clubs qui ne sont pas européens. Dont le SLUC.

Nancy. Alain Béral dont on doit louer le charisme et les initiatives depuis qu’il est à la tête de la LNB, ne reviendra pas dessus. Il a choisi. Il s’en est expliqué au Media Day, le 28 septembre : « À la lisibilité, je préfère la visibilité. Plus je vois du basket à la télévision, plus je suis content. À nous de nous adapter. »

Au risque de voir s’étaler ses journées de championnat de Pro A comme ce fut le cas la semaine dernière (du vendredi au mardi), la LNB déroule le tapis rouge à la télévision avec deux matches en direct par semaine diffusés par le groupe Canal Plus lequel a imposé les lundi (Sport +) et mardi (Canal + Sport) comme jour de retransmission.

Ce qui évidemment plonge le déroulé, le suivi et tout simplement le classement de la Pro A dans une nébuleuse opaque d’autant que depuis le 8 octobre Nanterre et Strasbourg comptent un match de plus, trois jours seulement après la reprise.

Une Pro A d’autant plus difficile à suivre que la commission sportive de la LNB bouleverse le calendrier, devant tenir compte que neuf équipes de Pro A sont engagées du mardi au jeudi, en Euroligue, Eurocup et Eurochallenge et qu’il faut réglementairement 48 heures de repos entre deux matches. Un vrai casse-tête !

On comprend mieux pourquoi Nancy, quatorzième en 2013, bredouille depuis la reprise mais qui n’est pas engagé en coupe européenne, bénéficie aussi souvent des honneurs de la télévision. Ce n’est hélas pas uniquement pour ses beaux yeux…

Entre le 8 octobre et le 19 novembre, le SLUC sera retransmis à la télévision à six reprises sur les sept premiers matches. Pas belle la vie ?

Un coût supplémentaire
Et pourtant, à Nancy, on pèse le pour et le contre. Et à entendre le président Fra, c’est la fameuse bouteille à moitié pleine et à moitié vide : « Au niveau de la médiatisation du basket, c’est une excellente chose. Mais, on ne doit pas oublier que la télévision nous oblige à jouer en semaine, ce qui représente un coût supplémentaire. D’abord les hôtels sont beaucoup plus chers en semaine que le week-end. Nous sommes contraints de prévoir un déplacement supplémentaire pour les espoirs. Pas question qu’ils jouent en semaine. Ils vont à l’école. On veut surtout respecter leur temps de repos. Enfin, lorsqu’on joue le lundi ou le mardi à domicile, on perd du public. Contre Nanterre, le champion de France, on a fait 4.400 spectateurs, le samedi, on aurait été blindé. »

Le manque à gagner est incontestable car la redistribution des droits télévisés par la LNB n’est actuellement que de… 80.000 € alors qu’en Ligue 2 de football pour une exposition réduite, ils se situent entre 2,8 M et 5,5 M€ : « Les répartitions des droits de télévision se font sur plusieurs critères », explique Jean-Charles Bregeon, secrétaire général du SLUC. « Les clubs qui jouent la coupe d’Europe sont les mieux lotis. Mais le président Alain Béral a ajouté que le reste des droits télé et du sponsoring publicitaire, sera attribué selon des labels d’exposition. Il ne faut pas oublier non plus qu’avec la télévision, on valorise les marques de nos annonceurs. Canal + Sport a une tout autre audience que Sport +. C’est multiplié par trois ou quatre. »

Jean-Charles Bregeon admet par contre bien volontiers que le SLUC va devoir effectuer « une drôle de gymnastique au niveau de la communication pour faire face à des enjeux forts ».

Ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui, le public, les supporters, les partenaires ont besoin de se reposer sur un calendrier stable pour s’organiser et mieux suivre la Pro A. Nous aussi…

Gilles GAIHIER