[Euroleague - J5] M. Siena 86 (45) - (26) 63 SLUC Nancy

Le charme de la Toscane








• SIENNE. « Il Piccolo Castello Hôtel », la résidence du SLUC à Sienne, est un hôtel d'époque au charme irrésistible. Situé sur les hauteurs de la ville, à Monteriggioni, il offre une vue magnifique sur la Toscane et présente des chambres luxueuses. Evidemment, les joueurs nancéiens ont apprécié le confort après un voyage qui aura, mine de rien, duré huit bonnes heures et après une intense séance d'entraînement hier soir pratiquement à l'heure du match (21 h) et à laquelle ont participé tous les joueurs.
• BAPTÊME. Baptême du feu hier pour Julien Marboure, le nouvel intendant du SLUC, en charge notamment de la logistique depuis que Daniel Parisse s'apprête à savourer une retraite bien méritée. Il organisait hier son premier voyage en Euroligue. Vous imaginez que le...pauvre Julien qui a parfaitement géré son affaire malgré un retard du TGV de 30' à Marne la Vallée, s'est fait chambrer. Dans la bonne humeur bien sûr...
• MASSAGE. Victor Samnick a profité de la demi-heure d'attente avant l'embarquement à Roissy pour demander un petit massage des cervicales. Un stand « voyage relax », qui fait un tabac depuis plusieurs jours à l'aéroport, le proposait gratuitement aux amateurs. Il n'y a pas de mal à se faire du bien...
• [b]PRÉSIDENT. Déjà sur place à Florence où il assistait hier soir au match de la Ligue des Champions entre la Fiorentina et Lyon, le président Fra a rejoint son équipe ce matin à Sienne. Et comme il aime joindre l'utile à l'agréable, il était question qu'il rejoigne, demain, les routes du rallye du Var, fameux rallye qui compte pour le championnat de France.
• CONTRÔLEUR . Le contrôleur SNCF sur le quai de la gare TGV Lorraine aurait mieux fait de se taire lorsqu'hier matin, il a apostrophé Jean-Luc Monschau avant qu'il monte dans le train : « Ce match contre Sienne, il compte pour des prunes. De toute façon, vous êtes déjà éliminés. » Vous pensez bien que le coach du SLUC a vite remis les pendules à l'heure et le contrôleur sur de bons rails...
• PRO. Vous savez ce que fait Steed Tchicamboud dans l'avion la veille d'un match d'Euroligue à Sienne ? Il regarde tout simplement la vidéo du match Sienne - Barcelone remporté facilement par les Italiens. Vous avez dit pro ?

G. G. (Gilles GAIHIER)


Est republicain[/b]

Simone Pianigiani attend toujours








NANCY._ Après avoir rencontré consécutivement Bologne, Barcelone, le Panathinaïkos et Rome (rien que ça...), Sienne s'est largement imposé sur son parquet, le week-end dernier, face à Montegranaro (88-62). Pas si facilement que cela, si l'on en croit les propos de l'entraîneur italien, Simone Pianigiani : « Nous avons eu des moments de relâchement. Physiquement, nous ne sommes sans doute pas au sommet de notre forme en ce moment. Il faudra prendre Nancy très au sérieux, d'autant que la victoire contre Kaunas a redonné de l'élan aux Français. »
D'après la presse locale, le coach transalpin attend plus de son équipe, battue en Grèce lors de la dernière journée d'Euroligue (81-76) et se méfie particulièrement des frères Greer. Une formation italienne, leader invaincu de son championnat (7-0), dont les leaders offensifs s'appellent Ksystof Lavrinovic (15,5 points, 7 rebonds, 64,3% à trois points), Henry Domercant (14,8 pts, 52% à trois points), Rimantas Kaukenas (14,5 pts) ou encore le surprenant Romain Sato (13,8 pts).




26/11/08


Est republicain

Nancy, faire des siennes

Chez le n°1 transalpin, le Sluc devra se serrer les coudes pour ne pas voler en éclats. Un test d'envergure pour le nouveau leader du championnat de France en quête d'exploit retentissant sur les routes européennes.
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La situation est grave mais pas désespérée. En cette fin des matches aller de la première phase, l'Euroligue n'a pas encore jeté aux oubliettes le champion de France. Même une déconvenue en terre toscane ne plongerait pas Nancy dans un coma fatal. Le virage important est pour la semaine prochaine, avec la réception des Polonais de Sopot. Un adversaire direct pour la quatrième place qualificative. Sûr qu'un exploit à Sienne améliorerait l'ordinaire et repositionnerait le Sluc sur la rampe de lancement.
Alors, créer une ouvre d'art du côté de Florence est-il possible ? Les chiffres couronnant le rival italien, ne laissent pas énormément de place au rêve. Le champion d'Italie, sacré en 2007 et 2008, a aussi failli tout écraser sur son passage lors du dernier Final Four de cette Euroligue. Cette saison, le club de Ferdinand Minucci (élu meilleur dirigeant de sa Ligue) a repris son ascension vers les sommets par le bon bout : sept victoires en sept matches transalpins pour un unique dérapage international dans la chaleur hellène du Panathinaikos Athènes. Faux pas pardonnable.
Oui, le Sienne de la banque Montepashi et de ce président diplômé en sciences politique fait peur si l'on scrute son passé. Son plaisir à déplumer les visiteurs de la Piazza del Campo, dont les cierges allumés à la cathédrale ne servent souvent à rien, est réel : treize succès sur les quatorze derniers matches d'Euroligue à domicile. De quoi faire dévaler le Chianti de la colline. Pourtant, cette formation tournée vers l'offensive (meilleure attaque du groupe) n'est pas exempte de tremblements. Voire de frayeurs. Les Polonais de Sopot n'ont cédé que de neuf points. Dans son quotidien italien, Sienne a frisé la correctionnelle contre Teramo et Trévise.

Du beau monde

Pour un peu, avec le plein de confiance fait face à Gravelines, samedi, on croirait à une performance possible de la part des Lorrains. Le sage Jean-Luc Monschau calme les ardeurs : «Henry Domercant est capable de faire mouche avec deux joueurs sur le paletot, Romain Sato est fort, Ksistof Lavrinovic s'écarte pour tirer à trois points, quant à Rimantas Kaukenas, c'est tout simplement l'arrière titulaire de l'équipe lituanienne» rétorque l'entraîneur nancéien. «Sienne est si fort ! Mon équipe ne doit pas penser que ce sera plus facile parce que l'on a ouvert notre compteur de victoires en Euroligue contre Kaunas.»
Le capitaine Ricardo Greer donne davantage dans la nuance : «C'est est une grosse équipe mais le succès qu'on a remporté face à Gravelines est bon pour le moral. On a joué avec beaucoup d'agressivité.» Il en faudra autant pour contrarier les internationaux lituaniens Lavrinovic (meilleur shooteur à 3 ponts, meilleur réalisateur et rebondeur de l'équipe) et Kaukenas sans oublier effectivement ce Domercant (marqueur n°1 de la coupe Uleb avec Dynamo Moscou la saison précédente), l'adroit Finley et la terreur McIntyre. Du beau monde pour le premier pan du triptyque infernal de Nancy en déplacement (suivront Barcelone, Athènes). C'est peut-être le moment ou jamais de faire ses siennes sur le Vieux continent.
Alain THIÉBAUT.
Republicain lorrain

Sienne mène 4 à 1


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Dans le domaine statistique, après les quatre premières journées, Sienne tourne à 80 points de moyenne (contre 63,8 à Nancy). Le Sluc est aussi dominé au pourcentage d'adresse dans les tirs à 2 points (56 à 41,5), à 3 points (37,6 à 31), les passes décisives (14 par match à 8). Le Sluc est légérement plus fort au rebond (30 à 33). Bilan : 4 à 1 pour les Italiens.

Republicain lorrain

Citation :

CONTRÔLEUR . Le contrôleur SNCF sur le quai de la gare TGV Lorraine aurait mieux fait de se taire lorsqu'hier matin, il a apostrophé Jean-Luc Monschau avant qu'il monte dans le train : « Ce match contre Sienne, il compte pour des prunes. De toute façon, vous êtes déjà éliminés. » Vous pensez bien que le coach du SLUC a vite remis les pendules à l'heure et le contrôleur sur de bons rails...

Ah ah, c'est bien drôle ça. Ce devait être un messin



Merci bacou

Un Strasbourgeois plutôt !

messin ou strasbourgeois, ce type est un rigolo

Je ne vois surtout pas l'interêt de le dire

rod, c'est ce soir ou jamais, en plus c'est un jour particulier pour The Warrior , ta fidele supportrice

fabask a écrit:

rod, c'est ce soir ou jamais, en plus c'est un jour particulier pour The Warrior , ta fidele supportrice

Sienne c'est un tout autre niveau que le Pana ou le Barça, à mon sens. Tout simplement l'équipe la plus régulière d'Europe depuis 3 ans, un effectif inchangé ou presque (tout de même une addition du calibre de H. Domercant ) et une salle chaude. Ils écrasent la Lega italienne depuis 3 saisons et auraient dû aller en finale de l'Euroleague l'an passé.

N'en jettez plus, je crains hélas la pulvérisation en règle du SLUC...

Rasheed Wallace a écrit:

Sienne c'est un tout autre niveau que le Pana ou le Barça, à mon sens. Tout simplement l'équipe la plus régulière d'Europe depuis 3 ans, un effectif inchangé ou presque (tout de même une addition du calibre de H. Domercant ) et une salle chaude. Ils écrasent la Lega italienne depuis 3 saisons et auraient dû aller en finale de l'Euroleague l'an passé.

N'en jettez plus, je crains hélas la pulvérisation en règle du SLUC...

Group B
Team W L Pts + Pts - Total Pts.
Regal FC Barcelona 3 1 307 253 54
Montepaschi Siena 3 1 320 280 40
Panathinaikos 3 1 305 287 18


hum hum

C'est parti! ba on en perd des balles

Vous le suivez où le match?

Roh la la, le jeu offensif du SLUC c'est faible, mais FAIBLE...

ici http://www.euroleague.net/

pas génial tout ça

Mais qu'est-ce qui se passe ? Comment s'est possible de faire 6 turnovers en même pas 3 minutes ?

Et pendant ce temps là, Sopot revient. (-4 à 8mn de la fin)

heureusement qu'il y à le Warrior!!!!

Cyril :cheers:

Aegis a écrit:

Mais qu'est-ce qui se passe ? Comment s'est possible de faire 6 turnovers en même pas 3 minutes ?

Ben, c'est simple, tu prends une équipe qui n'a pas l'habitude de faire des passes (parce qu'en Pro A le un-contre-un à tout va passe sans problème), tu la forces à faire tourner la balle en défendant dur sur l'homme (à chaque match d'EL), ben elle perd le ballon.

17-8 on va prendre une raclée à ce rythme

C"est du gros en face.....

2fautes pour Cyril