[Preview 2010-11] Kenny Grant signe 1 an (p34)

Jacques SANTINI a écrit:

Je pense qu'il répond à mon post précédent où je défendait un peu l'idée qu'on avait un banc pas si pourri...
Lui me dit que c'est pas parce qu'on jouait à 6 la saison passée que l'on doit limiter les rotations...

Voila.
Les posts à 4h du mat, faut que j'arrete apparement.

Non non... moi à 4h je dors, tu penses... je bosse le lendemain !

Mais tu n'as pas tort de toutes façon... nous nous posons tous des questions légitimes à ce moment de la saison...
Il y a une nouvelle équipe, on perd certains cadres (Ric, Jeff voire Tchi et Marcus) et nous ne sommes pas sûr que la nouvelle mayo va prendre !

Y'a plus qu'à ettendre un peu

Aegis a écrit:

Jacques SANTINI a écrit:

Je pense qu'il répond à mon post précédent où je défendait un peu l'idée qu'on avait un banc pas si pourri...
Lui me dit que c'est pas parce qu'on jouait à 6 la saison passée que l'on doit limiter les rotations...

Voila.
Les posts à 4h du mat, faut que j'arrete apparement.

La réponse n'a donc rien à voir avec la "question"...

Non mais sans rire, comme il n'y avait pas de citations, et que le post était perdu entre deux/trois autres, on n'a pas trop compris... Bref.

Radio, cardio, dodo...



Stephen Brun passe entre les mains du docteur Geoffroy. L’une des étapes obligatoires de cette semaine consacrée aux tests médicaux.


Nancy. Ils sont tous là ! Tous les basketteurs du SLUC sont présents à Nancy depuis lundi. Cependant, aucun d’entre-eux n’a encore eu l’occasion de toucher le ballon, ni même de fouler le parquet de Gentilly. A Nancy comme ailleurs, la semaine qui précède la reprise officielle est consacrée aux tests médicaux. Lundi, Stephen Brun et ses coéquipiers ont entamé un parcours de santé qui les mène de services hospitaliers en cabinets médicaux aux quatre coins de la ville.

Radiologue, cardiologue, podologue, dentiste, examen sanguin et médecin sont les principales étapes de ce «check-up» relativement pointu et qui fait en quelque sorte office de visite médicale d’embauche. L’objectif étant de détecter autant que faire se peut une éventuelle contre-indication vitale, une fragilité ou un point potentiel de blessure. « Il y a en fait deux étapes », précise Jean-Marc Geoffroy, le médecin du club, « une visite de non-contre-indication à la pratique d’un sport, quel qu’il soit, et une visite d’aptitude à la pratique du basket de haut niveau ».

Certains de ces examens sont imposés par la ligue nationale et donc communs à tous les clubs : « l’échographie cardiaque, le test d’effort, le bilan sanguin et la visite chez le médecin sont imposés », poursuit le docteur, « ensuite, il y a ce que nous choisissons d’ajouter : un bilan articulaire, un bilan clinique général, un bilan dentaire, un bilan postural... Et si nous avons le moindre doute, nous approfondissons encore ».

Nébot, Mériguet : des cas d’école

Un doute, c’est ce qui avait par exemple valu à Franck Mériguet (en 2002) de manquer le premier match de la saison, en attendant le résultat d’un examen cardiaque supplémentaire. De même, un an plus tôt, le SLUC avait finalement décidé de ne pas embaucher Jimmy Nébot, après avoir estimé que l’un de ses genoux n’était pas totalement fiable.

« Tout cela conserve cependant une part de subjectivité », estime Jean-Marc Geoffroy, « la deuxième blessure de John Linehan à Nancy en est un exemple ».

Nouveaux ou pas, tous les joueurs sont donc obligés de se plier à ce rituel à chaque début de saison. De toute façon, leur dossier médical ne les suit pas lorsqu’ils changent de club.

« Cela fait une dizaine d’années que je vais aux réunions de la commission médicale de la ligue et que je milite pour ça », explique le « doc » du SLUC, « seulement, on se heurte à la confidentialité et au secret médical. On y viendra peut-être ». Quant aux joueurs, ils vont bientôt pouvoir fermer les portes des cabinets médicaux pour ouvrir celles des salles de sports...

Thomas SIMON

Est republicain

Merci bacou
Même les dents, cela a un rapport avec le parquet Ok je

Sebond a écrit:

Merci bacou
Même les dents, cela a un rapport avec le parquet Ok je

Non c'est pour aiguiser les incisives de nos cougars... Ils passent aussi chez l'estheticienne pour les griffes....

Lol les dents c est une requete de l'asvel pour eviter de rayer le parquet

Présentation du SLUC 2010/2011 sur lnb.fr
http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/6652/Saison-2010-2011-Presentation-du-SLUC-Nancy-Basket
Peu bavard l’ami JLM en comparaison de ses collègues

Theseus a écrit:

Présentation du SLUC 2010/2011 sur lnb.fr
http://www.lnb.fr/fr/Accueil/100003/Article/6652/Saison-2010-2011-Presentation-du-SLUC-Nancy-Basket
Peu bavard l’ami JLM en comparaison de ses collègues

J'ai comme l'impression qu'ils n'ont pas contacté JLM, mais qu'ils ont tout simplement repris ses dires dans les colonnes d'un article paru dans l'Est Républicain il y a quelques semaines...

Présentation du SLUC sur Catch & Shoot :

http://www.catch-and-shoot.com/2010/10/07/live-news/preview-pro-a-201011-sluc-nancy/

«Rester dans le bon wagon»

La grand-messe du basket français reprend ses droits ce week-end. Après avoir répété ses gammes avec brio lors du tour préliminaire de l'Eurochallenge, le SLUC entame sa campagne nationale par la réception de Gravelines. Un match particulier à plus d'un titre pour Jean-Luc Monschau.
par Arnaud Demmerlé, le 07-10-2010

Notre correspondant à Nancy

Jean-Luc Monschau, nouvelle saison, nouvelle histoire à écrire avec le SLUC, comment l'envisagez-vous ?
Jean-Luc Monschau : Justement, il faut l'écrire tous ensemble. Je ne me projette pas. J’attends de voir, de découvrir. C’est bien plus passionnant comme cela.

Une page s’est tournée à l’intersaison avec le départ des frères Greer, deux joueurs essentiels au SLUC ces dernières saisons...
Jean-Luc Monschau : C’est vrai. Ricardo et Jeff étaient champions de France avec nous il y a deux ans. On ne pouvait pas les retenir. Ce sont les aléas du basket professionnel. On en récupère néanmoins deux autres, puisque Victor Samnick était là en 2008, alors que John Linehan, qui a déjà joué chez nous lui-aussi, a été sacré lors de la précédente saison avec Cholet. Avec Stephen Brun, Akin Akingbala et Seydou N’Joya, qui sont restés, il y a quand même six joueurs qui connaissant la maison puisque Moussa Badiane, formé au club, est également de retour. Il n’y a donc pas une véritable refonte comme après le titre de 2008.

Ces trois retours démontrent-ils que l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs ?
Jean-Luc Monschau : Le SLUC est un club attractif. Au-delà des conditions de travail, l’environnement du club et la ville sont aussi séduisants. Les joueurs partent généralement pour gagner plus d’argent, mais ils ne gagnent que rarement au change dans les autres domaines.

Au niveau des Américains, comme d’habitude, vous avez misé, outre John Linehan, sur des joueurs habitués aux joutes de la Pro A comme Ralph Mims (ex-Roanne) et Tremmell Darden (ex-Strasbourg)…
Jean-Luc Monschau : Ce n’est pas toujours le cas. On a déjà tenté des paris avec des rookies, des joueurs, qui découvraient l’Europe. Je pense à de bonnes pioches comme Maurice Bailey ou Zabian Dowdell. Aujourd’hui, nous sommes dans une perspective différente. Nous n’avons pas les moyens financiers pour avoir un effectif aussi pléthorique qu’auparavant. Nous avons préféré assurer nos arrières en prenant des joueurs rompus aux joutes de la Pro A. Ils se sont tous déjà illustrés dans les matches de préparation. Même s’il est encore bien trop tôt pour faire un bilan, on sait très bien où l’on va avec eux.

Que pouvez-vous nous dire des deux autres recrues, Moussa Badiane et Kenneth Grant ?
Jean-Luc Monschau : Badiane, on le connait bien. C’est un pivot qui a fait ses classes à Nancy avant de filer à l’Université aux Etats-Unis. Depuis, il fait son petit chemin. Il sort d’une probante saison en Pro B sous les couleurs d’Aix-Maurienne. Il a envie de réussir dans son club formateur. En ce qui concerne Grant, c’est le plus Français de tous les étrangers. Il est de père américain et de mère suédoise. Il a grandi en France, il parle très bien notre langue. Il a joué deux ans à Nantes, et va rentrer dans notre rotation comme arrière ou même meneur. C’est un joueur de devoir.

«Linehan, le leader de l’équipe»

Alors que l’an dernier Ricardo Greer avait les clés de cette équipe, on sent cette année plus d’homogénéité. Est-ce votre impression également ?
Jean-Luc Monschau : Ni plus, ni moins à mon sens. Je me garderai bien de dire d’ores et déjà trop de choses sur cette équipe. Elle va devoir convaincre sur le terrain et prouver ses qualités en compétition.

Une chose semble sûre. Avec John Linehan, vous avez désormais un meneur qui sait très bien faire jouer les autres...
Jean-Luc Monschau : Même s’il a été souvent blessé durant son expérience chez nous, John avait déjà démontré de belle qualité dans le jeu. Ce qui est bien avec lui, c’est que nous avons aussi et surtout un vrai leader en dehors du parquet. Il montre toujours l’exemple. Il va donner l’envie aux autres de se transcender. C’est un régal de l’avoir de nouveau dans l’équipe. Il va quelque part prendre la succession de Ricardo Greer dans ce rôle de relais sur le terrain.

Qui sont les favoris pour le titre cette saison selon-vous ?
Jean-Luc Monschau : On le dit chaque année, mais c’est encore plus vrai cette fois, le championnat s’annonce particulièrement ouvert et très serré. Il est d’une densité incroyable. Je suis incapable de donner les équipes qui iront aux Play-offs. Le premier objectif sera de terminer dans la première de tableau au mois de mai. Parmi les huit qui resteront en course, tout sera possible et tout restera à faire.

Que peut espérer concrètement votre équipe cette saison ? Une place dans les quatre premiers ?
Jean-Luc Monschau : Je ne me projette jamais en termes de classement. Nous sommes la seule équipe de Pro A à avoir terminé dans les cinq premiers lors des cinq dernières saisons. C’est dire que les places dans le haut du tableau sont chères. La concurrence s’annonce rude. On va essayer de rester dans le bon wagon.

Ce samedi, votre premier match de Pro A est forcément particulier puisque vous allez retrouver votre frère Christian et Jeff Greer avec Gravelines...
Jean-Luc Monschau : Nous avons beaucoup à gagner dans cette rencontre. Nous avons une revanche à prendre contre Gravelines. Nous avons été sortis des Play-offs par cette équipe en deux manches sèches l’an dernier. Du coup, nous avions terminé notre saison plus précocement que d’habitude. Recommencer par le même adversaire est à la fois une épreuve car Gravelines a conservé son ossature et un sérieux défi puisqu’elle était aussi plus forte que nous. On en saura donc déjà un peu plus après ce match.

source : sport24.com